• y a les uns et les autres

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    http://youtu.be/5T90JimcWAM

    Dans plusieurs pays européens des groupes chantent leur rejet de l' islam et de l'émigration incontrôlée .

    Essayer de faire la même chose en France < Pays des droits de l'homme et de la liberté d'expression > ,

    Vous seriez vite sensuré et condamné pour propos racistes

    La France est elle déjà une Dictature Islamique ou il ne manque que l"application de la sharia .

    La preuve ci-dessous

    Jean-Marie Le Pen condamné à payer 5000 euros d'amende pour des propos racistes

    JEAN MARIE LE PEN

    JUSTICE - La cour d'appel de Paris a confirmé jeudi la condamnation à 5000 euros d'amende du président d'honneur du Front national, Jean-Marie Le Pen. Cette condamnation fait suite à des propos racistes.

    Le fondateur du parti d'extrême droite va "évidement former un pourvoi en cassation", a indiqué son défenseur, Me Wallerand de Saint-Just. Jean-Marie Le Pen avait été condamné en première instance, le 19 décembre 2013, pour injure publique envers un groupe de personnes en raison de son appartenance à une ethnie.

    Le 22 septembre 2012, à l'université d'été du Front national à La Baule (Loire-Atlantique), Jean-Marie Le Pen avait enchaîné, sous les yeux de sa fille Marine, les provocations sur l'immigration, thème fétiche du FN. Moquant les Roms, il avait suscité rires et applaudissements nourris en leur attribuant la phrase: "Nous, nous sommes comme les oiseaux, nous volons naturellement."

    Saisir la Cour européenne des droits de l'Homme

    La cour d'appel a toutefois ramené le chef de condamnation à "complicité" d'injure publique, les propos incriminés ayant été diffusés sur le site internet du FN (en droit de la presse, le diffuseur est auteur principal). Me de Saint-Just avait argué que son client n'avait pas consenti à ce que ce discours soit ainsi diffusé.

    En première instance, le tribunal avait écarté cet argument, Jean-Marie Le Pen n'ayant "jamais protesté contre cette diffusion ni sollicité le retrait de la vidéo litigieuse". Son avocat avait plaidé la relaxe, arguant de la liberté d'expression et assurant que voler ne désignait pas en l’espèce la "soustraction frauduleuse", mais le déplacement dans les airs, "comme les oiseaux qui n'ont aucune frontière".

    "Cette décision in fine est une violation très importante de la liberté d'expression", a estimé Me de Saint-Just jeudi, assurant que son client "ira jusqu'au bout, devant la Cour européenne des droits de l'Homme qui se fait le chantre de la liberté d'expression et que précède habituellement la cour d'appel, sauf quand il s'agit de Jean-Marie Le Pen".

    Le fondateur du FN était poursuivi par plusieurs associations antiracistes, parties civiles, dont les avocats avaient dénoncé ses "propos nauséeux", sa volonté de "stigmatiser l'autre" ou son "humour raciste". Son dernier dérapage en date remonte à mai 2014. Le Pen avait alors exprimé que le virus Ebola pouvait régler le problème de l'immigration en trois mois.



    Les précédents dérapages de Le Pen par LeHuffPost


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