• Une page de ma vie s'est tournée
    Les souvenirs envahissent ma tête
    Aucun doute ne pourrait subsister
    Notre amour est bien funeste.

    Certes, nos vies se séparent
    Mais notre passé reste lié
    Au commun de notre histoire
    Pour donner place à l'amitié.

    Je dois bien avouer
    La grande partie de mes défauts
    Une fierté souvent reprochée
    Que je traîne tel un fardeau.

    Mes colères aussi dévastatrices
    Tant elles étaient éphémères
    Ont engendré la hantise
    De mon côté brumaire.

    Je suis mélancolique
    De tout ce temps passé
    Mais resterai pudique
    Sur mes sentiments refoulés

    Je reprends ma fierté
    Te redonne ta liberté
    Je retrouve ma combativité
    Evanouie à tes côtés.

    A notre amour disparu
    A ces heures passées ensembles
    A ces disputes discontinues
    A nos fous rires qui nous ressemblent.

    A nos ébats, notre tendresse
    A nos soucis, à nos faiblesses,
    A notre humour, notre générosité
    Tout ce qui faisait que l'on s'aimait.

    Pour toi ces quelques lignes
    Dans l'espoir d'une amitié
    Je sais que tu seras digne
    D'être l'ami qui marchera à mes côtés.


    Bailly ludivine

    23/07/03

    7 commentaires
  • Il suffirait de presque rien
    Peut-être dix années de moins
    Pour que je te dise "Je t'aime"
    Que je te prenne par la main
    Pour t'emmener à Saint-Germain
    T'offrir un autre café-crème

    Mais pourquoi faire du cinéma
    Fillette allons regarde-moi
    Et vois les rides qui nous séparent
    A quoi bon jouer la comédie
    Du vieil amant qui rajeunit
    Toi même ferais semblant d'y croire

    Vraiment de quoi aurions-nous l'air
    J'entends déjà les commentaires
    "Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire
    Elle au printemps, lui en hiver"

    Il suffirait de presque rien
    Pourtant personne tu le sais bien
    Ne repasse par sa jeunesse
    Ne sois pas stupide et comprends
    Si j'avais comme toi vingt ans
    Je te couvrirais de promesses

    Allons bon voilà ton sourire
    Qui tourne à l'eau et qui chavire
    Je ne veux pas que tu sois triste
    Imagine ta vie demain
    Tout à côté d'un clown en train
    De faire son dernier tour de piste

    Vraiment de quoi aurais-tu l'air
    J'entends déjà les commentaires
    "Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire
    Elle au printemps, lui en hiver"

    C'est un autre que moi demain
    Qui t'emmènera à St-Germain
    Prendre le premier café crème
    Il suffisait de presque rien
    Peut-être dix années de moins
    Pour que je te dise "Je t'aime"


    4 commentaires
  • Qu'est ce qu'on risque à passer pour des fous
    La musique fera toujours de nous
    Des rêveurs
    Des rêveurs

    Chacun
    Son monde à part,
    Son refuge et son échappatoire
    Pour ailleurs,
    Un monde meilleur,

    {Refrain:}
    C'était en 1980
    Une génération qui n'attendait rien
    1980, d'où je viens
    Déjà en 1980
    Sans illusion, et sans lendemain
    1980, c'est pas la fin

    Qu'importe ceux qui ont servi d'exemples,
    Se rejoignent, se suivent et se ressemblent
    Les rêveurs
    Les rêveurs

    Faut bien
    Passer le temps,
    Les couleurs qu'on porte et les courants,
    Question d'heure,
    Non, rien ne se meurt,

    {au Refrain, x2}

    C'est pas la fin

    Redevenir gris
    1980


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  • S'il y a des mots
    Qui t'ont fait pleurer, mon ange,
    Et d'autres qui t'ont révoltée,
    S'il y a des idées quelquefois qui dérangent,
    J'en ai qui font danser.

    Te souviens tu d'un slow,
    Dix ans plus tôt,
    Déjà dix ans...
    Tu voulais m'épouser.
    Quelle drôle d'idée.
    Tu n'avais pas quinze ans.

    Tu voulais faire l'amour.
    Comment fait-on l'amour ?
    J'n'étais pas un géant.
    J'étais plutôt gêné.
    Quelle drôle d'idée !
    Danser c'est suffisant.

    Je n'sais plus comment finissait la chanson.
    J'ignorais qu'elle avait un nom.
    C'était la chanson du bonheur
    D'un vieil amant compositeur.

    J'aime bien les histoires
    Qui me font boire
    Sans désespoir,
    Les mélodies carrées
    Qui font danser,
    Qui font aimer la vie.
    J'aime aussi, sur le tard,
    Un piano bar
    Qui meurt d'ennui,
    Tous les disques oubliés
    Qui font penser
    Qu'on a déjà vieilli.

    Je n'sais plus comment finissait la chanson.
    J'ignorais qu'elle avait un nom.
    C'était la chanson du bonheur
    D'un vieil amant compositeur.

    Te souviens tu d'un slow,
    Dix ans plus tôt,
    Déjà dix ans...
    Tu voulais m'épouser.
    Quelle drôle d'idée.
    Tu n'avais pas quinze ans.

    Tu voulais faire l'amour.
    Comment fait-on l'amour ?
    J'n'étais pas un géant.
    J'étais plutôt gêné.
    Quelle drôle d'idée !
    Danser c'est suffisant.

    Te souviens tu d'un slow,
    Dix ans plus tôt,
    Déjà dix ans...
    Tu voulais m'épouser.
    Quelle drôle d'idée.
    Tu n'avais pas quinze ans.

    Tu voulais faire l'amour.
    Comment fait-on l'amour ?
    J'n'étais pas un géant.
    J'étais plutôt gêné.
    Quelle drôle d'idée !
    Danser c'est suffisant...
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    9 commentaires
  • Cette chanson-là, tu ne l'entendras pas tout de suite
    Mais soit certaine qu'elle te rattrapera
    Quel que soit l'endroit de ta fuite, tu la prendras pour toi
    Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là

    Cette chanson-là remontera nos années passées
    Ce temps hélas qu'on ne retrouve pas
    Tu l'entendras en plein oubli, trois minutes dans ta vie
    Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là

    Elle te racontera ma lettre, celle que je ne t'ai pas envoyée
    Parce qu'une lettre ne dit jamais
    Ce qu'on ressent comme on voudrait
    C'est pour ça que j'ai fais
    Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là

    Cette chanson-là, elle fera naître une émotion
    Bonheur que tu n'as jamais ressenti
    Il y a une vie après ta vie, c'est tout ce qu'elle t'aura dit
    Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là

    Cette chanson-là, tu ne la comprendras pas tout de suite
    Elle aura l'air de ne pas parler de toi
    Une histoire d'amour non écrite, une fin qui n'en est pas
    Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là

    Une histoire d'amour non écrite, une fin qui n'en est pas
    Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là {2x}

    Une histoire d'amour non écrite, une fin qui ne finit pas
    Cette chanson, cette chanson, cette chanson-là


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