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Que j'aimerai peindre ces couleurs
Qui enivrent mes souvenirs,
A l'image de mon cœur
Aux idées auxquelles j'aspire.
Il me semble percevoir souvent
Les hautes herbes dans le pré
Rythmées au souffle du vent
Luisantes d'un soleil parfumé.
Courir dans les bras de celles-ci
Jusqu'au ruisseau étincelant
Dés lors sentir la fraîcheur adoucie
D'un air plus qu'envoûtant.
Je me souviens encore
De ces orchidées sauvages
Des bouquets de boutons d'or
Et des verts pâturages.
Quelle enfance fleurie ...
Comment ne pas être nostalgique
Fallait-il un mauvais nid
Pour ne pas être mélancolique... ?
22/03/06
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Et les murs gris de silence
Murmure d'une certaine indolence
Souffle d'un voile de passion
Otant ma peine à la déraison.
Laisser guider mes mots
Qu'ils transparaissent sans pudeur
Tel un baiser chaud
Celui qui adoucit les peurs.
Transportée par l'élan de mon cœur
Je me fie et me donne
A toutes les joies et les douleurs
Aux phrases que l'on pardonne.
Unique pensée qui me surprend
Sursaut de destins entremêlés
Epouse pour l'être aimant
Un souhait gardé secret.
Pensée soudaine
Non pas pour officialiser
Devenir tienne
Un rêve inavoué.
03/11/2003
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"L'enfance est une chose étrange, à la fois adorable et exténuante, un trésor et un chaos"
Christian Bobin
Et bien souvent dans tes regards, j'y voyais le sourire de cette petite fille . Tendresse
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Parcequ'il n'y a rien de plus beau...
" Maman, je t'aime gros comme le ventre de Papy"
"Maman, je me sens toute pleine d'heurosité, je crois que je suis amoureuse"
"Jonas reçoit une pièce de monnaie. Je dis à Jonas : qu'est ce qu'on dit ?
- Encore ! " ...
" Axel me voit tirer mon lait pour sa petite soeur. Comme il semble intrigué, je le laisse regarder et attends les questions. Et là il me dit :
- Tu remplis tes seins avec le biberon ? "
" Voyant sa mère allaiter son petit frère... -t'as du lait dans ta poitrine ?
-oui
- Et t'as du chocolat aussi ? "
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Amère solitude
Qui colle aux paroies de mon coeur
Sombrant dans l'incertitude
Rafraîchissant la douleur.
L'ennui trépasse,
Le son de ma voix tremble,
Les paroles s'effacent
Tout se ressemble.
Soirées monotones
Avec rien ne s'accordent
Les bruits s'emprisonnent
Et la nuit me borde.
Solitude ennemie
Parfois si docile
Emprise sur ma vie
Semble bien fragile.
Solitude au douc visage
Seule toi entends mes phrases
Avec toi, discute des naufrages,
Et partage mes extases.
Je suis seule avec ma solitude
Empreinte de mon passé
Autant de lassitude
Méritait l'encre sur le papier.
18/11/2003
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