• pensées

    De ses sourires complices,


    De ces fous rires sans retenue


    Il n'y a rien que je maudisse


    Sinon le fait que tu n'es plus !


    Je garde en moi ces souvenirs


    Aussi précieux que ta jeunesse


    Mais c'est la pierre que je vois vieillir


    Et c'est nos cœurs dans la détresse....

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Ludivine bailly


    29/01/07


  • Commentaires

    1
    Mercredi 31 Janvier 2007 à 12:51
    Chutt...
    Baisers
    2
    Lundi 1er Septembre 2008 à 16:59
    Dense
    et touchant ce poème.
    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :