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pensées
De ses sourires complices,
De ces fous rires sans retenue
Il n'y a rien que je maudisse
Sinon le fait que tu n'es plus !
Je garde en moi ces souvenirs
Aussi précieux que ta jeunesse
Mais c'est la pierre que je vois vieillir
Et c'est nos cœurs dans la détresse....
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Ludivine bailly
29/01/07
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Baisers