• Je ne vais pas bien... encore! pourquoi, alors que j'étais si heureuse? j'en ai marre d'etre triste...

    Je peux même pas me l'expliquer, alors imaginez le calvaire quand les autres me questionne sur mon état.

    C'est desesperant, je dois etre pitoyable: assise, seule, devant ce putain d'ordi, les larmes aux yeux, la clope à la main et la bouteille de rhum à proximité. je me dégoute. Dégouté d'avoir recommencé, dégouté de vouloir recommencer, dégouté d'etre malheureuse. c'est arrivé si vite. je sais même pas quel à été le déclancheur. pourtant cet apres midi, j'allais plutot bien. Ca devrait s'arreter. je ne dois PAS recommencer. Ca fait si mal. Et puis il faut le cacher. Ca marche rarement.

    je voudrais que ça cesse! Ne plus y penser, tout oublier. Apres un si long moment de répis, presque un an, c'est revenu, comme un coup de poing dans ma gueule.

    C'est impossible! pas encore! je ne veux pas!!!

    mais je n'y arrive pas.

    tu te souviens de quand j'étais heureuse??


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  • Viens de se rendre compte qu'exposr ces idées politique sur son blog c'est surrement le meilleure moyen de se faire pourrir d'insultes et moi j'suis pas vraiment du genre à me prendre la tête avec des cons, donc je laisse tomber. ET je vous emmerde tous(ça viens du coeur)


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  • A l'age de 9 ans, Jacqueline à fait une promesse à Yves-Marie: elle a jurer cracher que si un jour, il irait dans les étoiles, elle l'épouserait. 24 ans plutard, Yves-Marie est devenus Astronaute et à mis le pied sur une plante inconnue. Il se rend donc chez Jacqueline qu'il n'a pas vu depuis l'école primaire, afin qu'elle tienne sa promesse. Bien sur la jeune femme, déjà fiancée, refuse. C'est alors que Yves-marie lui propose de l'assayer pendant 24h, afin de savoir si il lui convient.

    Avec ce film, Pierre François Martin Laval (Alias PEF, oui, je parle de celui des Robins des Bois) nous prouve son talent d'acteur, réalisateur et auteur. Cette magnifique petite fable nous apprend qu'il ne faut pas, une fois adulte, oublier l'enfant qu'on a été. En effet, Yves Marie est un personnage troublant de tendresse, de candeur et de simplicité. il a ce qu'on appelle: le syndrome de Peter Pan. En d'autre mots, il n'a pas grandi dans sa tête. On rit et on s'émeut devant ce conte attendrissant. Pef est plus qu'émouvant dans le role de cet homme-petit garçon, Julie Depardieu nous dévoile son talent, Pierre Richard et Isabelle Nanty sont extremment drole. Bref, un petit film dont on ressort changer;

    Pef est parvenu à nous emmener sur sa planete.

    (Si vous regarder bien, tout au long du film vous pourrez apercevoir les compagnons de jeu de Pef à l'époque des Robins; gardez l'oeil ouvert!)


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  • Tiens, qu'est-ce que tu fais là ?
    C'est moi, c'est Nathalie
    Quoi tu me reconnais pas ?
    Mais si

    On était ensemble au lycée
    C'est vrai, j'ai changé
    J'ai des enfants, un mari
    Bah quoi, t'as l'air surpris

    J'étais pas destinée
    A une vie bien rangée
    J'étais perdue
    Mon mari m'a trouvée

    J'étais de celles
    Qui disent jamais non
    Les "Marie couche-toi là"
    Dont on oublie le nom

    J'étais pas la jolie
    Moi, j'étais sa copine
    Celle qu'on voit à peine
    Qu'on appelle machine

    J'avais deux ans de plus
    Peut-être deux ans de trop
    Et j'aimais les garçons
    Peut-être un peu trop

    Bien sûr, vous aviez eu
    Des dizaines de conquêtes
    Que personnes n'avaient vues
    Toujours pendant les fêtes

    Pour beaucoup d'entre vous
    Je suis la première fois
    De celles qui comptent
    Mais pas tant que ça

    Je n'étais pas de celles
    A qui l'on fait la cour
    Moi, j'étais de celles
    Qui sont déjà d'accord

    Vous veniez chez moi
    Mais dès le lendemain
    Vous refusiez en public
    De me tenir la main

    Quand vous m'embrassiez
    A l'
    abri des regards
    Je savais pourquoi
    Pour pas qu'on puisse nous voir

    Alors je fermais les yeux
    A m'en fendre les paupières
    Pendant que pour guetter
    Vous les gardiez ouverts

    Je me répétais :
    " faut pas que je m'attache "
    Vous vous pensiez :
    " il faut pas que ça se sache "

    Mais une fois dans mes bras
    Vos murmures essoufflés
    C'est à moi, rien qu'à moi
    Qu'ils étaient destinés

    Enlacée contre vous
    A respirer vos
    cheveux
    Je le sais, je l'affirme
    Vous m'aimiez un peu

    Certaines tombent amoureuses
    C'est pur, ça les élève
    Moi, je tombais
    amoureuse
    Comme on tombe d'une chaise

    Et gonflés de l'avoir fait
    Vous donniez conférence
    Une souris
    qu'on dissèque
    Mon corps pour la science

    Je nourrissais
    Vos blagues de caserne
    Que vous pensiez viriles
    Petits hommes des cavernes

    D'avoir pour moi
    Un seul mot de
    tendresse
    Vous apparaissait
    Comme la pire des faiblesses

    Vous les fiers à bras
    Vous parliez en experts
    Oubliant qu'dans mes bras

    Vous faisiez moins les fiers
    Et les autres
    filles
    Perfides petites saintes
    M'auraient tondue les cheveux
    A une autre époque

    Celles qui ont l'habitude
    Qu'on les cajole
    Ignorent la
    solitude
    Que rien ne console

    Vous veniez chez moi
    Mais dès le lendemain
    Vous refusiez en public
    De me tenir la main.

    BENABAR


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  • "Ne me dis pas non non tu ne peux pas me dire non c'est un tel soulagement de retrouver l'amour et de dormir dans un lit et d'etre serré et touché et embrassé et adoré et ton coeur bondira quand tu entendra ma voix verra mon sourire sentira mon souffle sur ton cou et ton coeur s'emballera quand je viendrais te voir et dès le premier jour je te mentirai et je t'utiliserai et je te baiserai et je te briserai le coeur puisque tu as brisé le mien, et tu m'aimeras chaque jour d'avantage et un jour se sera trop lourd et alors ta vie sera mienne et tu mourras dans la solitude quand j'aurai emporté tout ce qui me plaira avant de partir sans plus rien te devoir c'est toujours là c'est toujours là et tu ne peux pas nier la vie tu la sens merde à cette vie merde à cette vie merde à cette vie merde à cette vie maintenant je t'ai perdue."

    SARAH KANE


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