• J'avais crée ce que les humains appellent un vampiritch. Moitié humaine, moitié vampire. Mon enfant était entrée dans une sorte de nouvelle vie , elle portait les pouvoir des enfants de la nuit, et les faiblesses des enfants du jour. Car Caïn est aussi votre père selon la Bible, ne l'oublions pas.

    Mon enfant s'était donc évéillée à une nouvelle existence. Par mon sang, elle était capable de voir, de ressentir et de penser à un niveau bien suérieur au vôtre. Ele se rendit rapidement compte de "l'effroyable" peuple qui vit sous vos yeux.
    Loups-garous, spectres, et toutes sortes de bestioles réjouissantes, qui vous feraient réfléchir à deux fois avant d'éteindre la lumière lorsque l'astre solaire est froid.

    Elle s'occtroya en quelques semaines un boulot de "justicière". Plus par exitation que par altruisme, elle massacrait avec une joie toute vampirique les créatures surnaturelles qu'elle rencontrait. Qu'elles soient bonnes ou mauvaises d'ailleurs...
    Et lorsqu'il lui venait à gouter du sang de loup-garou ou de zombi, je ne pouvais que savourer son dilemme intérieur. Elle aimait ça !

    La sage petite fille aurait fait rougir le plus sadique detous vos psychopathes. Et à mains nues, il ne nous faut ni crochet de boucher,ni machette rouillée ... Et derrière la fausse vampire, caché et souriant, se trouvait l'un des fils de Caïn les plus dangeureux, moi.

    Au fil des mois, elle devint une chasseuse émérite, et prenait de plus en plus de plaisir à tuer. Elle atteignit un niveau de babarisme telqu'elle tuait également tous les humains qui se trouvait devant elle durant ses chasses. Ses pouvoirs commençeaient à l'enhivrer de manière exessive. Je jugeai une confrontation necessaire.


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  • Voici à quoi ressemble la dernière de mes filles. Ce n'est pas sa véritable apparence, mais celle-ci s'en approche assez.

    Il y a cinq ans elle était tout ce qu'il y a de plus humaine. Elle vivait le jour, elle respirait, elle existait sous le signe de l'ignorance, comme la simple humaine qu'elle était. Elle avait alors tout juste dix-huit ans. Elle était américaine, bien que la nationalité ne soit pas un obstacle entre les vampires, mais n'avait jamais accepté le conditionnement qui caractérise le pays de l'Oncle Sam. Elle était une sorte d'Antigone, toujours à l'écart, toujours seule.

    Gabrielle se posait les sempiternelles questions de l'adoléscence, à tel point qu'y trouver des réponses était devenu une raison de vivre. Elle fréquentait donc tous ces gens "un peu fous", qui se disent illuminés, et s'interessa de près au "surnaturel". Elle s'y interessa un peu trop même.

    Depuis le milieu du seizième siècle, je me suis donné le rôle de gardien de l'occulte, surveillant de près toutes les émanations de ce que vous appellez sorcellerie, et que je nomme thaumaturgie. En effet, les conséquence des sorts que vous effectuez sont souvent désastreuses pour ma tranquilité. Or, Gabrielle se trouva un jour en contact avec une sorte de secte, dont le leader disait avoir reçut une illumination de Lucifer lui-même.

    Cet homme avait une légère connaissance en thaumaturgie, et savait que la peur était une puissante source de pouvoir. Il s'efforçait donc de sacrifier des gens au service de son maître, afin que celui-ci puisse venir des Enfers pour règner sur le monde. Les démons ont toujours aimé les clichés, mais je trouvais cela un peu exessif de la part du petit habitant du sixième cercle qui se faisait passer pour son maître.

    Le chef de cette petite secte avait pour idée de sacrifier Gabrielle à son maître. Il sympathisa avec elle, la mena à son autel, lui administra un sédatif, et commença les préparatifs du sort. Il pouvait vraiement créer un portail entre ce monde et l'Enfer avec le pouoir que lui octroirait le sacrifice de Gabrielle. A l'époque je la considérait comme une humaine parmi tant d'autres, mais il me fallait éliminer ce ramassis d'imbéciles congénitaux.

    Leur "église" se trouvait dans un enrepot désaffecté de New-York, au sud de Manhattan. Je les y surpris alors que le couteau sacrificiel allait s'abattre sur la gorge blanche de celle qui allait être ma fille et mon amante. Ils étaient sept.

    On me conseilla de dégerpir. Je souris, dévoilant mes belles canines à ces idiots. L'un d'entre eux me chargea, couteau à la main. Il se retrouva mort, la boite crânienne défoncée quelques secondes plus tard. Les deux suivants étaient armés de jolies barres d'acier, et voulurent me briser les épaules. Ils commençèrent à avoir peur lorsque leurs jouets rebondirent sur mon bras. J'attrapais le premier, et mordit sauvagement son cou. Son sang avait l'horrible goût des amphétamines. Je lui déchirait la jugulaire, et lançait son cadavre sur son compagnon. D'un revers de la main je l'achevais.

    Les trois autres sous-fiffre voulurent fuir. Je n'était pas dans un bon jour. J'en tuait un en lui arrachant un bras et une jambe, puis je prit une chaîne et la serra autour du cou du suivant. Les médecins légistes ne surent jamais pourquoi ses vertèbres cervicales avaient été réduites en miettes. Quant au dernier, je levais la main gauche vèrs lui, échauffant ses cellules entre elles par thaumatrugie. Il prit feu. Il ne restait plus que le leader, l'illuminé.

    Il leva vers moi un index confiant en disant que la puissance du diable me terrasserait. Je lui rit au nez, et m'élançait vèrs lui. Il croyait encore que Lucifer allait le sauver lorsque mon bras lui traversa la poitrine et le dos, emportant le coeur au passage. Je retirai mon bras et jetai le coeur encore fumant au loin.

    Gabrielle, qui se débattait contre le sédatif que l'on lui avait administré, était restée couchée sur la dalle de béton durant le massacre. Ce combat m'avait donné soif, et le sang plein de drogues des sectaires ne me donnait pas envie. Par contre celui de celle que je devinai vierge et qui battait, pur et doux, de peur m'éxita.

    Je n'assi près d'elle, fit un trou à son poignet gauche et y portait mes lèvres. Je bus ce jour là le sang d'une vierge que le sédatif ne gâchait pas ,et je pris mon temps pour savourer ce garnd cru. Ce fut là mon erreur.

    Un fois que je pensais ma besogne achevée, je sortit dans l'air frais du matin, admirant un lever de soleil comme jamais un mortel ne pourra l'admirer. Toutefois, un bruit me fit retourner dans l'entrepot. Gabrielle était partie, et je réalisai ce que j'avais fait. Je ne l'avais pas entièrement vidée de son sang, tout en relâchant une infime partie de la toxine vampirique. J'avais fait d'elle un vampiritch. Moitié humaine moité vampire.

    Quel idiot !


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  • Comme tout être vivant de ce monde, je peux être détruit, mais pas par les moyens habituels des vampires.
    Caïn ne m'a pas fixé la mission de faire d'autres vampires de mon essence, et il y a une raison à cela. Dans ma progéniture se trouve ma faiblesse. Au fil des siècles, la mort de mes enfants m'a affaiblit au plus haut point, car là est ma voie vèrs la destruction. Lorsque l'on détruit un vampire de mon sang, je m'affaiblit.

    J'ai mit tellement de temps à comprendre cela, qu'aujourd'hui si l'on détruit Gabrielle, je meurs.

    Gabrielle est la dernière fille que j'ai faite. Elle à cinq ans de vie vampirique, et pour tout dire, elle est parvenu à l'immortalité suite à une erreur de ma part. Je vous conterai son histoire plus tard.

    Toujours est-il que Gabrielle est aujourd'hui ma seule faiblesse. Bien sur, l'un de mes frères pourrait me détruire par les moyens de base, c'est à dire à coup d'épée (nous ne craignons que très peu les armes à feu), mais le fait qu'il n'en reste plus qu'un, et que celui-ci soit devenu une épave me comforte quant à cette éventualité. Et pour Caïn, il ne peut plus me nuire.

    Je suis donc le seul grand vampire à errer sur ce monde dont nous sommes les seigneurs, et dont les humains sont les maîtres, et il sera très difficile de me vaincre. Car Gabrielle est bien trop puissante, bien trop belle, et bien trop vivante pour qu'elle soit détruite de sitôt.

    Donc, je suis tranquille pour encore un moment.


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  • Je ne crains ni Dieu ni le diable.

    Ne me demandez pas qui ils sont et où ils sont car je ne vous répondrait pas. Je suis juste plus puissant qu'eux ne le seront jamais, car ils ne peuvent m'atteindre.

    J'aime à sentir sur ma peau la caresse du soleil, tout comme vous, mais rien ne me fait plus vibrer que de sentir les abttements de vos coeurs. Je ne m'étendrait pas tout de suite sur nos perceptions, car c'est là un sujet complexe à expliquer à de simples humains.

    Toujours est-il que les anges et les démons, tout comme les vampires, marchent sur terre tout comme vous. Il vivent parmis vous, chaque camp essayant de détruire l'autre, comme une pitoyable guerre froide, qui dure depuis 567. Date à laquelle les forces d'Eden ont déclaré la guerre aux suivants de Lucifer. Et oui, le conflit dure depuis moins de temps que l'on pourrait le croire.

    Vous n'en avez aucun écho, car les vampires ont depuis la nuit des temps la tâche de vous gouverner, bien que vous pensiez, à juste titre d'ailleurs, être vos propres maîtres. Les plus anciens d'entre nous font en sorte de vous cacher ce comflit, mais parfois échouent. C'est pour cela que la plus grand best seller de tous les temps en parle. Cette chère saloperie de Bible...

    A propos, Adam et Eve, je pense que vous vous en doutez, c'est de la connerie. Mais Jésus, je dois dire que je suis encore impressionné par l'empreinte qu'il a laissée.


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  • Nous étions donc cinq frères. Ederas reçut le pouvoir de métamorphose, Asger la sorcellerie, Babel eut la puissance de l'esprit, et Bahamut naquit avec la puissance physique.

    Moi, Caïn fit de moi un vampire, et me dit, au crépuscule de ma première nuit :
    "Tu est un vampire Logoth, et désormais le monde est à tes pieds. J'ai eu quatres autres enfants, et je leur ait donné à tous une partie de mes pouvoirs, mais toi, ton héritage sera différent.
    Le vampirisme est une maladie, telle une peste, qui se répendra dans le coeur des humains, se nourissant de leur peur de mourir. La vie éternelle, voila ce que je t'offre Logoth, ainsi que les ensegnements que je te dispenserait. Votre tâche à tout les cinq sera d'édicter des règles pour vos enfants. J'ai donné à tes frères la seconde tâche, celle de créer ces enfants. Et toi, tu seras le gardien des lois que tu jugeras juste. Et le détenteur du secrte de la faiblesse des vampires."

    Comme tout jeune qui se respecte, je ne le crut qu'a moitié, étant trop préoccupé par les rêves de puissance qui m'assaillirent. Ce secret, je m'en suis rendu compte, c'est celui de notre destruction.

    Les vampires sont liés aux humains de manière très dure. Votre peur est notre force, et donc, par analogie, votre courage est notre faiblesse. Qu'est ce qui vous inspire depuis la nuit des temps ?


    La beauté du soleil. Les vampires brûlent donc sous sa lumière.

    Qu'est ce qui vous a permi de continuer à vivre dans un monde où chaque seconde était une souffrance ?

    La religion. Les vampires craignente donc crucifix, incantation en latin et figures du bouddha.

    On pourrait trouver une raison à toutes les prétendues faiblesses du vampire, mais je ne suis pas un psychologue du surnaturel. Le fait que je saches tous ces secrets n'a pas fait de moi l'être invulnérable que je suis.

    Oui, je suis invulnérable, car je ne crains ni le soleil, ni Dieu, ni même le diable.


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