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    Esclave du temps, ou des hommes, ou des deux.

    Plus rien ne presse.


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  • > Quand l'esprit ne résiste plus, qu'il ne fuit ni ne blâme ce qui est, mais se contente d'être conscient avec passivité, il s'aperçoit que, dans cette passivité même, vient une transformation.

    > La mort n'est pas une chose horrible, une chose à éviter, à différer, mais plutôt une compagne de chaque jour. De cette perception naît alors un sens extraordinaire de l'immensité. > Pourquoi le sexe occupe t-il tant notre esprit ? Parce qu'il est l'échappatoire suprême. C'est la voie ultime vers l'oublie de soi absolu. > Dans l'amour véritable, il n'y a pas de place pour les divisions du temps, de la pensée, et de toutes les complexités de la vie, ni pour toutes les misères, les confusions, l'incertitude, les jalousies et les angoisses humaines. > Il est bon de naître dans une religion mais pas d'y mourir. > La floraison de l'amour est méditation. > Sans méditation, on est comme aveugle dans un monde d'une grande beauté, plein de lumières et de couleurs. > Range le livre, la description, la tradition, l'autorité, et prend la route pour découvrir toi-même. > Chercher la vérité c'est passer de la vitrine d'une boutique à une autre. > Nous cherchons toujours à jeter un pont entre ce qui est et ce qui devrait être ; et par là donnons naissance à un état de contradiction et de conflit où se perdent toutes les énergies. > Quand l'esprit ne résiste plus, qu'il ne fuit ni ne blâme ce qui est, mais se contente d'être conscient avec passivité, il s'aperçoit que, dans cette passivité même, vient une transformation. > La peur bloque la compréhension intelligente de la vie.

    > L'ignorant n'est pas celui qui manque d'érudition mais celui qui ne se connaît pas lui-même. > Il existe une efficience basée sur l'amour, qui va bien plus loin et qui est beaucoup plus grande que l'efficience de l'ambition. > C'est parce que nous sommes si desséchés nous-mêmes, si vides et sans amour que nous avons permis aux gouvernements de s'emparer de l'éducation de nos enfants et de la direction de nos vies. > Ce que je vous demande, c'est d'ouvrir votre esprit, non de croire. > La vie quotidienne, si elle est sans compréhension, vous poussera à passer à côté de l'amour, de la beauté, de la mort. > L'art de voir est la seule vérité. > L'esprit mûri ignore la comparaison, la mesure. > Le premier pas est le dernier pas. > La méditation est l'art majeur de l'être humain. > L'éducation consiste à comprendre l'enfant tel qu'il est, sans lui imposer l'image de ce que nous pensons qu'il devrait être.

    > Ne laissez pas les mots penser à votre place. Ayez une parole habitée.

    > Les relations sont sûrement le miroir dans lequel on se découvre soi-même.

    > Entre deux solutions, opte toujours pour la plus généreuse.  > C'est parce que nous sommes si desséchés nous-mêmes, si vides et sans amour que nous avons permis aux gouvernements de s'emparer de l'éducation de nos enfants et de la direction de nos vies.   > Range le livre, la description, la tradition, l'autorité, et prend la route pour découvrir toi-même.   > Il est bon de naître dans une religion mais pas d'y mourir. 

    > Ne laissez pas les mots penser à votre place. Ayez une parole habitée. 



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    Des cimes aux voix anciennes,

    des ombres et monts,

    des chœurs aux bois brûlants,

    des cœurs aux saisons sèches,

    je bois,

    rêve de boire

    tant et plus que je garde le souvenir de la soif gravée dont personne ne veut et qui me revient toujours.

    La mort est une soif. Lourde.

    Au rideau de la nature tirée, aux vins des monts d'en face, la lumière se fait.

    Le soleil donne ces rives d'or pur et ces aurores trop belles pour les plumes d'un cygne -ou d'une colombe, ou même pour le plus bel Homme-

    La terre s'en va (glisse en fait) sans savoir ces pays qui y sont posés. Les peuples, les bêtes et les chiens finissent par le fond.


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    Je cherche

    ma Jeanne

    ce qu'elle me fait trembler,

     

    la fine.

     

    Cet oeil qui rit. Qui me rit. Qui rit à mon coeur et que mon coeur rit au temps dernier, les étoffes sous les rires sonores.

     

    Tu es loin.

    Je suis loin.

    Si proche.

     

    Là. Nous n'avons dit que des choses de l'oeil par l'eau claire et glacée. C'est une légende à laquelle nous avons goûtée. L'eau diamant.


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  • Cet ours blanc est en traitement pour des troubles bi-polaires.


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