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  • Hier, au son des percussions, j'ai vu comme en rêve toute une foule en transe.
    Ondulant au son des percus, tout âge, et tout style confondu, les gens dansaient sans vraiment pouvoir se retenir.

    J'ai vu une centaine de personne danser à l'unisson, j'ai entendu une
    musique qui parlaient à chacun, au plus profond de son être,un délire
    total.

    Les gens ont hurlé quand les percussionistes ont arrêté de jouer.
    J'ai vu une femme BCBG se trémousser sur une musique qui ne lui
    correspondait pas du tout, des gens déchainés monter sur des chaises.

    Vraiment, c'était hallucinant. J'étais vraiment sur le cul.

    -Avina-


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  • C'est drôle combien ça peut étriquer la tête les gens autour.Enfin c'est ce que j'en dis.
    C'est drôle. Enfin, juste des fois. Parfois ça l'est moins
    -Avina


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  • La mort ne laisse aucune trace. Doucement, tout doucement, elle s'approche, sournoise, hagarde, sans se soucier de ceux qui hurle et supplie.
    Pendant un temps, on se souvient, on pleure, on souffre, et puis un jour, on oublie. Sans le vouloir, on arrête juste d'y penser. les traces sont balayées, soigneusement entreposées ailleurs, loin des yeux, loin de la douleur qu'elle représente.
    Mon copain s'est demandé s'il garderait mes fringues en octobre dernier. Juste pour l'odeur du souvenir. Mais l'odeur s'efface, jour après jour, tranquillement. La trace, une trace, juste une. Une tombe, un vase. Un rien.
    Toute une vie disparue, les vêtements laissés au hasard, en vrac, les photos, le journal intime, la déco d'une pièce. Et puis tout ça change, la douleur se fait plus légère.
    Une vie en l'air,
    la mienne.
    Par hasard, sans vraiment qu'on sache, ni qu'on comprenne. Le monde ne s'est pas arrêté de tourner, et rien n'a changé.
    "Si tu étais morte, j'aurai tout plaqué"mon ange "Si tu étais morte, je n'aurais pas eut la force" mon père. AriEL,Z., et d'autres.
    Le bord du gouffre. A cause de moi.
    De la vie à la non vie.
    Obsession.
    Juste parfois le vertige.
    Le reste du temps je profite de la leçon.
    N'aies rien à regretter à l'heure de ta mort.
    -Avina-


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