• Le site americain Bloody-Disgusting a publié aujourd'hui une photo de Dead Snow 2 : Red VS Dead, de nouveau réalisé par Tommy Wirkola après son passage à Hollywood pour Hansel & Gretel Chasseurs de Sorcières (voir [critique]). 
    S'annonçant comme plus fun et plus bourrin que le premier, Dead Snow 2 devrait tenir la route pour une soirée bières-pizza entre potes, surtout que l'attaque des nazis zombies se fera cette fois à plus grande échelle : ils attaqueraient une ville. Le premier Dead Snow n'était peut-être pas un chef d'oeuvre, c'était quand même un très bon exemple de film fun, gore et crétin comme il fait parfois du bien de s'infliger.

     


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  • La Belle & la Bête, le prochain film de Christophe Gans (Le Pacte des Loups, Silent Hill) sort le 12 février prochain, et commence à faire parler de lui, et pas parce que Léa Seydoux s'est mise à attirer l'attention sur elle en racontant n'importe quoi, non, tout simplement parce que le film a une nouvelle affiche! Chouette. Gans étant plutôt une valeur sûre au niveau de la direction artistique, le film devrait au moins être joli. Et en attendant, la version de Jean Cocteau est ressortie dans quelques salles cette semaine.

     


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  • Titre
    : La Malédiction de Chucky (Curse of Chucky)

    Réalisateur : Don Mancini
    Année : 2013
    Avec : Brad Dourif, Fiona Dourif, Danielle Bisutti, Brennan Elliott
    Genre : Horreur, Fantastique
    Pays d'Origine : USA
    Durée : 1h35 environ

    On avait laissé la poupée Chucky il y'a presque 10ans bien mal en point dans le très moyen Le Fils de Chucky, qui continuait à suivre la voie franchement plus comique ouverte par La Fiancée de Chucky mais sans trop de réussite. Depuis, le créateur de la poupée, Don Mancini a annoncé à plusieurs reprises diverses suites et projets concernant sa créature : il a été question d'une comédie musicale, d'un remake, d'un reboot...Et c'est finalement La Malédiction de Chucky, sorte de suite/reboot/retour aux sources qui sort cet automne.

    Sans parler vraiment de reboot, La Malédiction de Chucky a en effet pour ambition de revenir aux racines horrifiques de la saga, délaissant un humour qui fait pourtant le sel des Chucky depuis le deuxième épisode (mon préféré!). Le ton y est bien plus sérieux, et on sent une réelle volonté de bien faire les choses de la part de Don Mancini après le gros n'importe quoi dans lequel était sombré sa saga dans Le Fils de Chucky : sa réalisation fait la part belle aux plans étudiés, la photo est soignée...Visuellement, La Malédiction de Chucky est un réel progrès par rapport aux précédents films. On peut saluer d'ailleurs le décor quasi unique du film, une grande maison bien glauque qui ne manque pas de cachet de nuit. La musique est elle aussi inspirée, rappelant très fortement le thème de Suspiria par moments (dans une scène d'ascenseur notamment). Oui, mais derrière cet écran de luxe assez surprenant pour un film dédié au marché de la vidéo uniquement, que vaut ce sixième film sur la poupée tueuse la plus cool de tous les temps?



    Et bien, hélas, à choisir un ton si sérieux, Mancini aurait gagné à soigner ses personnages (et ses acteurs, peu convaincants à l'exception de Fiona Dourif, fille de Brad, LA voix de Chucky) et éviter quelques lieux communs. Et surtout, à ne pas nous faire attendre si longtemps avant de lâcher Chucky dans la nature, car il en met du temps à se montrer...Mis au second plan, le pauvre a bien du mal à marquer les esprits, son rire démoniaque nous manque et ses répliques aussi (même si il a droit à quelques punchlines bien gratinées). Clairement, ça manque de fun. Pas forcément de gags ou d'humour, juste du fun de voir ce bon vieux Chucky trucider ses victimes en jurant comme pas possible. Dommage car le scenario, plutôt malin, réserve un bon petit lot de surprises, surtout dans une dernière partie qui fait dans le fan-service pur et dur, assez maladroitement mais franchement sympathique (et ce jusqu'à l'inévitable scène post-générique). Mais alors, ce Chucky 6, il se situe où par rapport aux autres? Et bien, vous verrez, mais les réponses sont clairement données, et un vrai lien est créé avec les autres épisodes, ce qui est une agréable surprise. Oh, et à propos de ce nouveau look assez étrange découvert dans le trailer, vous en faites pas, il a aussi une raison d'être...

    Ce retour en demi-teinte de Chucky laisse cependant entrevoir de belles choses pour l'avenir. Car si la poupée manque de temps à l'écran, tout le film sonne comme une introduction à de nouvelles suites que l'on espère à nouveau plus folles. Pour ses 25ans, Chucky s'offre un nouveau départ, recadrant une saga qui avait un poil trop dérivé, et tant pis si le résultat n'est pas tout à fait à la hauteur des attentes, le plaisir des retrouvailles est quand même là. Vivement la suite! 

    Note finale : 6,5/10 


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  • Voilà, ça me tenait à coeur depuis un moment mais j'inaugure une nouvelle rubrique sur le blog, dédiée aux courts-métrages. De temps en temps, je parlerai d'un court dont j'ai envie de parler. Peu importe lequel, peu importe les raisons. Je peux aussi bien vous parler de quelque chose de très connu que d'un obscur travail posté récemment sur youtube, du moment que ça colle au thème du blog. D'ailleurs, si vous êtes vous mêmes l'auteur d'un court, n'hésitez pas à en parler ici!

    Et c'est d'ailleurs avec un sombre inconnu posté récemment sur youtube que je vais commencer. Vous avez peut-être (sûrement si vous vous intéressez au cinéma d'horreur) entendu parler de l'anthologie The ABCs of Death (voir [critique]) sortie cette année aux USA. Le principe était de proposer 26 courts-métrages par 26 realisateurs, chacun illustrant une façon de mourir : une par lettre de l'alphabet. Par exemple, T is for Toilet (mon préféré!). Et bien, même si le résultat était inégal et que, globalement, je n'avais pas été fan malgré quelques très bons passages, il va y avoir un The ABCs of Death 2 avec quelques réalisateurs particulièrement intéressants (Alex de la Iglesia ou Julien Maury & Alexandre Bustillo pour ne citer qu'eux).



    Et la production organise un concours ouvert aux amateurs, comme pour le premier film, mais portant sur la lettre M. Illustrer une façon de mourir en M, et en moins de trois minutes. Et bien figurez-vous qu'il y'a un français qui participe, un obscur Pierre Montali que personne connait et qui peut aussi bien être un mec très sympa ou un sombre crétin, et qu'il propose son M is for Marionette. Pas de gore ni de trash, contrairement à pas mal des autres participants, mais une orientation plus esthétique et fantastique (cf la photo ci-dessus)...A vous de voir, mais en tout cas il a besoin de vos votes, en "likant" la vidéo à [cette adresse]. Celle-ci ou une autre, vous pouvez voir tous les travaux en compétition [par ici]. Les six vidéos les plus "aimés", ainsi que six autres choisies par un jury seront finalistes du concours et présentées aux réalisateurs du projet, afin de déterminer leur préférée. 



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  • Bad Milo de Jacob Vaughan est sorti depuis un moment en VOD aux USA...Et on attend toujours une quelconque distribution en France. En attendant, voici une nouvelle affiche qui joue moins sur l'aspect retro du film que sur l'humour scato. Dommage. Mais en même temps, avec une histoire de démon maya vivant dans le trou d'balle de sa victime, fallait s'y attendre.

    badmiloposter 


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