• Cage de chasteté gérée par fessestivites.com

    Trop top ! Le jour où j’ai découvert que pour une poignée d’euros j’allais pourvoir vivre mon fantasmes de jeu de chasteté, j’étais loin d’imaginer que j’allais rencontrer un dominante qui deviendrait ma femme et Maîtresse d’Amour.

    Pas de mauvaise question, je ne suis ni soumis ni une lope dans la vie. De par mon métier, je commande 80 personnes dans un métier rude où on ne plaisante pas. Par contre en amour, j’aime m’abandonner, me laisser dominer, commander, cela m’excite et me rend fou d’amour.

    Mon histoire

    J’ai viré ma femme qui faisait de l’œil au jardinier qui avait 25 ans de moins que nous et si les  conquêtes que j’ai eu depuis cet évènement étaient bien sympathique, beaucoup étaient « vanilles » et aucune n’avaient la fibre d’une dominante.

    Cela faisait longtemps que j’avais envie de jouer avec une cage de chasteté et qu’une maîtresse gère mon sexe. De masturbations en masturbation, j’ai fini par en acheter une. La problématique est que lorsqu’on est célibataire, cela n’est pas amusant. Rechercher une KH pour garder les clés est un véritable parcours d’un combattant. Lorsque je suis tombé sur www.fessestivites.com j’ai vu qu’ils proposaient de gérer les cages de chasteté pour 20 euros.

    Au départ, le prix m’a semblé si dérisoire que j’ai cru à une arnaque et bien non. N’étant pas à 20 euros près, j’ai donc essayé.

    En même temps que la commande de cadenas à combinaison livré SANS la combinaison, j’ai programmé la date à laquelle je recevrai la dite combinaison de mon cadenas. Par prudence, j’ai mis 15 jours de délai au cas où ils livreraient avec du retard pour que mon jeu puisse se dérouler pendant mes congés. 72 heures plus tard, le colis est arrivé en colissimo avec en prime, des fiches de conseils pour mieux dormir, lutter contre les irritations et des trucs pour faire la toilette. Attendre fut difficile……

    Le jour J

    Trois jours, je voulais essayer 3 jours. Loger ma bite dans la cage de chasteté en plastique fut très difficile car je n’arrivais pas à contrôler mon érection. La chose faite, j’ai posé le cadenas puis j’ai retiré le collant masquant les numéros. Comme indiqué, les chiffres se sont mis à tourner et m’ont piégé. Pendant un instant je me suis senti con, car hormis détruire le cadenas ou ma cage de chasteté, j’étais bel et bien piégé.

    Le soir même, après la toilette qui fut assez longue, j’ai mis la pommade recommandée et un slip avant de m’installer devant l’ordi pour surfer. J’ai commencé par me rendre sur le forum dédié aux encagés sur fessestivites.com pour indiquer que je venais de fermer le cadenas. Deux minutes plus tard, les réponses n’ont pas tardé. J’ai eu quelques félicitations et quelques de questions sur le sérieux du site. Certains m’ont demandé ce que je ferai si la combinaison ne m’était pas livrée,…..

     La question m’a paru saugrenue et histoire de délirer un peu, je leur ai répondu que je serai chaste à vie et que j’irai à la croix rouge des encagés faire du bénévolat. MDR

     Le lendemain, j’avais un email me demandant comment j’avais passé la nuit. Grisante et horrible fut ma réponse. Je n’ai jamais autant bandé de ma vie et toutes les deux heures ou presque, je me suis levé pour aller aux toilettes.

     La douche m’a fait un bien fou, j’ai pris le temps de bien laver comme indiqué, de remettre de la pommade avant d’aller à l’ordi avec une bassine de café. Irrémédiablement, je suis retourné sur le forum avant d’aller lire des histoires d’encagé. Toutes ces lectures m’excitaient mais hélas, impossible d’apaiser le feu….

     Avec mon naturel habituel, je suis retourné sur le forum pour raconter mes sensations. Louve13 me répondit en me posant quelques questions sur ce qui m’avait poussé à utiliser ce truc de cadenas vendu sans combinaison. Une discussion sympa s’installa, nous en sommes venus quelques minutes plus tard à discuter en tchat pour être entre-nous. Un moment plus tard, je lui ai proposé de discuter par téléphone en lui indiquant le mien car je ne suis pas de ce qui fantasment. Je dis, je fais point barre.

     Ce qui amusait Louve13  c’est l’idée de dominer à distance, avant peut-être un jour de le faire physiquement. Pour lui prouver que je n’étais pas un fantasmeur, je lui ai proposé de me lancer un petit défi que je pouvais réaliser à la maison et dont je lui adresserai une photo.

     Très provocatrice et surtout intéressée, elle a sauté sur l’occasion en me demandant une photo originale. (La garce) J’ai du faire une photo de mon sexe encagé trempant dans une casserole d’eau avec un papier indiquant « pour Louve13 ». Si j’ai toujours trouvé que les mecs qui exposent leur sexe sur le net étaient « bof » et vulgaires, réaliser sa demande ne m’a posé aucun souci. Comme quoi on peut changer d’avis….

     La photo faite, lorsque je l’ai envoyé sur sa boite email, je n’étais pas fier hormis le fait d’avoir eu le courage de le faire. En guise de remerciement, elle m’a adressé une photo d’elle à visage découvert. Hummmmm charmante. 45 ans, fausse blonde bien en chair mais sans excès avec une poitrine généreuse dans laquelle j’aurai bien plongé mon petit nez….

     Nous avons passé la matinée ensemble à nous raconter nos vies, l’idée de l’inviter au resto m’est venue comme ça. Elle a décliné ma proposition tout en m’indiquant « une autre fois » avant de devoir m’abandonner à mon sort pour aller travailler.

     Si la suite de la journée et la soirée se sont passés sans souci pour moi, le lendemain matin, j’étais debout à 6 heures malgré le fait que je sois en congés et avec une trique d’enfer m’arrachant presque les testicules. Je devenais fou ! Vers 9 heures, aller faire des courses à Casino calma provisoirement mes envies. Le soir même, Louve13 était sur le net, après quelques échanges sur le forum, elle me demanda si elle pouvait m’appeler.

     Ah oui, ah oui……..

     Deux heures plus tard, nous étions au resto sur le vieux port. Si sur le net elle m’avait paru charmante, en réel, cette femme adorable mais d’un très fort caractère me fit tourner la tête. Elle m’avoua que de diner avec un homme encagé l’excitait prodigieusement et moi, comme un couillon provocateur, je lui ai demandé si elle voulait la voir en vrai.  Quand elle m’a répondu « oui », j’ai cru mourir de honte ! ! !

     La problématique fut « où » ?

     C’est Louve13 qui a trouvé en m’emmenant marcher sur le vieux port, moi qui ais une sainte horreur de marché j’ai accepté. Son côté dominant opérait déjà sur moi sans même que je ne m’en rende compte. Elle m’a demandé de faire semblant de faire pipi derrière une baraque en bois pour que nous n’attirions pas les regards. En se positionnant à côté de moi, elle pourrait voir la chose. Me voilà donc en position en regardant partout avec la peur d’être vu. Elle n’a pas fait que regarder, elle a touché et moi, je me suis liquéfié. Je n’aurai jamais imaginé qu’une cage de chasteté puisse me changer à ce point ! ! !

     La soirée a pris fin vers minuit après une bise sage et des promesses de se revoir. Autant avouer les choses, si je n’avais pas été encagé j’aurai bien essayé de la séduire mais là…… j’étais « limité » dans mes capacités. 

     La nuit fut rude et peuplée de songes aussi érotiques les uns que les autres. Mon troisième matin fut pire, mes mains étaient attirées comme des aimants sur mon sexe et mes seins qu’elles tripotaient comme pour générer des sensations détournées. La combinaison est arrivée sur ma boite email comme prévu vers 20 heures. Si dans un sens je me suis senti soulagé, j’ai presque regretté qu’il n’y ait pas une paire de jours en plus.

     Je me suis évidement fait un petit self et le volume de sperme fut « généreux » mais la jouissance avait un « goût » de fade de par la solitude. Louve13 m’a recontacté le lendemain en me demandant de tout lui raconter et en ne lui cachant rien. Je lui ai donc avoué m’être branlé en lui racontant les sensations éprouvées. Elle m’avoua qu’elle s’était aussi branlée en pensant à moi le soir du resto et me remercia du plaisir que je lui avais donné par mon honnêteté et ma gentillesse.

     Je lui ai aussitôt proposé de recommencer, elle a accepté sauf qu’aujourd’hui elle est devenue ma gardienne de clé et ma Maîtresse d’amour quand je ne suis pas encagé. Je pense que nous nous mettrons ensembles un jour ou l’autre car indépendamment de nos petits jeux, nous nous sommes trouvés des affinités tant sexuelles que dans la vie.

     Elle n’a rien des Maîtresses bardées de cuir, mais une poigne certaine. J’en suis de plus en plus amoureux et il me semble que c’est réciproque.

     Paul


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    Le sujet "chasteté" sera grandement abordé et développé sur le site www.fessestivites.com  (GRATUIT) qui ouvre ses portes aux environs du 10 mai 2011.

     

    Pourquoi la chasteté ?

    Ce n'est pas sombrer dans les banalités de la psychologie que de rappeler que, dans leur grande majorité, les hommes et les femmes ont une approche sensiblement différente de la sexualité. Les femmes s'investissent dans une relation sexuelle sur un plan passionnel et émotionnel, le physique n'étant qu'une résultante. Les hommes, eux, s'investissent principalement physiquement et cérébralement, mais cette cérébralité est largement abstraite c'est à dire peu personnifiée, ce sont donc le contexte et la situation qui les motivent pendant l'acte, les sentiments étant relativement peu présents.

    Il faut savoir que les hommes fidèles sont fidèles parce qu'ils ont décidé de l'être et non parce que la relation sexuelle sans sentiment les rebute. Les femmes ont souvent du mal à comprendre cela mais c'est pourtant vrai. Preuve en est d'ailleurs que nombre d'hommes infidèles restent sincèrement très attachés à leur femme, alors qu'une femme qui trompe son mari est toujours mûre pour le divorce à brève échéance.

    Les hommes fidèles sont donc beaucoup plus facilement victimes d'une baisse d'intérêt pour les relations conjugales du fait d'une certaine routine qui s'installe dans le couple avec le temps et ce sans que leurs sentiments pour leur femme ne connaissent pour autant une quelconque baisse d'intensité. En outre, vous savez sans doute que, passé 30 ans, les besoins purement physiques de la plupart des hommes déclinent sensiblement.

    Même si la fréquence des rapports reste satisfaisante, votre mari n'a plus, ni physiquement ni cérébralement, les mêmes pulsions, la même envie de vous qu'avant. Sa motivation pour les préliminaires longs chute d'autant plus qu'il n'est plus capable de rester en érection sans pénétration pendant des heures comme il pouvait le faire à 20 ans. Vous avez toutes certainement constaté que, lors des préliminaires, son érection défaille s'il vous embrasse ou vous caresse sur tout le corps pendant une dizaine de minutes ! Consciemment ou non, il compense cette situation en voulant presque toujours raccourcir ces préliminaires pour aller au plus vite à la concrétisation.
    Trêve de considérations psychologiques, venons en au concret maintenant.

    Pourquoi la chasteté de votre mari peut elle vous apporter plus de satisfactions sur le plan sexuel ? La réponse à cette question est entièrement contenue dans une constatation que vous avez toutes pu faire un jour :
    Il vous est bien évidemment arrivé d'être séparée de lui quelques jours ou mieux quelques semaines. Les retrouvailles se font rarement directement dans le lit, le premier contact, après cette absence, s'est donc déroulé soit dans un lieu public, tel un aéroport par exemple, soit en présence des enfants ou d'amis et vraisemblablement vous avez dû patienter plusieurs heures avant de vous retrouver tous les deux seuls dans l'intimité.

    Pendant toute cette période d'attente, avez vous remarqué à quel point son comportement était plus câlin qu'à l'habitude : à tout moment il cherche votre contact, ses mains sont baladeuses, en quelques heures vous recevez plus de baisers même furtifs que vous n'en avez eu en un mois, il vous dit des mots gentils et vous fait des allusions grivoises. Bref, pendant quelques heures, vous avez le mari dont toutes les femmes rêvent. Puis vient le moment de l'intimité, vous cédez à son impatience, et ensuite ...;..il est redevenu votre mari de tous les jours !
    Cherchez l'erreur...;

    Puisque tant qu'il est excité sexuellement mais qu'il ne peut pas se satisfaire il est si tendre, si câlin, si attentionné, si caressant, etc. le seul moyen de l'empêcher de changer est donc de le maintenir dans cet état d'excitation sans lui donner la possibilité de se satisfaire. C'est aussi simple que cela. Privez donc votre mari de jouissance ( au sens d'éjaculation, pas au sens de plaisir ) et vous aurez un mari parfait 24H sur 24.

    Imaginez ce que serait votre vie si votre mari était en permanence dans cet état !!!!!

    Dans la journée, il n'oublierait plus jamais de vous appeler à votre bureau et au seul ton de sa voix vous sauriez qu'il pense fort, très fort, à vous. Après deux, voire trois orgasmes, dans la même soirée vous auriez à coté de vous, non pas une souche muette assoupie, mais un mari qui continuerait à vous embrasser et vous caresser. Avant de parvenir à l'orgasme, vous seriez léchée, caressée, embrassée pendant des heures jusqu'à n'en plus pouvoir de désir. Le soir, pendant votre trajet de retour, vous ne pourriez vous empêcher de penser au programme qui vous attend, une fois seuls tous les deux dans la chambre. Chaque fois que vous vous ennuierez, votre esprit pourrait s'évader pour repenser à combien votre jouissance de la veille avait été sublime et comment celle du soir pourrait être meilleure encore.
    Arrêtons là !

    Je suis sûre que vous êtes maintenant convaincue que cela vaut la peine d'essayer.
    Comment y parvenir ? Comment faire en sorte qu'il accepte de rentrer dans ces jeux qui, il faut bien le reconnaître, sont tout de même bien loin de ce qu'il est prêt à accepter spontanément ? Comment lui faire accepter le fait de ne pas jouir et ainsi le conduire à utiliser les seuls moyens physiques qui lui restent pour avoir malgré tout du plaisir à savoir les attouchements, les caresses, les baisers, les mots doux, etc.

    Le reste de cet article vous explique comment, par le biais des jeux de domination, parvenir à ce résultat.

    Vous allez sans doute penser que cela est impossible : « le mien n'acceptera jamais ça » direz vous. Détrompez vous, dès que vous aurez réussi le travail préparatoire nécessaire, vous vous apercevrez qu'il acceptera parfaitement cette situation et même qu'il deviendra complice de sa propre chasteté en ne cherchant pas à exploiter les situations où il aurait pu jouir ( notamment au moment des pénétrations ) en trompant votre vigilance.

    En fait, ce travail de préparation c'est à dire l'introduction progressive des jeux de domination est finalement plus difficile à réaliser que la phase de chasteté de longue durée car celle ci n'est qu'une suite logique de la précédente, elle viendra donc tout naturellement.

    Je me dois de devancer la réflexion que vous allez peut-être m'adresser : « dominer mon mari ? elle va me dire de m'habiller ce soir en cuir, de prendre une cravache et de lui dire : à genoux, esclave ». Si c'est ce que vous craignez, soyez rassurée, mon programme est tout différent. Il repose avant tout et surtout sur la progressivité. Pas question de vous transformer du jour au lendemain en caricature de dominatrice professionnelle. Ce que je vais vous expliquer et vous recommander c'est une longue évolution qui va vous conduire effectivement, mais à votre rythme, à dominer votre mari mais les modalités extérieures de cette domination c'est à vous de les inventer, de les imaginer et de les réaliser au gré de vos envies, vos goûts et vos préférences.

    Même si en lisant cet article jusqu'au bout, vous pensez que certaines pratiques ou certaines situations ne sont pas de votre goût, ne vous inquiétez pas, rien n'est indispensable, tout pourra se faire à votre façon, selon votre style, selon votre personnalité. Et puis, vous découvrirez, et vous en serez la première étonnée, que des pratiques ou des situations qui vous paraissent aujourd'hui peu attractives voire mêmes rebutantes vous feront un jour envie et que vous en éprouverez à les pratiquer un plaisir que vous ne soupçonniez même pas.
    Tout est affaire de progressivité, laissez vous guider par vos envies au fur et à mesure qu'elles naîtront, soyez seulement curieuse, imaginative et inventive, les nouveautés viendront d'elles-mêmes en leur temps.

    Chapitre 1; Comment commencer ? Introduction au Bondage
    Les jeux de « bondage » constituent à n'en pas douter la meilleure et la plus simple des préparations pour introduire la domination dans votre chambre à coucher. Pour celles qui l'ignorent « bondage » est un mot anglais signifiant littéralement esclavage mais qui, dans le cercle des adeptes de la domination signifie « ligotage ».

    Un sondage publié par le magazine « Elle » en 1998 révélait que 26% des femmes avaient, au moins une fois dans leur vie, attaché leur partenaire et 29% avaient été attachées par leur partenaire. J'ignore la fiabilité de ce sondage, mais il est certain que ces pratiques sont en évolution ne serait-ce que par ce que l'on voit dans les films ou à la télévision.

    Il est donc probable que la plupart d'entre vous a déjà au moins une petite expérience dans ce domaine que ce soit comme liante ou comme liée ou plus vraisemblablement tantôt dans un rôle tantôt dans l'autre. Dans ce cas, il vous suffit de partir des bases déjà acquises pour aller plus loin.
    Pour les autres, il s'agit d'introduire ces jeux dans vos relations amoureuses avec votre mari mais, comme en toutes choses, la progressivité est essentielle. Il convient donc de créer les circonstances nécessaires pour que cela paraisse arriver naturellement.

    Pour ce faire, vous ferez en sorte que, lors de vos ébats amoureux, un objet pouvant servir de lien soit, comme par hasard, présent sur le lit : le plus simple est bien sûr une ceinture en tissu, que ce soit celle de votre robe ou celle de votre peignoir. Les ceintures en cuir ne conviennent guère pour débuter, par contre les ceintures en chaîne ( elles sont à la mode en ce moment ) peuvent aussi faire l'affaire. En dehors des ceintures, vous pouvez aussi vous arranger pour laisser traîner sur le lit un long ruban ou une ficelle provenant d'un paquet que vous avez ouvert quelque temps auparavant. A vous d'avoir de l'imagination. Multipliez les occasions, mais variez les de façon que cela ait l'air parfaitement naturel.

    Lorsque vous l'attacherez, pensez que les hommes ont du mal à résister à leurs envies, vous devez donc l'attacher avec un maximum de réalité car si ses liens sont trop symboliques il est probable qu'après un moment de passivité qui l'amusera, il mettra fin à sa situation pour pouvoir concrétiser au plus vite son désir de jouissance. Si votre lit est à barreaux ( s'il ne l'est pas, envisagez de le changer dès que vous pourrez, cela vous simplifiera la vie ultérieurement ) attachez lui les mains séparément et suffisamment écartées pour qu'il ne puisse pas atteindre avec une main les nœuds de l'autre main. A défaut de lit à barreaux attachez lui les poignets ensemble au dessus de sa tête, le plus simple étant de le faire en utilisant successivement deux ceintures de robes ou de peignoir : même si vous êtes encore totalement inexpérimentée dans cet art du bondage, cela devrait être largement suffisant à ce stade.

    Ca y est, il est à votre disposition, alors profitez en : léchez, embrassez, caressez, titillez, mordillez, recommencez, faites vous lécher, sucer, empalez-vous, sortez, entrez, en clair ...;.faites durer. Terminez ensuite par une bonne chevauchée, mais arrangez vous pour être prête à jouir rapidement car il risque d'être beaucoup plus rapide que vous et vous seriez alors obligée soit d'attendre le deuxième service soit de lui demander d'activer sa langue !

    Lors des premières fois, détachez le dès qu'il a joui : toutes les prostituées pourraient vous le dire, en état d'excitation l'homme est un être faible et facilement manipulable ( notamment pour lui soutirer des rallonges sur le tarif convenu ! ), par contre une fois son affaire faite, il retrouve aussitôt ses esprits, sa contenance et son statut de macho. En redescendant sur terre, sa position de victime pourrait le gêner voire le choquer et il se refuserait à recommencer. D'une manière générale et c'est une constante tout au long de ce chapitre et du suivant, ne réalisez vos sessions avec lui que dans le cadre d'un orgasme unique. Même si votre mari est parfaitement capable de rapports multiples, vous devez achever vos séances dès sa première jouissance et tout arrêter ensuite : plus de dominant, plus de dominé, vos rapports redeviennent « normaux ». Ceci est important non seulement pour la raison que je viens d'évoquer, mais beaucoup plus encore en vue de l'entraînement au programme de chasteté qui est le but final. Nous y reviendrons. Mais si vous avez déjà pratiqué ou pratiquez depuis quelques années, s'il éjacule il vous suffit de le punir. Pour bien faire vous le prévenez à l'avance : vous ne supporterez pas une goutte de sperme et si par malheur il ne se retient pas, il sera contraint de tout avaler et nettoyer. Sa position ne lui permettant pas de vous résister vous n'allez certainement pas vous gêner et vous pourrez le chevaucher sans vous retenir...;

    Parlez lui ensuite sur un ton gourmand de ce qui s'est passé : évoquez le plaisir que vous avez pris, et surtout complimentez le sur son érection qui était plus belle et plus longue que jamais (vous le savez, l'homme ne résiste jamais à de telles flatteries). Et bien sûr dites lui que vous avez très envie de refaire cela un jour.
    Laissez passer un peu de temps, et recommencez. Toutes ces séances initiales doivent bien sûr se passer dans la bonne humeur et la gourmandise, ne lui montrez pas que vous prenez cela au sérieux, mais soyez plutôt enjouée et faites lui constater que la simple évocation de ces jeux vous excite vraiment.
    Voilà, vous avez réussi à introduire le bondage dans votre relation amoureuse. Il s'agit maintenant d'aller plus loin et de commencer à introduire les jeux de domination qui sont préparatoires à ceux de chasteté. A ce stade le mot chasteté est beaucoup trop fort, parlons plutôt de jouissance différée.
    C'est la deuxième phase du programme.

    Chapitre 2 : La domination : Introduction à la jouissance différée

    Maintenant que la pratique du bondage à commencé à faire partie de vos jeux amoureux, sophistiquez peu à peu votre technique : ne vous contentez plus de lui attacher seulement les mains de façon plus ou moins efficace, mais commencez à réaliser des immobilisations plus complètes en lui attachant aussi les pieds. Si vous voulez un prétexte pour cela, il vous suffit de le titiller, de le mordiller un peu plus que de raison au niveau des jambes, il se mettra à se tortiller comme un ver ce qui vous gênera pour poursuivre votre travail ( attention aux coups de genoux, c'est douloureux ! ) : vous aurez là un parfait prétexte pour lui attacher aussi les chevilles.

    Commencez aussi à varier ses positions : au lieu de l'attacher seulement en position fixe sur le lit, attachez lui les mains dans le dos, il sera alors plus mobile et vous pourrez par exemple lui demander de vous embrasser sur tout le corps ou bien le faire mettre à genoux pour une petite « gourmandise » tandis que vous êtes debout contre un mur ou assise dans un fauteuil. Osez demander ce dont vous avez envie, osez le guider en lui indiquant ce que vous voulez qu'il vous fasse, petit à petit ces indications doivent prendre la forme d'ordre, tout cela bien sûr sur le ton de la plaisanterie :« Tu es mon prisonnier, tu dois m'obéir ! ». Petit à petit et insensiblement, vous passerez de situations de simple plaisir sexuel ( « embrasse moi partout » à des situations et positions de domination voire d'humiliation « embrasse moi les pieds »).

    Arrangez vous pour ne pratiquer ces séances que lorsque vous disposez de temps, de beaucoup de temps et faites durer. (Le temps joue pour ses fantasmes et donc pour vous)

    Il faut songer aussi à commencer à vous équiper : les ceintures de peignoirs devenant maintenant insuffisantes, passez aux cordes, et si vous sentez que les choses sont assez mures entre vous, achetez aussi des menottes, on en trouve partout ( évitez les sex-shops car elles y sont hors de prix ). Commencez à utiliser des bâillons ( au motif qu'il parle trop, bien sûr ), à ce stade un bâillon symbolique suffit, utilisez donc un foulard mais non pas sur la bouche, mais dans la bouche, ce n'est pas très efficace pour le rendre silencieux mais au moins ses lèvres seront accessibles quand vous aurez envie de l'embrasser et de plus il en retirera beaucoup plus de sensations.

    Progressivement étoffez votre équipement de bondage. Comme je vous l'indique au chapitre spécialement dédié au bondage, une grande partie de votre équipement viendra des magasins de bricolage. Intéressez vous aux cordes, aux chaînes, aux cadenas, aux crochets, aux poulies, etc.. Se promener dans les rayons d'un « Brico-quelque chose » en ayant quelques idées nouvelles nées de la vue d'un objet qui jusque là ne vous avait jamais rien inspiré, je vous assure que c'est un plaisir dont on ne se lasse pas. Vous ne regarderez plus les magasins de bricolage comme avant, croyez moi ! Et si vous avez la chance d'avoir un mari bricoleur, vous serez ébahie par les ressources que peut avoir un homme pour fabriquer les instruments de sa propre torture !

    Cette progression dans sa domination doit vous conduire maintenant à introduire les punitions. Au début appelez plutôt cela des gages et créez un climat de jeu et de bonne humeur pendant leur exécution.

    Quand vous sentirez les choses suffisamment mures, commencez à utiliser le terme de punitions, puis introduisez la première fessée qui sera certes plus symbolique que réelle mais sachez le, le symbole est fort ( si vous en avez déjà reçue une vous le savez, et dites vous que pour un homme c'est encore plus fort ). Soyez attentive à n'introduire ces premières punitions que dans des moments d'intense excitation, je l'ai déjà dit, c'est essentiel.
    Il est temps de commencer à parler de chasteté ou plutôt à ce stade de jouissance différée.

    En fait si vous avez suivi mes conseils jusque là, cette introduction s'est déjà faite toute seule: je vous ai recommandé de faire durer vos sessions le plus longtemps possible, de le maintenir en état d'excitation quasi-permanente, et de toujours retarder sa jouissance à la fin de la session. Il a donc passé son temps à vous désirer, vous l'avez excité comme jamais mais, étant attaché, il a été contraint d'attendre votre bon vouloir pour obtenir son but suprême, l'orgasme. Il s'agit donc bien là d'une première forme de chasteté temporaire.
    Petite parenthèse pour éviter tout malentendu : s'il est condamné à un orgasme unique et longtemps différé, par contre vous, vous ne l'êtes pas ! Prenez votre pied autant de fois que vous le voulez !

    Mais attention, sauf à parfaitement connaître les réactions de votre mari dans ces moments ( avec le temps on y arrive plus ou moins ), n'oubliez pas que le fait d'être attaché ne l'empêche pas de jouir : s'il est assez facile de le contrôler quand vous le sucez ou le masturbez, par contre il peut jouir sans prévenir en cas de pénétration. Privilégiez donc vos propres orgasmes buccaux ou manuels, ne pratiquez la pénétration que pour des durées très courtes et soyez vive à vous retirer au premier signe avant coureur de sa jouissance, tant pis si vous restez en rade ! Au passage je vous signale aussi qu'il n'y a rien de plus excitant que de se masturber en regardant votre mari ligoté qui bande comme un fou. Aucun homme n'est insensible à une femme qui se caresse et si vous n'avez jamais osé lui offrir ce spectacle, c'est l'occasion rêvée pour trouver le courage de le faire. Vous vous dites peut-être que vous n'oserez jamais faire cela, détrompez vous, vous n'imaginez pas à quel point peuvent reculer les limites de la pudeur et la timidité dans ces moments, je vous garantis que vous n'aurez pas à vous forcer, cela vous viendra tout naturellement. Après tout, il n'est pas le seul à être excité !

    A ce stade du processus d'éducation, il n'est peut-être pas inutile de faire un petit bilan intermédiaire. Repensez aux questions que je posais en Introduction ( « Depuis quand cela ne vous ? »). Je suis convaincue que vos réponses seront une puissante motivation à continuer le processus.

    Pour en revenir à notre sujet, vous avez donc commencé sans même vous en rendre compte ( lui par contre s'en est rendu compte ! ) à l'initier à l'orgasme différé. Il suffit maintenant d'officialiser progressivement la chose : avant de le faire jouir en fin de séance, demandez lui s'il pense vraiment avoir mérité de jouir, s'il a été bien obéissant, s'il vous a fait suffisamment bien jouir pour que vous vous occupiez de lui, etc.. Puis, lors d'occasions suivantes, menacez-le de le laisser dans cet état parce que vous n'êtes pas sûre qu'il ait été suffisamment méritant. Les premières fois, ne mettez pas votre menace à exécution, soyez patiente car vous atteignez là un virage crucial de son éducation, et il convient de ne pas le manquer..

    Avant d'en arriver à la première fois où il sera privé de son orgasme, faisons un petit retour en arrière car je m'aperçois que je n'ai pas évoqué les circonstances dans lesquelles il obtenait jusqu'à présent cette jouissance tant attendue. Doit-il être attaché ou non ? A-t-il droit à une pénétration ou seulement à une faveur buccale ou manuelle ? Doit-t-il se faire jouir tout seul devant vous ? Au deux premières questions, je répondrais sans hésitation, variez les plaisirs : tantôt attaché, tantôt libéré, tantôt vous venez sur lui, tantôt c'est l'inverse, tantôt avec vos mains, tantôt avec votre bouche. A vous de choisir selon votre humeur, je dis bien à vous de choisir, pas à lui ! Pour ce qui est de la troisième question, je suis beaucoup plus réservée : si vous appréciez vraiment cela tous les deux, alors vous pouvez l'inclure dans la panoplie mais personnellement je pense que cela est plutôt contre-productif. Tout d'abord parce qu'à de rares exceptions près, les hommes n'aiment pas du tout se masturber devant leur partenaire, et beaucoup plus encore parce que cela vous exclut totalement du but qu'il attend. C'est par vous que sa jouissance a été longtemps différée, c'est donc par vous qu'elle doit venir. La dépendance à votre égard n'en sera que plus totale et plus affirmée.

    Donc, après plusieurs menaces non concrétisées, vous choisissez une soirée où la séance s'est particulièrement bien déroulée, vous l'informez qu'il va rester en l'état toute la nuit. Ne vous attendez pas à le voir accepter son infortune de gaîté de cœur. Il va s'insurger, contester et dès qu'il sera détaché, vouloir vous pénétrer en faisant plus ou moins usage de la force. Plutôt que l'autorité, je vous conseille la persuasion, la gentillesse et la douceur, dites lui que ça vous ferait tellement plaisir, que vous en avez envie, qu'il peut faire ça pour vous, promettez lui que le lendemain matin vous lui accorderez ce qu'il aime le plus, que vous le ferez jouir comme jamais, que ...;, que...; Bref ; soyez convaincante mais restez ferme sur votre décision. Et surtout, le lendemain matin, ne tenez pas votre promesse ! Pour cela faites lui mettre sa cage toute la nuit au moins.
    Puis le matin félicitez le, remerciez le, montrez lui votre reconnaissance, dites lui combien vous êtes consciente de ce qu'il a fait pour vous, etc...; Dites lui enfin bien sûr combien vous avez très envie de recommencer prochainement.
    Et voilà, bravo, vous avez réussi.

    Avant d'aller plus loin, prenez votre temps, recommencez plusieurs fois en restant dans le même schéma : jouissance reportée avec fausse promesse et cage de chasteté jusqu'au lendemain matin. Une fois ce palier respecté pendant quelque temps, il conviendra alors de passer à la troisième et dernière phase : la chasteté de plus longue durée.

    Chapitre 3 : La chasteté de longue durée : la ceinture de chasteté
    Avant d'entrer dans le cœur de cette phase finale, je me dois de répondre à une question qui vous est peut-être venue à l'esprit : pourquoi ne pas le laisser attaché toute la nuit pour être sûre de son abstinence ? Si cela vous amuse, vous pouvez l'attacher pour la nuit. Mais sachez qu'il n'est pas possible de le faire dans n'importe quelle position : le faire dormir les mains attachées dans le dos est tout simplement irréalisable, d'abord parce qu'il ne fermera pas l'œil de la nuit ensuite parce qu'il nous pourra pas supporter toute une nuit les douleurs qui ne manqueront pas de venir au niveau des épaules. Si vous voulez l'attacher de façon quelque peu confortable, vous avez le choix entre trois techniques possibles.

    La première est celle de la camisole de force. Pas besoin d'en acheter une vraie ( si cet instrument vous excite, vous pourrez en acheter une à un stade plus avancé de votre relation, on en trouve sans problème sur Internet ), fabriquez en une vous-même : achetez un tee-shirt manche longue un peu trop grand pour lui, cousez très solidement par leur milieu 2 rubans aux extrémités de chaque manche ainsi que 2 autres au bas du tee-shirt ( un sur le devant et un sur le dos), il vous suffira d'enfermer chacune de ses mains dans une manche en nouant un ruban, puis, après lui avoir fait croiser les bras au niveau de la taille, de relier dans le dos les 2 manches entre elles avec les autres rubans ; terminez ensuite en nouant entre ses jambes les rubans avant et arrière cousus au bas du tee-shirt de façon à éviter que celui-ci ne remonte pendant la nuit. Une autre technique consiste à relier ses mains à un collier fixé à son cou, vous pouvez réaliser cela en utilisant un collier de chien pour le cou et des bracelets de cuir pour les poignets ou à défaut ( mais ce sera moins confortable ) des cordes.

    Enfin, la dernière méthode consiste à enfermer ses mains dans des sortes de moufles que vous pouvez fabriquer ( à défaut utilisez des gants de toilettes ), puis vous attacherez une corde autour de sa taille en la faisant aussi passer 2 fois entre ses jambes pour éviter que la corde ne puisse tourner autour de sa taille, et pour finir, avec du ruban adhésif vous fixerez tout à la fois chaque moufle à son poignet et à la corde de chaque coté de sa taille.

    Tout naturellement ( si l'on peut dire ) vous trouverez des raisons de ne pas le soulager au petit matin et de reporter cela au soir. Le soir venu avant de passer à la récompense tant attendue, faites le attendre, imposez lui des épreuves, attachez le, punissez le au moindre prétexte, et surtout imposez lui de vous satisfaire la première ( pourquoi pas 2 fois voire plus ?). En un mot, progressez dans votre domination, soyez de plus en plus exigeante, plus dure, plus sévère, je dirais même plus injuste : commencez à l'habituer à ne pas toujours respecter vos promesses ( attention, je parle exclusivement dans ces moments d'intimité particulière, pas dans la vie courante !), à le punir sans raison, parce que tel est votre bon plaisir. En un mot, soyez la plus parfaite des garces.
    Il est parfaitement naturel, s'il n'a pas joui depuis 24 ou 48H alors que vous l'avez excité comme jamais que vous soyez inquiète sur son comportement tout au long de la journée qu'il passe loin de vous : taquinez le sur les fantasmes qu'il a dû avoir au contact des femmes, faites lui part de vos inquiétudes et dites lui donc ...;.qu'il va falloir que vous lui fassiez porter une ceinture de chasteté.

    Poursuivez dans cette idée, reparlez en à chaque fois. Et puis un jour passez à la réalisation.

    Voilà vous avez achevé votre long voyage initiatique. Il vous reste maintenant à profiter de tout le travail accompli. Le principal instrument dont vous avez besoin maintenant c'est votre imagination. Pour vous aider à la fertiliser, lisez sur www.fessestivites.com les articles sur la chasteté.




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  • Esclave de Maîtresse Sabrina


    J'écris ceci sur ordre de ma Maîtresse Sabrina. Elle m'a ordonné de vous expliquer comment elle me trait et me dresse.


    Qu'est ce que la traite, allez-vous demander? Certains pensent que c'est le fait de vider à fond l'esclave en le branlant jusqu'à ce qu'il ne puisse plus ni cracher ni même bander. D'autres pensent que c'est le fait de l'exciter jusqu'à ce qu'il soit sur le point de cracher sans pouvoir l'y autoriser. Quoique ces formes de traites puissent avoir la faveur de certaines Maîtresses et quelques fois des esclaves eux-mêmes, la vraie raison de la traite est d'être une forme de punition envers le mâle et le parfait contrôle de la Maîtresse sur sa sexualité. Une vraie traite doit lui refuser le plaisir suprême de pouvoir jouer avec son sexe pour jouir. La vraie traite, c'est la stimulation de la prostate jusqu'à l'écoulement du sperme. J'utilise le mot écoulement plutôt que décharge, car ce n'est pas à une éjaculation normale, mais plutôt le ‘drainage' du sperme.

    La prostate est une petite glande chez les hommes, située autour de la vessie et de l'urètre. Ses fonctions premières concernent le flux séminal. Elle peut être plus importante pour les hommes au-delà de la quarantaine. Il est aussi normal pour les hommes de plus de quarante ans d'effectuer un examen de la prostate, à cette occasion, le praticien met ses doigts dans le rectum pour palper la glande. La traite du male consistera à continuer de masser continuellement cette zone. Au bout d'un moment, cela fera couler le sperme. On peut effectuer le massage avec les doigts ou avec une gode. Les doigts permettent une meilleure sensation, mais l'emploi du gode est aussi très bien et en plus il humilie l'esclave en le transformant en tapette. Avec l'usage, je recommande l'emploi de gode d'environ dix huit centimètres de long. Comme expliqué plus haut, à l'inverse de la masturbation, qui procure des sensations très érotiques, (éjaculation), le massage de la prostate pour la traite n'est pas aussi excitant et agréable. La traite de l'esclave est un procédé long qui consiste à drainer la semence de l'esclave à travers le pénis. Certes ce n'est pas désagréable, mais cela n'est pas comparable à une bonne masturbation. Ce n'est qu'un écoulement. Pour aider lors de la traite, la Maîtresse peut saisir la base du pénis de l'esclave et l'agiter un peu.
    Maîtresse apprécie cela, car il n'y a pas de manipulation complète du sexe. Lorsqu'elle utilise un gode, il appartient à l'esclave de faire en sorte que le gode travaille la prostate. Ainsi la Maîtresse ne sodomise pas seulement l'esclave, elle oblige aussi ce dernier à se sodomiser lui-même. L'autre intérêt de la traite, est, que ce long procédé de l'écoulement du sperme, laisse l'esclave à moitié satisfait et donc sexuellement frustré. L'esclave est constamment sur le point de cracher, ce qui l'oblige à se travailler lui-même pour espérer cracher un peu plus.

    C'est parfait pour la Maîtresse, car comme chacun sait, juste après avoir craché leur foutre, les esclaves sont moins soumis à leur Maîtresse. Et s'il il y a moins de soumission, la Maîtresse perd un peu de son contrôle sur l'esclave. Ce qui n'est pas le cas avec cette pratique, car ainsi l'esclave n'est jamais satisfait sexuellement et donc reste frustré, soumis, obéissant et attentif. Il va supplier sa Maîtresse de le sodomiser de façon à ce qu'il puisse jouir un peu plus. Il reste sans plaisir. Maîtresse dit que ce que je ressent ainsi peut être assimiler à une stimulation clitoridienne par massage manuel ou par une langue agile, ou une belle queue. Si la stimulation est faite longtemps et correctement, la femme va jouir très fort, comme pour une éjaculation masculine. Les esclaves qui ont le privilège de lécher le sexe des Maîtresses, savent combien elles peuvent avoir un plaisir très fort. La traite elle, oblige les esclaves à vouloir se donner encore plus pour avoir un semblant de jouissance. La vérité est cruelle : cela ne sera jamais le cas. Bien au contraire : il aura juste un écoulement lent. Il devra alors se sodomiser encore plus fort. Ainsi donc, en utilisant l'excitation, l'interdiction de la masturbation et la pratique de la traite, la Maîtresse va conditionner l'esclave pour qu'il jouisse sans se branler. Elle arrive à le convaincre d'aimer être enculé et de reconnaître que son sexe ne lui sert à rien d'autre si ce n'est pisser et suinter du foutre. C'est cette sorte d'esclave que je suis devenu auprès de Maîtresse Sabrina, ou plus exactement comme elle préfère dire, son esclave à traire. Je ne peux plus me passer de cette façon de jouir par la traite, et maîtresse le sait. Laissez-moi vous expliquer comment j'en suis arrivé là.
    En tant qu'esclave, j'ai été dressé depuis des années à être dominé, humilié, transformé en tapette par ma Maîtresse. J'ai appris à jouir du cul grâce à des sodomisations forcées. J'adore quand ma Maîtresse me défonce, car souvent elle me branle en même temps. Pour elle, je dois cependant jouir sans aucun plaisir pour mon sexe, juste en me faisant travailler la rondelle. J'apprécie maintenant cette forme de plaisir. Je lui dis d'ailleurs que j'aime être enfilé et que dès fois mon sperme suinte un peu, ce qui est la meilleure forme de punition pour moi dans mon éducation de tapette docile. J'ai d'ailleurs commencé par me masser moi-même la prostate pour arriver à me faire jouir. Quand j'ai montré mes progrès à ma Maîtresse, elle m'a donné le choix entre jouir uniquement de cette façon ou alors ne plus lui appartenir. C'est comme ça que je suis devenu son esclave à traire. Elle a établit des règles que je dois suivre à la lettre.


    Règle n°1: Le corps de Maîtresse Sabrina doit être vénéré, honoré et soigné. Mon sexe est pour elle d'aucune utilité. Seules, mes mains et ma bouche peuvent lui donner du plaisir. Aussi, dois-je avoir les mains douces, les ongles coupés courts. Je dois exercer ma langue le plus possible. Maîtresse veut que ma langue soit résistante pendant qu'elle est assise sur moi pour que je lui suce l'anus.
    Règle n° 2: Je n'ai pas le droit de toucher mon sexe. Pour m'aider dans cette démarche, elle me fait porter une cage de chasteté dont elle a exclusivement la clé. Elle ne m'enlève la cage que pour me punir, m'exciter ou me travailler durement et pour voir mon sperme couler quand elle me trait. Dès que je suis libre, je bande. Elle aime mettre un gode à coté pour comparer les tailles et dire que je suis ridicule. Dès fois, elle le touche en se caressant la chatte d'abord et mettant ensuite ses doigts humides sur ma queue et déclare « que c'est la seule chose que j'aurai de son sexe merveilleux". Quand elle dit ça mon sexe est tendu à mort. Mais elle me le remet bien vite dans la cage.
    Dès fois l'envie est si grande de me toucher moi-même que je rêve de me branler et je supplie Maîtresse de me laisser avoir ce plaisir pendant quelques instants. De temps en temps, elle passe sa main autour de ma queue et le branle une ou deux fois tout en disant qu'elle est minable et combien cette idée de m'en servir est ridicule. Elle me dit que si j'ai vraiment une grosse envie de branler une queue, elle peut me résoudre ce problème. Elle fera venir un autre esclave. Elle lui annonce que s'il la satisfait pleinement, il aura le droit de cracher normalement, non pas de sa main, mais de la mienne. Maîtresse me fait me lubrifier mes mains avec de l'huile pour bébés, et fait installer l'autre esclave confortablement sur le dos. Je dois alors branler le sexe de l'esclave de façon douce et continue. Maîtresse demande alors à l'esclave de lui dire le bien que cela lui fait de se faire branler par moi. Maîtresse m'ordonne alors de lui dire combien j'aime caresser un sexe et je dois remercier du plaisir qu'elle me permet comme ça. Et quand l'autre esclave aura joui, je devrais lécher sa semence, comme indiqué à la règle n° 4.
    Règle n°3: Je dois garder mon anus propre et mon sexe parfaitement rasé. Je me fais donc des lavements de façon régulière. Je dois aussi garder dans mon cul le plug quand je suis à la maison ou en présence de ma Maîtresse, même en public. Je dois porter des dessous féminins et pas de caleçons. Je dois mettre des serviettes périodiques pour essuyer les gouttes d'humidité de mon sexe, notamment quand je suis excité.

    Règle n°4: Je dois apprendre à aimer être enfilé (trait) avec un gode et je dois apprendre à jouir de cette façon. Maîtresse estime que l'orgasme male est inutile et que c'est une activité idiote. D'autant que la véritable nature soumise du male étant clairement établie quand il est en état de frustration sexuelle, il vaut mieux le maintenir dans cette situation de manière continuelle. Et comme je l'ai dit plus haut, c'est par la traite que l'on peut réaliser cela. Ce qui vaut pour mon cas. Cela prend du temps, mais dès que le massage commence, mon pénis se met à suinter et couler un peu. Comme je l'ai dit, quand la traite est faite au moyen d'un gode, pour avoir une meilleur stimulation de la prostate, c'est l'esclave qui doit faire le travail sur sa prostate. Ce qui fait que quand ma Maîtresse me lime, je dois tortiller des hanches et bouger mon cul comme une bonne tapette de façon à avoir le gode bien positionné sur ma prostate. Celle-ci est devenu pour moi comme un clitoris et les godes de ma Maîtresse, ses meilleurs amis. Ma queue a de moins en moins d'intérêt pour moi. Elle devient même une nuisance : bien sur j'ai des désirs et des envies, que j'aimerais réaliser en éjaculant normalement, mais suite aux punitions, à l'interdiction de se masturber et aux règles strictes imposées, le dressage de ma Maîtresse et son conditionnement pour associer éjaculation et douleur ont porté leurs fruits. D'un autre coté, la traite est suivie d'une récompense et de plaisir. J'ai donc petit à petit accepté cette idée de traite en remplacement de l'éjaculation. D'une certaine façon, ma Maîtresse m'a émasculé. Je ne suis plus un male, ni une femme totalement. Je ne suis qu'une tapette bonne à traire. Il m'arrive encore de me dire que ce serait bien de pouvoir me branler. Je supplie Maîtresse de me le permettre. A la longue, cela l'agace et elle me punit. La punition comprend une fouettée sévère du sexe, fessées et pas de traite pendant un long moment. Elle me provoque aussi souvent que possible. Elle me fait mettre à genoux devant elle, pour lui masser les pieds. Pendant que je fais cette tache, elle écarte lentement les cuisses. Je dois alors lui ôter sa culotte avec mes dents. Elle me montre après son sexe merveilleux. Tout doucement, elle met un doigt dessus et commence à se caresser. Elle me dit combien elle aimerait à cet instant avoir un très gros sexe viril sous la main. Elle regarde alors ma petite queue et rigole et m'ordonne de lui apporter un vibro. Je continue à lui masser les pieds pendant qu'elle se fait jouir.


    J'ai appris ainsi à me taire à propos de mes envies de cracher. Maîtresse Sabrina ne s'intéresse pas à mes suppliques. Quand elle m'enfile (me trait) et que je dois cracher, Elle me dit que je suis un bon esclave Elle me caresse les fesses et mes testicules et se fait lécher les pieds et l'anus. Si j'ai réussi à bien me vider, elle recueille le foutre sur ses pieds merveilleux et me les fait lécher après. Je suis devenu sa tapette. Rien que le fait pour elle de parler de me baiser me fait bander, de même que quand je la vois avec son gode ceinture en position. Quand elle me défonce, je veux lui faire plaisir, et avoir son contentement. J'aime toutes les positions où elle me sodomise. Certaines sont plus stimulantes que d'autres. J'aime être à quatre pattes pendant qu'elle me défonce bien à fond et je peux alors sentir ces merveilleuses cuisses contre mes fesses. Maîtresse aime bien aussi cette position, car elle peut voir mon foutre couler de mon sexe inutile : elle me demande ce que cela fait d'avoir un chatte anale que l'on lime jusqu'à ce qu'elle soit humide et juteuse, comme une chatte doit l'être.


    J'aime aussi quand elle me met sur le dos, avec mes jambes écartées et attachées au lit, en l'air, ce qui lui offre mon anus et mon sexe pour des jeux cruels. Cette position humiliante permet aussi une bonne stimulation de la prostate. J'aime quand Maîtresse est allongée sur le dos pendant que je m'abaisse sur le gode pour me défoncer totalement pour pouvoir cracher. Dans cette position Maîtresse peut me voir m'enfoncer le gode bien à fond en essayant de me faire jouir. Quelque soit la façon dont elle m'enfile, j'adore quand le gland du gode me pénètre et qu'elle me lime à grands coups profonds. Lorsque j'en arrive au point de cracher, j'arrive à faire couler un peu de sperme comme si je pissais. Cela m'oblige à resserrer mon anus autours du gode, et donc permet à ma Maîtresse de me pénétrer encore plus en force. Je la supplie de ralentir un peu la défonce et de rester au niveau de ma prostate. Et c'est moi qui en poussant mon cul, fait pression sur ma prostate et me fait jouir encore un peu. Après ça, Maîtresse reprend son enculage. Mon sexe devient alors tout mou. Maîtresse dit que cela ne devrait pas arriver, car elle aime me voir en train de bander et ne pas pouvoir me satisfaire, ce qui est plus humiliant pour moi et plus amusant pour elle. Mais elle sait que son dressage fonctionne, car avec ce genre de traite, mon sexe est devenu inutile, et mes désirs sexuels sont uniquement concentrés sur sa façon de me traire.
    Règle n° 5: Je dois apprendre à aimer avaler du foutre Car en plus d'être un esclave à traire par ma Maîtresse, je suis aussi une tapette. Aussi, quand Maîtresse me trait, elle collecte mon foutre dans une coupe. Je dois le déguster pendant qu'elle regarde. Elle aime aussi en mettre sur son gode ceinture et me le faire lécher après. Cela m'apprend à sucer une queue en prévision de la règle suivante n°6. Elle m'a aussi fait part de son désir de me faire assister quand son amant viendra la prendre. Avec mon plug anal en place, j'aurais l'autorisation de la voir se faire enfiler et jouir sur sa queue. Quand elle aura eu tout son plaisir, j'aurai le droit de nettoyer sa chatte correctement de leurs jus mêlés.
    Règle n° 6: Je dois apprendre à aimer sucer des queues, comme une bonne tapette, aimer ça et jouir en même temps. Quand je suce, Maîtresse apprécie que je sois à genoux devant elle, avec mon plug dans le cul. En m'agenouillant, je baisse mon cul jusqu'au sol et je m'enfile bien le gode. Puis, Maîtresse se place devant moi avec son gode ceinture. Tandis que je suce, elle aime me questionner et je dois m'efforcer de répondre la bouche pleine. Je dois arriver à la faire jouir ainsi et elle m'enfonce le gode profondément pour se masser le clitoris. Quand je serais performant, elle me fera sucer de vraies bites.
    A la fin, Maîtresse m'a promis, si je continue à lui faire plaisir, qu'elle m'autorisera à participer à ces après midi où elle invite ses amies à prendre le thé. Elle dit que je ferais une bonne bonniche et que je ferais le service. Bien sur, j'aurais mes sous vêtements roses, mon porte-jarretelles et mon plug anal bien en place. Pour son plaisir, Maîtresse fera une démonstration de traite de l'esclave pendant que ce dernier suce une vraie queue male en se faisant défoncer par une gode ceinture. Ses amies pourront à leur tour me défoncer et me traire pendant que je suce leurs godes ceintures
    Voila comment je suis devenu l'esclave tapette à traire de Maîtresse Sabrina. Ci-dessous une image décrivant la prostate.
    Humblement;


    Esclave de Maîtresse Sabrina


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  • Le numbing rime avec le plaisir de Madame.

    Le numbing peut aussi rimer avec la chasteté de l'homme et le plaisir de Madame.
    Le numbing « engourdissement » en français est un moyen de freiner considérablement les sensations éprouvées par l'homme lors d'un rapport sexuel ou de la masturbation. Il s'agit de produits à base de Lidocaïne, en gel ou en spray qui se passent sur la verge et surtout le gland.

    Lors de l'utilisation du principe du numbing, l'homme peut avoir une érection tant que son mental est excité, puisque la plus grande des zones érogènes est le cerveau. Comme il est en érection, il peut pénétrer madame et le faire longuement puisqu'il n'éprouve pas les agréables sensations de la pénétration.

    INDICATIONS :

    Pour les personnes souffrant d'éjaculations précoces, la technique du numbing est une alternative intéressante dès lors que le bon dosage est trouvé.

    Chasteté : pour les personnes appréciant les jeux de domination / soumission, l'homme se voit privé de plaisir physique dès lors encore une fois que le bon dosage est trouvé.

    POSOLOGIE quantité et procédé

    Si la dose de Lidocaïne n'est pas suffisante, le produit n'anesthésie que l'épiderme. De fait, l'homme ressent malgré tout les agréables sensations même si elles sont altérées. Il convient donc de procéder à des tests.

    La Lidocaïne se présente en gel ou en spray. Pour le numbing le gel est plus adapté car la « pratique » permettra un « massage » pour bien faire pénétrer le produit.

    Procédé :
     Appliquer le gel sur la verge en érection et sur le gland. En faire pénétrer un peu dans l'urètre
     Bien masser la verge pour faire pénétrer le produit et en remettre. (Vos tests vous permettront de trouver le dosage)
     Prendre un préservatif, en mettre à l'intérieur et l'enfiler sur le sexe.
     Pratiquer la pénétration en faisant en sorte que l'homme reste en érection.
     Il est parfois utile d'en remettre.

    Rappel : comme l'homme éprouve moins de plaisir OU plus du tout de plaisir avec sa verge, il est important de solliciter son mental et son corps (Caresses, pincement, autres....) car l'érection risque de disparaître.

    ATTENTION pour Madame :

    Si l'homme ne met pas de préservatif, le vagin de la femme recevra également de la Lidocaïne, de fait, elle éprouvera également moins de sensations.

    Assurez-vous des éventuelles contre-indications du produit utilisé !


    DANS LES JEUX SEXUELS :

    Jeux de chasteté :

    Pour la femme l'utilisation de la Lidocaïne sur ses parois vaginale la privera d'une bonne partie de ses sensations.

    Pour l'homme, la technique est décrite ci-dessus.

    Jeux de sexuels :

    La Lidocaïne peut permettre de faire découvrir le plaisir anal

    La Lidocaïne peut permettre de jouer avec la dilatation. Attention toutefois de ne pas faire des folies car une déchirure vaginale est possible et une déchirure anale est très ennuyeuse en tout point. (Opération/ douleur/ durée de cicatrisation....)


    PRODUITS DERIVES
    La crème Emla, est un anesthésiant local à appliquer 30mn avant.
    Il se trouve également sur le web un produit à base de lidocaïne nommé « Stud 100″.

    TSM


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  • cplosoumis

    Auteur : cplosoumis


    Bonjour,

    Sommes un couple de Lyon soumis tous les deux mais à des degrés différents. Nous voulons un suivi, donc la distance peut être un problème.

    Moi, je cherche un Maître amant, plus pour être son jouet sexuel que pour violence, cependant il est vrai, j'aime les situations insolites avec une certaine exhibition.

    Je vous donne un exemple de l'année dernière que j'ai beaucoup aimé.

    Nous sommes rentrès du Cap d'Agde ( exactement de la partie naturiste ), jusqu'à Lyon. Nue à l'arrière du départ, j'ai servi de jouet sexuel, pendant que mon mari faisait le chaufeur. J'ai eu orgasmes sur orgasmes, multipliés en fait par l'image furtive qu'il était sans doute possible de voir et mon mari lui, ne pouvait qu'entendre...

    Avant Lyon, nous nous sommes arrétés pour que je m' habille ( dans un coin discret d'un parking ) et là mon Maître/Amant a demandé à mon mari de baisser son pantalon. Il était en érection, il a pris une baguette et lui a cravaché son pénis pour oser bander sans son autorisation et plus il tentait de se protéger plus il recevait. Puis
    avec son pénis pleins de marques et toujours les fesses à l'air, il l'a obligé à nettoyer la banquette arrière souillée de nos marques de plaisir, devinez comment...

    Avec ces quelques lignes je vous ai presque tout expliquer...J'aime être le jouet d'un Maître/Amant qui se sert de moi devant mon mari et qui l'humilie au minimum. ( sourire au maximum ).

    Mon mari est lui soumis et maso.

    Moi je refuse la sodomie ( trop mal et pas tentée ), mais l'anus de mon mari est là pour combler ce genre de désirs, en plus j'avoue particulièrement aimer le voir se faire sodomiser, par un pénis qui vient de me combler, et surtout qu'il soit pénétré juste avec la lubrification de mon plaisir...Je ne suis pas égoiste et je trouve normal qu'il éprouve du plaisir et en même temps il comprend ainsi ce que c'est d'être pénétré par un pénis et par un homme qui sait s'en servir.

    Il aime être humilié et comme il est maso, j'aime que mon Maître/Amant le punise ( voir le torture et ce le plus hard possible ) sur son pénis, pour s'assurer qu'il ne puisse s'en servir en son absence, de manière à lui imposer une chasteté forcée et surtout s'assurer de l'exclusivité de ma ( sa ) chatte...qui devient ainsi sa propriété réservée absolument et uniquement à son usage exclusif.

    Et moi, j'aime sentir vibrer en moi le pénis d'un homme et jouir avec cet homme qui a transformé mon mari en domestique dévoué à l'écoute de mes plaisirs et bien sûr des siens.

    Aimons aussi soirée privée, où nous sommes exhibés nus devant les amis (es) de mon Maître/Amant, sentir les regards me parcourir avant des mains d'inconnus qui m'explorent de partout, être pénétrée et fouillée par des doigts, comme une chose. Pendant que mon mari attaché offre lui son pénis aux différentes cravaches...

    Que dire d'autre, faire l'amour dans la chambre du Maître/Amant, et qu'il réclame la venue de mon mari, le temps qu' il toilette son pénis qui vient de me faire jouir avec sa bouche, puis ma chatte baignée de nos plaisirs mêlés, avant de regagner l'endroit où il dort seul.

    Pour ne revenir que le matin, afin de nous servir le petit déjeuner au lit... sucer respectueusement et délicatement, le pénis de notre Maître pour qu'il puisse me pénétrer de nouveau...Le voir obliger à genoux face contre le pénis du Maître, le remercier des orgasmes qu'il me donne...

    J'ai toujours cocufié mon mari. Je l'aime en tant que compagnon, mais il le sait, je n'ai jamais eu d'orgasme avec lui.  De ce fait, puisque avec lui, pire c'était une corvée désagréable pour moi  il a admis que ma chatte soit utilisée par d'autres, puis exclusivement par les autres.

    Et depuis ma découverte de la CB 3000, il la porte depuis le 15 / O9 / 06, avec les pointes pour empêcher les érections. Je pense lui laisser de manière définitive. Comme je ne jouis pas avec son pénis, lui n'a pas à jouir avec et je ne suis donc pas prête à lui enlever.

    Ce qui m'excite le plus, c'est que lui me pénètre après mon amant et que son pénis baigne dans le sperme de cet homme.

    Marine



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