• Corinne

    Corinne

    AUTEUR : Bernard


    Le récit qui suit est tiré d'une histoire réelle...Volontairement il démarre lentement mais ce qu'a connu cette jeune fille a bouleversé sa vie et l'a profondément changé. Cela mérite un récit détaillé.

    Corinne venait d'avoir 18 ans, elle était si heureuse d'avoir trouvé un travail, son premier travail, et dans une entreprise intéressante qui plus est. Elle qui avait un CAP de dactylo, elle ne pouvait espérer beaucoup en cette période de crise économique. Elle était prête à faire n'importe quoi pour s'assurer une place stable dans cette société.

    Elle était adorable, brune très typée, sa peau bronzait facilement, et comme on était en septembre elle était toute dorée, ses grands yeux noirs faisaient chavirer plus d'un homme, et pourtant, malgré ses seins magnifiques et sa cambrure naturelle si excitante, elle n'avait pas connu beaucoup de garçons; Une seule expérience avec un garçon de son âge, plutôt décevante; sa timidité et sa grande pudeur venues d'une éducation stricte et conservatrice la rendaient difficile à aborder.

    Nathalie, sa chef de service était une blonde naturelle d'une quarantaine d'années , très élégante, autoritaire, de ces femmes qui n'ont pas l'habitude qu'on leur refuse quoi que ce soit. Corinne savait qu'à l'issue de sa période d'essai, c'est elle qui déciderait, et elle faisait tout pour être irréprochable. Nathalie avait à priori pris en sympathie Corinne, c'était bon signe, elle lui avait déjà fait changer son style, sa tenue, en lui enjoignant de ne plus venir en pantalon et pull mais en jupe et chemisier, elle lui avait expliqué que son rôle était d'accueillir la clientèle et que son sourire, sa séduction étaient le point de départ d'une bonne relation commerciale.

    Doucement, Corinne évoluait elle souriait plus, se mettait en valeur, marchait d'une façon plus souple, plus sensuelle même, Nathalie la regardait parfois avec une certaine affection, parfois avec sévérité, et Corinne alors était incapable de soutenir son regard quand ce dernier était courroucé, elle baissait les yeux et se sentait une petite fille devant elle. Cette femme la fascinait, grande blonde, les yeux d'un bleu si pur une poitrine femme et pointue qui était toujours mise en valeur par des tenues aussi variées qu'élégantes. Ses jambes étaient longues et fines Personne n'aurait osé lui manquer d respect et pourtant, tous les hommes du service en rêvaient.

    Un vendredi soir, en été, par une journée de canicule, Nathalie la fit venir dans son bureau, Corinne y alla terrorisée, et, à sa grande surprise, sa supérieure lui dit "Je voudrais vous inviter dans notre maison de campagne pour le weekend, vous ferez connaissance de Bernard, mon mari, et pourrez vous détendre. Je pars dans 1/2 heure, je vous emmène, nous rentrerons lundi matin. J'espère que vous n'avez pas d'obligation ce week-end, nous pourrons ainsi faire plus ample connaissance.

    Si vous voulez téléphoner pour prévenir, je vous en prie" Mais Madame, je n'ai aucune affaire, et je suis très gênée... Nathalie interrompit sèchement. Ne vous inquiétez pas Corinne? je m'occupe de tout, il fait chaud, nous passerons notre temps devant la piscine et je vous prêterai des affaires s'il le faut. Elle reprit son sourire charmant; elle savait alterner la dureté et la séduction et il était impossible de lui résister, Corinne était sous le charme, elle ne dit plus un mot et suivit sa patronne.

    Tu peux m'aider à faire le service Corinne?, sers un whisky à Cédric. Corinne ne se fait pas prier, sentant qu'elle commence à faire partie des intimes de Nathalie, elle se sent légère et sert le whisky, elle s'approche de Cédric qui est affalé au bord de la piscine, elle se sent bien et perdant sa réserve lui tend le verre en disant gaiement "Tiens Cédric ton apéro". Nathalie se précipite sur elle et la gifle, Corinne en laisse tomber le verre par terre. Je ne te permets pas cette familiarité avec mon mari, petite sotte, Corinne regarde Nathalie médusée, cette dernière a un regard de feu, ce regard qu'elle lui a vu prendre envers des subordonnés et qu'elle ne voulait surtout pas voir dirigé contre elle.

    Elle regarde le verre cassé. Nathalie hurle : ramasse ça et va le jeter idiote, je pensais pouvoir faire quelque chose de toi mais tu es nulle archi-nulle. euh Corinne bredouille elle retient ses larmes, mais où vais je trouver la serpillière et une pellette? Là dans la cuisine débrouille toi et reviens vite, je vais te ramener chez toi. Corinne éclate en sanglots et part à la cuisine, elle revient et ramasse le verre cassé essuie le liquide, cela aux pieds de Cédric qui n'a pas bougé, elle est juste au niveau de son entre jambes, elle est dans une situation humiliante qu'elle ressent jusqu'au plus profond d'elle-même....

    Après quelques minutes qui paraissent interminables à Corinne, Cédric se redresse et lui caresse les cheveux : Ne pleure pas Corinne Nathalie peut te pardonner, elle n'est pas si dure, mais elle aime l'obéissance et la déférence, sois très soumise et tu peux sauver ta place, il lui caresse la joue. Corinne se sent à ce moment complètement inférieure, petite, minable, objet, elle n'ose pas redresser la tête car son visage serait alors à 10 cm de la verge de cet homme. Va lui demander pardon et dorénavant tu nous appelles MONSIEUR ET MADAME et tu nous vouvoies tu as compris?

    Oui Monsieur dit Corinne en hoquetant; elle éprouve une folle envie à cet instant de le remercier et de prendre ce sexe, de le câliner de le caresser, mais elle réprime cette pulsion interdite à ses yeux. Nathalie est partie nager dans la piscine, Corinne marche vers elle et se met au bord à genoux : Madame, j'ai tout nettoyé, je vous prie de me pardonner, je ne ferai plus d'erreur, je vous en prie ne me ramenez pas, laissez moi une chance, j'ai toujours tout fait pour que mon travail vous plaise, j'ai encore besoin d'apprendre, sans vous je ne serai rien je vous en supplie. Nathalie s'est agrippée au rebord elle la regarde d'un air supérieur et un peu méprisant qui glace Corinne. Très bien je te laisse une chance mais ce n'est pas moi que tu as offensée c'est mon mari. Va le masser on va voir comment tu t'y prends. Corinne tétanisée se dirige vers Cédric , Nathalie la suit. Cédric est allongé sur le dos. Masse-lui les jambes et les cuisses ça lui fait du bien, avec cette huile.

    Corinne s'agenouille docilement entre les cuisses écartées de Cédric et s'enduit les mains de l'huile que lui tend Nathalie. Cédric a mis un chapeau sur son visage. Corinne commence à lui masser les mollets elle éprouve de la gêne à aller plus haut; bien lui dit Nathalie, les cuisses maintenant, Corinne commence à masser les cuisses musclées de l'homme. L'effet ne se fait pas attendre et son sexe commence à s'allonger, à durcir, Corinne est rouge de honte mais ne veut pas le montrer, elle hésite à tout arrêter mais elle pense à son avenir, elle sait qu'être l'assistante personnelle de Nathalie lui permettrait de se loger enfin décemment, elle qui vit dans une chambre de bonne avec les toilettes à l'étage, étant d'un milieu très défavorisé. Jamais elle ne retrouvera une telle chance.

    C'est bien, plus haut Corinne tu sais te faire pardonner, et elle lui caresse les cheveux affectueusement. Sentir Nathalie douce avec elle après cette dureté est merveilleux pour Corinne, elle sent que plaire à Nathalie est un besoin viscéral pour elle, et elle remonte ses mains en haut des cuisses. Nathalie pendant ce temps caresse le torse de Cédric puis son ventre; ses mains touchent le pubis poilu puis descendent encore pour saisir de sa main droite le sexe tendu, magnifique, de Cédric, un sexe non seulement imposant tant en longueur qu'en largeur mais d'une fine beauté. Corinne fait tout ce qu'elle peut pour ne pas regarder. soudain d'une voix ferme Nathalie dit : CORINNE!!! Cette dernière s'arrête et regarde Nathalie :

    "Oui Madame?" Enfin Corinne il va falloir que tu t'ouvres un peu, tu n'as donc jamais vu une bite de ta vie? Corinne rougit : euh....Jamais elle n'avait osé utiliser un terme aussi crû. Moi je ne travaille pas avec une fille qui fait la sainte nitouche, nous ne sommes plus au XIXème siècle. Regarde-moi. Je te préviens si tu détournes le regard je ne veux plus entendre parler de toi, je te ramène et ta période d'essai finit lundi matin. J'en ai marre, je veux des filles modernes dans mon service. Mais moderne ne veut pas dire Marie couche toi là Madame... La bonne éducation de Corinne venait de parler, mais son intelligence le regretta aussitôt, le regard de Nathalie se fit dur très dur, presque cruel, avec un accent de mépris insupportable pour Corinne qui l'admirait tant.

    La gifle qu'elle reçut la fit tomber à terre. Bon va te rhabiller je vais te raccompagner, tu es trop bête, et elle prit le sexe de Cédric et commença à le sucer. Corinne se sentit nulle à chier, nue à genoux, méprisée et rejetée, elle se leva et, tel un automate commença à se diriger vers ses vêtements en sanglotant, elle prit sa culotte et se retourna vers ses hôtes. Nathalie ne faisait plus attention à elle, elle suçait activement Cédric qui visiblement prenait un plaisir fou. Corinne sentait malgré elle une énorme excitation, elle avait une folle envie de partager cet homme avec sa maîtresse (Tiens elle avait pensé Maîtresse) elle avait tout perdu, elle se vit loin de Nathalie et devant rechercher du travail, un petit boulot de dactylo sans avenir.

    Cela lui parut insupportable, elle ne pouvait pas partir, être exclue. Elle se précipita vers le couple, se mit à genoux et les mains jointes elle supplia Nathalie : Pardon Madame je suis stupide vous me donnez tout, et je suis si bête je vous obéirai je vous jure je ferai tout ce que vous voudrez je serai votre servante votre esclave dites moi ce que je dois faire mais ne me jetez pas, je vous en supplie..Elle pleurait sanglotait, et disait des choses qu'elle ne se serait jamais sentie capable de prononcer, esclave avait elle dit? Elle ne savait pas le plaisir qu'elle faisait à Nathalie qui entendit ces mots avec une volupté inégalée. NATHALIE leva la tête doucement, tenant toujours le sexe humide de Cédric et regarda Corinne. Tu as dit :

    "ESCLAVE?? Corinne dit: euh oui Madame, Répète le: Dis que tu es notre esclave dévouée. Corinne baissa la tête : Je suis votre esclave dévouée MADAME, Et celle de Monsieur aussi... Oui l'esclave de Monsieur aussi Madame. Bien alors je te garde mais à la moindre incartade tu sais ce qui t'attend. Pour commencer tu feras le service ce soir entièrement nue, et à la fin du repas tu recevras une punition. Dis : Oui Maîtresse, je vous obéirai et recevrai un punition méritée; Corinne, complètement vaincue, sans volonté, répéta : Oui Maîtresse, je vous obéirai et recevrai une punition méritée.

    Nathalie fit monter Corinne dans sa voiture et démarra. Cette dernière se sentait bizarrement comme prise en faute alors qu'elle n'avait rien à se reprocher. Elle n'osait pas croiser le regard de sa chef et sentait qu'elle avait intérêt à ne pas la décevoir. Ce week-end était en effet une chance pour elle et c'est là sûrement que se déciderait son sort dans la société.

    Nathalie était plus séduisante que jamais, et sa sensualité débordait, faisant contraste avec la réserve de Corinne. Nathalie s'était déchaussée pour conduire et sa conduite pieds nus était symbolique de la liberté naturelle qui émanait de cette femme et que Corinne admirait.

    Les deux femmes ne parlèrent pas beaucoup durant le trajet, sauf quand Nathalie posa affectueusement la main sur le genou de Corinne en lui disant : " Tu verras tu vas te plaire, mais je t'en prie décoince toi" , et sa main posée sur le genou quelques secondes et qui, en le quittant, avait légèrement remonté le long de la cuisse, avait considérablement troublé Corinne qui s'était sentie soudain comme possédée par sa patronne, et avait ressenti une envie bizarre de se jeter à ses pieds, elle si réservée, une envie subite, incontrôlée, et vite étouffée, car le carcan de son éducation bien bourgeoise était bien ancré en elle depuis toute petite.

    Elles arrivèrent enfin et Corinne découvrit avec émerveillement une maison de maître du XIXème dans un parc arboré. Corinne se détendit un peu et se dit qu'elle avait une chance inouïe et qu'il ne fallait pour rien au monde rater cette opportunité de devenir en quelque sorte la "chouchoute" de cette femme influente et en plus agréable quand elle le voulait. Elle savait pourtant être odieuse et hautaine avec ceux qu'elle avait dans le "collimateur".

    Et pour rien au monde Corinne n'aurait voulu faire partie de ceux-là, tellement cette femme savait être dure et inflexible quand elle le décidait.

    Elles descendirent de la voiture, Nathalie fit faire le tour de la demeure à Corinne et ils arrivèrent à une image de rêve, une piscine oui mais une piscine entourée d'une végétation luxuriante dans un cadre digne des plus grands châteaux. Corinne en était subjuguée. Nathalie dit : "Je vais chercher l'apéritif déshabille toi et installe toi je reviens".

    "Mais je n'ai pas de maillot Madame".

    Le regard de Nathalie glaça Corinne :"Tu ne vas tout de même pas me dire que tu as besoin d'un maillot, nous sommes entre nous ici, si tu veux faire partie de mon équipe, il ne doit y avoir aucune pudeur entre nous, je reviens dans 5 minutes et j'espère que tu seras nue"

    Elle pivota et partit. Corinne sentit que sa remarque avait créé une distance avec Nathalie, le ton avait changé, et Corinne se rendit compte qu'elle ne supportait pas que sa maîtr... pardon sa chef soit en froid avec elle, et qu'elle ferait n'importe quoi pour lui faire plaisir.

    Et elle qui était d'une pudeur sans égale, et malgré la gêne qui s'était insinuée dans son esprit avec cette dernière parole :"J'espère que tu seras nue", qui n'avait plus rien à voir avec des phrases d'une patronne à son employée, et qui la troublait profondément jusque dans sa chair, elle se surprit à de dévêtir entièrement et à s'allonger tout en espérant que sa chef serait contente d'elle quand elle reviendrait.

    Mais pourquoi donc en pensant à Nathalie, le mot de maîtresse avait il surgi dans son esprit?
    Elle souriait en y pensant et se souvenait d'une maîtresse de CE 2 qui s'appelait aussi Nathalie et qui lui avait infligé des punitions terribles en l'obligeant à rester 1 heure à genoux mains sur la tête au coin de la classe.

    C'était étrange car ce rapprochement entre ces deux femmes créait en elle une sensation agréable et même, une douce chaleur qui l'inondait antre ses cuisses mais son éducation reprenant toujours le dessus, Corinne chassait toujours de son esprit ce qui apparaissait pour elle comme de mauvaises idées.

    Elle fut tirée de ses rêves par Nathalie qui arriva avec un plateau qu'elle posa sur une table, elle était entièrement nue, souriante. Corinne eut à peine le temps d'admirer ce corps magnifique, ces seins parfaits avec des tétons roses et pointus, et un sexe épilé sous un ventre merveilleusement plat et au dessus de jambes d'une finesse inégalée, que Nathalie dit : Je te présente Cédric, mon mari, et Corinne vit un homme d'une quarantaine d'années, souriant, entièrement nu lui aussi, qui lui dit: "Bonjour Corinne, Nathalie m'a beaucoup parlé de vous, je vous souhaite la bienvenue chez nous, vous allez passer le plus beau week-end de votre vie, si vous le voulez bien".

    Corinne se redressa et tenta maladroitement de cacher son sexe et ses seins mais pour serrer la main qui lui était tendue il fallait bien qu'elle se dévoile, elle se sentit ridicule. Nathalie intervint fermement en lui prenant les deux mains : Arrête de te cacher Corinne tu es très belle, tu ne vas pas te cacher tout le week-end, montre toi, elle lui tint les deux bras derrière le dos mi-sévère, mi-rieuse, et dit : Cédric, je te présente Nathalie, qui va devenir ma principale collaboratrice.

    Corinne se trouva stupide d'être si pudique et se dit qu'elle vivait un rêve, devenir l'assistante de Nathalie, elle sourit à Cédric et surmonta sa honte; cette sensation d'être exhibée la gênait mais l'excitait aussi, de façon incontrôlable.

    Cédric la regarda des pieds à la tête, sans gêne et avec insistance et lui fit un léger baiser sur les lèvres, que Corinne n'osa pas esquiver, et Nathalie dit : "Maintenant, buvons".....

    Bernard



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