• Semaine du 28 février au 6 avril

    127 heures : J'ai toujours eu cette image de James Franco en petit con rabas joie (merci Freaks and geeks), et j'ai jamais su bien placé Danny Boyle dans mon sentiment de j'aime bien/ j'aime pas (entre Trainspotting et La plage faut avouer qu'au final on se demande si c'est le même réalisateur). Si au début, j'avais un peu l'impression de regarder une pub pour une marque de sport, la partie "j'ai le bras coincée" est quand même pas mal. Faut dire que James Franco a lui tout seul tient le film à bout de bras (ouh l'expression "bien choisie"), et le voir faire pipi dans sa gourde, écrire son nom en gros sur la parois, contemplé le ciel, sans jamais que le spectateur s'ennuie, c'est quand même un jolie tour de force. Donc au final, le film est plutôt pas mal, même si la partie 'je me casse le bras et je le découpe avec un couteau' est peut être pas assez poussé au final (bien que certains disent le contraire).

    127 heures

    Avant l'aube :  - ATTENTION SPOILER - Ça se passe dans la montagne, c'est beau, c'est blanc, c'est haut, y'a des chalets et des cadavres cachés par la neige. Le scénario est un poil tiré par les cheveux (bonjour je suis un gendarme et je sais pas m'occuper de mes conneries, je demande à mon papa), cette fin est pour moi totalement sans espoir et même si Testud semble dire le contraire, vous avez déjà vu un gars, qui sort de prison et qui est accusé de meurtre, s'en sortir vous ? Et puis le coup du "je suis gentil avec toi, parce que tu connais mon secret", c'est un peu vu et revu (même si, apparemment y'a un besoin paternel dessous gnagnagna, mouai pas trop trop convaincue, je persiste à dire que le personnage de Bacri est un gros con, et qu'il s'en fout complet du petit jeune, et que le côté paternel bah il existe pas - à part l'envie de Frédéric de retrouver ce côté paternel, mais dans l'autre sens ça marche pas). SINON, faut voir les côtés positifs aussi, les acteurs sont vraiment très bons (j'ai cru lire quelque part que certains personnages avaient été écrit exprès pour certains acteurs), j'ai beaucoup aimé le personnage de Testud, un peu trop en retrait d'ailleurs, Bacri a une présence assez impressionnante, et je reviens pas sur Vincent Rottiers, je saoule tout le monde avec lui tellement je crie sur tous les toits que cet acteur est incroyable de justesse et que c'est de loin le meilleur acteur de sa génération (j'attends toujours LA critique qui va oser le descendre - y'en a une sur le forum d'allociné, mais c'est un gros fake alors ça compte pas -d'aboord- si un jour j'en lis une -de mauvaise critique-, je prendrais un malin plaisir à démonter tous leurs arguments un par un)

    avant l'aube

    Paul : Simon Pegg et Nick Frost sont les dignes représentants de leur pays. Moui, enfin on pouvait dire ça à l'époque de Shaun of the dead et d'Hot Fuzz, puisque dans Paul, les deux comiques se ramènent aux États Unis, pour le Comic on (bonjour le truc de geek). En plus de ça, ils se sont offerts les services de Seth Rogen pour la voix de Paul l'extraterrestre le plus cool de la galaxie qui conseille Spielberg et qui fume des joints. Alors même si on sent bien l'humour anglais dessous (oui, car c'est jamais du rire gras du genre clan Apatow), il n'empêche que Paul est en dessous des précédents films avec les deux compères. Mais on passe quand même un bon moment faut le dire.

    paul

    Je continuerai plus tard avec Never let me go, La permission de minuit, True rit, Sanctum et La ligne droite… (oui cette semaine je me suis tapée 8 films au ciné… je rentabilise bien ma carte illimitée je trouve)


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