• « SUR LES QUAIS »

     

    Je vois le linge aux fenêtres, les façades de couleur, et les mâts des bateaux arrimés …

    Le soleil reflète, balade sa chaleur aux passants s’en allant au marché .

    Un peintre dessine une mouette et puis met tout son cœur à finir d’achever son tableau

    Pour moi le temps s’arrête et je goûte là « la Provence » : un instant de repos .

     

    Ref  :   Sur les quais , je longe les maisons du bonheur, les unes les autres accolées ;

                dans le passé, on pouvait voir le travail des pêcheurs, réparant leur filet ...

     

    Je vois les arbres en travers  sur la place à Ferrières, les ponts bleus qui chevauchent l’étang

    Quelques personnes prennent l’air, les autres se servent un verre : L’atmosphère de détente à son temps .

    Sur cette longue rivière  quelques bateaux de fer nous rappellent les usines et l’enfer :

    Celui qui brûle l’étang et fait de l’ancien temps un souvenir pour tous ces vieux loups

    d’ mer 

     

    Ref : Qui sur les quais ,se rappellent le temps des voiliers et  du ciel dégagé ,

             Pas de fumées, de pollution de poison transparent à humer .

     

    Je marche dans les rues nouvelles,  j'aperçois le clocher : les pigeons ont élus domicile,

    Les avions traversent le ciel  pour aller se poser , j'ai l’impression sur une île ...

    Quelques enfants se rebellent et moi je me rappelle mon enfance  aux « miroir aux oiseaux »

     là , moi quand j’étais minot, avec du papier , je faisais des bateaux ...

     

    Ref  :   Sur les quais , je longe les maisons du bonheur où on avait vue sur  les cales

              Des pointus, qui  accostaient sur ce coin nommé la « Venise provençale ».

     

    *Le parfum de nostalgie de ce petit paradis , je le retrouve le Dimanche

    Laisses moi rien que marcher à pieds sur la rue pavée en attendant que tout se « déclenche ».

    J’ai la passion pour la paix de ces p’tites maisons bleutées ,

    C’est là que  je veux demeuré , même un soupçon de ma vie ,

    pour le week-end comme on dit ou bien pour l’éternité.

     

    Sur les quais, je longe les maisons du bonheur les unes les autres accolées ,

    Dans le passé, on pouvait voir le bonheur des pêcheurs réparant leur filets …

     

    Sur les quais …..

    Dans le passé ….

     

    Texte et musique : Patrick Moltaldo

     

    Je vous invite à regarder la vidéo créée sur cette chanson sur le blog de Patrick :

    http://moltaldocompo.centerblog.net/156-


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  • C'EST COMME JE VEUX

    C'est bon j'ai choisi.

    La passion c'est la vie.

    C'est facile la poésie.

    Et subtile la nuit.

    C'est con l'insomnie.

    C'est un poison infini.

    C'est indélébile la bêtise.

    Et c'est débile la hantise.

    C'est jolie une métisse.

    Ca embellit l'église.

    C'est sublime une Princesse.

    Ca frime avec ces richesses.

    C'est comme je veux.

    Le royaume est bleu.

    Pour mes yeux.

    Avec l'amour langoureux.

    C'est comme je veux.

    Je consomme mes vœux.

    Pour être joyeux.

    Les jours à renaître talentueux.

    C'est comme je veux.

    Je nomme Dieu.

    Pour que mon cœur.

    Savoure le bonheur.

    C'est beau le Paradis.

    Et les joyaux aussi.

    C'est magnifique la prose.

    Et authentique la rose.

    C'est injuste la politique.

    C'est juste du maléfique.

    C'est inconcevable le racisme.

    Et indésirable l'égoïsme.

    C'est précieux un diamant.

    C'est délicieux un sentiment.

    C'est inestimable le respect.

    C'est valable un baiser.

    C'est comme je veux.

    Je gomme le ciel pluvieux.

    Pour des matins plein de soleil.

    C'est comme je veux.

    J'assomme les rebelles vicieux.

    Pour écouler les heures paisiblement.

    C'est comme je veux.

    Je suis un homme heureux.

    Qui ne se prendra jamais la tête.

    C'est comme je veux.

    Je suis un homme heureux.

    Car rien ne m'arrête, même pas les problèmes.

     

    Texte : François Lehembre

    Musique : Julian Renan

     

     


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  • Admirez la

     

    Admirez-la.

    Elle a la beauté.

    Et tant d'éclat.

    Et le soleil d'été.

    Sur sa plastique parfaite.

    Magnifique dans la fête.

    Authentique loin de la tempête.

    Admirez-la.

    Elle a la pureté.

    Dans ces bras.

    Et des ailes sacrées.

    Derrière son dos.

    Et la lumière à niveau.

    Et les paires de joyaux.

    Admirez-la.

    Elle a la bonté.

    Dans son aura.

    Et du miel sucré.

    Dans son cœur d'or.

    Où la saveur dort.

    Dans cette fleur d'abord.

     

    Texte : François Lehembre

    Musique : Julian Renan


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  •  

     LE VIEUX GARCON

     

    Il fait si beau

    Sous le soleil de Mexico

    Il fait si bon

    Sous le soleil de l’Aragon

    Il fait si doux

    Sous le soleil de Katmandou

      

    Et moi je suis sur mon balcon

    A me bronzer comme un couillon

    Et moi qui suis là tout en long

    Je suis tout seul je me morfonds

    J’envie !

     

    Y a plein de gens

    qui nagent dans les océans

    Et à tout âge

    Ils sont tout nus la sur les plages

    S’ils sont vêtus

    C’est avec un fil dans le cul

     

    Et moi qui suis en pantalon

    je nage au milieu du salon

    Et puis je tourne toujours en rond

    Je fais des bulles comme un poisson

    Je vis !

     

    Tous les garçons

    Prennent les filles de mille façons

    Et dans leur lit

    On ne peut pas dire qu’ils s’ennuient

    Et tout le monde

    Autour de moi se dévergonde

     

    Et moi qui suis seul dans mon lit

    Je fais l’amour à Qui Qui Qui ??

    Et moi je suis dans de sales draps

    Je ne m’occupe que de moi ..

    Tant pis !

     

    Ah oui c’est fou

    Je vois des ombres de partout

    Et j’ai les boules

    D’entrevoir toute cette foule

    Moi j’en ai marre

    D’entendre tout ce tintamarre

     

    Je vais dormir ça sera mieux

    Que de faire de la peine aux Dieux

    Car après tout n’ayant rien fait

    Je ne peux rien leur reprocher

    c’est vrai !

     

    Et je suis là,

    A devenir un vieux garçon

    Et chaque tour

    C’est moi qui me paie le pompon

    Je suis foutu

    De finir ma vie en pendu

     

    Je vais finir par en mourir

    Il se fait tard je vais dormir

    La vie demain va me sourire

    Lâchez-moi donc le grapillon

    Je reste avec mon polochon

    Alors oubliez-moi un peu

    Et laissez moi fermer les yeux

    Je vais essayer de rêver

    Que tout cela est terminé

    Alors à force d’y penser

    Cela c’est sûr va arriver

     

    Texte et musique : Alain Sorge


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  • La Femme de ma vie

    Qu’il est doux le vent

    Qu’elle est chaude la pluie

    Qu’elle est belle cette nuit

     

    Je marche et je cours

    Je crie toute ma joie

    A travers les rues, je suis le roi

    A travers les rues, je suis le roi

     

    Je ferme les yeux

    Et je marche dans l’eau

    Je suis trempé jusqu’au os

    Je m’en fous pas mal

    Car je crois qu’aujourd’hui

    J’ai trouvé la femme de ma vie

    J’ai trouvé la femme de ma vie

     

    Je chante, je danse

    Je saute sous la pluie

    Je chante, je danse

    Qu’elle est belle cette nuit

    Qu’elle est belle cette nuit

     

    Marcher sous la pluie

    Etre seul dans la rue

    Comme dans un monde inconnu

    Sous mon parapluie

    Je me protège un peu

    Ce soir je suis le plus heureux

    Ce soir je suis le plus heureux

     

    Je parle tout bas,

    Je parle tout haut

    Je m’assied dans les flaques d’eau

    Je m’en fous pas mal

    Car je crois qu’aujourd’hui

    J’ai trouvé la femme de ma vie

    J’ai trouvé la femme de ma vie

     

     Je chante, je danse

    Je saute sous la pluie

    Je chante, je danse

    Qu’elle est belle cette nuit

    Qu’elle est belle cette nuit

     

    Qu’il est doux le vent

    Qu’elle est chaude la pluie

    Qu’elle est belle cette nuit

     

    Je marche et je cours

    Je crie toute ma joie

    A travers les rues, je suis le roi

    A travers les rues, je suis le roi

     

    Je ferme les yeux

    Et je marche dans l’eau

    Je suis trempé jusqu’au os

    Je m’en fous pas mal

    Car je crois qu’aujourd’hui

    J’ai trouvé la femme de ma vie

    J’ai trouvé la femme de ma vie

     

    Je chante, je danse

    Je saute sous la pluie

    Je chante, je danse

    Qu’elle est belle cette nuit

    Qu’elle est belle cette nuit

     

    Texte et Musique: Alain Sorge


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