• Chère Véronique

     

    Chère Véronique.

    Entière et unique.

    Je t'aime du fond du cœur.

    Je t'emmène sur le pont en temps et en heure.

    Et sur la route de la douceur.

    Sans doutes ni douleurs.

    Et sans que tu redoutes le bonheur.

    Chère Véronique.

    Exemplaire et magique.

    Je te propose de la couleur.

    Et des roses dans ton intérieur.

    Sans peines ni problèmes.

    Mais une plaine que tu aimes.

    Toi ma Reine, qui s'y promène.

    Tu crois à l'amour.

    Et moi à tes bonjours.

    Moi l'homme poète.

    En somme dans la fête.

    Tu reçois du velours dans ta vie.

    J'y reçois du glamour dans mes nuits.

    Pour être Roi, sans détour à l'infini.

     

    Instrumental

     

    Chère Véronique.

    Entière et unique.

    Je t'aime du fond du cœur.

    Je t'emmène sur le pont en temps et en heure.

    Et sur la route de la douceur.

    Sans doutes ni douleurs.

    Et sans que tu redoutes le bonheur.

    Texte : François Lehembre

    Musique  & Interprétation : Julian Renan

     


    12 commentaires
  • La haine c’est la mort

     

    L'enfer c'est la crasse.

    Qui nous torture en surface.

    La paix c'est la classe.

    Ca passe ou ça casse.

    J'connais des copains.

    Qui ont besoins de câlins.

    Même après le mois  de juin.

    car ils aiment ces petits soins.

    Des tempêtes pour nous balayer.

    Des fêtes pour nous émerveiller.

    Ecrire se libérer.

    L'avenir va nous sauver.

    Des fois y en a qui braque.

    Marre des lois et des arnaques.

    D'autres vivent en banlieue.

    Ca leur prive du mieux.

    Quand je cours dans la ville.

    Mes jours ne sont plus subtiles.

    Ils ont meurtri la terre.

    Ces pourris de nucléaires.

    Pour la passion, y a pas de vice.

    Le poison c'est les novices.

    Le mieux c'est les métisses.

    Pour que nos yeux soient lisses.

     

    C'est le boulot du démon.

    Tuer tout ce qui est bon.

    Maltraiter des enfants.

    C'est vraiment méchant.

    Pour l'infernal, c'est toujours la peine.

    Y a des balles qui se traînent.

    Les propriétaires se déchaînent.

    Sur des êtres qui s'aiment.

    Les batailles à l'horizon.

    Des funérailles à la con.

    Des familles abattues.

    Eux qui pétillent dans leurs vues.

    Des vieux ministres.

    Envieux et sinistres.

    Tous racistes.

    Et égoïstes.

    Dans cette vie y a pas d'or.

    Y a de la folie dans le décor.

    Que faire de ces matadors.

    Qui tuent des taureaux sans efforts.

    Y a des femmes qui font la putain.

    Pour nourrir les âmes de leurs bambins.

    Dès qui viennent de Roumanie.

    Où même de Bulgarie.

     

    j'vais sortir de mon cœur.

    Les saphirs et les fleurs.

    Car je prends cette valeur.

    Sans tourments, ni douleurs.

    Couronne toujours pas.

    Mais ça résonne d'amour ici et là.

    Y a pas de baronne dans mes bras.

    Mais y a une bonne fée dans mes draps.

    T'as des pierres précieuses.

    Et des prières lumineuses.

    Y a des roses heureuses.

    Et des choses curieuses.

    Y a plein de voitures dans la rue.

    Du chagrin, des blessures par-dessus.

    Sabrina ne veut plus.

    Qu'on là dresse aux pas.

    J'ai des flingues dans la peau.

    Je suis dingue quand j'ai des joyaux.

    J'veux pas de nouvelle vie.

    Le bleu et le soleil, c'est le Paradis.

    Je supporte pas la misère.

    Je m'emporte c'est mon caractère.

    J'ai vaincu le système.

    Le trop plein de problèmes.

    Y a un beau message.

    Là-haut dans les nuages.

    Y a l'envie d'un massage.

    Qui luit dans le paysage.

     

    Le trésor s'écoule.

    Et nos accords sont cool.

    Les oiseaux roucoulent.

    Comme nos mots qui roulent.

    On n'est vraiment balaises.

    Quand on brûle nos graisses.

    On n'est sûrement mayonnaise.

    Quand on prend partie pour l'équipe Lyonnaise.

    Ce matin j'ai pleuré.

     Le chagrin m'a fait déprimé.

    Mais le besoin est venu me consoler.

    Car le bien est perdu sur ma beauté.

    La haine c'est la mort.

    Mais la Reine, c'est mon réconfort.

    La peine c'est du tort.

    Mais la plaine sera toujours dans mon corps

     


    6 commentaires
  • Ma belle métisse

     

    Elle est câline dans son amour.

    Elle est divine jour après jour.

    Elle a le soleil qui reflète sur sa peau.

    Et dans ces cocktails, c'est une fête à niveau.

    Elle travaille à " LA CASA DEL MOJITO".

    Elle chamaille dans les bras du plus beau.

    Elle est charmante dans son peignoir.

    Elle est enivrante devant son miroir.

    Elle est conforme dans sa plastique.

    Elle est en forme et authentique.

    Ma belle métisse.

    S'appelle Doris.

    C'est une demoiselle esquisse.

    Elle a le doux parfum qui m'aromatise.

    Elle a le goût si fin d'une promise.
    Ma belle métisse.

    S'appelle Doris.

     C'est une hirondelle si lisse.

    Elle a beaucoup de câlins qui me caramélise.

     Elle a surtout besoin qu'on là favorise.

    Elle est sublime dans son bonjour.

    Elle est ultime dans le parcours.

    Elle a les merveilles dans son cœur.

    C'est un arc-en-ciel avec tant de chaleur.

    Elle est de taille à " LA CASA DEL MOJITO " .

    C'est une trouvaille dans cet éclat sans défauts.

    Elle est accueillante dans cette histoire.

    Elle est bienveillante dans ma mémoire.

    Elle est aux normes dans l'angélique.

    Elle se transforme en île fantastique.

    Ma belle métisse.

    S'appelle Doris.

    C'est une éternelle église.

    Elle a la richesse dans les mains qui m'économise.

    Elle a la tendresse dans ces matins qui m'harmonise.

     

    Ma belle métisse.

    S'appelle Doris.

    C'est une sensuelle réglisse.

    Elle me dévoue ces petits soins qui me valorise.

     Elle ira jusqu'au bout du chemin, pour que nos je t'aime s'unissent.

     

     


    7 commentaires