• Des vieux fous

     

    Texte & Musique : Serge Vachon

     

     Ma main sur ton cœur

    Mes yeux dans tes yeux

    Comme je voudrais

    Pouvoir m’y reposer

     

    Ma joue contre ta joue

    Pouvoir y déposer

    Un  tendre baiser

    Tendrement te câliner

     

    Malgré les années

    Tu n’as pas changé

    Tous nos amis

    Parlent de nous

    En disant

    Ce sont des vieux fous

    Des vieux fous

     

    Mariés tou’ses années

    Malgré les mauvais jours

    Je garde au fond de moi

    Qu’les souvenirs des jours de joies

     

    Et si tu dois partir

    un jour just’avant moi

    Tu dois me promettre

    De venir me chercher

     

    Refrain

     

    Tu viens  allons diner

    Ou prendre un p’tit café

    Tout comme au bon vieux temps

    Ou nous étions que des amants

     

    Et puis si l’on partait

    Pour faire un long voyage

    Sans jamais revenir

    Repartir comme avant

     

     refrain

     


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  •  

    JE SERAI L'HOMME HEUREUX

     

    La solitude est profonde sur ma vie.

    L'habitude m'inonde la nuit.

    Les pleurs se déversent sur ma peau.

    Les douleurs traversent mes mots.
    L'âme-sœur n'est pas encore ici.

    La flamme de mon cœur brille plus fort à l'abri.

    La femme dont j'ai tant rêvé n'est pas là.

    Le charme est un frisson qui me dirige là-bas.

    Je serai l'homme heureux.

    Quand je vivrai en somme à deux.

    Je me verrai dans le royaume de Dieu.

    Quand je ressentirai les normes de l'amour dans mes yeux.

    La fraîcheur du ciel est toujours présente.

    La couleur d'un nouvel amour est vibrante.

    La saveur de l'été est touchante.

    La valeur d'un baiser est enivrante.
    La richesse est dans mes mains.

    La tendresse est dans mes matins.

    La délicatesse est dans l'or de mes textes.

    La Princesse n'est pas encore dans le contexte.

    Je serai l'homme heureux.

    Quand je rirai comme un fou amoureux.

    Je prendrai le chemin eternel.

    Avec l'intensité de mon copain le soleil.

    Je vois les oiseaux de ma fenêtre.

    Je reçois des joyaux pour renaître.

    Le Roi c'est peut-être moi.

    La foi c'est d'être droit.
    Je m'évade dans la prose.

    Je me ballade dans un champs de roses.

    Je fais la cour à une jolie fille.

    Je fais le tour de magie le plus gentil.

    Je serai l'homme heureux.

    Si je consomme des instants délicieux

    En compagnie de ma chère et tendre.

    Pour une vie de lumière sans attendre.

     

    Texte : François Lehembre

    Musique : Julian Renan

     

     


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  • LE JARDIN DE L'AMOUR

    Le jardin de l'amour

    Où un mercredi soir d'été

    Ta main m'a dit bonjour

    Et où ta vie voulait une histoire sacrée.

    On a parlé longuement.

    On s'est apprécié instantanément.

    On a marché longtemps.

    On a marché longtemps.

    Le jardin de l'amour

    Où une nuit l'espoir était là.

    Le bien était dans le parcours

    Et nos envies voulaient recevoir l'éclat.

    On s'est enlacé naturellement.

    On s'est embrassé langoureusement.


    Le jardin de l'amour

    Où la folie est venue nous voir.

    Le destin nous à fait son tour

    La  rêverie nous dirige  vers l'ivoire.

    On s'est arrêté chez ma mère.

    On a dégusté de bons cafés

    Tu t'es allongée sur le canapé.

    Tu m'as dit viens prés de moi.

    Tu m'as fait de petits câlins.

    J'étais devenu Roi

    Et toi, tu étais promue Reine.

    Car c'était droit,

    on s'est ému

    et on s'est aimé

    sans aucunes peines.

     

    Texte : François Lehembre

    Musique : Julian Renan


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  • DANS LES YEUX DE MA PRINCESSE

    Je reçois tous les jours.

    En moi, ton doux amour.

    Je n'ai plus froid sur moi.

    Quand tes baisers me font foi.

    Je n'ai pas peur.

    Quand ta pureté est là sur mon cœur.

     Car je sais que tu veux fonder le bonheur.

    Je rêve tous les soirs.

    Et m'élève sous tes bonsoirs.

    Je n'ai plus mal à mon bras.

    Quand ton moral est là.

    Je n'ai pas de pleurs.

    Quand ta bonté me fait douceur.

    Car je sais que tu veux marcher dans la chaleur.

    Dans les yeux de ma Princesse.

    Il y a du bleu dans sa tendresse.

    Du moelleux dans sa délicatesse.

    Et un juste milieu dans sa richesse.


    Dans les yeux de ma Princesse.

    Il y a un peu de tristesse.

    Du feu dans ses caresses.

    Mais pas d'enjeu dans sa gentillesse

    .
    Dans les yeux de ma Princesse.

    Il y a de l'aveu dans ce qu'elle adresse.

    De l'harmonieux pour son Altesse.

    Et du glorieux pour une vie enchanteresse

    Texte: François Lehembre

    Musique: Julian Renan

     


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  • JE N'AI RIEN FAIT

     Texte : Gérard Salert

    Musique: Jean-Pierre Lombard

     

    I                                                          II

     

    Je ne suis pas un descendant                 J'ai juste fondé un ménage

    Des titans aux travaux d'  géant           Avec deux fill's à élever:

    Et pas non plus un fils d'Hercule          Corps et âme bien à l'ouvrage,

    Dont les épreuv’s firent le une,             J'ai travaillé d'arrache pied.

    Je n’suis pas même un d’ces romains  J'ai travaillé forcé, contraint

    Qui ont bâti tout un empire:                Bien acharné dans la besogne

    Je n'ai rien fait de mes deux mains      Mais je n'ai rien fait de mes mains

    Si ce n'est le seul fait d'écrire.              Même en payant de ma personne.

     

    III                                                       IV

     

    Capitaine veillant aux pièces,              J'ai bien été à leur écoute

    J'ai bien tenu de durs emplois.             Guidant leurs rêv’s, ouvrant leurs routes.

    A m'escrimer toujours sans cesse,        Que reste-t'il donc à ce jour

    J'ai travaillé comme un forçat.             Qu’elles convol’nt à leurs amours?

    Il fallait bien gagner son pain              Ma dam’, tu n'as pas l' Saint-Frusquin

    Pour éduquer ses chérubins                 Ou le confort de tes consoeurs:

    Mais qu'ai-je donc fait de mes mains   Je n'ai rien fait de mes deux mains

    Si ce n’est que d’être à leurs soins .     En ne pensant qu'à ton bonheur.

     

    V        

    Je n'ai pas fait de pyramide,

    De cathédrale ou de palais

    Qui soit suffisamment splendide

    Pour satisfaire tous tes souhaits.

    Je n'ai fait qu'apaiser tes craintes

    Sur les dangers des lendemains,

    N'émets pas, mon amour, de plainte

    Si je n'ai rien fait de mes mains.

     


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