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  • Nouveau Nikon D800 : FX, 36,3Mp, vidéo 1080p FullHD

    Le Nikon D800 est (enfin) arrivé ! Le nouveau D800 tant attendu vient donc remplacer le Nikon D700 et apporte son lot de nouveautés dont certaines ont été déjà présentées sur le récent Nikon D4. Ce Nikon D800 présente toutefois quelques spécificités bien à lui : un capteur (très) riche en pixels – 36Mp – et une inédite version D800E dont la particularité est de ne pas disposer de filtre AA, le filtre Anti-Aliasing qui réduit le moiré mais diminue l’impression de netteté de l’image. Les D700 et D3x restent au catalogue – pour écouler les stocks ? – mais il apparaît clairement que ce Nikon D800 a pour vrai objectif de remplacer les deux modèles de la gamme pro dont le très spécifique D3x à la résolution de 24Mp.

    Le Nikon D800 aura fait parler de lui ! Le boîtier devait initialement être présenté courant Octobre 2011 mais les évènements climatiques en Asie ayant perturbé les sites de production Nikon et Sony, Nikon a du revoir ses plannings. Tout est à peu près rentré dans l’ordre et le D800 arrive officiellement après des mois de rumeurs, supputations et autres exaspérations des fans de la marque. Le D700 reste un superbe boîtier mais l’absence de mode vidéo handicape les professionnels et vidéastes, la définition limitée à 12Mp peut être un frein pour certains et la sensibilité en basses lumières du D700 n’est pas au niveau de ce que sait faire désormais Nikon si l’on se fie aux performances du D3s et du tout récent Nikon D4.

    Un capteur riche en pixels

    Le Nikon D800 arrive avec une fiche technique qui va néanmoins faire parler d’elle : avec 36Mp ce D800 enfonce le clou ! C’est 24Mp de plus que son prédécesseur et encore plus de deux fois la définition du récent D4 avec ses 16Mp. Le capteur qui équipe le D800, dont l’origine n’est pas mentionnée par Nikon mais qui serait fabriqué par Sony, a une définition de 7.360 x 4.912 pixels. Il présente la particularité de donner des images peu bruitées et à la dynamique étendue. La sensibilité nominale est de 100 ISO et la plage s’étend de 100 à 6400 ISO avec la possibilité d’atteindre 50 ISO et 25600 ISO en mode étendu.

    Avec un tel nombre de pixels (vive les cartes mémoires et disques durs de grande capacité pour stocker les 74 Mo en RAW 14 bits), force est de reconnaître que Nikon frappe fort. Les amateurs d’images bien définies devraient être servis. Si l’on en croît Nikon, la qualité du capteur à 1600 ISO devrait permettre de générer des images totalement exemptes de bruit numérique. Un bon point même si c’est loin d’être une révolution en 2012, le D3s est déjà capable des mêmes résultats (mais à 12MP) et le Canon EOS 1D-X annonce la même prouesse avec 18Mp.

    Indiscutablement, le Nikon D800 vient chasser sur les terres du moyen-format et de la très haute définition. Avec 36Mp et sans le filtre anti-moiré, la version D800E devrait concurrencer directement les dos numériques des appareils de la gamme supérieure, avec des prestations sensiblement équivalentes et un tarif bien moindre (en comparaison avec les dos numériques par exemple). Le moiré est un défaut qui se corrige facilement par un traitement logiciel approprié, le Nikon D800E sera livré avec Nikon Capture NX2 qui sait exécuter ce genre de traitement. Les utilisateurs du D800 non E devront eux faire l’acquisition de Capture NX2 (vieillissant) qui n’est toujours pas livré en série avec le boîtier.

    Nikon D800E,une version sans filtre AA

    Deux Nikon D800 ? En effet, la marque japonaise annonce deux versions de son nouveau boîtier, et même si le D800E devrait être produit en série très limitée, il va intéresser tous ceux qui ont besoin de la meilleure définition possible. L’absence de filtre AA – Anti-Aliasing – sur ce boîtier permet d’éviter la perte de définition due à la présence du filtre dont le but est de supprimer les informations en provenance du capteur et considérées comme « incorrectes ». Présent dans tous les autres modèles de boîtiers Nikon (et la plupart des marques sauf le Leica M9 ou le Fuji X-Pro 1), ce filtre sert principalement à diminuer l’effet de moiré sur les images. Ce D800E intéressera ceux qui veulent obtenir les plus fins détails sur une image, en usage studio par exemple, et grâce à la définition de 36Mp, le D800E vient concurrencer directement les boîtiers moyen-format et leurs dos numériques. Les amateurs de photo astronomique apprécieront également. Le tarif du Nikon D800E est loin d’être le même par contre que celui d’un système moyen-format numérique.

    Une question se pose à laquelle nous ne pouvons répondre encore : quels résultats vont donner les optiques actuelles, voire les plus anciennes, avec une telle définition ? En effet, avec 36Mp, il va falloir des optiques de qualité, et mis à part les récents objectifs à traitement nano-crystal, il y a fort à parier que les objectifs les plus anciens, aux performances satisfaisantes avec 12Mp, vont souffrir cruellement.

    Expeed 3 et Autofocus 91000 pixels

    Le Nikon D800 embarque le processeur Expeed 3 déjà présent sur le Nikon D4 (et la gamme Nikon One). Ce processeur permet de traiter les images en travaillant sur 16 bits sur des fichiers RAW de 14 bits. Le RAW 14bits non compressé était déjà présent sur le Nikon D700, c’est le traitement fait par l’Expeed 3 sur 16 bits (plus de canaux donc plus grande vitesse de traitement) qui change la donne. Cette caractéristique permet également de traiter des flux vidéos FullHD et bruts.

    Le module autofocus AF Multi-CAM 3500 est hérité du récent Nikon D4 : utilisable de -2 à +19 IL, ce module embarque 15 collimateurs en croix dont 11 sont sensibles jusqu’à f/8. Le module AF est complété par un capteur RVB de 91000 points en charge de la mesure de lumière. Le processeur Expeed 3 autorise la reconnaissance de scène et la reconnaissance des visages pour adapter au mieux l’exposition.

    Cet autofocus peut fonctionner jusqu’à -2IL soit la lumière que l’on observe par une nuit de pleine lune. Il sait utiliser les seules 11 plages AF centrales pour permettre la mise au point autofocus jusqu’à f/8. Autrement formulé, ce système autorise l’utilisation de convertisseurs de focales avec des optiques ouvrant à f/2.8 ou f/4 sans perte de l’autofocus.

    Ces caractéristiques nous laissent penser que le Nikon D800 devrait être beaucoup plus réactif que le D700 dont l’autofocus a parfois un peu de mal à accrocher et suivre le sujet en mode de mise au point AF dynamique. Le D3s avait apporté un réel progrès, le D4 (donc le D800 aussi en toute logique) est conforme aux attentes des photographes de sport par exemple.

    Le mode rafale du Nikon D800 permet 4 im/sec et 6 im/sec. avec la poignée optionnelle MB-D12. Ce ne sont pas là des valeurs record et les férus de photo de sport trouveront vite la limite, ils passeront plus probablement au Nikon D4 bien plus performant en rafale.

    Viseur 100% et écran LCD 8,1cm

    Le viseur du Nikon D800 propose une véritable visée 100% avec un grossissement de 0,7x là où le D700 n’offrait que 95%. C’est donc un réel progrès, et le moins que Nikon puisse faire sur ce type de boîtier. L’écran arrière reste le désormais classique LCD de 8,1 cm de diagonale et 921.000 points. Son rendu est plus flatteur que celui du D700, il est proche du sRVB pour une meilleure restitution des couleurs. La luminosité de l’écran s’adapte aux conditions ambiantes. Pas de rétro-éclairage des boutons par contre sur ce D800, à la différence du grand frère Nikon D4 mais un écran de protection amovible pour l’écran arrière.

    Le Nikon D800 propose un mode HDR intégré : dans ce mode, le boîtier enregistre une photo sous-exposée et une photo surexposée en un seul mouvement de miroir, puis les combine pour rendre l’image HDR habituellement ‘fabriquée’ à l’aide d’un logiciel de post-traitement. La différence d’exposition entre les deux photos peut atteindre 3EV, ce mode n’offre néanmoins pas la souplesse offerte par un logiciel complémentaire qui sait interpréter plusieurs images pour optimiser le rendu HDR.

    Le Nikon D800 permet d’enregistrer les images selon quatre formats différents  :

    • plein format (24x36mm)
    • rapport 5:4 (30x24mm)
    • rapport 3:2 (30×19.9mm)
    • format DX (23.4×15.6mm)

    C’est le premier boîtier numérique à proposer un recadrage visible directement dans le viseur optique.

    Les commandes supérieures du Nikon D800 restent disposées tout comme sur le Nikon D700, seule une touche vidéo apparaît sur le capot supérieur droit. Une nouvelle touche bracketing apparaît elle sur le côté gauche pour faciliter l’usage de cette commande peu ergonomique sur le D700.

    Vidéo FullHD 1080p et sortie HDMI avec flux non compressé

    Tout comme son grand frère le Nikon D4, ce nouveau D800 propose le meilleur compromis du moment en matière de vidéo. Flux FullHD 1080p à 24, 25 ou 30 im./sec., sortie flux non compressé, prise pour enregistreur externe, prise pour retour son, réglage des paramètres de prise de vue en cours de tournage, mode ciné 4.2.2, etc. L’enregistrement sur carte est limité à 29mn59sec. tandis que la sortie HDMI permet d’enregistrer en continu sur un périphérique externe dans un format de montage.

    Pour faciliter le montage, le Nikon D800 permet d’indiquer les plans clés grâce à un système de marqueurs ou encore d’indiquer manuellement le début et la fin d’un clip vidéo. Le contrôle audio n’est pas négligé, le D800 dispose de deux prises mini-jack 3,5mm : une entrée son pour brancher un microphone stéréo externe et une sortie casque pour le monitoring des prises en direct. Des vumètres ajustables sont visibles sur l’écran et permettent à tout moment de réguler le niveau d’enregistrement audio.

    Le D800 propose deux uniques modes de recadrage en vidéo (4 sur le Nikon D4) : le plein format (FX) pour des profondeurs de champs minimales et le format DX (facteur de multiplication x 1,5) similaire au format cinéma super 35, plus souple pour gérer la mise au point manuellement.

    A mi-chemin entre photo et vidéo, la fonction timelapse intégrée permet d’enregistrer les timelapse directement sous forme de fichier vidéo à des vitesses de lecture de 24 fois à 36 000 fois plus rapide que la normale.

    Alimentation et cartes mémoire

    Le Nikon D800 utilise une batterie EN-EL15 qui permet de déclencher environ 850 fois selon les normes CIPA. Le D700 était un peu plus permissif avec près de 1000 vues même si sur le terrain la réalité tourne plutôt autour de 600 photos. Si l’autonomie du D800 s’avère plus proche de 450 photos sur le terrain que des 750 théoriques, il s’avèrera nécessaire de prévoir une batterie de rechange ou deux lors des longues journées de shooting ! Nikon a toutefois assuré la compatibilité avec la batterie EN-EL18 du Nikon D4 qui peut s’insérer dans la poignée MB-D12 optionnelle.

    Le D800 dispose de deux emplacements pour cartes mémoire, CF et SD. Pas de format XQD comme sur le grand frère, Nikon est conservateur avec le D800. Il permet également d’utiliser le mode de transmission WIFI par l’intermédiaire du module additionnel WT-4. Nous regrettons que Nikon n’ait pas jugé bon de permettre la compatibilité avec le module WT-5 du Nikon D4, la multiplication des modules optionnels alourdissant la facture et multipliant les configurations. A moins que ce module WT-5 n’ait été conçu après le D800 si l’on tient compte des dates de sorties initialement prévues (mais quand même !). Le D800 dispose d’un port USB3.

    Dimensions et boîtier

    Le Nikon D800 reprend les caractéristiques de fabrication du Nikon D4 avec un châssis entièrement en alliage de magnésium, seule la chambre reflex ne bénéficie pas de ce traitement comme sur le Nikon D4. Cette construction garantit une solidité à (presque) toute épreuve et au passage, notons la performance des ingénieurs Nikon qui ont réussi à réduire le poids de 100gr. par rapport au D700. A la fin de la journée, ça peut faire la différence !

    Le boîtier comporte des joints d’étanchéité à chaque ouverture et l’utilisation d’optiques à joints toriques permet de le considérer comme tropicalisé.

    L’obturateur mécanique a été renforcé pour tenir compte des contraintes apportées par la vidéo. Il est conçu pour supporter 200.000 cycles, ce que propose également le Nikon D4 (le D700 était conçu pour 150.000 cycles).

    Dernière information d’importance, le tarif ! Le Nikon D800 sera disponible à partir du 22 mars au prix public conseillé de  2899 €. Le Nikon D800E sera disponible en Distribution Sélective à partir du  12 avril au prix public conseillé de 3199 €.

    Source : Nikon


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  • Le Nikon D4 pointe le bout de son nez ! Après une année 2011 cataclysmique pour la marque japonaise et des perturbations sans précédent ayant entraîné du retard dans les annonces de nouveaux boîtiers, voici 2012 venue. Cette nouvelle année voit donc le tout nouveau boîtier pro Nikon arriver le premier avant le très attendu Nikon D800 et son petit frère Nikon D400, tous les deux pour le printemps (peut-être).

    Nouveau Nikon D4 : 16Mp, 204800 ISO, vidéo Full HD, 5800 euros

    Le Nikon D4 vient donc remplacer le Nikon D3s, ayant lui-même succédé au Nikon D3. Concurrent avéré du futur Canon EOS-1D X, ce Nikon D4 dispose d’une fiche technique qui nous semble aller dans le bon sens même si elle ne révolutionne pas le monde de la photo numérique. Le D4 embarque un capteur à 16Mp, une définition plus proche du besoin actuel pour la plupart des photographes que les seuls 12Mp du D3s. Le Nikon D4 a ainsi le bon goût de ne pas jouer l’inflation en matière de pixels même si l’on aurait apprécié de retrouver un capteur 18 ou 20Mp pour un peu  plus de souplesse en recadrage. Le Nikon D3x reste au catalogue pour les amateurs de capteurs bien fournis, avant l’arrivée possible d’un futur Nikon D4x. A moins que le futur Nikon D800 n’embarque le capteur 36Mp dont certaines rumeurs font état.

    Nouveau Nikon D4 : 16Mp, 204800 ISO, vidéo Full HD, 5800 euros

    Nikon a donc choisi de privilégier la sensibilité, le Nikon D4 pourra shooter à 204800 ISO en mode étendu, et la rapidité. Si l’on peut regretter la valeur nominale maximale de 12800 ISO de ce nouveau capteur – Canon fait beaucoup mieux sur ce point – on ne peut qu’apprécier la rapidité qui semble être celle du Nikon D4 grâce à son nouveau processeur Expeed 3. Le processeur Expeed 3 présent sur le Nikon D4 autorise en effet une cadence rafale infernale de 10 vues par seconde avec un suivi AF qui assure jusqu’à à 11 vps sans AF (nous attendons des précisions de la part de Nikon sur cette dernière remarque). Le D4 gère des données 16 bits (le format RAW est réglable sur 12 ou 14 bits). Contrairement au concurrent Canon,  la cadence rafale à 10 vps est annoncée comme disponible quel que soit le mode de prise de vue utilisé (toutes sensibilités, mode D-Lighting, mode réduction du bruit électronique).

    Dans la droite ligne du Nikon One, le boîtier le plus rapide du monde selon Nikon, le Nikon D4 propose donc une rapidité de mise au point et de déclenchement qui le positionne au-delà de ce que savait faire le Nikon D3s.

    Nouveau Nikon D4 : 16Mp, 204800 ISO, vidéo Full HD, 5800 euros

    Le Nikon D4 dispose du module de détection AF Multicam 3500FX du D3s, avec 51 collimateurs. Ces collimateurs peuvent fonctionner en groupe de 11 si l’on choisit le mode dynamique dédié. Nikon a également travaillé sur la sensibilité de ces collimateurs afin de permettre un emploi aisé des téléconvertisseurs de focales. De même la plage de détection est étendue par rapport à celle du D3s avec des limites à -2 et +19 IL.

    Le D4 dispose également d’un nouveau capteur de mesure de lumière, un module à 91000 points (1005 sur les versions précédentes), ce capteur étant capable à lui tout seul de détecter le type de scène, les conditions d’éclairage et donc la meilleure exposition possible. Contrairement au module de 100.000 points du Canon EOS 1DX qui fonctionne par regroupement de 252 zones, celui du Nikon D4 autorise l’emploi de tous les points pour l’analyse de la scène. On retrouve bien là une des qualités reconnues des reflex Nikon, la gestion de l’exposition. Ce capteur peut ainsi assurer la détection des visages en visée reflex. Il ne nécessite pas l’utilisation conjointe du module principal. Le module AF à détection de contraste en visée sur l’écran fait également l’objet d’améliorations, le rendant plus réactif.

    Avec le Nikon D4, Nikon rattrape le retard sur la concurrence en matière de vidéo. Le D4 dispose d’un mode vidéo Full HD, un format d’enregistrement .MOV avec codec H.264, une gamme complète de cadences de tournage pour le plus grand plaisir des vidéastes. Ces derniers disposeront également d’une entrée ligne, d’une prise casque, de niveaux avec vue-mètre, d’une sortie HDMI, etc. De bonnes nouvelles donc pour les amateurs du genre.

    Le mode vidéo H.264/MPeg-4 AVC permet l’enregistrement sur cartes de séquences de 30mns. Le mode ciné ProRes en 4:2:2 permet de sortir le signal sur un enregistreur externe pour travailler sur le flux HDMI non compressé.

    Nouveau Nikon D4 : 16Mp, 204800 ISO, vidéo Full HD, 5800 euros

    les touches rétro-éclairées du Nikon D4

    Pour ce qui est de son apparence extérieure, le Nikon D4 ressemble fortement à son prédécesseur, quelques améliorations en matière d’ergonomie étant à relever toutefois : une poignée verticale remodelée, un écran plus généreux, des touches arrières éclairées, un joystick indépendant pour une meilleure gestion des collimateurs AF. Le viseur du Nikon D4 reste identique à celui du D3s, il faut dire qu’il n’y avait pas grand-chose à reprocher à ce dernier. L’écran LCD arrière gagne en surface puisqu’il mesure désormais 8,1 cm contre 7,6 pour le D3s.

    Si la robustesse des Nikon pro n’est plus à démontrer, soulignons néanmoins l’effort fait par Nikon pour fiabiliser encore un peu plus son modèle pro. L’obturateur est désormais conçu pour résister à 400.000 cycles de déclenchement. Le miroir, l’obturateur et le diaphragme fonctionnent indépendamment les uns des autres, les vidéastes pourront ainsi modifier la valeur de l’ouverture le diaphragme pendant le tournage. Le Nikon D4 permet également la capture de photos pendant l’enregistrement vidéo.

    Nouveau Nikon D4 : 16Mp, 204800 ISO, vidéo Full HD, 5800 euros

    Le Nikon D4 dispose d’une connectique très complète puisqu’outre les traditionnels ports USB (curieusement en version 2 et non 3) et HDMI, il dispose d’une prise ethernet, d’un nouveau transmetteur Wifi, d’un port pour les cartes mémoire XQD en complément du port Compact Flash. Notons la présence du port XQD, le standard correspondant aux nouvelles cartes mémoire non disponible à ce jour mais qui permettront selon Nikon des rafales de 200 vues en JPG et 105 en RAW !

    Ce nouveau Nikon D4 reprend donc le flambeau d’une lignée de boîtiers pros Nikon reconnus pour leurs qualités en matière de sensibilité et de performances AF. Il ne bouleverse pas pour autant le marché, mais était-ce nécessaire au vu du niveau de performances proposé par ce type de boîtier d’ores et déjà. Petite ombre au tableau par contre, un tarif public de 5800 euros qui demandera un réel effort au photographe professionnel dont les finances sont plutôt malmenées ces dernières années.

    Source : Nikon


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  • g 

    Il se pourrait prochainement que Nikon annonce la futur mise en vente du Nikon D4!

    A quoi pourrait ressembler ce nouveau reflex classé dans la gamme expert : 

    Le nikon D4 serait doté d'un capteur de 16,2 Mpx , d'un mode rafale à 11 fps et de 100 à 102 400 ISO en natif. 

    Il pourrait être compatible avec le transmetteur sans fil NIKON WT-5. Il se pourrait même que le boitier possède un port Ethernet intégré et  d'un port Thunderbolt…………


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