-
OUVERTURE D'UN TEMPLE ANTOINISTE A HELLEMMES. – Dimanche, à 10 heures, devant une foule nombreuse d' « Antoinistes » venus de Belgique, la « Mère Antoine », la veuve d'Antoine-le-Guérisseur, a inauguré le temple Antoiniste, situé rue Jean-Bart.
Après la cérémonie, la foule fut admise à visiter le temple, qui n'est qu'un local aux murs sévères sans la moindre ornementation.Journal de Roubaix, 29 septembre 1925 (source : bn-r.cd-script.fr)
votre commentaire -
Een nieuwe staatsgodsdienst
Partijgenoot Piérard heeft gevraagd dat de godsdienst der Antoinisten, die in het Walenland belijd wordt, zou erkend worden als staatsgodsdienst.
Daar tegen protesteeren de katholieken. Zij vinden, dat het reeds te veel is dat de protestanten meepaarten van het manna van den Belgischen staat. Voor ons was de oplossing heel eenvoudig.
De joden betalen hun godsdienst, de protestanten betalen voor het protestantisme en de Antoinisten voor den hunne, en als dan de roomsch-katholieken hetzelfde doen, dan betaalt elk voor de zaak, die hij gelooft de beste te zijn.De Volksgazet van Brussel, 24 novembre 1922 (Belgicapress)
Traduction :
Une nouvelle religion d'Etat
Piérard, membre du parti, demande que la religion antoiniste pratiquée en Wallonie soit reconnue comme religion d'Etat.
Les catholiques s'y opposent. Ils estiment que c'est déjà trop pour les protestants de profiter de la manne de l'Etat belge. Pour nous, la solution était très simple.
Les juifs paient pour leur religion, les protestants paient pour le protestantisme et les antoinistes paient pour la leur, et si ensuite les catholiques romains font de même, chacun paie pour la cause qu'il estime être la meilleure.
votre commentaire -
Exemple de faire-part pour un enterrement antoiniste dans un journal régional français, Le Phare de la Loire (7 septembre 1934) de Nantes.
votre commentaire -
Dans cet encart publicitaire, trouvé dans La Nation Belge du 6 janvier 1935 (source : Belgicapress),
on apprend que la revue Cassandre a édité « Noël antoiniste » par O. Grojean.
votre commentaire -
MINISTERE DE LA JUSTICE.
Fondation d'établissement d'utilité publique.
« Culte Antoiniste ». – Statuts. – Approbation.(1re direction générale, 3e section, n° 10042s.)
ALBERT, Roi des Belges,
A tous, présents et à venir, SALUT.
Vu les expéditions des actes passés les 15 janvier et 10 juin 1922, devant le notaire Lapierre, de résidence à Jemeppe-sur-Meuse, par lesquels Mme Collon (Jeanne Catherine) veuve de M. Antoine (Louis Joseph), sans profession, demeurant en la dite commune, déclare fonder un établissement d'utilité publique, sous la dénomination : « Culte Antoiniste », et en soumettre les statuts à Notre approbation ;
Vu les statuts de cet établissement insérés dans les actes susvisés ;Vu le procès-verbal d'expertise, en date du 10 juin 1922, et les pièces de l'instruction d'où il résulte que les temples avec leurs dépendances affectés à la fondation comprennent :
1e Les immeubles inscrits au cadastre, commune de Jemeppe-sur-Meuse, section A, nos 29212, 29243, 292n3, 292q3, 292r3, 292s3, 29243, 292l3, 292m3, 292s, 292a3, 292j3, 292r3, 292p3 ; commune de Jupille, section A, n° 454t2 ; commune de Jumet, section D, n° 293v53 ; commune de Seraing, section B, n° 507s ; ville de Visé, section A, n° 335t ; commune de Momalle, section A, n 301c et 504k ; commune de Villers-le-Bouillet, section B, n° 1203k ; commune de Forest-lez-Bruxelles, section A, 400k ; commune de Souvret, section B, n° 753n ; ville de Liége, section C, n° 300h ; commune de Herstal, section G, n° 905k ; commune d'Ecaussinnes-d'Enghien, section A, nos 562f, 562g, 562e (ces deux derniers biens en nue propriété) ; commune de Montegnée, section A, partie des nos 55w et 55x ; commune de Bierset, section A, n° 398k ; ville de Verviers, section A, n° 22v4, et commune de Stembert, section B, n° 164k, d'une contenance totale de 88 ares 77 centiares et d'une valeur globale de de 508,900 francs et les biens meubles évalués à 19.900 francs ;
2e Deux temples situés en France, l'un à Vichy, rue Bargoin, d'une contenance de 3 ares 60 centiares, l'autre à Tours, rue d'Ambroise, d'une contenance de 3 ares 96 centiares.Vu le titre II de la loi du 27 juin 1921 sur les associations sans but lucratif et les établissements d'utilité publique ;
Sur la proposition de Notre Ministre de la Justice, Nous avons arrêté et arrêtons :
Article 1er. La fondation susvisée de l'établissement d'utilité publique dénommé : « Culte Antoiniste » est approuvée.
Art. 2. Les statuts de cet établissement, annexés au présent arrêté, sont approuvés.
Notre Ministre de la Justice est chargé de l'exécution du présent arrêté.Donné à Bruxelles, le 3 octobre 1922.
ALBERT.
Par le Roi :
Le Ministre de la Justice
F. Masson
votre commentaire -
« DELIVREZ-NOUS DU MAL »
de Robert Vivier (Grasset)C'est un roman bien curieux que vient de publier M. Robert Vivier. C'est, en effet, le roman de Louis Antoine, ouvrier mineur des environs de Liége qui, à la fin d'une vie simple et pieuse, fut amené à l'occultisme, l'abandonna, se découvrit des dons de guérisseur, voua son temps et ses forces aux malades. Le spectacle continuel de la souffrance physique l'amena à remettre tout l'univers en question. Avec une simplicité et une ingéniosité inébranlables, il repensa le monde à sa façon. Cet homme presque illettré, après avoir créé une morale, écrivit des livres de métaphysique. Il est mort en 1912 et, aujourd'hui, l'antoinisme a son rite, ses prêtres et, dans de nombreuses villes de France et de Belgique, ses temples.
M. Robert Vivier, qui est Belge, connaît parfaitement les paysages qu'il décrit, la vie et l'âme des ouvriers de ce pays, aussi les voit-on véritablement vivre et il s'agit bien d'un roman, non point d'une biographie ou d'une histoire romancée. On ne trouvera pas dans Délivrez-nous du mal un exposé historique des faits, encore moins des commentaires, l'auteur s'est appliqué à comprendre et à faire revivre l'aventure d'Antoine, sa vocation étonnante simplement accueillie par lui-même et par les autres. Mais avec un grand souci d'honnêteté, il a pris soin de ne lui attribuer ni un seul acte ni un seul geste qui ne soit en accord avec caractère ou avec les mœurs de son milieu, ou bien que la tradition orale, qui a joué un grand rôle dans la diffusion de l'antoinisme ne ratifie.
Nous n'avons point à engager une discussion d'idées, mais puisque nous avons à juger un roman, nous devons envisager le point de vue de l'art. Et là, malgré un sujet curieux et plein d'attraits, nous devons faire des réserves. C'est une grande règle valable pour toute œuvre en général d'aborder le sujet au moment où il devient intéressant. M. Robert Vivier nous fait suivre son personnage depuis sa naissance, ne nous fait grâce d'aucun détail et il en a peu de curieux jusqu'à l'âge de sa vocation tardive. L'auteur retrace avec beaucoup d'exactitude un milieu de braves, d'honnêtes, de saintes gens. Est-ce pour satisfaire aux exigences du populisme que l'auteur traite son sujet avec tant de minutie ? En tous cas, ces longs tableaux, ces longues digressions lassent avant la trois-centième page. Nous ne voudrions pas être sévère pour un auteur dont l'œuvre est fort appréciée, mais d'autres peut-être le seront plus que nous et, à la lecture de ce volumineux ouvrage, se rappelleront le vers de Boileau :
Qui ne sut se borner...Le Petit Marseillais, 8 avril 1936
Je termine la citation de Nicolas Boileau (citation très sévère du journaliste pour cet auteur) : « Qui ne sut se borner ne sut jamais écrire ».
votre commentaire -
Vue d'ensemble
La plaque devant porte l'inscription : À notre mère regrettée Madame Gustave Gony-Plumier 1868-1967 (il s'agit de l'épouse du politique).
Le médaillon dans la couronne doit représenté la mère de Gustave Gony (enterrement avec funérailles spirites).
La plaque à droite est en souvenir de leur fille Andrée (1901-1985) avec son mari Nestor Dohogne (1898-1968)Médaillon représentant une photo de Gustave Gony
La plaque porte l'inscription : À notre époux et père regretté, Gustave Gony 1870 - 1913
votre commentaire -
On ne comprendrait pas la douleur pour les uns, la joie pour les autres dans UNE VIE, ce qui serait de la plus grande injustice, s'il n'y avait pas une balance spirituelle qui corrigerait les défauts et les vices d'une humanité ignorante de ses devoirs de solidarité, de fraternité, par une succession de vies.
Le Fraterniste, 1er mars 1934 (Maxime de Henri Lormier)
votre commentaire -
Ce que c'est que le culte "Antoiniste" ?
L'antoinisme est une étrange religion, qui compte des adeptes en France et, davantage encore, en Belgique. Il naquit en 1906, au cours d'une expérience spirite, au cours de laquelle la révélation fut faite à un ouvrier mineur, le "père Antoine", de la "réincarnation de son fils". Le centre de cette religion est à Jemeppe-sur-Meuse, près de Liége. C'est là, en quelque sorte, la petite Rome du culte antoiniste. Il y a une dizaine d'années, celui-ci groupait 300.000 adeptes, mais depuis quelque temps, il a beaucoup perdu. Quant à Antoine, il est décédé il y a peu d'années, après avoir professé que le mal ni la matière ne sont réels et qu'il suffit de s'en persuader pour être guéri de tous les maux physiques ou spirituels...
Le Petit Journal, Montréal, 24 avril 1938 (source : numerique.banq.qc.ca)
votre commentaire -
Supposons que nous soyons deux, animés du même amour nous sommes l'un dans l'autre, des deux nous ne faisons qu'un ; nous partons à la recherche d'une chose qui doit nous faire le bonheur plus grand encore. Nous en sommes certains : impossible que nous soyons trompés, nous sommes dans la vérité puisqu'il n'y a que ce chemin pour arriver. Mais à un moment donné, un embranchement nous apparaît et nous voilà autant indécis que nous étions certains auparavant. Nous sommes embarrassés, mon compagnon veut prendre un chemin et moi l'autre ; tantôt des deux nous ne faisions qu'un et maintenant nous doutons, nous nous contrarions et nous nous divisons. J'élève une pensée vers Dieu, en murmurant je Lui dis : « Mon Dieu, Tu nous as abandonnés, Tu nous as trompés. » Mais une voix se fait entendre en moi : « Je ne suis où vous croyez, voilà pourquoi vous avez douté. Que cherchez-vous ? – Le libre arbitre. – Eh bien ! ne dites plus alors que je vous ai trompé, n'avez-vous pas trouvé ce que vous cherchiez ? » En effet, l'erreur venait de faire son apparition, c'est elle qui nous le donne, car si nous n'avions qu'un chemin à suivre, celui de la vérité, nous serions toujours certains d'y arriver puisqu'il nous serait impossible de nous en dispenser. Le deuxième nous donne la faculté de choisir. Disons alors que l'erreur est aussi utile. Simples et ignorants, dans la réalité nous n'étions pas heureux parce que nous n'aurions su l'apprécier. Mais le doute, l'intelligence qui est le deuxième chemin, nous rend libres en nous dirigeant à travers la matière qui n'est que tribulations, l'erreur d'où nous vient la souffrance ; nous devons passer par le mal pour comprendre le bien.
Développement de l’Enseignement du Père, L'intelligence humaine, comparée à L'instinct animal, p.19-21
votre commentaire -
Adolphe Joseph Servais, né à Naninne (province de Namur) le 28 janvier 1838, était un médium et spirite célèbre dans les environs de Seraing. Il fit partie du premier groupe spirite liégeois et un des membres fondateurs de la Société Spiritualiste de Seraing. Il était également "religieux et libre penseur dans le sens le plus élevé du mot, puisque tout en affirmant les convictions religieuses qu'il avit librement acquises, il tenait à garder toute l'indépendance de sa pensée" précise son frère en croyance Jouffreau lors de son discours funéraire. Il était négociant de métier et habitait rue du Bac, à Seraing. Il était marié à Isabelle Joseph Adèle Comblet.
Il meurt à son domicile, à Seraing le 15 juillet 1885, à l'âge de 47 ans et "ses dernières années n'ont été qu'un long et douloureux martyre." Ce sont ses voisins qui déclarèrent son décès en mairie.Acte de décès du 15 juillet 1885
Nécrologie pour Adolphe Servais dans Le Messager, 1er août 1885 (cliquez pour agrandir)
votre commentaire -
-
Sœur Edmonde devant la porte du Temple de Quessy
(archives du Temple de Tergnier mises en ligne par l'Abbé Olivier sur la page FaceBook du Temple Gallican)
votre commentaire -
Tombe des époux Houart-Daloze - vue d'ensemble (Cimetière de Seraing, Biens communaux)
PROPAGANDE SPIRITE
Les nombreux adeptes de notre saine philosophie qui ont assisté aux funérailles de notre sœur en croyance, Mme Saive, ont pu admirer au cimetière de Seraing deux tombes portant des inscriptions spirites.
L'un de ces monuments funéraires est remarquable par son travail artistique. Sur une surface de six mètres carrés deux blocs de granit superposés en pente douce recouvrent un caveau spacieux.
Tout en haut repose un petit cercueil en pierre sculptée portant le Triomphe de la vie sur la mort, représenté par une élégante statuette d'enfant en marbre blanc, de grandeur naturelle. Elle tient d'une main un flambeau (la lumière), de l'autre une couronne d'immortelles.
Sur le long côté du petit cercueil se trouve gravé en lettres dorées :Naître, mourir, renaître encore et progresser sans
cesse. ALLAN KARDEC.Sur le granit sont aussi gravés ces mots :
Vers Dieu par le Progrès et la Charité.
Plus bas en relief, grandeur naturelle, le beau dessin sculpté (le cep de Vigne) qui se trouve à la page XLI du Livre des Esprits (1), et ensuite :
Sépulture de la famille
O. C. HOUART.(1) « Tu mettras en tête du livre le cep de vigne que nous t'avons dessiné parce qu'il est l'emblème du travail du Créateur, tous les principes matériels qui peuvent le mieux représenter le corps et l'esprit s'y trouvent réunis : le corps c'est le cep ; l'esprit c'est la liqueur ; l'âme ou l'esprit uni à la matière, c'est le grain. L'homme quintessencie l'esprit par le travail et tu sais que ce n'est que par le travail du corps que l'esprit acquiert des connaissances. » (Livre des Esprits, page XLII.)
Le Messager, 1er octobre 1889
L'inscription de la citation d'Allan Kardec est maintenant presque illisible. La statuette dont parle l'article a quant à elle complètement disparu.
votre commentaire -
1 Je suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron.
2 Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, il le retranche; et tout sarment qui porte du fruit, il l'émonde, afin qu'il porte encore plus de fruit. (Jean - chapitre 15)
" Tu mettras en tête du livre le cep de vigne que nous t'avons dessiné, parce qu'il est l'emblème du travail du Créateur ; tous les principes matériels qui peuvent le mieux représenter le corps et l'esprit s'y trouvent réunis : le corps, c'est le cep ; l'esprit, c'est la liqueur ; l'âme, ou l'esprit unis à la matière, c'est le grain. L'homme quintessencie l'esprit par le travail, et tu sais que ce n'est que par le travail du corps que l'esprit acquiert des connaissances." (Allan Kardec, Le Livre des Esprits - Prolégomènes)
votre commentaire -
Le vrai courage consiste à envisager tous les périls, et à les mépriser quand ils deviennent nécessaires.
Édouard Saby, Fin et résurrection d'un monde, p.100
votre commentaire -
RELIGIONS ET FAKIRS
Quant au miracle, si c'est une déroga-
tion aux lois naturelles, on ne sait ce que
c'est, car personne ne connaît les lois de la
nature. Non seulement un philosophe n'a
jamais vu de miracle, mais il est incapable
d'en jamais voir.
ANATOLE FRANCE.Bien des choses ont amusé ma philosophie ces temps derniers. C'est d'abord le Comte d'Elbée et sa femme, ces deux jeunes époux, qui après deux ans de mariage s'en sont allés, chacun de leur côté, vers le cloître. Ces pleutres ont peur de la vie et désertent leur devoir social.
Si je n'étais déterministe et par conséquent enclin à l'excuse et à la bienveillance, je les qualifierais purement et simplement de lâches. Je ne m'attarderai pas à vous montrer ce que leur geste a d'irrationnel et d'anti-biologique ; cela saute aux yeux. En voilà qui vont appliquer le « Croissez et multipliez » des Ecritures à leur manière, avec la bénédiction du Pape par-dessus le marché : C'est du bon vaudeville.
Je serais tenté également de vous commenter l'Inauguration du Temple antoiniste de Schaerbeek.
Cette cérémonie a donné lieu (voir « L'Etoile » du 3 août 1925) à des scènes de pithiatisme et d'hystérie collective au cours desquelles, une « Sœur » s'est pavé une attaque d'extase à la manière de Thérèse d'Avilla.
Quel affreux mécréant l'on fait, tout de même, en apportant à l'analyse des faits psychiques et psycho-pathologiques quotidiens la méthode objective des sciences naturelles !!!
Il apparaît ici une fois de plus que tous les grands dévôts, tous les mystiques, tous les assoiffés d'idéal quelle que soit la religion à laquelle ils appartiennent sont bien comme l'affirmait encore tout dernièrement Rogues de Fursac des psychopathes, des « piqués », pour employer l'expression irrévérencieuse de Courteline.
Tous présentent les mêmes symptômes morbides et je me refuse à faire une différence entre Apollonius de Tiane et François d'Assise. Tous deux sont des théomégalomanes, des malades de l'Esprit sans plus.
S'il advenait aujourd'hui à quelqu'un de se promener par la ville en proclamant qu'il est le Messie, il se ferait immédiatement arrêter et conduire au « violon » en attendant sa collocation dans une maison de santé.
C'est que le XX Siècle en effet ne croit plus aux prophètes. Ceux-ci tonnent à présent dans les asiles et quand ils sont trop véhéments on les envoie à la douche.
Mais j'ai bien mieux que le Comte d'Elbée et le Temple du père Antoine. Je veux vous entretenir des Fakirs.
Je parlerai ici, non des Fakirs musulmans, mais, des Fakirs brahmanes, sectateur de Brahma, Vichnou et Siva, la trinité hindoue.[…]
L'Aurore, 27 août 1925 (source : belgicapress.be)
votre commentaire -
Auteur : R. G. Pabin (pseud.) ; avec le concours de Mme Rose Stoler (médium)
Titre : Métamorphoses de l'esprit et médiumnité
Éditions N. Bussière, Paris, 1966 (108 pages)
Le livre se termine sur LE BIEN ET LE MAL / LA PUISSANCE DE LA PRIÈRE, et on y lit ceci :
Le bien, dans la pensée de chacun, est l'acte qui paraît plein de bonté envers ses semblables ; c'est aussi ce que la morale prescrit de faire.
Le mal est ce qui est contraire à la morale, c'est-à-dire au bien ; c'est donc un acte qui détermine une mauvaise action portant préjudice à autrui. (Définitions du dictionnaire.)
D'après la doctrine Antoiniste, le mal et le bien n'existent pas ! Ce ne sont que des termes de comparaison.
Cette révélation, basée sur les différents degrés d'évolution des âmes, vient démontrer et affirmer la nécessité des épreuves terrestres indispensables à l'amélioration de l'esprit.
(Les pensées sont des fluides bons ou mauvais ; il y a autant de fluides que de pensées ;) il en découle que les prières formulées par les âmes pures ont une action bénéfique sur ceux pour lesquels elles sont formulées ; c'est aussi une récompense pour soi-même.
Le spiritisme qui est une science éprouvée vient à l'appui de ce qui précède.
votre commentaire