• Mélenchon, piège à con !                                                                                                                                                                                          Qu'on le veuille ou non cet hypocrite exellent orateur, ne pense pas un mot de ce qu'il aboie à ces auditeurs, c'est un parfait comédien qui sait mener sa barque , même s'il ne sait pas conduire une automobile . Il ose proférer des propos révolutionnaire, avec l'appui d'un parti communiste à bout de souffle afin de tromper un électorat ouvrier aux abois, qui aurait voté Marine Le Pen si cet imposteur ne lui avait pas promis la lune . Ces gens seront déçus qu'on leur demande de voter Hollande,mais il sera trop tard pour apporter leurs voix à Marine , si elle n'est plus là au second tour .

    Avant de commencer, que ceux qui se sentent heurtés par l’accroche, qu’ils nous évitent leurs torrents d’insultes possibles, ce billet n’est pas là pour cela, merci.

     

    Pour nous, Mélenchon « piège  à con », c’est juste pour aller contre cette vague qui déferle dans l’ensemble des médias comme quoi, le bon Jean-Luc serait l’homme providentiel pour la France.

     

    Bien que l’homme, Jean-Luc MELENCHON soit intéressant et cultivé, il n’en reste pas moins avec des espaces très sombres ! On ne sait pas grand-chose de cet homme.

     

    Comment vit-il, avec qui ?, où et comment ?, ses origines sont lesquelles ? etc…

     

    En fait il adore les rumeurs qui courent à son égard, cela l’arrange bien. Mais, doit-on voter pour une personne aussi secrète ? Il y a de la marge.

     

    Pour nous, l’affaire est entendue. Et les complices Médias épaulent à plein le plan de Mélenchon et de ses amis du Parti Socialiste pour reconquérir la pouvoir à la droite.

     

    Il y a c’est évident, un deal entre Mélenchon et Hollande ! Hollande a un parti de fonctionnaires, de Bobo et autres. Mais le PS n’a rien des classes ouvrières qui sont  vers le Front National !

     

    L’affaire est entendue, on se partage les rôles et surtout sans le dire au peuple. Hollande garde ses troupes et Mélenchon attire à lui une grosse partie des électeurs perdus vers le FN. Dès lors, le premier tour sera en leurs faveurs car n’oublions pas les « abstentionnistes » qui seront nombreux en raison des vacances déjà programmées et aussi, le coup tordu de l’actuel pouvoir à ne pas avoir fait la campagne en décembre dernier pour les inscriptions aux listes électorales !

     

    Tout le reste, c’est du « pipo », des ventes de médias, de papiers et des discours creux de fameux experts politique sans mentionner de surcroît les sondages pipés !

     

    Ce n’est pas faire injure à Jean-Luc Mélenchon d’écrire « piège à con », non ! Faut juste ne pas mentir aux électeurs sur les stratégies du premier tour. Car, le Jean-Luc sera en force dès les législatives juste après la présidentielle  et c’est « tant mieux » car là sera le vrai pouvoir si l’assemblée nationale peut cette fois en 2012 être plus représentative de la France réelle.

     

    Au final, voter Mélenchon c’est bien voter de facto Socialiste. Au deuxième tour, il y aura report des voix pour atteindre l’alternance du pouvoir. Mais, nous faire croire que Jean-Luc Mélenchon, ne roule pas pour les socialistes c’est dès lors, « un piège à con ».

     

    Dernier clou à ce brave Jean-Luc. Qu’il devienne plus transparent sur son patrimoine, par exemple sur ses revenus qu’il perçoit avec ses sociétés d’éditions et les ventes de ses livres…

     

    A plus et courage la France, Mélenchon ou pas, le Sarkozysme est mort le 6 Mai 2012 !


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  • Mélenchon n'a pas son permis de conduire : s'il n'était pas un élus, il serait chômeur ( aller trouver du boulot sans voiture , maintenant ? )                                                                                                                                                                                  

    Interview exclusive de François Hollande : Si Mélenchon me cherche, il va me trouver !

    Nous avons eu la surprise de recevoir un coup de téléphone de François Hollande en personne, nous proposant, sans que nous l’ayons sollicité, une interview exclusive. En l’absence de Pierre Cassen et Christine Tasin, en conférence, Riposte Laïque a donc délégué Christine Poisson pour recueillir les propos du candidat socialiste. Nous remercions le candidat du PS de nous avoir réservé un entretien qui, à notre avis, fera date dans la campagne présidentielle.

    Riposte Laïque : Permettez-nous, François Hollande, de vous exprimer notre surprise. Pourquoi avoir sollicité une interview de la part de Riposte Laïque ?

    François Hollande : Je vais être franc avec vous, je ne vous connaissais pas. Mais Valérie (NDLR Trierweiler, sa compagne) m’a dit que vous faisiez partie de mes plus fidèles supporters, ayant même écrit un livre, « Le bobo Machin », je crois, où vous annoncez ma prochaine victoire aux présidentielles. D’autre part, elle m’a informé que vous n’aimiez pas Jean-Luc Mélenchon, et que vous ne manquiez pas de courage, dans vos prises de position. Vous me paraissez donc les personnes qu’il faut pour faire passer le message que je souhaite diffuser. Je souhaite en effet mettre les pendules à l’heure avec Mélenchon, après son meeting de Lille, où il a osé annoncer qu’il voulait être devant moi, au premier tour !

    Riposte Laïque : Mais il est dans son rôle, il y a une saine concurrence à gauche, il contribue à faire baisser le Front national, et roule pour vous au deuxième tour – Marine Le Pen lui a même reproché d’être votre voiture balai – pourquoi cette hargne de votre part contre lui ?

    François Hollande : Mélenchon n’a jamais rien compris à la politique. Ce n’est pas pour rien qu’au PS on l’appelait « Méchant con ». Moi, j’ai été formé à l’école de François Mitterrand. J’ai fait partie de ceux qui ont contribué à faire monter artificiellement le Front national, pour mieux baiser la droite. J’ai vu faire le « Vieux », toujours deux fers au feu. D’un côté, il a mis le pied à l’étrier de SOS Racisme, en diabolisant le FN, empêchant le RPR de faire des alliances avec, quand par ailleurs le PS en faisait avec le PCF et l’extrême gauche. Et de l’autre, plus le FN montait, plus il y avait de triangulaires, et plus on gagnait d’élections. C’est comme cela que François Mitterrand s’est maintenu à l’Elysée en 1988. Je vais même vous dire, il nous est arrivé de demander à nos militants de voter FN au premier tour, pour qu’il y ait une triangulaire, et être certain de gagner. Cela, c’est faire de la politique, ce que Mélenchon n’a jamais compris !

    Riposte Laïque : Mais que lui reprochez-vous exactement ? De vous avoir traité de « capitaine de pédalo » ? De vous avoir surnommé Hollandréou ? Je vous rappelle quand même que Martine Aubry a dit que vous n’aviez jamais travaillé, que Ségolène Royal a écrit que vous n’aviez jamais eu une seule idée nouvelle en 30 ans, et que Fabius a ironisé quant à votre accession à la présidence du pays…

    François Hollande : Vous auriez pu ajouter les crasses de Valls et Monterbourg à mon encontre, et combien d’autres ! Ils ont pu dire toutes les saloperies qu’ils veulent, ils me mangent dans la main, aujourd’hui. Tout cela c’est du passé, mon problème actuel, c’est Mélenchon. Puisqu’il m’a appelé « capitaine de pédalo », je vais vous en apprendre une bonne. Lui, Mélenchon, il n’a jamais conduit que des voitures à pédales !

    Riposte Laïque : Que voulez-vous dire,  Monsieur Hollande ? 

    François Hollande : Que  je vous apprends, et c’est mon scoop, que Mélenchon ne sait pas conduire. Voilà un candidat qui veut diriger la France, et qui ne sait pas conduire une voiture, qui n’a jamais été capable de passer son permis de conduire. Il y avait les sans-papiers, avec lui, eh bien lui, c’est un sans-permis ! Il prétend parler au nom du peuple, mais que serait un travailleur sans permis de conduire ? Un chômeur ! Je veux que les Français connaissent les limites de Méluche. Je ne sais même pas s’il sait faire du vélo sans retirer les stabilisateurs, c’est dire !

    Riposte Laïque : Mais enfin, Monsieur Hollande, ces angles d’attaque ne sont pas dignes de vous. En admettant que ce vous dites soit vrai, ce n’est pas une tare de ne pas savoir conduire, non ? Au contraire, vis-à-vis des écologistes, c’est plutôt un bon point ?

    François Hollande : C’est cela, et puis cela génère de l’embauche, puisqu’il faut salarier un chauffeur spécial pour Mélenchon, et pour tous ceux qui ne savent pas conduire, et qui ont droit démocratiquement à bénéficier d’une voiture ! La voilà la France soviétique de Front de gauche : un chauffeur aux 35 heures pour tous les sans-permis ! Ah ! ah !, ah ! Cela me fait penser aux conneries de mon ex, qui, lors de son face-à-face avec Sarkozy, avait fait rire la France entière en disant qu’avec elle, les femmes seules travaillant de nuit seraient ramenées chez elles par des policiers ! Mais revenons à Mélenchon, vous trouvez que parler de moi en me qualifiant de « capitaine de pédalo », c’est pas une basse attaque, vous ? Et le voilà à présent qui prétend me passer devant le 22 avril, c’est grotesque. Mais surtout, ce qu’il ne comprend pas, c’est que plus il monte dans les sondages, plus il fait baisser le FN, et plus il me met en danger, et avec moi toute la gauche !

    Riposte Laïque : Vous voulez dire que vous souhaiteriez que Marine Le Pen obtienne davantage dans les sondages ?

    François Hollande : Mais moi je fais de la politique, madame, pas de l’idéologie. Et donc, je souhaite un nouveau 21 avril, mais que cela soit Sarkozy qui passe à la trappe, et que je me retrouve contre le FN au deuxième tour, ce qui assurerait ma victoire. Mais je sais aussi que Sarkozy et Mélenchon ont passé un accord, contre moi. Vous aurez remarqué que les médias épargnent le candidat de Front de gauche, tandis que les sondeurs le font grimper, et font descendre Marine Le Pen, qui, en réalité, nous le savons, dépasse les 25 % d’intention de vote, et est actuellement au coude-à-coude avec Sarkozy et moi. L’objectif de cette alliance est clair : me faire descendre, faire monter Sarkozy et Mélenchon, et convaincre des électeurs de droite hésitants de voter utile Sarkozy, plutôt que de voter Marine Le Pen. Et ainsi, Sarkozy arrive en tête au premier tour et crée une dynamique favorable pour le deuxième ! Et le pire est que cela risque de marcher, il y a encore quinze jours, je le pulvérisais, j’étais largement en tête au premier tour. A présent, il remonte lentement dans les sondages, tandis que je baisse inexorablement.

    Riposte Laïque : Bref, vous voulez nous dire que la candidature Mélenchon est un atout inespéré pour Sarkozy ?

    François Hollande : Vous commencez à tout comprendre. Comme Valérie m’a dit que vous étiez des amis fidèles, je vais vous livrer le fond de ma pensée. J’aurais préféré une candidature communiste, comme celle de Pierre Laurent. Le PCF aurait fait ses 1 %, on lui aurait filé un groupe parlementaire, et on aurait repris deux ou trois conneries de son programme, ils auraient fait semblant de nous croire, et tout le monde était content. Intérêt, on passait un accord avec le Modem, et on avait un axe qui allait de Bayrou au PCF, en passant par les Verts et bien évidemment le PS. Et là on piégeait Sarkozy ! Tandis que maintenant, avec Mélenchon à plus de 10 %, son SMIC à 1700 euros, son blocage des hauts salaires, son droit de veto sur les licenciements et les ouvriers qui empêchent les patrons de diriger leurs entreprises, bref un mélange d’Union soviétique des années 60 et de Cuba des années 70, que voulez-vous qu’on vende à Bayrou ? Sarkozy a bien joué, on est faits comme des rats !

     

    Riposte Laïque : Puisque vous parlez des Verts, comment ont-ils pris votre accord avec Chevènement, qui dit le contraire, sur le nucléaire, que celui signé avec eux ?

    François Hollande : L’accord avec les Verts, c’est pas moi, c’est la grosse Martine ! Je blague ! Mais pour répondre à votre question, j’ai repris les bonnes vieilles méthodes de la gauche plurielle, sous Jospin, qui est, avec Mitterrand, ma référence. On disait oui à tout ce que voulaient nos alliés, et on faisait ce qu’on voulait après ! Et comme c’est nous qui les faisions manger, cela facilitait les choses. Le secret de la politique, c’est de faire manger les amis, le programme n’est qu’un habillage. Vous savez sans doute que les Verts sont en dépôt de bilan, et que seul l’accord politique qu’ils ont passé avec nous peut leur éviter la faillite. On a placé le khmer vert, je blague, je veux dire Placé, au Sénat. On va coller l’hystérique, je blague, je veux dire Duflot au Parlement, et à la mairie de Paris, même si Bertrand tousse un peu. Donc, ils nous mangent dans la main, on les tient. Et puis, on a fait plaisir au fossile, je blague, à Chevènement, en lui promettant de dire trois fois le mot « République » à chaque discours. Il a fait semblant de nous croire, on lui a filé deux circonscriptions, tout le monde est content. Donc, le programme, on s’en fout, ce qui compte, c’est d’être élu !

    Riposte Laïque : Effectivement, on voit que vous avez beaucoup appris de Mitterrand. On a donc compris votre problème, vous voulez faire descendre Mélenchon, remonter Marine Le Pen, et la faire passer devant Sarkozy, pour mieux être élu. Et Mélenchon vous met la pagaille. Vous pensez vraiment que dire aux Français qu’il ne sait pas conduire une voiture va suffire à le faire descendre dans les sondages ? Après tout, si vous n’aviez pas été malhonnête avec lui, en 1997, en lui promettant 15 % à une élection de premier secrétaire, contre vous, et en l’humiliant à 8 %, il aurait peut-être moins la rage contre vous ?

    François Hollande : C’est une connerie de Cambadelis, et j’ai eu tort de le laisser faire. C’est une vieille rivalité de trotskistes, et je n’ai jamais rien compris à leurs histoires. Mais c’est du passé, ce qui m’intéresse, à présent, c’est d’empêcher Mélenchon de me nuire davantage. J’ai appelé au secours les communistes, ils ne le maîtrisent plus, Mélenchon est en transes en permanence, et il est convaincu qu’il va me passer devant. Donc, il va me cogner encore plus dessus. Il est dans le rôle de sa vie, cette campagne, c’est son théâtre. Et en plus, je le connais par cœur, il est dans un trip gauchiste, qui consiste à taper le plus fort sur le plus proche. Il pense donc que si je perds cette élection, la crise inévitable du PS qui suivra lui sera favorable, et qu’une recomposition de la gauche sera à l’ordre du jour. Et bien évidemment, dans son scenario, la gauche se recompose autour de lui. Par cœur, je le connais ! Mais c’est vrai que le coup du sans-permis, cela ne suffit pas. Je pourrais vous parler d’un vote interne du Parti socialiste, sur l’Union européenne. La gauche socialiste, dont Mélenchon était le chef, avait réussi à faire voter les militants d’une telle façon qu’on devait sortir de l’Union européenne, carrément. Vous voyez la catastrophe ? Eh bien, ils ont été compréhensifs, on s’est mis d’accord, on a un peu magouillé, et on a compté les abstentions comme des votes pour nous. On leur a promis en échange des postes de sous-ministre, Marie-Noëlle Lienemann et Méluche ont eu leur maroquin, et tout le monde était content. Mélenchon ne raisonne qu’en rapports de forces, il se fout des programmes. Regardez, quand il propose, sur un plateau de télévision, à Cohn Bendit un accord politique, c’est extraordinaire. Que lui dit-il ? On mélange nos sangs, tu vires Bayrou, et à nous deux, on sera les rois du pétrole, et on fera la peau au PS. Pas de programme, rien, seulement de la tambouille policitienne…

    Riposte Laïque : Mais il fait exactement ce que vous vantez de faire avec vos partenaires, non ? Nous confirmez-vous les grands axes de votre programme, embauche dans la fonction publique, droit de vote des étrangers, et naturalisation des clandestins, notamment ?

    François Hollande : Je n’en sais rien (gros soupir). 60.000 enseignants ? Depuis Ségolène et Allègre, ils nous ont dans le nez, ils ne votent plus pour nous, et je ne sais même pas si on va en trouver 60.000, avec tous les dépressifs de la profession, et où on va trouver les sous pour les payer. Mais il faut bien promettre pour être élu, non ? Le droit de vote aux étrangers ? Je pense qu’ils m’en seront reconnaissants, et voteront pour nous ensuite. Naturaliser les clandestins ? Je suis convaincu que c’est une connerie, mais si je veux que les anti-racistes votent pour moi, il me faut bien le dire, non ? Et tout est comme cela ! Il faut promettre à tout le monde, les associations, les syndicats, les lobbys. Il faut faire des discours de gauche, et rassurer la finance. Il me faut dire que je vais taxer les hauts revenus à 75 %, mais rassurer mes copains artistes et footballeurs. C’est un métier terrible que le nôtre, madame. Une fois élu, on dira que c’est la faute du bilan de Sarkozy, qu’il a ruiné la France, et qu’on tiendra nos promesses quand on aura redressé les finances. Et puis de toute façon, ce sera l’Union européenne qui dirigera tout, puisqu’on va imposer une Europe fédérale, donc diriger la France ne sera pas plus difficile que présider le conseil général de Corrèze. Je laisserai Jacques Attali faire le travail, à Bruxelles, il a plein d’idées. Mais on tiendra tous les postes, c’est cela qui compte, en politique, madame ! Vous vous rendez compte, si je suis élu, la gauche tiendra tout : l’Élysée, le Parlement, le Sénat, les Régions, la majorité des conseils généraux et des communautés d’agglomération, les grandes villes, sauf Bordeaux et Marseille, sans parler de nos députés européens. On aura donc de quoi donner des bons postes aux socialistes, bien sûr, et à tous nos alliés… Mais il nous faut gagner, et je vous remercie encore de nous y aider, en publiant cette interview, qui, j’en suis certain, va calmer Mélenchon ! Ah, il faut que je vous raconte une dernière blague, avant de filer. Vous connaissez la différence entre Mélenchon et Marine Le Pen ?

    Riposte Laïque : Euh, non, Monsieur Hollande…

    François Hollande : Si on donne le Sahara à Mélenchon, dans cinq ans il faudra importer du sable. Si on donne la France à Marine Le Pen, dans cinq ans, il faudra importer du beur. Je blague, ah, ah, ah !!!


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  • Jean-Luc Mélenchon et l’ex patron de I>Télé, Pierre Fraidenraich, mis en examen.

     

     

    Suite à la plainte déposée par Marine Le Pen contre Jean-Luc Mélenchon, qui l’avait traitée de «fasciste » sur le plateau de I>Télé, la juge d’instruction du Tribunal de grande instance de Paris, Sabine Kherys,  a mis en examen, pour « injures », l’ancien patron de la chaîne, Pierre Fraidenraich, directeur de la publication au moment des faits. Mais Jean-Luc Mélenchon, convoqué par ce même magistrat, va l’être également dans les prochaines semaines. Invoquant la campagne présidentielle, le leader du Front de Gauche a obtenu du magistrat que son audition soit reportée au mois de juin                                                                                                                                      Marine Le Pen a lancé vendredi soir lors d'un meeting à Nice un appel contre le "vote utile" à droite en faveur de Nicolas Sarkozy, en espérant faire mentir les sondages qui lui donnent actuellement peu de chances d'être au second tour au soir du 22 avril.

    Devant environ 3.000 sympathisants surchauffés, la dirigeante frontiste s'est présentée comme la "candidate de l'exception française", tant sur l'immigration, qu'"il faut arrêter totalement", que sur l'économie.
    Nouveauté : elle a notamment prôné le gel des frais bancaires "pour les particuliers comme pour les entreprises" et a promis d'agir pour défendre les personnes surendettées face aux établissements de crédit à la consommation.
    Évoquant une nouvelle fois les tueries de Toulouse et de Montauban, Marine Le Pen a garanti qu'avec le FN au pouvoir, Mohamed Merah "n'aurait pas eu la nationalité française" bien que né en France.
    Puis elle a chargé les "délinquants récidivistes", promettant de les priver d'aides sociales : "Qu'ils se débrouillent une fois sortis de prison"... "S’ils recommencent qu'ils retournent en prison", et "s'ils sont étrangers, on leur dira de rentrer chez eux". "Je mettrai les clandestins dehors, qu'ils aient un travail ou non" et "je mettrai leurs employeurs devant la justice", a-t-elle aussi promis, ovationnée à chaque fois qu'elle fustigeait l'immigration.

    Lors de ce discours d'environ une heure, c'est contre Nicolas Sarkozy qu'elle a été la plus rude, l'accusant d'avoir "tout trahi" et d'avoir "capitulé devant la culture de gauche".
    "Répétez-le aux quelques-uns qui seraient aujourd'hui à nouveau tentés par les sirènes sarkozystes (...) répétez-le à tous ceux qui feignent aujourd'hui d'oublier les années cauchemardesques que nous venons de traverser", a-t-elle lancé.
    Une sorte d'appel à ceux qui "seraient prêts à voter pour un homme dont ils ne veulent plus" à savoir Nicolas Sarkozy, pour éviter une victoire de François Hollande, a-t-elle exposé.
    À la fin de son meeting, elle a aussi lancé un appel à "la jeunesse de France": "défends tes couleurs, n'aies pas peur", "affirme tes convictions", avant que Jean-Marie Le Pen, président d'honneur du parti d'extrême droite, ne vienne entonner la Marseillaise sur l'estrade.
    "Il ne reste que quelques jours", a encore dit Marine Le Pen. "S'il n'y avait qu'une seule chose à dire aux Français", ce serait "saisissez-vous de votre destin", a-t-elle lancé.
    Marine Le Pen assure ne pas croire aux sondages, qui, invariablement et depuis des semaines, semblent l'éloigner du duo de tête Sarkozy-Hollande.
    Mais "il est évident que la stratégie qui consiste à placer Jean-Luc Mélenchon bien plus haut qu'il n'est, et celle de Sarkozy qui consiste à dire +nous sommes la seule solution à une gauche teintée de Mélenchon+ ne peut avoir que des effets négatifs", a déclaré à l'AFP l'un des conseillers de Mme Le Pen, Gaël Nofri, candidat aux législatives dans la 3e circonscription des Alpes-Maritimes.
    Aux premiers rangs du meeting, se trouvaient notamment l'ancien maire de Nice Jacques Peyrat (1995-2008), qui soutient Marine Le Pen, ainsi que Philippe Vardon, leader de Nissa Rebella, mouvement identitaire niçois au discours très virulent contre l'islam.
    La région Provence Alpes-Côte d'Azur (PACA) symbolise fortement le phénomène de "siphonage" des voix frontistes par Nicolas Sarkozy en 2007, avec 37% pour le chef de l'État contre 13,8% pour Jean-Marie Le Pen. Cinq ans plus tôt, le FN était arrivé en tête dans la région, avec dix points de plus.                                                                                                                                                                                Marine LE PEN demande la dissolution de l’UOIF
    Publié parlegaulois.infoLibellés :,,,
    - POLITIQUE -
    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Candidate à l’élection présidentielle.
    Le congrès de l’UOIF (Union des Organisations Islamiques de France) doit se tenir du 6 au 9 avril prochain au Bourget. Déjà, sous la pression de Marine le Pen, le gouvernement a fini par interdire l’entrée du territoire français à quatre prédicateurs islamistes qui y étaient invités. Dans la foulée, deux autres ont renoncé d’eux-mêmes. Les autorités françaises ont publiquement regretté la présence annoncée de Tariq Ramadan, de nationalité suisse. Les responsables de notre pays considèrent bien l’UOIF comme proche des islamistes, sinon même des terroristes. 


    Plutôt qu’une vaine agitation électoraliste à trois semaines du premier tour, il faut prendre sans tarder et sans faiblesse des mesures drastiques contre l’islam radical. 
    Marine Le Pen demande l’interdiction du rassemblement du Bourget.
    Marine Le Pen demande la dissolution de l’UOIF.
    Marine Le Pen prendra toutes les dispositions nécessaires pour protéger les Français de la menace islamiste. Marine Le Pen aidera les Français musulmans à se libérer de l’emprise de ces fanatiques qui pourrissent les quartiers et oppriment les femmes, en pervertissant la religion. Marine Le Pen veut des citoyens égaux dans l’espace public et libres dans leurs sphères privées pour une République fraternelle


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  • C'est une dame âgée qui en traversant une rue à Tulle a fait une chute et se retrouve sur le derrière en pleine rue.
    François HOLLANDE, qui se trouvait derrière elle par hasard, s'empresse de l'aider à se relever et à traverser cette rue... 
    Rendus de l'autre côté de la rue... Francois dit à la vieille dame : 
    Cela a été un plaisir pour moi de vous aider...
     Est-ce que vous m'avez reconnu ? J'suis Francois Hollande ... J'espère que vous voterez pour  moi ...
     La vieille lui réplique :
    - Vous  savez... Je suis tombée sur le cul... pas  sur la  tête !

     

     


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  • ci-dessus des nouveaux Français   

    inchala.zip

     

     


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  • "Je suis le prophète du carnage,

     je suis un rieur sanglant". (Mahomet, Hadith, Ibn Taymiya)

     

    l'Islam est le terreau de l'islamisme, et l'islamisme le terreau du terrorisme

     

    Près de 50 articles ont été consacrés à l'islam    sur le WEB Résistant depuis Mai 2007. Vous trouverez ici des articles généraux, ainsi que leurs sources et des liens vers d'autres articles du blog.

     

     

    VIDEO

    ISLAM : What the West Needs to    Know : "Islam, ce que l'Occident doit    savoir"  

    Obsession, radical Islam’s    war against the West : "Obsession, guerre de l'islam radical contre l'Occident"

    Undercover    Mosque : "Enquête sur les mosquées de    Grande-Bretagne" 

    Islam / Question à la Une    : "Fondamentalisme musulman en Belgique"

     

    Tablighi Jamaat : "Islamistes Tabligh. Madrassa en France"

     


    DOSSIER SPECIAL

    CHOC DES    CIVILISATIONS

    European    Freedom Initiative Alliance

    ALLIANCE STOP    CHARIA


    ISLAMISME

    Nomocratie islamique


            

    « Le phénomène des prises d’otages est tout sauf nouveau. En effet, ce qui se passe aujourd’hui, du          désert du Mali ou du Niger aux côtes somaliennes, rappelle ou réactualise ce que l’on appelait les « pirateries barbaresques », ces terribles pirates du Maghreb, « jihadistes de l’époque »,          qui terrifièrent l’Europe jusqu’à la colonisation (1830), c’est-à-dire tant que l’Europe n’intervint pas. » Alexandre Del          Valle 

                                                                    

    http://www.bibliomonde.com/images/img_auteur_1208.jpg

    Alexandre Del Valle

                      
    Alexandre Del Valle est chercheur en géopolitique, il est spécialiste des questions internationales et stratégiques.
    • Doctorat de géopolitique à la Sorbonne (Paris IV), recherches sur « les nouveaux phénomènes révolutionnaires et totalitaires » (Rouge Brun Vert) dans le            cadre de l’Observatoire Géopolitique et de Recherches européennes (OGRE).
    • Diplôme d’Etudes Approfondies, Histoire Militaire -Sécurité -Défense, Institut d’Etudes Politiques d’Aix-en-provence/Université Montpellier III.
    • DEA européen d’Histoire des Doctrines politiques et des institutions Politiques, université de Sciences Politiques de Milan/IEP            d’Aix-en-Provence.
    • Diplôme de l’Institut d’Etudes Politiques d’Aix-en-Provence, section Relations Internationales. Mémoire sur « Le maronitisme politique et le Liban            moderne».

    Alexandre Del    Valle


            

    « Au risque de choquer,          il faut avoir le courage de dire que l'intégrisme n'est pas la maladie de l'Islam. Il est l'intégralité de l'Islam. Il en est la lecture littérale, globale et totale de ses textes          fondateurs. L'Islam des intégristes, des islamistes, c'est tout simplement l'Islam juridique qui colle à la norme. » Anne-Marie Delcambre

                                                                    

    Anne-Marie Delcambre

                      
    Anne-Marie Delcambre est une islamologue française. Docteur d'Etat en droit,            docteur en civilisation islamique.

    Anne-Marie Delcambre


            

    « L’exigence de respect envers l’islam contenue dans la notion du blasphème constitue l’un des piliers de la dhimmitude.» Bat Ye'or

                                                                    

    Bat Ye'or

                      
    Bat Ye'or, Spécialiste des minorités en Islam, les dhimmis. Née            en Egypte, de nationalité britannique, Bat Ye'Or s'est consacrée à l'étude du statut des communautés ethno-religieuses dans les pays d'islam. Elle a désigné ce statut particulier d'un nom            : la dhimmitude, dont elle a défini les aspects généraux politiques, économiques et culturels.

    Bat Ye'or


            

    « Je soutiens depuis longtemps qu'il faut expulser les islamistes des pays occidentaux et je suis frappé que les premiers officiels à entrer dans mes vues vivent au Québec et          soient préoccupés du respect des droits des femmes. Peut-être que lassés des politiques d'immigration du Québec, les officiels commencent à prendre conscience du danger de laisser entrer          des ennemis - pas seulement des terroristes, mais des islamistes - dans la province. » Daniel Pipes

                                                                    
    http://mecanoblog.files.wordpress.com/2010/01/daniel_pipes.jpg

    Daniel Pipes

                      
    Daniel Pipes, né le 9 septembre 1949 à Boston dans le Massachusetts, aux États-Unis est un journaliste américain.  Spécialisé dans            l'analyse de la politique internationale et de l'antiterrorisme, Daniel Pipes est un journaliste et ancien universitaire, aujourd'hui figure médiatique du courant néoconservateur            américain.

    http://2.bp.blogspot.com/_AiXjZwvSgbI/TU_3IVBv1KI/AAAAAAAALGE/Zs1tp7O773Q/s1600/NoSharia-NoGihad.gif

    'islam est : il s'agit chronologiquement      du troisième grand courant monothéiste de la famille des religions abrahamiques. Apparu en Arabie au VIIe siècle, il s'ajoute au courant judaïque et au courant chrétien desquels il hérite de      nombreux éléments. Son livre sacré est le Coran dont le dogme assure qu'il a recueilli les révMahomet par l'intermédiaire de l'Ange GabriL'islam de marché est-il un oxymore ?

    Timur Kuran, entre la pratique de leur foi et leurs      aspirations professionnelles. Certes, mais d'autres auteurs sont plus sceptiqamDe Wikiberal.

    B0.jpg Discussions sur le forum
    Islamophobie (for)
    La Force De La Raison, Livre choc d'Oriana Fallaci (for)
                          
                          
                          
                          

    L'islam est une religion : il s'agit chronologiquement      du troisième grand courant monothéiste de la famille des religions abrahamiques. Apparu en Arabie au VIIe siècle, il s'ajoute au courant judaïque et au courant chrétien desquels il hérite de      nombreux éléments. Son livre sacré est le Coran dont le dogme assure qu'il a recueilli les révélations de Dieu au prophète Mahomet par l'intermédiaire de l'Ange Gabriel.

    L'islam de marché est-il un oxymore ?

    Timur Kuran, influencé par Friedrich Hayek, est un défenseur      de l'économie de libre marché. Il présente une connaissance étendue de l'histoire et de la culture économique dans les pays islamiques[1]. Le chercheur suisse, Patrick Haenni 2005, est persuadé du mariage      possible entre l'islam et le capitalisme. De nombreux entrepreneurs, de confession musulmane, sont convaincus qu'il n'existe aucune contradiction entre la pratique de leur foi et leurs      aspirations professionnelles. Certes, mais d'autres auteurs sont plus sceptiques :

    "Cette effervescence d'un nouvel esprit du capitalisme musulman qui cultive les valeurs de l'enrichissement et de la réussite individuelle ainsi        qu'un imaginaire religieux plutôt "market-friendly" tranche avec bien des idées reçues, car la pauvreté de certains pays musulmans suggère parfois un peu rapidement qu'entre islam et        capitalisme, le mariage est impossible" Anne Feitz[2]

    Le sociologue allemand, Max Weber invoquait plusieurs facteurs      d'explications de ce divorce comme l'inflexibilité de la loi islamique, l'absence de formalisation du Droit ou le sultanisme (application d'une justice arbitraire, personnelle et      discrétionnaire). Le britannique Lord Cromer, le français Ernest Renan, l'américain Arthur Lewis ou le turc Niyvaient des difficultés à comprendre comment "la soumission à Dieu",      littéralement l'Islam, peut favoriser l'épanouissement individuel et la croissance économiqueis, l'analysune valeur ag

    LE FIGARO.- Y a-t-il un risque salafiste en France?

    Dominique THOMAS.- Le salafisme, tel qu'il est pratiqué en France n'est pas un danger pour la société. En effet, les musulmans qui se sont radicalisés jusqu'à la violence sont très peu passés par les cercles de ces prédicateurs salafistes. En tant que tel, le salafisme rejette la violence politique. Certes, la mouvance al-Qaida et les djihadistes se recommandent du salafisme mais ce n'est pas le même salafisme que celui de ces prédicateurs.

    Quelles sont les différentes formes de salafisme?

    Il y a trois courants. Le premier et le plus important, est «quiétiste», traditionaliste. Il prône un retour aux textes fondamentaux de l'islam et accuse les autres musulmans de dénaturer l'islam. Mais il récuse tout engagement politique. Il a même pour principe que l'on ne peut pas se soulever contre le pouvoir politique musulman. Le deuxième courant est le salafisme «réformiste». Il est en plein développement au sein du printemps arabe. Il encourage au contraire à se constituer en partis politiques - ce qui est récent - en vue de se présenter à des élections. Le troisième courant, salafiste «activiste», djihadiste, est le plus limité. Il revendique la violence pour contester la légitimité des États et mène une lutte contre l'Occident. Ces trois mouvances sont en concurrence entre elles.

    En quoi les quatre prédicateurs interdits de séjour ne seraient-ils pas dangereux? Ils sont explicitement antisémites…

    Ils ont une vision conservatrice de la société qui peut se révéler difficilement compatible avec les valeurs de la société française. Quant à l'antisémitisme, il faut bien comprendre que ces prédicateurs s'inscrivent dans un contexte arabe dominé par la problématique du conflit israélo-palestinien. Ils surfent sur cette vague pour mobiliser. Ils se solidarisent, par devoir, avec le combat des populations palestiniennes. Tant que cet abcès ne sera pas crevé, ce risque de débordement sera présent.

    Ces mesures d'interdiction du territoire seront-elles efficaces?

    Ces mesures sont symboliques. Elles ne changeront rien à la présence des salafistes en France. Entre 5000 et 10000 personnes appartiennent à ce courant dans notre pays. Ils sont en progression. À l'ère du numérique, ces téléprédicateurs, connus dans le monde entier, sont accessibles par Internet ou par la télévision par satellite. Ces mesures ne peuvent donc pas contenir leur influence car ils sont très populaires. Abdallah Basfar, par exemple, l'un des six prédicateurs qui était attendu au congrès de l'UOIF, était un habitué de cette rencontre. Sans le drame de Toulouse, la présence de Basfar n'aurait posé aucun problème. Nous sommes en période électorale.

    L'interdiction de la venue de ces prédicateurs aura-t-elle des conséquences dans le monde arabe?

    La loi contre le foulard a déjà eu un fort impact. Mais il ne faut donc pas surestimer les conséquences négatives de cette affaire. L'enjeu, c'est la nouvelle génération de dirigeants qui émerge dans le monde arabe. Elle se réclame certes de l'islam politique mais il y a toutes les nuances possibles. Cette mesure risque donc d'être perçue comme un signe négatif. La question est la nouvelle cartographie politique du monde arabe. Les Anglo-Saxons, plus pragmatiques que nous, vont en tirer profit. Ainsi les Américains et les Anglais ont déjà pris contact avec beaucoup de ces nouvelles formations politiques qui ont émergé

    régée comme le PIB ou le PNB n'est pas un critère suffisant. Une domination économique, dans une période      déterminée de l'histoire de l'humanité, ne signifie certainement pas que les droits individuels soient protégés, et permettent l'assurance de la propriété. L'islam a connu ces périodes de      puissance militaire qui ont rejailans son extension territorial et économique. D'autres facteurs que la religion n'explique-t-il pas le retard de certains pays où la religion islamique est      prédominante. Parmi ces facteurs, l'impérialisme militaire et économique du 19ème siècle a laissé des traces tout comme la paralysie des systèmes économiques mercantilistes basés sur le      communismonflictuelle territoriale dans le Moyen-Orient sont des facteurs plus convaincants de l'explication comparative des systèmes économiques et du non dévelo'impôn des cinq piliers de l'islam, la zakat, introduit une contribution obligatoire, à verser par tout musulman, en vertu de la solidarité      l'indigent,celui chargé de collecter et distribuer les aumônes (en tant que salaire),celui dont le coeur s'incline vers l'Islam,esclave (ou le prisonnier) musulman à affranchir,

    la personne endêtée pour une cause juscelui qui lutte pour la défense de l'Islam,

    "Cette effervescence d'un nouvel esprit du capitalisme musulman qui cultive les valeurs de l'enrichissement et de la réussite individuelle ainsi        qu'un imaginaire religieux plutôt "market-friendly" tranche avec bien des idées reçues, car la pauvreté de certains pays musulmans suggère parfois un peu rapidement qu'entre islam et        camariage est impossible" Anne

    Le sociologue facteurs      d'explications de ce divorce comme l'inflexibilité de la loi islamique, l'absence de formalisation du Droit ou le sultanisme (application d'une justice arbitraire, personnelle et      discrétionnaire). Le britannique Lord Cromer, le français Ernest Renan, l'américain Arthur Lewis ou le turc Niyazi Berkes avaient des difficultés à comprendre comment "la soumission à Dieu",      littéralement l'Islam, peut favoriser l'épanouissement individuel et la croissance économique.

    Mais, l'analyse sur une valeur agrégée comme le PIB ou le PNB n'est pas un critère suffisant. Une domination économique, dans une période      déterminée de l'histoire de l'humanité, ne signifie certainement pas que les droits individuels soient protégés, et permettent l'assurance de la propriété. L'islam a connu ces périodes de      puissance militaire qui ont rejailli dans son extension territorial et économique. D'autres facteurs que la religion n'explique-t-il pas le retard de certains pays où la religion islamique est      prédominante. Parmi ces facteurs, l'impérialisme militaire et économique du 19ème siècle a laissé des traces tout comme la paralysie des systèmes économiques mercantilistes basés sur le      communisme ou la lutte conflictuelle territoriale dans le Moyen-Orient sont des facteurs plus convaincants de l'explication comparative des systèmes économiques et du non développeconomique.

    Quelques concepts politiques vus par l'islam

    L'impôt

    L'un des cinq piliers de l'islam, la zakat, introduit une contributiondigent,

    elui chargé de collecter et distribuer les aumônes (en tant que salaire),

    celui dont le coeur s'incline vers l'Islam,

    • l'esclave (ou le prisonnier) musulman à affranchir,
    • la personne endêtée pour une cause juste,
    • celui qui lutte pour la défense de l'Islam,
    • le voyageur à court de provision.

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  • SIGNER LE PACTE POUR LA JUSTICE



    Subject: Samedi matin à 10h, suivez en direct sur Internet notre rassemblement avec les candidats à la Présidentielle

    Si vous avez des difficultés à visualiser ce message correctement, cliquez-ici

    Chers amis,

    Votre mobilisation massive pour réformer notre Justice a été entendue !

    Samedi 31 mars au matin, Nicolas Sarkozy, Nicolas Dupont-Aignan et des représentants de François Hollande, François Bayrou et Marine Le Pen vous répondront et vous diront quels sont leurs engagements pour une Justice plus équitable.

    Suivez en direct sur Internet cet évènement exceptionnel
    samedi 31 mars de 10h à 13h (en cliquant ici)

     

    Ils le feront lors de notre "Rassemblement Justice 2012 : les candidats face à 1 700 000 Français", un évènement exceptionnel organisé par l'Institut pour la Justice, qui devrait rassembler près de 1 000 personnes à la Maison de la Chimie à Paris.

    Comme les 1 700 000 signataires du Pacte 2012 pour la Justice, vous pourrez suivre en direct les réponses des candidats à vos attentes.

    Vous aussi, suivez le Rassemblement Justice 2012 en direct samedi 31 mars à 10h en cliquant ici

    Bien à vous,
    Laurence Havel

    PS : si vous n'avez pas encore signé le Pacte 2012, vous pouvez le faire cliquant ici
    Si vous souhaitez soutenir notre association, merci de cliquer ici

     

    Institut pour la Justice

    Institut pour la Justice - 140 bis, rue de Rennes - 75006 Paris
    www.institutpourlajustice.com - www.publications-justice.fr


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  • Les attentats à Toulouse et Montauban ont-ils relancé votre campagne?

    Je ne sais pas. Cela ne m’intéresse pas. Ce que je voudrais, c’est que cette terrible affaire serve à répondre aux Français sur l’immigration et l’insécurité. Les autres candidats cherchent à minimiser le problème de la montée du fondamentalisme islamiste.
    Vous liez terrorisme et délinquance. Vous ne craignez pas l’amalgame?
    Je ne fais pas d’amalgame. J’appelle nos compatriotes musulmans à se tourner vers moi car je suis la seule à pouvoir les affranchir de la pression du fondamentalisme et de la criminalité, qui sont liés. Dans l’affaire Merah, la criminalité a servi au financement du fondamentalisme. Par ailleurs, on voit que n’importe qui peut obtenir des visas pour la France. Régulièrement, l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) invite des prêcheurs qui appellent au meurtre des juifs [référence à Youssef al Qardaoui, invité au congrès de l’UOIF].
    Faut-il interdire l’UOIF?
    Il faut en tous les cas faire une enquête de manière sérieuse et vérifier la nature des financements.
    Des lois sanctionnent déjà l’incitation à la haine raciale. Elles sont pourtant qualifiées par le Front national de liberticides…
    L’incitation à la haine, ce n’est pas la même chose que l’incitation au meurtre. Ce qui m’ennuie, c’est que l’incitation à la haine est un concept trop vague. J’ai vu des gens poursuivis pour avoir critiqué l’immigration. Dans ces cas-là, on peut considérer que tout est incitation à la haine.
    Pensez-vous que l’islam prédispose au fondamentalisme?
    Je sais que certains le croient. Mais je ne veux pas le croire. Il peut exister un islam qui se soumette à la laïcité.
    Dénoncez-vous aussi le fondamentalisme chrétien?
    Dites-moi quand le fondamentalisme chrétien a tué quelqu’un dernièrement? Je lutte contre les choses qui existent, pas contre des choses qui n’existent pas.
    Vous dénoncez le terrorisme. Pourtant, le vice-président du FN Louis Aliot a rendu hommage au capitaine Sergent qui dirigeait une branche de l’OAS…
    Vous êtes en train de comparer des choses qui ne sont pas comparables, parce qu’on a eu une guerre civile en France dans laquelle il y a eu des combattants et des attentats des deux côtés. Il est sûr que des actes qui se commettent pendant un conflit ne peuvent être analysés de la même manière qu’en situation de paix. Par ailleurs, le capitaine Sergent a été élu de la République.
    Vous voulez interdire les signes religieux dans les services publics, notamment les trains…
    Oui je veux faire respecter par les usagers la règle qui touche les agents des services publics. Mais pas que dans les trains, cela concernera aussi les sorties scolaires…
    Ca signifie que les nonnes voilées ne peuvent plus prendre le train?
    C’est assez dramatique de voir que vous ne savez pas que la « laïcité à la française » fait qu’on n’a jamais demandé à des religieux de s’habiller autrement qu’en religieux.
    Vous proposez des référendums sur l’euro et la peine de mort. Vous en ferez combien exactement?
    Autant qu’il est nécessaire. Le premier que je proposerai concernera la réforme de la Constitution : intégration dans la Constitution du fait que «la République ne reconnaît aucune communauté», la priorité nationale, la réforme des modes de scrutin…

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  • Le 5 mars 2012, à 15h à EVRY,
    ( Merah mohamed à gauche de Hollande sur la photo)
     sous les acclamations délirantes d'un public
     arabo-français de 6000 personnes ...
     François Hollande s'exprime :
    « Ici, c'est la nouvelle France, celle qui émerge, celle qui s'engage, celle du futur  ...  Vous les habitants des cités, islamiques ou pas, vous êtes l’avenir de la France, vous êtes la génération montante, celle qui sauvera ce pays de la ruine, vous affrontez durement la réalité, je n’ignore rien de la difficulté d’accéder au logement , au travail (…) Je sais aussi que l’insécurité n'est pas ce que dit l'opposition », a-t-il lancé.


    «Je veux m’appuyer sur ses quartiers populaires (…) J’aime cette France et j’aime ces Français, je n’oppose personne, je ne stigmatise personne, je ne considère pas qu’il y aurait une anti-France, bien au contraire », a poursuivi le candidat PS. « Moi, je ne veux pas installer la peur, je veux au contraire faire émerger l’espoir » et « je veux rassembler les Français »
    «Est-il normal que ce soient toujours les mêmes jeunes qui se fassent interpeller, suspecter ? »... « Est-il normal que des milliers de personnes attendent des jours dans la nuit, dans le froid, pour attendre tout simplement des papiers français ?  Et bien moi, je dis non ! Je vais vous donner des papiers, et vous serez aussi Français que les Français de souche de ce pays ... »
    VOTEZ HOLLANDE : c'est faire un grand pas vers l'islamisation de la FRANCE ; Une petite photo en dit bien plus qu'un grand discours
    Hollande et Melenchon sont restés très discret sur la Sécurité et l'Emigration
    -----
       
      ( ne frustrons pas ceux qui nous accordent leurs voix ) ils sont bien gentils ces gamins !
      
    et c' est la aubry
     
    qui prend la photo ?????
     
    SI  VOUS VOTEZ HOLLANDE VOILA CE QUI VOUS ATTEND
     
    Photo de famille le 14 mars 2012 à Bourg-de-Péage.Vive le PS                         !!!!!
    Ils vont souvent en                         vacances pour se ressourcer en Afghanistan dans de                         gentils camps de formation .…

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  • MOBILISATION GÉNÉRALE
    Le RNFAA, l'ADIMAD et l'Association des Anciens Combattants et Victimes de guerre
    des Bouches-du-Rhône et de PACA

    organisent une manifestation contre le colloque FLN qui se tiendra à MARSEILLE

    Vendredi 30 mars 2012 au Théâtre de la Criée

    avec le concours des terroristes, assassins d'enfants, Zohra Drif et Yacef Sâadi et des porteurs de valise du FLN.

    Nous ne devons pas laisser  humilier
    nos Soldats et notre Drapeau.

    Venez très nombreux.

    Cette contre-manifestation est d'une importance primordiale pour le passé et pour l'avenir  de la France !

    (Consulter l'appel sur le site du RNFAA :  http://rnfaa.com)

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  •    

    mars 2012

    Dette : l'Espagne suscite à nouveau les craintes en zone euro

    Publié parlegaulois.infoLibellés :,,
    - ÉCONOMIE -
    Mariano Rajoy,
    Premier Ministre espagnol
    SAARISELKÄ (Finlande) - L'inquiétude grandit à nouveau en Europe au sujet de la situation budgétaire et économique de l'Espagne au moment même où la page de la crise de la dette semble tournée en zone euro.
    Coup sur coup ce week-end, le chef du gouvernement italien Mario Monti et le commissaire européen aux Affaires économiques, Olli Rehn, ont adressé des mises en garde à Madrid pour que le déficit public soit bien réduit comme prévu. Ils se sont émus de la remontée perceptible des taux d'emprunt du pays sur le marché obligataire.
    Mario Monti a fait état samedi en Italie des "préoccupations de l'Union européenne concernant l'Espagne". Il a rappelé qu'"il fallait bien peu pour qu'une contagion s'étende" à d'autres pays de la zone euro lorsqu'un État de l'Union est pris dans l'engrenage.


    Le malaise a aussi été perceptible lors d'une réunion de plusieurs responsables européens organisée au cours du week-end en Laponie finlandaise, à Saariselkä.
    Olli Rehn a relevé que les marchés financiers recommençaient déjà à sanctionner le pays en faisant monter les taux exigés pour lui prêter de l'argent à la suite du récent relèvement unilatéral par Madrid de son objectif de déficit pour cette année. Les taux à dix ans pour l'Espagne ont atteint 5,5% au cours de la semaine écoulée.
    "Dans la mesure où il y a eu le sentiment que l'Espagne a assoupli ses objectifs budgétaires, on a assisté à une réaction des marchés avec plusieurs dixièmes de points de base (de hausse) sur les taux obligataires espagnols, qui pour la première fois depuis longtemps ont dépassé ceux des taux italiens", s'est inquiété le commissaire.
    "Cela illustre à quel point la situation reste fragile", a-t-il dit. Une équipe d'experts de la Commission est attendue sous peu du reste à Madrid pour des discussions budgétaires avec le gouvernement. Un processus qualifié de "normal" par M. Rehn dans le contexte du nouveau dispositif européen de surveillance renforcée des États.
    Madrid a provoqué l'inquiétude de ses partenaires récemment en annonçant d'une part que son déficit 2011 était beaucoup plus important que prévu, à 8,51% contre 6% annoncé dans un premier temps, puis en prévenant début mars qu'il ne pourrait tenir l'objectif agréé avec l'UE d'une réduction du déficit 2012 à 4,4%.
    L'objectif finalement retenu est de 5,3% avant un retour à 3% escompté l'année suivante. Objectif dont nombre d'économistes doutent qu'il puisse être tenu compte tenu de la récession que va traverser le pays cette année.
    Le gouvernement espagnol a cherché dimanche à rassurer. "Nous allons le faire", a déclaré en Finlande le secrétaire d'État espagnol aux Affaires européennes, Inigo Mendez de Vigo, alors que Madrid doit présenter vendredi un projet de budget rectificatif pour 2012 afin de réduire son déficit plus important que prévu.
    Il a néanmoins demandé un peu de patience en estimant que le chef du gouvernement Mariano Rajoy avait "hérité d'une situation difficile" lors de son arrivée au pouvoir fin 2011.
    Le regain d'inquiétude est de nature à pimenter les débats que vont avoir les 30 et 31 mars les ministres des Finances de la zone euro sur l'opportunité de renforcer les moyens du Fonds de secours pour éviter justement que des pays comme l'Espagne ou l'Italie ne puissent être contaminés à nouveau par la crise de la dette. Une réunion sur le sujet est prévue à Copenhague.
    La Finlande s'est dit "sceptique" samedi sur la nécessité de le faire mais l'Allemagne paraît prête à accepter une solution de compromis au Danemark sur un renforcement minimal et temporaire du Fonds, de 500 à autour de 700 milliards d'euros, selon plusieurs sources proches des discussions

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  • Une trentaine de jeunes Azuréens recrutés par un braqueur devenu prédicateur d’un islam radical devaient partir de Nice direction l’Afghanistan. Un contrôle d’identité le jour du départ a mis fin au projet.

    Omar Diaby devait être leur guide. Le 9 décembre dernier cet habitant des quartiers Est de Nice avait donné rendez-vous à une trentaine de "frères fidèles à Allah" pour l'ultime Choura (réunion) avant le grand départ. Le grand voyage.

    Dans la cité Bon-Voyage, où Omar, l'ancien braqueur, s'était reconverti en prêcheur, leur destination ne fait guère de doute : "Ils devaient s'envoler pour Tunis et rester quelques mois en Libye. Mais c'est l'Afghanistan qu'ils voulaient rejoindre", raconte aujourd'hui un habitant du quartier, musulman anonyme, furieux par cette vision de l'islam qu'Omar Diaby aurait tenté d'inculquer aux "gosses de la cité".

    Sous surveillance depuis un an

    Une lecture radicale du Coran, que ce Sénégalais de 37 ans prêchait loin des mosquées. "La communauté et les imams ne l'auraient jamais laissé faire." Alors, c'est sur le terrain de foot de la cité Bon-Voyage, dans des squats du centre-ville ou sur le Net en postant des vidéos qui appellent à l'hijra et légitiment voire magnifient le jihad que Omar Diaby réécrivait son "histoire de l'humanité".

    De quoi attirer l'attention des services de renseignement français. Membre actif, comme une demi-douzaine d'autres Azuréens de Forsane Alizza, l'organisation islamiste dissoute par Claude Guéant le 2 mars, Omar et quatre autres Azuréens sont sous surveillance depuis plus d'un an.

    L'antiterrorisme a commencé à s'intéresser à eux bien avant qu'un "fou de Dieu" ne vienne semer la terreur dans la Ville rose. Selon une source officielle, des "liens" auraient ainsi été mis en évidence entre Omar le Niçois et Mohamed Merah, le tueur toulousain.

    Mais, au-delà d'un improbable projet terroriste commun, c'est surtout cette même lecture radicale du Coran que partageaient les deux hommes. Une lecture qui ferait obligation à tout musulman vivant dans un pays impie de le quitter pour retourner en terre d'islam. Pas n'importe lesquelles. Selon plusieurs témoignages, c'est donc en Afghanistan qu'Omar Diaby devait conduire une trentaine de fidèles. Là où Mohamed, le gamin de la banlieue de Toulouse, a sans doute appris à devenir Merah le terroriste. C'est bien ce qui inquiète les autorités.

    Une filière irakienne sur la Côte en 2005

    Déjà, en 2005, à grands renforts de moyens, une autre filière, "irakienne" cette fois avait déjà été démantelée sur la Côte. Elle aussi recrutait dans les quartiers Est de Nice,mais aussi à la Californie à l'ouest et jusqu'à Vence, des candidats au jihad. À l'époque une cinquantaine d'agents de l'antiterrorisme parisien avaient été dépêchés sur la Côte.

    Le 9 décembre dernier, il aura suffi d'un banal mais opportun contrôle d'identité pour annuler le "voyage". Le jour même du départ prévu, Omar Diaby a été interpellé devant la gare Thiers à Nice où il venait récupérer deux "frères fidèles" prêts à le suivre en terre d'islam. Rattrapé par une vieille affaire de droit commun - un trafic de pièces de voitures remontant à plus de six ans - le prédicateur des quartiers Est est depuis sous les verrous


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  •  

    Hollande : « Vous les habitants islamiques ou pas, des cités, vous êtes l’avenir de la France » 

    Hollande : « Vous les habitants islamiques ou pas, des cités, vous êtes l’avenir de la France »
    Rien à ajouter........  

    Le 05/03/2012, 15h à EVRY, sous les acclamations délirantes d'un public arabo-français de 6000 personnes...François Hollande s'exprime:
     Ici, c'est la nouvelle France, celle qui émerge, celle qui s'engage, celle du futur.....  « Vous les habitants islamiques ou pas, des cités, vous êtes l’avenir de la France, vous êtes la génération  montante, celle qui sauvera ce pays de la ruine, vous affrontez durement la réalité, je n’ignore rien de la difficulté  d’accéder au logement , au travail (…) Je sais aussi que             l’insécurité n'est pas ce que dit l'opposition », a-t-il lancé.
      « Je veux m’appuyer sur ses quartiers populaires (…) J’aime cette France et j’aime ces français, je n’oppose personne, je ne stigmatise personne, je ne considère pas qu’il y aurait une anti-France,bien au contraire », a poursuivi le candidat  PS. « Moi, je ne veux pas installer la peur, je veux au contraire faire émerger  l’espoir » et « je veux rassembler les Français », a-t-il dit.
    Jugeant « inadmissible que des jeunes citoyens comme vous ne puissent pas accéder à l’emploi à cause de leur lieu d’habitation » ou de « leur couleur de peau », il  a demandé: « Est-il normal que ce soient toujours les mêmes jeunes qui se fassent interpeller, suspecter? », « est-il normal que des milliers de personnes attendent des  jours dans la nuit, dans le froid, pour attendre  tout simplement  des papiers français ?
     Et bien moi, je dis non ! je vais vous donner des papiers, et vous serez aussi Français que les Français de souches de ce pays......                                                          CET INDIVIDU EST IL FOU OU IRRESPONSABLE ?                                                                                                                                                                                


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  • Minute de silence en mémoire de Mohammed Merah : une enseignante rouennaise tue une seconde fois les victimes de l’assassin islamiste !

    Communiqué de presse de Nicolas BAY
    Porte-parole de la campagne de Marine LE PEN
    Président du groupe FN au Conseil régional de Haute-Normandie

    Une enseignante du lycée Gustave Flaubert à Rouen a demandé à ses élèves d’observer une minute de silence en mémoire de l’assassin islamiste Mohammed Merah qui a tué sept personnes dont 3 jeunes enfants. Heureusement, une majorité d’élèves a immédiatement protesté contre ce scandale et en a informé les autorités académiques.

    Ce professeur, qui a présenté M. Merah comme une « victime » a ainsi repris à son compte le discours trop souvent angéliste et laxiste à l’égard des délinquants. Le syndicat SGEN-CFDT s’est empressé de prendre sa défense et la classe politicienne UMPS se fait très discrète…

    Cette enseignante n’a plus sa place au sein de l’Éducation nationale. Il est temps de prendre conscience du développement de l’islam radical dans notre pays, qui fait le lit du terrorisme. Le fondamentalisme politico-religieux n’est fort que des faiblesses des autorités politiques qui l’ont laissé prospérer depuis de très nombreuses années


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  • Affaire MERAH : en guise d’épilogue – par Olivier PERCEVAL, secrétaire général de l’Action Française

    Publié parlegaulois.infoLibellés :,,,,
    - POINT DE VUE-
    Il est mort. Tout le monde peut retourner à ses occupations et à sa campagne (électorale). Il y aura un épilogue, que dis-je des épilogues, présidentielle oblige. Chacun livre déjà aux médias gourmands son indignation sur le comportement de l’adversaire qui ne respecte pas le deuil. On s’indigne de l’indignité des comportements en somme.
    Tout cela serait risible si ce n’était pas si tragique. Le candidat Sarkozy n’a pas de mots assez durs pour condamner une barbarie jugée imprévisible.
    Un musulman déclarait récemment sur une antenne radio que plus de 80 % d’entre eux, soit l’immense majorité, était pacifique. Déclaration naïve qui ressemble à un aveu. Si on estime que la France ne compte pas loin de 10 millions de représentants de cette religion, cela voudrait-il dire que 20 % d’entre eux seraient potentiellement dangereux. Soit 2 millions ?


    Ce chiffre n’est certes pas crédible, mais quelques milliers de fanatiques seulement suffiraient à donner le frisson.
    Vous dites imprévisible ?
    Le principe de réalité nous oblige à constater l’immense responsabilité de nos «élites politiques », droite et gauche confondues, qui ont favorisé cet état de fait explosif en attirant par centaines de milliers chaque année une population qu’elles ne contrôlent ni ne comprennent.
    Et pour couronner le tout, la politique étrangère de notre pays rangée servilement derrière « l’État profond » américain, (allié de l’Arabie Séoudite, grande pourvoyeuse de fanatiques religieux) selon l’expression d’Aymeric Chauprade offre une « légitimité » supplémentaire aux moudjahidin hexagonaux.
    Il est là le problème et nous attendons la réaction du MEDEF dont les porte-paroles expliqueront au peuple français qu’il serait indécent de «stigmatiser les musulmans ».
    Les patrons trouveront naturellement le soutien de toute la gauche du PS au Front de gauche en passant par les écolos pour nous intimer l’ordre de la fermer.
    Quant à l’UMP toujours adepte du « grand remplacement » elle donnera quelques coups de menton électoraux pour finalement entrer dans le rang.
    Mais qu’est-ce que pèsent la mort brutale de quelques jeunes paras, et d’ enfants innocents, en face d’un système financier mondial qui s’appuie sur l’immigration de masse pour faire du chiffre ?
    Il n’y a là que des dégâts collatéraux certes fort dommageables, mais pas au point d’arrêter le business.
    L’Islam est une religion complexe et il ne nous appartient pas ici d’entrer dans une disputatio théologique. Mais une chose est sûre : ce n’est pas en maintenant une immigration fleuve qu’on empêchera Paris, Marseille, Lyon et toute nos grandes villes de ressembler à Bagdad, Kaboul ou Tripoli.                                                                                                          

    C'est le 22 novembre 2011, alors qu'il se remet d'une hépatite A contractée au Pakistan, que Mohamed Merah répond à la convocation des policiers du renseignement intérieur à Toulouse. Ils sont deux à l'interroger : un fonctionnaire rattaché à la direction régionale et un spécialiste de la mouvance islamiste de la direction centrale descendu de Paris.

    Dans le compte-rendu qu'ils font de cet entretien, les policiers expliquent qu'ils ont le sentiment d'avoir en face d'eux un jeune homme sournois, cynique, potentiellement dangereux. Il est "bizarre" mais il affiche un profil de jeune délinquant "de cité", plus que celui d'un djihadiste. Il évoque ses "larcins" pour justifier son train de vie. Les deux fonctionnaires ont la sensation d'avoir affaire à un individu un peu perturbé.
     

    "IL NOUS A BIEN ROULÉS DANS LA FARINE"

    A ce moment-là, Mohamed Merah est connu des services pour deux séjours en Afghanistan et au Pakistan. Joue-t-il la comédie aux hommes du renseignement ? Ces derniers n'en ont pas l'impression. "Il nous a bien roulés dans la farine", avoue aujourd'hui un responsable de la DCRI.

    Depuis décembre 2010, Mohamed Merah est l'objet d'une attention particulière. Plus de 1200 heures de surveillance opérationnelle ont été exécutées. Des filatures, des enregistrements vidéo; les hommes du renseignement s'intéressent à lui et aux personnes qu'il fréquente. Il est inscrit sur le fichier des personnes recherchées, ce qui signifie que le moindre de ses déplacements doit être signalé aux policiers. Les policiers l'ont alors perdu de vue, jusqu'à ce qu'il prenne contact avec eux, depuis le Pakistan. A son retour début novembre 2011, il les appelle de nouveau. Cette fois, il est hospitalisé, mais assure qu'il répondra à la convocation dès sa sortie. Ce qu'il fait.

    IL NE FRÉQUENTE PAS LES MILIEUX ISLAMISTES DE TOULOUSE

    A Toulouse, Mohamed Merah ne mène pas la vie d'un militant salafiste. Contrairement à son frère Abdelkader, il ne fréquente pas les milieux islamistes qui, selon le renseignement intérieur, comptent dans la région toulousaine environ 1200 sympathisants pour 200 militants actifs. Le seul téléphone dont Mohamed se sert est au nom de sa mère. Celle-ci n'étant pas visée par la surveillance, la loi interdit aux policiers de la placer sur écoute administrative. Par ailleurs, Mohamed utilise peu les téléphones, de même qu'il ne navigue pas sur les sites islamistes.

    Dans les trois mois qui précèdent les tueries, Mohamed Merah a fait l'objet de trois contrôles de police pour des rodéos dans la cité des Izards. Des histoires de "petites frappes de cité", relève un policier du renseignement. Des incidents qui, pour la DCRI, tendraient plutôt à confirmer l'idée qu'ils se font de ce jeune: un voyou c'est certain, mais un terroriste, sûrement pas.


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    Sans-papiers: la méthode musclée de la Suisse
    Par Tasha Rumley - Mis en ligne le 23.11.2011 à 14:43
    Dans le sillage du film «Vol spécial», un chercheur américain dresse la carte des centres de détention administrative. Il dénonce une Suisse criminalisante, qui recourt massivement aux prisons pour les sans-papiers.

    On évoque toujours Frambois, ce centre où les étrangers illégaux attendent l’expulsion sous un ciel d’avions en partance de Genève. Frambois, c’est le modèle par excellence de la détention administrative, rendu célèbre par le huis clos Vol spécial qui s’y joue. Les chambres en semi-captivité – les détenus circulent librement à l’intérieur –, encadrées par des éducateurs, illustrent à merveille le concept de détention qui ne serait pas punition.

    Derrière cette vitrine, la pratique à échelle nationale s’avère moins glorieuse. Sur les trente-deux lieux de détention administrative du pays, seuls onze sont des structures spécifiques comme Frambois. Ailleurs, les étrangers qui refusent de quitter la Suisse sont enfermés en prison. C’est ce que révèle le rapport du chercheur Michael Flynn, qui a dressé le premier panorama de la détention administrative en Suisse.

    L’Américain a monté au Graduate Institute à Genève un observatoire de la détention des sans-papiers, qui a déjà décrypté les pratiques de 85 pays. Il n’en revient pas du manque de transparence de la Suisse: «Non seulement la Confédération reconnaît ignorer l’étendue des centres de détention, mais cinq cantons ont refusé de me répondre (BE, GR, JU, NW, VS)!»

    Sous ce fédéralisme, une même pratique fait scandale à Genève alors qu’elle constitue la norme à Berne, Fribourg, Zurich et ailleurs. Par exemple, Le Courrier et 20 minutes ont récemment révélé que des illégaux sont placés à la prison de Champ- Dollon lorsque Frambois est plein, provoquant l’ire du milieu des sans-papiers.

    La pratique est légale, à condition de séparer les étrangers des criminels de droit commun. «Nous ne recourons à Champ-Dollon qu’en cas exceptionnel, explique Laurent Paoliello, responsable de la communication du Département de la sécurité. Lorsqu’il s’agit de multirécidivistes dangereux qui, à Frambois aussi, seraient placés en isolement.»

    Cette pratique n’est pourtant pas anodine. Déjà épinglé par le Conseil de l’Europe par le passé, ce recours à la prison a été dénoncé en juin par le Comité suisse pour la prévention de la torture. Alors que la plupart des pays européens, sauf l’Allemagne, ont des structures pour migrants.

    La Suisse s’illustre encore par sa sévérité, aux côtés de l’Italie cette fois. «Ces deux pays sont parmi les seuls européens à faire du séjour illégal un crime, note Michael Flynn. La deuxième arrestation mène régulièrement à une peine de trois mois de prison.»

    70% de délinquants. La proximité entre illégaux et criminels touche le noeud du problème, qui a valu à Vol spécial les foudres du ministre de l’Intérieur vaudois Philippe Leuba. Ces détenus administratifs, qui sont-ils? Simples clandestins? Criminels? Souvent les deux.

    En théorie, il n’existerait aucun lien entre la détention administrative et un casier judiciaire. Cette dissociation constitue le seul leitmotiv que les associations pour migrants et les autorités cantonales clament en choeur: les premières, pour mettre fin à l’amalgame entre étranger et criminel; les secondes, pour éviter le reproche de double peine – un criminel qui sort de prison a payé sa dette, l’expulser peut être interprété comme une sanction supplémentaire.

     

    «L’ITALIE ET LA SUISSE SONT PARMI LES SEULS PAYS EUROPÉENS À FAIRE DU SÉJOUR ILLÉGAL UN CRIME.»
    Michael Flynn, chercheur

     

    Les chiffres font mentir cet angélisme. A Genève, 80% des incarcérés administratifs traînent un passé criminel, selon le porte-parole. Dans le canton de Vaud, cette part se monte à 70%. A Frambois, que se partagent les cantons de Genève, Vaud et Neuchâtel, les délinquants atteignent 69% des détenus.

    Par ailleurs, au niveau suisse, la plupart ont un profil de requérants d’asile, confirme Michael Glauser, de l’Office fédéral des migrations (ODM). Alors que les 200 000 sans-papiers estimés – qui travaillent au noir mais paient leurs impôts, leur assurance maladie et scolarisent leurs enfants – devraient mathématiquement constituer l’essentiel des détenus.

    Comment expliquer la surreprésentation des criminels dans les expulsions? L’initiative sur les étrangers de l’UDC n’y est pour rien, n’étant pas encore entrée en vigueur. Michael Flynn ne voit qu’une explication: «La Suisse utilise le crime de “séjour illégal” pour se débarrasser des petits délinquants.» Les dealers, les voleurs à la tire et autres arnaqueurs, que les jours-amende ne permettent pas de garder en prison et qui retournent à leur commerce.

    Dans le canton de Vaud, «c’est la priorité de M. Leuba de cibler les étrangers criminels, qu’ils soient requérants ou résidents, dont on révoque le permis C ou B», explique son secrétaire général adjoint, Steve Maucci.

    A Genève cette politique va plus loin. Le Grand Conseil a accepté en septembre une motion radicale qui préconise de bâtir 250 places de détention administrative. «Ce chiffre n’est pas tombé du ciel, indique Laurent Paoliello. Il correspond au nombre de multirécidivistes qui sont à l’origine de l’insécurité à Genève.

    Des Maghrébins pour la plupart, qui n’ont pas déposé de demande d’asile et se prétendent Algériens.» Ils savent que l’Algérie refuse les vols spéciaux, malgré l’accord de réadmission. Plus qu’une stratégie, Laurent Paoliello voit du pragmatisme: «Un criminel arrêté tombe sous le radar des autorités. Cela arrive pour n’importe quelle infraction: des sans-papiers se font attraper par le contrôleur parce qu’ils n’ont pas de billet de bus, cela les insère dans le système et ils reçoivent un avis d’expulsion.»

    La notion du radar expliquerait aussi la surreprésentation des requérants d’asile. «Dans la population d’hommes célibataires, une part élevée commet des délits», note Pierre Imhof, directeur de l’EVAM, qui accueille les réfugiés dans le canton de Vaud. «Quand la police a fait une descente au foyer de Vennes, elle a retrouvé de la drogue ou des objets volés chez la moitié des requérants.»

    Construire plus, enfermer plus. Réfléchie ou non, stratégie il y a de toute façon. Car la disproportion entre la masse théoriquement expulsable – 200 000 clandestins – et les places de détention administrative – 476 selon le décompte de Michael Flynn – impose une sélection stricte.

    Simultanément, les cantons emprisonnent toujours plus. Autrefois, Frambois fonctionnait à mi-capacité. Depuis le début de 2009, le centre tourne à plein régime, selon son directeur Jean- Michel Claude. «Je dois refuser quotidiennement des gens. Il faudrait le double de places pour répondre à la demande des cantons.» En 2010, Frambois a oscillé entre 93% et 116% d’occupation et 2011 devrait avoisiner une moyenne de 105%.

    Un projet d’agrandissement d’une trentaine de places est à l’étude. «Historiquement, les cantons romands ont construit moins de centres que les Alémaniques», rappelle Michael Glauser. Mais la pénurie est nationale: 200 places manquent, estime le porteparole de l’ODM. La conséquence? Certains sont relâchés – à Frambois, moins de 20%, selon le directeur. Surtout, des candidats à l’expulsion ne sont pas arrêtés, notamment lorsque «les autorités nous appellent un ou deux jours à l’avance et que nous n’avons pas de places libres», précise-t-il.

    A cueillir à la sortie de prison ou en foyer d’accueil, bien des illégaux sont loin d’être invisibles. Cela se remarque dans les nationalités expulsées. L’ODM refuse certes de communiquer les destinations des renvois. Cependant, des associations évoquent un utilitarisme des autorités, qui cibleraient les nationalités pour mener des expulsions de groupe, afin de réaliser des économies. A Frambois, Jean-Michel Claude note une certaine tendance: «Lorsqu’on apprend qu’un vol spécial est prévu pour tel pays dans deux mois, on voit une recrudescence de détenus qui en sont originaires.»

    La construction de centres de détention administrative se dessine. Face aux manques évoqués par les cantons, Simonetta Sommaruga compte leur octroyer une aide de la Confédération. Mais la situation comporte une ambivalence que souligne Michael Flynn: «Il y a tant de sans-papiers en Suisse qu’on pourra toujours en interner plus. C’est une tâche sans fin: et plus on construit de centres de détention, plus on enfermera. Lorsque les places ont été construites, il faut justifier leur coût.»


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  • Marine Le Pen a traité Yannick Noah d'"exilé fiscal" qu'elle accuse en plus de "planquer de l'argent à l'étranger". L'ex tennisman devenu chanteur n'a pas apprécié et porte donc plainte contre la candidate FN.

    Yannick Noah ne tolère plus d'être pointé du doigt à chaque fois que certains politiques parlent d'évasion fiscale.

    Si Nicolas Sarkozy avait eu l'air de parler de lui sans vraiment le nommer au Journal de France 2, Marine Le Pen, invitée du Grand Journal de Canal Plus, le 9 mars dernier, n'y était pas allée par 4 chemins et avait déclaré :

    "Je voudrais répondre aux bobos que j'ai en face de moi pour leur dire ce que pensent les Français. Yannick Noah est un exilé fiscal, au lieu de payer des impôts en France, ce monsieur se permet de donner des leçons de morale, des leçons de charité et de partage alors que lui-même ne partage rien que son argent est planqué et qu'il n'en fait pas profiter les malheureux Français".

    Après un premier recadrage où la personnalité préférée des Français (Yannick Noah, pas Marine Le Pen) avait expliqué vivre à nouveau en France (après avoir vécu en Suisse au début des années 80) et payer ses impôts en temps et en heure, Yannick Noah a choisi d'attaquer la candidate FN à la présidentielle, pour diffamation.

    Certes il a une facture de près d'1 million d'euros au Fisc, mais Yannick Noah n'est pas un voleur ou un fraudeur et compte bien laver son honneur.

    Ses avocats déclarent : "Ces accusations ont pour unique dessein d'instrumentaliser à des fins politiques une polémique qui ne repose que sur des extrapolations gravement mensongères. (…) Yannick Noah comprend le débat actuel qu'il considère parfaitement légitime, mais il n'accepte pas d'être identifié à un fraudeur ni d'être stigmatisé comme un exilé fiscal".

    Quant à son histoire avec le Fisc, les défenseurs de Yannick Noad déclarent : "Une procédure est en cours devant le Conseil d'Etat et a déjà abouti à une réduction de plus de la moitié des sommes réclamées".

     

    Marine le Pen n'a pas été en reste en déclarant qu'elle "déniait" à Yannick Noah tout droit de pouvoir s'exprimer "parce qu"il n'habite même pas en France".

    Le chanteur s'était pourtant déjà expliqué sur ces accusations de fraude fiscale dans son premier billet de chroniqueur dans le supplément "Sports et forme" du Monde, où il répondait à David Douillet. Le ministre des sports s'était s'étonné, dans un entretien au Parisien le 2 octobre : "C'est tout de même assez bizarre de dire qu'il aime la France, tout en habitant une partie de l'année à l'étranger."

    "Ça veut dire quoi ?, lui répondait M. Noah. Il y aurait deux catégories de Français, les bons citoyens qui vivent ici et les mauvais qui vivent hors de l'Hexagone ? J'ai un appart à New York, mais j'habite en France depuis des années. Tu dois le savoir, puisque tu as été secrétaire d'Etat chargé des Français de l'étranger avant de prendre ton nouveau job."

    PARTI EN SUISSE POUR ÉVITER DE PAYER DES IMPÔTS

    Un mois plus tard, il revenait dans une interview au Monde.fr sur ces accusations. "Je le redis donc, j'habite dans les Yvelines, je paye mes impôts ici et oui, j'ai habité en Suisse entre 1992 et 1994 et j'ai payé mes impots là-bas à cette période", expliquait-il. Comme de nombreux joueurs de tennis français, l'ancien champion était parti habiter en Suisse pour éviter de payer des impôts sur ses revenus. Le fisc français, estimant que cette domiciliation était fictive, a lancé des poursuites contre M. Noah.

    Après des années de guerilla procédurale, les impôts continuent à lui réclamer 500 000 euros. Comme le rappelle FranceSoir.fr, l'avocat de l'ex-joueur, Me Alain Sarrazin, persiste à contester le redressement fiscal. L'ex-joueur qui était allé devant le Conseil constitutionnel, a été débouté le 23 septembre. Cela n'empêche pas Yannick Noah de continuer à s'afficher à gauche.                                                              SI LE FISC LUI RECLAME ENCORE 500 000 EUROS : C'EST QU'IL N'EST PAS < TOUT BLANC>


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