• sans l' islam

     

      : Sans l’islam...et  sans  HOLLANDE  la  FRANCE  serait  trés  HEUREUSE.

     

     --Qui parle d"amalgame ? Il s'agit de l'inventaire de ce que vivent et ressentent (mal) les gens !
     
     Commentaires d’un journaliste du Monde et de sa rédaction
     
     
    Je l’avoue, cela faisait longtemps qu’écrire un tel article me travaillait, en parlant de la situation française.
    Alors, je me suis mis au boulot, avec l’aide de mes amis de la rédaction, et voilà ce que cela donne…
     
    Sans l’islam, Riposte Laïque n’aurait jamais existé, n’aurait jamais édité des livres comme « Reconquista ou Mort de l’Europe », de René Marchand,
    ou « Musulmans, vous nous mentez », d’Hubert Lemaire… et ne serait pas harcelé juridiquement.
     
    Sans l’islam, la France ne subirait pas Hollande, élu grâce au ‘survote’ de 93 % de musulmans, depuis deux ans et demi.
    Sans l’islam, notre pays n’aurait pas été confronté à des attentats sanglants en 1986 et en 1995, avec plein de morts et de mutilés à vie.
     Sans l’islam, Ilan Halimi serait toujours vivant, et n’aurait pas été torturé à mort durant trois semaines par le barbare mahométan Fofana et sa bande.
     Sans l’islam, Hervé Gourdel serait encore vivant.
     Sans l’islam, Merah n’aurait pas assassiné trois militaires et quatre juifs, dont des enfants, à Toulouse et à Montauban.
     Sans l’islam, des milliers de psychopathes ne seraient pas partis en Irak et en Syrie pour apprendre à nous faire la guerre sainte et à nous tuer quand ils reviendront.
     Sans l’islam, il y aurait moins de coups de couteau à la gorge dans la rubrique faits divers.
     Sans l’islam, la France ne serait peuplée que de citoyens croyants, agnostiques ou athées, mettant de côté leurs spécificités et œuvrant pour mettre en commun ce qui rassemble,
    au nom d’une République laïque, sociale et démocratique.
     Sans l’islam, jamais Brigitte Bardot, Michel Houellebecq, Charlie Hebdo, Fanny Truchelut, Pascal Hilout, Pierre Cassen, Renaud Camus, Christine Tasin, Dominique Jamet,
    Jacques Philarchein, Ivan Rioufol et bien d’autres isolés n’auraient été traînés au tribunal, comme des malfrats, par des commissaires politiques de l’antiracisme ou des musulmans
    rêvant d’instituer la charia en France.
     Sans l’islam les médecins et infirmières ne seraient pas quotidiennement insultés ou frappés par des barbus arriérés refusant qu’on soigne ou accouche leurs femmes.
     Sans l’islam, il n’y aurait pas deux mille agressions et deux cents viols par jour en France, selon les chiffres de Laurent Obertone, dans « France Orange Mécanique ».
     Sans l’islam, il n’y aurait pas d’appels quotidiens à la haine religieuse et à la discrimination dans une grande partie de la population, ce qui détruit tout espoir de cohésion sociale
    et d’entente cordiale.
     Sans l’islam, il n’y aurait pas eu de guerre d’Algérie, car la France n’aurait pas eu à intervenir dans la région en 1830, pour mettre fin aux barbaresques.
    Les pays d’Afrique du Nord ne seraient pas si désagréables à vivre et ne nous enverraient donc pas tant de délinquants et de criminels.
     Sans l’islam, il n’y aurait donc pas eu non plus de traite atlantique, donc pas de repentance pour un phénomène que l’occident, d’une manière générale a en fait combattu et vaincu.
     Sans l’Islam, les jeunes filles et les femmes de France pourraient vaquer dans la rue avec un taux « normal » de sollicitations plus ou moins galantes.
     Sans l’Islam, des dizaines d’adolescentes pourraient poursuivre des études et mener des existences libres sans se voir razziées ici et mariées là-bas, la plupart du temps avec des vieux vicelards qui pourraient être leurs grands-pères.
     Sans l’islam, le professeur Robert Redeker ne vivrait pas comme un prisonnier dans son propre pays depuis 2006.
     Sans l’islam, les autochtones ne seraient pas obligés de quitter leurs banlieues natales,  où ils y avaient tous leurs souvenirs, leurs repères, leur avenir et dont ils ont  financé
    les infrastructures, les équipements sportifs, les établissements et services publics…  par leurs impôts et ceux de leurs aïeuls.
     Sans l’islam, ils ne seraient pas obligés de s’installer en milieux rural, loin de leurs lieux de travail, au prix de nombreux sacrifices, pour se mettre eux-mêmes, et surtout leurs enfants,
    à l’abri des islamo-racailles.
     Sans l’islam et ses incessantes requêtes liberticides, la France serait toujours le pays de la liberté d’expression.
     Sans l’islam, on ne confondrait pas critique d’une religion avec racisme.
     Sans l’islam, nous ne verrions pas ce spectacle pathétique de politiciens collabos se prostituant pour avoir les voix des disciples d’Allah.
     Sans l’islam, nous ne serions pas agressés dans la rue par des voiles qui insultent la condition des femmes, font savoir que celles qui les portent sont réservées aux seuls musulmans,
    injurient les hommes, suspectés de ne pas être capables de se contrôler, et surtout constituent un marqueur sexiste incompatible avec nos valeurs.
     Sans l’islam, la France n’aurait pas été obligée de faire face à l’offensive du voile à l’école, dès 1989, et à des dizaines de provocations contre les équipes enseignantes, de la part
    de jeunes filles soutenues par les associations dites antiracistes.
     Sans l’islam, notre pays n’aurait pas été obligé de mettre sur pied la commission Stasi contre les signes religieux à l’école (en fait seul le voile posait problème), en 2009,
    et la mission Gérin, en 2009, contre le niqab.
     Sans l’islam, la France ne serait pas confrontée à la présence prosélyte du voile à l’université, et à la multiplication de procès contre des employeurs qui le refusent sur leur lieu de travail.
     Sans l’islam, personne ne contesterait les sapins de Noël dans la rue, ni les crèches dans les mairies.
     Sans l’islam, nous ne subirions pas la présence de 2.500 mosquées, à raison d’une nouvelle par semaine, payées tantôt par les émirats du Golfe, tantôt par les pays d’Afrique du Nord,
    et trop souvent avec nos impôts.
     Sans l’islam, autour de ces mosquées, nous n’assisterions pas à la mise en place d’un Etat dans l’Etat, où le petit Etat islamique ronge de plus en plus le grand Etat républicain
    et lui impose ses codes.
     Sans l’islam, nous n’assisterions pas à une recrudescence d’agressions homophobes, antisémites et sexuelles, encouragées par les textes sacrés du Coran et la vie de Mahomet.
     Sans l’islam, nous n’assisterions pas, dans certaines périphéries urbaines, à la mise en place d’une politique de Grand remplacement, de changement de peuple et de civilisation.
     Sans l’islam, Saint-Denis serait toujours la ville des rois de France.
     Sans l’islam, nos policiers ne subiraient pas une guerre quotidienne, visant à saper l’édifice de l’Etat français.
     Sans l’islam, nous n’aurions pas de halal dans l’armée française, ni des militaires musulmans qui refusent de se battre contre leurs frères.
     Sans l’islam, nous n’aurions pas, sur le territoire français, la mise à mort barbare d’animaux égorgés sans étourdissement, qu’on laisse agoniser pendant un quart d’heure.
     Sans l’islam, nous n’aurions pas l’impression, dans certains quartiers, d’avoir changé de continent.
     Sans l’islam, le Qatar ne serait pas en train d’acheter des pans entiers de la France.
     Sans l’islam, nous ne subirions pas sur les plateaux de télévision les enfumeurs comme Tariq Ramadan, Malek Chebel, Dalil Boubakeur, Dounia Bouzar et bien d’autres,
    qui roulent dans la farine les ignorants en leur faisant le coup de la RATP.
     Sans l’islam, un Français d’origine pourrait aimer une née-musulmane sans être obligé par sa belle famille de se convertir.
     Sans l’islam, il y aurait moins de crachats sur les trottoirs, et le maire de Béziers n’aurait pas été obligé de faire un arrêté municipal pour sanctionner les fautifs.
     Sans l’islam, nos médecins et l’ensemble du personnel médical ne risqueraient pas de se faire agresser par des maris violents qui refusent qu’un homme observe leur épouse.
     Sans l’islam, nous n’aurions jamais subi, dans un pays laïc, des prières musulmanes sur nos trottoirs ou dans les rues, afin de marquer la volonté d’occupation de l’espace public.
     Sans l’islam, les enfants juifs pourraient encore aller dans les écoles publiques en Seine Saint-Denis.
     Sans l’islam, on pourrait enseigner la Shoah et parler de Charles Martel dans nos écoles.
     Sans l’islam, nous n’aurions pas d’appel au muezzin par haut parleur, comme à Nanterre.
     Sans l’islam, nous n’aurions pas de revendications alimentaires dans nos cantines scolaires, dans les entreprises.
     Sans l’islam, nous n’aurions pas d’accompagnatrices marquant leur religion par un voile lors des sorties scolaires.
     Sans l’islam, nos enfants ne seraient pas en danger, lorsqu’ils mangent halal sans que leurs parents ne le sachent, à cause du bacille e-coli, comme nous en alerte
    le docteur Alain de Peretti.
     Sans l’islam, il y aurait davantage de places dans nos prisons.
     Sans l’islam, les Français ne connaîtraient pas la souffrance de voir leur pays défiguré.
    Sans l’islam, ils pourraient savourer les douceurs, les insouciances délicieuses et les frivolités légères qu’offre souvent la vie.
     Sans l’islam, les chers souvenirs resteraient doucement mélancoliques et ne seraient pas devenus des regrets brûlants de nostalgie et de rancœur.
     Sans l’islam, le passé ne serait pas si présent, sans l’islam, l’avenir ne serait pas si terrifiant…
     Sans l’islam, nous ne subirions pas dans la rue les tenues guerrières des salafistes en djellaba ou en kamis.
     Sans l’islam, il y aurait beaucoup moins de bénéficiaires de la CMU et de l’AME, considérée comme une nouvelle version des razzias du 21e siècle dans l’esprit de certains musulmans.
     Sans l’islam, on pourrait consacrer davantage d’argent à nos malades et à nos retraités, sans oublier toutes les aides utiles qui font avancer une société.
     Sans l’islam, nous ne subirions pas, un mois par an, le cirque du ramadan, avec le bruit, les violences et les entreprises désorganisées.
     Sans l’islam, après le ramadan, il y aurait moins d’absentéisme à l’école
     Sans l’islam, nous n’aurions pas des abattoirs mobiles où les jeunes garçons prennent l’habitude de voir égorgés des animaux de manière barbare.
     Sans l’islam, nous n’aurions pas des clips agressifs, sexistes et racistes de rappeurs haineux.
     Sans l’islam, les sites internet ne seraient pas pollués par des messages haineux et menaçants, qui nous menacent de mort, disent qu’ils vont faire la loi dans notre pays,
    et que nous sommes foutus.
     Sans l’islam, nous ne partagerions pas les angoisses de Michel Onfray, jugeant que dans cinquante ans, notre pays sera intégralement sous domination musulmane.
     Sans l’islam, il n’y aurait plus de péril fasciste en France, et nous pourrions jouir de tous les charmes d’un pays formidable.
     Sans l’islam, nos enfants ne seraient pas confrontés à un choix terrible : devenir résistants ou dhimmis, avec forcément beaucoup de dégâts dans les deux cas.
    La France ne redeviendra un pays formidable que quand elle se sera débarrassée définitivement de l’islam.
    Il ne vous est pas interdit de faire suivre cet email d’un journaliste en colère

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