• le 14 juillet: le chant du rossignol

    Victime d'un vol, la Sénatrice Laurence Rossignol est en colère

    « Le premier problème de l'insécurité, c'est la lâcheté collective. » La sénatrice socialiste de l'Oise, Laurence Rossignol, ne mâche pas ses mots. Le 14 juillet dernier, vers 14 heures, elle retire de l'argent au distributeur automatique d'une banque de la place Saint-Jacques à Compiègne. Un homme lui vole l'argent, elle le poursuit dans la rue.

    « La première des protections est collective »

    « Tout le monde était comme tétanisé, raconte-t-elle. Je demandais de l'aide pour l'arrêter. Une seule personne lui aurait sauté dessus ou simplement fait un croche-patte, en trente secondes, on le maîtrisait. » Au lieu de cela, la sénatrice ne trouve pas d'échos à son appel à l'aide. « Ce n'était pas le Compiègne désert. Il y avait du monde aux restaurants voisins », témoigne-t-elle.

    Elle reste en colère contre cette passivité. « La première des protections est collective, c'est la solidarité. Plein de choses ne se passeraient pas si les gens se bougeaient. Il y a un problème d'implication. Est-ce que nous sommes de simples spectateurs et commentateurs du monde dans lequel on vit, et pas des acteurs, des gens qui réagissent ? Quand vous criez "Au secours !", personne ne bouge maintenant. Si j'avais reçu ne serait-ce que l'aide d'une seule personne... »

          Lettre  d’un Maire du Parti Communiste  à une élue socialiste
                                    
      Agression de Madame Rossignol, sénatrice socialiste de Picardie
     
     Suite à l’agression d’une sénatrice socialiste lors d’un retrait d’argent, sans qu’aucun témoin ne lève le petit doigt pour lui venir en
          aide, l’ancien maire communiste de Gréasque  (Bouches du Rhône) a publié sur Internet cette lettre ouverte qui  ne manque pas de
          sel. Comme quoi, le bon sens et le franc-parler ne se nichent pas  toujours où on pourrait le croire.
      

     Bonjour, Madame la Sénatrice,
     
     Vous avez, le 14 juillet dernier, subi une agression que vous relatez dans Le Courrier Picard.
     À 14 heures, devant un distributeur d’argent, à Compiègne, un homme vous a volé, en pleine rue et devant témoins, l’argent que vous                    
    veniez de retirer. Vous l’avez vainement poursuivi, et vous avez déclaré en déplorant le fait que personne ne vous ait aidée :
     
    «         Le premier problème de l‘insécurité, c’est la lâcheté collective.
     
     Non, madame. Le premier problème  de l’insécurité, c’est votre politique d’immigration massive légale et illégale depuis trente ans, et la
          libre passoire instaurée, avec votre aval, par les accords de Schengen.                   
     
             Le deuxième, c’est le laxisme politique et judiciaire de votre parti envers les voyous.
     
     Le troisième, c’est votre ministre de l’Intérieur qui  gesticule et ânonne autant qu’il est inefficace (il ne faut pas 
         froisser votre nouvel électorat d’origine maghrébine et de confession musulmane).
                              
     Le quatrième, c’est votre ministre supposée de la Justice dont le laxisme n’a d’égal que l’ignorance historique.

     Le cinquième, c’est que dans cette propension à protéger les voyous, si je m’attaque à l’un d’eux pour défendre une
        victime et que par malchance, je lui occasionne de graves blessures, « votre justice me  conduira en garde à vue et en prison
        où l’on me dénichera, à moi, simple citoyen, une place que l’on ne trouve pas pour les vrais voyous.
     
     Chère madame Rossignol, vous venez donc de goûter, à l’instar  de millions de Français agressés et souvent avec des 
         conséquences bien plus graves que celles que vous avez subies), aux joies du « vivre ensemble » que vous prônez 
         depuis des décennies et à celles de l’insécurité que votre politique promeut en cajolant tous  ceux qui prennent
         notre pays pour une vache à lait.
                                
     Veuillez agréer, Madame, mes salutations républicaines.
                               
     Pour les Français,bientôt le train de l'Histoire sera  arrivé à son terminus.

    Il faudra ramasser ses bagages et se préparer à descendre.
                               
     Quand la Seine Saint-Denis a commencé à pourrir,les  Français de souche, ont quitté la Seine Saint-Denis transformée  depuis en
     coupe-gorge. De la même manière, ils quittent Lille, Marseille, Roubaix,les quartiers nord de Paris. Dans toutes les villes de grande, de
     moyenne importance l'Islam progresse avec la perfidie d'une pieuvre.                         
                                      
     L'exemple de Hyères les Palmiers (la bien-nommée) est flagrant: en 2007 cette petite ville était rayonnante et l'on s'y sentait  bien; en                  

     2011 elle s'était déjà métamorphosée et ça et là les voiles apparaissaient, des marchés leur étaient réservés; en 2013 l'immigration et tout
     ce qu'elle comporte de négatif a pris  le dessus, jusqu'aux écoles maternelles où l'on affiche  ouvertement des repas sans porc.
        
     Progressivement, viendra le jour où changer de ville ne résoudra pas le problème. Il faudra alors s'écraser ou bien quitter le  pays !
     Peu à peu, le Français de souche se fait remplacer et il est heureux, Il regarde béatement sa Nation partir dans le tout à l'égout.
                              
     Dans le désert, quand un animal est blessé, les rapaces viennent de partout, chacun veut son petit morceau « La France est
     aujourd'hui cet animal mourant. »
                                          
     Par leurs impôts, les Français financent les logements, la nourriture et les soins de ceux qui sont en train de les remplacer.>
           
     Quand il n'y aura plus assez de travailleurs pour payer les parasites, ou la racaille (selon) ça sera le chaos et la violence.  Pour son
     immigration, la France a particulièrement choisi des populations incapables de gagner ou de produire ne serait-ce que leur pain
     quotidien, mais très capables de se reproduire...
                                          
     Il va bien falloir un jour se réveiller car la Marseillaise pourrait rapidement commencer par : « Aux larmes aux citoyens... !
     
                                        
     50% des internautes vont faire circuler ce texte... !
     Ce devrait être 100%. « Le ferez-vous... ?




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