• Et c'est ça qui veut rentrer dans l'Europe ?

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    Erdogan : "La femme ne peut naturellement pas être l'égale de l'homme"

    Le président islamo-conservateur turc affirme que "l'islam a défini une place pour les femmes dans la société : la maternité".

    Recep Tayyip Erdogan, à Berlin, le 31 octobre 2012. 

    Le président islamo-conservateur turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé lundi sans détour que les femmes ne pouvaient pas être naturellement égales aux hommes et a critiqué vertement les féministes, les accusant d'être opposées à la maternité. "Notre religion (l'islam) a défini une place pour les femmes (dans la société) : la maternité", a lancé Recep Tayyip Erdogan à Istanbul devant un parterre très largement féminin réuni pour un sommet sur la justice et les femmes. "Certaines personnes peuvent le comprendre, d'autres non. Vous ne pouvez pas expliquer ça aux féministes parce qu'elles n'acceptent pas l'idée même de la maternité", a-t-il ajouté.

    Sur sa lancée, le chef de l'État a assuré qu'hommes et femmes ne pouvaient pas être traités de la même façon "parce que c'est contre la nature humaine". "Leur caractère, leurs habitudes et leur physique sont différents (...), vous ne pouvez pas mettre sur un même pied une femme qui allaite son enfant et un homme", a-t-il insisté.

    "Nature délicate"

    "Vous ne pouvez pas demander à une femme de faire tous les types de travaux qu'un homme fait, comme c'était le cas dans les régimes communistes", a également estimé le président Erdogan, "vous ne pouvez pas leur demander de sortir et de creuser le sol, c'est contraire à leur nature délicate".

    Le parti de Recep Tayyip Erdogan, qui dirige sans partage la Turquie depuis 2002, est régulièrement accusé par ses détracteurs de dérive autoritaire et de vouloir islamiser la société turque, notamment en limitant les droits des femmes. L'actuel président, qui a dirigé le gouvernement pendant onze ans avant son élection à la tête de l'État en août, a suscité à de multiples reprises la colère des mouvements féministes turcs en tentant de limiter, sans succès, le droit à l'avortement et en recommandant aux femmes d'avoir au moins trois enfants.

    Dénoncer les temples de la haine

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    L’examen de la signification «officielle» de la prière musulmane montre que les lieux de culte musulmans (sunnites) sont autant de foyers de haine religieuse. Je plaide ici pour des actions en justice concertées contre ces pratiques cultuelles que nos lois condamnent.

    Ceux qui ont étudié l’islam savent que les menaces de l’EI sont fondées avant tout sur la doctrine musulmane classique, et seulement ensuite sur les prétextes et contre-vérités dont nous gave le courant dominant. Ceux qui ont étudié l’histoire de l’Islam peuvent constater aussi que seules les circonstances politiques changent, pas les causes fondamentales du conflit qui oppose l’Islam au reste du monde et qui émane très directement des dogmes musulmans. Dans la fable du prophète, ce sont des terroristes, des tueurs de masse et des esclavagistes qui s’imposent, avec l’aide de dieu et des anges. Et les musulmans que nous appelons aujourd’hui modérés sont traités d’hypocrites, de traîtres potentiels. Et aujourd’hui comme hier, ils doivent mentir de tout leur cœur pour prôner un islam raisonnable. De fait, l’islam est mauvais à cœur, dans son essence même, dans son message fondamental et également, nous pouvons maintenant le démontrer valablement, dans saprière quotidienne, qui sous des apparences d’humilité constitue le plus formidable appel à la haine de notre époque.

    Et le (faire) savoir, largement, universellement, suffirait sans doute à endiguer l’essentiel du problème que nous pose l’islam, en obligeant les autorités et le public en général à ouvrir les yeux sur les vraies sources du malaise. Car nos ennemis vraiment dangereux, en Occident, à long terme, sont moins les psychopathes boueux d’Irak et de Syrie que les musulmans bien acceptés, modérés, voire charmants, qui répandent leurs chapelets de haine jusque sous notre nez, pendant leurs prières, à chaque génuflexion.

    Contre les djihadistes, nos sociétés ont tout de même des polices et autres forces armées. Mais contre la haine et la fourberie qui émanent de la religion musulmane, nous sommes encore démunis. Pire: les armes démocratiques dont nous disposons, sous la forme des lois antiracistes (art. 261bis du code pénal suisse, art. 24 de la loi française sur la liberté de la presse, art. 319 du code criminel canadien, etc.) servent actuellement plutôt à empêcher la critique légitime de l’islam. Ainsi, pour faire connaître la nature de ce problème, de manière correctement fondée, le mieux est d’utiliser les institutions censées nous en prémunir et d’attaquer l’islam en justice pour incitation à la haine. Si possible dans tous nos pays en même temps. Et avec des argumentsqu’aucun juge honnête ne pourra contester sur le fond, car ils viennent tout droit de la crème de plus de mille ans de pensée intrinsèquement musulmane.

    En effet, tous les musulmans pratiquants, au moins, participent à l’effort de haine, de discrimination et de suprématisme qui atteint aujourd’hui des sommets dans le nouveau califat. Tous prononcent au moins 17 fois par jour des versets du coran qui leur enfoncent dans la tête et le cœur la certitude toxique que les chrétiens et les juifs sont égarés et/ou maudits par dieu. Une certitude que le coran confirme à la manière d’un leitmotiv. Même si tout allait bien dans le monde et que ces gens étaient traités comme des rois, ils n’en seraient pas moins, en général, haineux dans le secret de leur cœur, et pas moins volontiers menteurs sur la nature de leur religion. Car cette attitude, pour des croyants, dépend d’abord et surtout de leur culte, de leur foi de base, des convictions fondamentales qui leur sont dictées par leur dieu, soit ici par des répétitions sans fin, des milliers de fois par an. C’est absolument intolérable, et contraire à nos lois, à leur lettre comme à leur esprit.

    D’autre part, nous aurions tort d’hésiter à blesser les sentiments religieux sincères, s’il en est, des quelques musulmans qui ignoreraient la signification et la portée de leurs prières. Compte tenu des fondements concrets de leur foi (La Mecquele coranle prophète), nous pouvons même détruire leurs illusions, désacraliser leur dieu et leurs idoles, avec bonne conscience, voire par compassion.

    Je propose donc à ceux d’entre nous qui s’en sentent le courage et la ténacité de former des comités, dans leur pays, et d’attaquer (des représentants de) l’islam en justice pour incitation à la haine religieuse, à la discrimination, au racisme – selon ce que leurs lois prévoient – sur la base du contenu standard de la prière musulmane. Nous disposons maintenant d’une étude approfondie montrant que les musulmans instruits ne peuvent pas ignorer que leur religion est un appel à la haine et, in fine, au génocide. Il faut le faire savoir hors du cercle des croyants et des «islamophobes», le faire admettre très officiellement.

    Je recommande de ne pas viser des cibles trop vitales (interdiction nationale de la prière musulmane), afin de ne pas favoriser les émeutes (comme en Inde dans les années 1980). Il faut éviter aussi les cibles trop grandes (toutes les mosquées d’un pays ou d’une région), afin de ne pas multiplier inutilement les parties adverses, qui engorgeraient les procédures. Ces actions doivent avant tout tenter d’obtenir une reconnaissance publique et officielle de la nocivité de la croyance musulmane. S’il ne faut certes pas en attendre des solutions directes, elles favoriseront à terme une prise de conscience générale, publique, du vrai problème de l’islam, à savoir la religion musulmane, le coran et la fable du prophète. Elles permettront ainsi d’instaurer des conditions favorables au développement de vraies solutions, au grand jour.

    Il s’agit aussi, dans une perspective plus large, de percer une brèche dans la muraille de mensonges sirupeux que les musulmans et leurs idiots utiles – avec parmi eux tout de même trois présidents des États-Unis, des centaines de hauts responsables gouvernementaux et des hordes bigarrées d’activistes, de soi-disant humanistes, de journalistes et autres «intellectuels» – bâtissent et rebâtissent quotidiennement. D’imposer au moins une vérité simple mais cruciale: la pratique normalisée de la religion musulmane répand la haine et la discorde entre les gens, favorise le ressentiment et les actions violentes. Et tous les imams, tous les responsables religieux et bien sûr la grande majorité des musulmans le savent pertinemment.

    En théorie, au vu des faits et des moyens de preuve, ces procédures devraient se révéler plutôt aisées. Objectivement, les conclusions sont évidentes et indéniables. Mais dans la pratique, ce sera sans doute extrêmement difficile. D’abord, il faudra définir des actions à la fois judicieuses et réalisables, en fonction du cadre légal et jurisprudentiel, ce qui nécessitera pas mal de talent et de savoir-faire juridique. Ensuite, l’effort devra probablement être maintenu des années durant – il faut s’attendre à devoir porter les cas jusque devant la CEDH. Bien sûr, ça coûtera aussi beaucoup d’argent. Mais les vrais obstacles sont ailleurs.

    Une fois passé le seuil usuel d’indifférence et de déni, il faudra avaler des torrents d’insultes (raciste, bigot, islamophobe, fasciste, extrême-ceci et extrême-cela). Il faudra lire et entendre des flots de critiques, de messages de haine et de menace, sans en parler autour de soi, sinon pour en plaisanter, afin de ne pas contribuer à répandre une ambiance délétère. Il faudra passer des dizaines d’heures sombres et faiblardes à rassurer les proches, que nos ennemis ne manqueront pas de tenter d’influencer, avec un mélange parfaitement rodé de bienveillance feinte et de menace voilée. Il faudra éviter tout écart, même de langage, en dépit des provocations, sous peine d’être aussitôt submergés d’outrages moralisateurs. Et il ne faudra pas attendre de reconnaissance, de remerciements, de gloire. Ceux à qui je m’adresse, sérieusement, savent déjà tout cela. Ceux qui l’ignorent n’ont aucune chance et ne devraient pas se risquer dans cette voie. Ou seulement très en marge. Mais le pire est encore à venir.

    Pour avoir une chance de défendre ce dossier, il faudra s’imprégner profondément de la matière. Il faudra étudier et ruminer la pensée musulmane, des mois durant, à la source, dans les exégèses et le fiqh, dans les écrits d’esprits parmi les plus éteints de l’histoire. À la fin du présent billet, vous trouverez une série de liens vers un recueil d’exégèses de la Fatiha, la première sourate du coran standard, qui rythme la prière musulmane. Il faudra lire ça, notamment. Attentivement. De bout en bout. Plusieurs fois. Et comprendre, sentir, approfondir, s’identifier. Il y a là une source de nausée capable de faire regretter celle engendrée par le visionnement de décapitations collectives. Et cette nausée sera un pain quotidien. Et seule sa maîtrise pourra nous donner la force de convaincre.

    Si vous pouvez envisager ces perspectives, sans grimacer ni détourner le regard, alors vous êtes peut-être capables de mener cette tâche à bien. Et si vous en êtes capables, alors vous aurez peut-être une chance d’en sortir sains et saufs. Mais peut-être aussi serez-vous ruinés, méprisés, abandonnés, brisés définitivement, ou abattus, lynchés, égorgés, crucifiés. Votre dépouille sanglante sera peut-être traînée dans les rues en triomphe pendant que des musulmans jubileront en dégustant des friandises. Vous ne serez pas les premiers – s’il y a un paradis pour les victimes de l’islam, il sera plein à craquer. Mais je ne vous promets rien.

    Si vous lisez toujours et que vos tripes ne vous lâchent pas, alors vous pouvez entamer la lecture du livret «La Fatiha et la culture de la haine», ci-après. Outre les exégèses du verset crucial de la liminaire, en arabe et en français, vous y trouverez une introduction fournissant quelques arguments de base en prévision d’une action en justice. Souvenez-vous: personne ne vous oblige à lire ça. Personne ne vous affirme que cela vous fera du bien. Continuez à vos risques et périls. Et ne vous plaignez pas. C’est une guerre que vous entamez. Ne vous engagez que si vous le voulez. En votre âme et conscience. Sinon, faites-vous plaisir, jouissez de la vie, personne ne vous en voudra. Au contraire, c’est la réaction la plus sainement normale qui soit



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