• CHICHE !

    LE CORAN NUIT A LA SANTE MENTALE

    Lorsqu’on observe des musulmans manifester leur consternation dans les rues, sur les plateaux de télévision ou sur les réseaux sociaux contre la barbarie de l’État islamique (Daech), en exhibant le slogan Not in my name, l’on se demande si cette gesticulation choquante ne signifie rien d’autre que lâcheté, hypocrisie et ignorance.

    C’est une manifestation de lâches, puisqu’ils rejettent toute autocritique et n’osent pas se poser cette question fondamentale : Comment notre islam enfante-t-il des monstres et transforme bon nombre de nos coreligionnaires en bêtes sauvages ?

    C’est une manifestation d’hypocrites, car ils se livrent, comme d’habitude, à l’exercice de la taqiya, leur mécanisme classique de défense qui autorise la dissimulation et le mensonge légal. Ce sont des charlatans qui nient, sans honte ni pudeur, la vérité de leur islam ainsi que les atrocités et les monstruosités qui jonchent leur histoire depuis Mahomet jusqu’à nos jours.

    Certains d’entre eux sont des ignares. Ils rejoignant le troupeau comme les moutons de Panurge. Téléguidés par des fanatiques dangereux, ils suivent les gourous. Leur faculté de raisonnement en panne, ils s’avèrent incapables de faire le moindre effort pour fouiller dans leur coran, dans les hadiths, ou dans la biographie de leur prétendu prophète afin de découvrir les racines de la barbarie islamique. Ils ferment les yeux sur leur patrimoine historique et la culture de la décapitation inhérente au véritable islam mis en sourdine. Donc, ils ignorent sérieusement le contenu des textes fondamentaux qui instituent, sacralisent et nourrissent la violence et la barbarie de leur croyance.[1]

    Si ces musulmans voulaient sérieusement manifester leur répugnance face aux horreurs commis par leurs coreligionnaires, notamment face aux scènes nauséabondes de la culture islamique de l’égorgement, ils auraient dû s’armer de courage et oser s’interroger :

    Pourquoi notre croyance intoxique-t-elle ses adeptes, les fanatise et en fait des sanguinaires avec des cœurs durs et des esprits décérébrés ?

    Pourquoi notre islam extirpe-t-il de leur existence l’amour, la fraternité, la tolérance, la solidarité ?

    Pourquoi notre idéologie les prive-t-elle des sensations et des sentiments propres à tous les êtres humains, abstraction faite des différences ethniques, linguistiques ou raciales ?

    Pourquoi nous, les musulmans n’offrons-nous aujourd’hui à l’humanité autre chose que Daech, le meurtre et le sang?

    Est-ce que cette culture barbare est-elle intruse ou étrangère à l’islam, comme certains musulmans prétendent et répètent sans cesse : ce n’est pas l’islam, ça n’a rien à faire avec l’islam ! Not in my name !

    Un rappel de quelques faits historiques permet de voir comment la pratique de l’égorgement, de la barbarie et du meurtre collectif des innocents a pris naissance, s’est développée et s’est enracinée en islam longtemps avant l’émergence de Daech. Elle est, en effet, érigée en doctrine officielle et basée sur une jurisprudence de haine et de violence sadique et gratuite, depuis Mahomet jusqu’aux gourous des groupes islamistes contemporains qui sèment la terreur partout dans le monde au nom de l’islam.

    Il faut dire à ces musulmans la vérité qui dérange et leur rappeler avant tout que c’est Mahomet lui-même qui est le premier égorgeur. C’est lui qui initie, en premier, cette culture de l’égorgement, en déclarant devant ses compagnons : « Ô gens de Qoraïch ! Écoutez bien ! Au nom de celui qui détient mon âme entre ses mains, je suis venu à vous par l’égorgement ! » ?

    C’est Mahomet lui-même qui institue cette culture de la mort lorsqu’il ordonne à ses compagnons de tuer un intellectuel mecquois, Al-Nadir fils d’al-Hârith, ainsi que son camarade, tous deux capturés lors de la bataille de Badr.

    C’est aussi Mahomet qui instaure la pratique collective de l’égorgement en ordonnant la décapitation de tous les hommes adultes de la tribu juive de Banou Qoraïza (800 à 900 personnes), et la réduction de leurs femmes et enfants en esclavage. Al-Baghdadi, le gourou de Daech, n’invente rien. Il ne fait qu’imiter son maître, « le plus beau modèle » pour tous les musulmans.

    Mahomet consolide également cette culture lorsqu’il légifère en faveur de l’assassinat des poétesses arabes de manière sauvage. Il autoriseOumayr Ben Adi qui était son bras droit, de poignarder Asma’ fille de Marwan, sous prétexte qu’elle a composé des poèmes satiriques dénonçant ses enseignements.

    Puis, il fait assassiner, de façon encore plus atroce, Fatima fille de Rabîha de la tribu arabe de Fazara, à cause de son refus catégorique d’adhérer à sa croyance. Il charge alors Zayd fils de Hâritha, un autre proche de lui, de cette salle besogne, et lui ordonne d’attacher chacun des pieds de ladite Fatima à un chameau et de forcer les deux bêtes à tirer dans des directions opposées, jusqu’à ce que son corps se déchire. Puis, il fait accrocher sa tête rasée à un javelot à l’entrée de la ville et traite sa fille comme esclave.

    L’histoire de l’islam note également que le calife Mouawiya, fils d’Abi Sofiane, était aussi un des plus célèbres coupeurs de têtes en islam. C’est lui qui coupe la tête de Ammar fils de Yasser lors de la bataille de Siffîne, ainsi que celle de Amrou fils d’al-Ahmaq, un des participants à la révolution contre le calife Othmân ben Affân. Il fait venir son épouse et met la tête de son mari sur son ventre.

    Son conseiller le plus proche, Amr Ibn al-Ass, pratique la même barbarie. Avant d’entrer en Égypte, il coupe la tête de Mohammed, le fils du premier calife Abou Bakr as-Siddiq. Il met son corps dans le cadavre d’un âne avant de l’incinérer.

    Son fils Yazid n’était pas moins monstrueux que lui, puisqu’il coupe la tête de Hussein, le petit-fils du prophète Mahomet, et assassine toute sa famille.

    D’ailleurs, toute l’histoire de l’islam est jonchée de ces actes barbares. En 1570, l’armée ottomane assiège la ville de Famagosta à Chypre et décapite plus de 20000 de ses habitants. (Andrew Wheatcroft, Infidels, p. 20)

    Même au XXe s, les Turcs sanguinaires poursuivent leurs crimes, avec le génocide de plus de deux millions d’Arméniens et d’Assyriens. De nos jours, leur barbarie ne démord pas. Le nouveau sultan Erdogan applique aujourd’hui avec arrogance la même stratégie avec cynisme à l’encontre des Kurdes de Kobané. Il ferme froidement les yeux sur les massacres perpétrés par Daech, sous prétexte de défendre son pays contre le PKK.

    Ce ne sont que d’infimes exemples. Les biographies et les chroniques islamiques évoquent avec fierté et sans pudeur des dizaines de milliers de massacres effectués par les musulmans au nom d’Allah et de l’islam. Les djihadistes d’aujourd’hui exhibent avec exubérance sur Internet des milliers de vidéos mettant en relief les opérations de l’égorgement d’individus et de groupes innocents, toujours au cri de leur Allah akbar.

    Cette décadence barbare est illustrée, encouragée et défendue par maints « haut gradés » musulmans, dont le prétendu « savantissime » juriste égyptien, Abdelrahman Al-Ali. Dans son livre, Questions de jurisprudence du jihad, il justifie ouvertement l’assassinat de tous les mécréants, y compris les femmes, les enfants et les personnes âgées. Il défend la pratique de la décapitation, en vertu de nombreux versets coraniques et de hadiths. Il fait savoir qu’Allah n’a pas ordonné seulement de tuer les mécréants, mais il a précisé qu’on les égorge, car ce qui est voulu et souhaité par Allah et son messager, c’est la décapitation. Son livre est enseigné à l’Université d’Al-Azhar comme dans maintes institutions islamiques, y compris en France.

    Si de nombreux musulmans justifient toujours les crimes horribles commis au nom de l’islam pour défendre leur dieu Allah, on trouve heureusement d’autres, – dont le nombre est encore, hélas, très réduit -, qui dénoncent et condamnent cette barbarie. C’est le cas de l’historien irakien Abboud Al Shalgy qui publie entre 1990 et 2002 uneencyclopédie sur la torture en islam, en sept volumes (accessible en arabe sur Internet). Exemples et références à l’appui, il fustige les crimes commis dans les razzias et les conquêtes, les tueurs de masses dès le début de l’islam, ainsi que tous les châtiments auxquels les califes et les sultans ont eu recours : égorgement, décapitation, enterrement de personnes vivantes, empoisonnement, lapidation, crucifixion, noyade, le bûcher pour les apostats, etc. Il énumère les nombreux cas où on usait des châtiments corporels, tels la mutilation du nez, l’amputation de la main, de la langue, la castration, les testicules broyés, les vagins défoncés, les femmes enceintes éventrées ou suspendues par les seins, les décapitations, l’empalement, etc. « Dans toute l’histoire, écrit-il, aucune barbarie n’a été aussi cruelle que celle qui régnait sous les régimes islamiques. L’objectif n’est pas simplement de supplicier mais de faire durer le supplice le plus longtemps possible, de détruire l’être dans l’humain et de le réduire à néant par une peur constante. »

    Stupéfait de cette image sombre de la barbarie en islam, et de la permanence du terrorisme islamique comme de son extension à l’échelle internationale, l’auteur, ne croit point à des solutions humaines pacifiques susceptibles d’éradiquer ce mal intrinsèquement lié à cette doctrine totalitaire, qui gangrène, tel un cancer généralisé, l’humanité toute entière.

    Les masques tombent. Nombreux sont en France, – tels les responsables religieux de tous poils, les politiciens, les journaleux et les autres islamo-collabos – qui prétendent encore que les monstruosités commises par Daech vont à l’encontre des enseignements de l’islam. Que ces faux poncifs cessent de mentir aux Français et continuer à scander leur refrain mensonger : L’islam est une religion de paix et de tolérance. Il est temps que ces manipulateurs soient traduits devant les tribunaux pour complicité criminelle, car, par l’extravagance de leur posture, ils cautionnent cette idéologie désastreuse, qu’est l’islam, et encouragent ses adeptes à détruire notre civilisation.

    Malek Sibali


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