• avertissement aux francais

     

    A Brignoles, une religieuse menacée d’égorgement par l’imam !

    cure-imamIl faudrait peut-être, dans notre pays, se réveiller et comprendre qu’on peut se faire égorger aussi bien en France qu’en Kabylie ou en Syrie. Le danger est partout et peut-être davantage dans nos murs. Etant dans le midi, mes pas m’ont portée jusqu’à Brignoles (Var), cette charmante petite ville très ancienne à une heure de Marseille. Et qui a fait parler d’elle parce qu’elle a eu 6 élus FN aux dernières municipales. Nous avons tout d’abord vu un « djeune » qui nous a dévisagés ostensiblement, de manière très désagréable, sans doute parce que ayant été pris de soif, nous marchions avec chacun une canette (de coca-cola) à la main. Non, ce n’était pas du vilain alcool dont se régalent les « mécréants », ce qui ne peut que les amener en enfer, bien sûr.

    Nous avons ensuite rencontré cinq salafistes, reconnaissables à leurs djellabas, leur barbe très longue avec la moustache rasée (ce qui est positivement d’une laideur…) et à leurs conciliabules en arabe dans un coin opaque, à la tombée de la nuit. Et nous n’étions même pas un vendredi. Puis nous avons vu leur petite mosquée, dans une toute petite ruelle sombre et très étroite, dans un bâtiment modeste et ne payant pas de mine, mais avec une énorme pancarte sur laquelle se lisait « mosquée l’unicité ». Rue Saint Joseph !… Mais quelle manie ont ces salafistes de toujours choisir des rues avec des noms de saints ? …Nous nous sommes éloignés avec répulsion, plaignant les voisins. Enfin nous avons croisé une petite soeur de Saint Jean. Pas très au fait des nombreux costumes religieux j’ai d’abord cru que c’était une musulmane voilée et j’ai commencé tout haut une phrase réprobatrice, avant de m’apercevoir de mon erreur. Elle nous a salués d’un joyeux bonsoir auquel nous avons répondu.

    Et enfin, un prêtre qui passait devant l’église nous a proposé de la visiter malgré l’heure tardive. En entrant, je lui glisse : «  et il y a une mosquée… » Il me répond : « oui, située juste en face des soeurs de Saint Jean. » Ainsi les voisins que je plaignais, ce sont des voisines, des religieuses catholiques !… Il poursuit : «  Et l’une d’elle s’est faite agresser. Elle a croisé l’imam dans la rue, il lui a fait ce geste sans équivoque, vous savez, en passant sa main sur sa gorge d’un geste sec. Et lui a annoncé qu’il ne pouvait rien lui arriver d’autre que des horreurs, qu’elle ne perdait rien pour attendre. Puis il a craché par terre à ses pieds. » Le prêtre se tait un instant puis continue : « la soeur est rentrée dans son monastère, commotionnée. Puis elle a réfléchi à la signification du crachat en islam. Et le jour suivant, rencontrant à nouveau l’imam, elle a pris sa respiration et a, à son tour, craché à ses pieds. L’imam tout surpris, honteux et confus devant l’assurance combative de la religieuse, s’est faufilé tête basse et sans mot dire dans sa mosquée et depuis, c’est le statu quo ».

    Ainsi des Français ont montré leur indignation devant les élections « nauséabondes  et pathétiques», « fascistes et rappelant les heures les plus sombres de notre histoire », de Brignoles. Mais ce qui est clairement fasciste, et criminel, n’est-ce pas plutôt ces menaces de mort par égorgement, proférées à l’encontre d’une religieuse menant une vie d’apostolat et de charité, ayant choisi d’habiter cette rue sombre et déshéritée, alors que les mosquées se construisent d’habitude dans des endroits plus favorisés et plus voyants tant les musulmans aiment la « décence ».

    On aurait aimé que ces mêmes Français qui ont poussé des cris d’orfraie aux élections de Brignoles, soient là pour s’opposer à cette agression. Mais ils auraient sans doute pudiquement fermé les yeux et dit que l’islam ce n’est pas ça, « c’est une grande religion de tolérance, de paix et d’amour, vous n’y comprenez rien et surtout, fermez-la ». Même après l’assassinat de Hervé Gourdel.

    On aurait aimé aussi que ces donneurs de leçon soient là lorsqu’une femme s’est faite agresser, à Brignoles, l’an dernier, parce qu’elle portait une minuscule croix autour du cou. « On » lui a dit qu’elle provoquait les pauvres musulmans, parce que c’était le jour d’une fête musulmane. Elle n’a dû son salut qu’à un départ précipité en voiture.

    On aimerait savoir ce que les adeptes du dialogue « islamo-crétin » vont penser de cette menace d’égorgement, eux qui prétendent que dans tout musulman il faut voir d’abord l’humain, et puis qu’il faut se mettre à sa place, oui ma brave dame. Est-ce humain de menacer d’égorger une voisine, sous prétexte qu’elle est chrétienne ?… Cet imam s’est-il mis à la place de la religieuse ?…

    Félicitons cette religieuse, qui n’a pas cédé, pas craqué, et a répondu à l’insulte par le seul langage que semblent comprendre les salafistes. Bravo ma soeur. Il serait comique que la victoire contre l’islam nous vienne par les femmes, alors que l’islam déteste les femmes.

    En attendant notre victoire dans ce qui est bien une guerre, il faut être conscient qu’en France même « on » menace les vilains kouffars d’égorgement. Evidemment nos chers élus dans leurs palaces bien gardés bien loin de la foule modeste des « sans dents », et nos bobos, cathos ou non, dans leurs rêves roses complètement déconnectés, l’ignorent encore. Il faut le leur faire savoir de toute urgence. Avant un nouvel égorgement.

    Sophie Durand


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