• Histoire de bien finir l'année, pour ceux qui aiment lire avec ce texte qui m'est venu en regardant des BD adressées par un ami.

    Pour vous changer un peu des textes et des photos de nos soirées et stage SM, je vous ai pondu une petite histoire en m’appuyant sur la BD ci-dessous. Le texte n’est pas très travaillé mais ce n'était qu'une petite envie d'écrire que j'ai assouvie.

    Bonne lecture et bon week-end.

    TSM

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    L’étudiante piégée

    Par TSM

     

    Parce qu’elle est jolie et que tous les étudiants lui tournent autour, Laurie s’est faites des ennemies à la fac. Au fil du temps, cette gourmande des plaisirs de la vie, a cédé à quelques prétendants sauf que l’un deux n’était ni plus ni moins le chérie de la diabolique Sarah. Pour se venger, elle a monté une cabale particulièrement odieuse pour sa rivale trop gourmande de sexe.

    Il est 20 heures, son piège est prêt. Depuis quelques temps, elle communique par email avec Laurie et construit son piège. Le contenu des emails qu’elle a transformé est sans équivoque, cette fille maso particulièrement salope rêve de viol et de ganband. Les mecs les plus pervers attendent avec impatience cette soirée à laquelle une fille maso inconnue veut s’offrir corps et âme pour se faire défoncer et jouir toute la nuit.

    Pour parachever son œuvre diabolique, Sarah a dirigé les pensées et folies de Laurie très attirée par le BDSM. Elle l’a même aidé à monter un blog agrémenté de photos SM qu’elles ont faites toutes les deux dans une chambre puis dans la chaufferie de la fac. Laurie visage masqué y apparaît en soumise entravée et offerte. La plus grosse des difficultés pour Sarah a été de ne pas étriper sa rivale lors des séances photos puis des discussions coquines entre filles lorsqu’elles construisaient le blog. Les textes de Laurie sont sans équivoques possibles tout comme les photos, elle aime l’amour vache, les rapports musclés et se plait à se jouir attacher quand on lui fait l’amour.

    Hier, Sarah a changé le code d’accès au blog et les photos pour publier celles sans le masque exposant le visage de sa rivale en train de crier « baisez-moi » ou « je veux qu’on me baise en série » puis des phrases toutes aussi provocatrices du style, « les mecs de la fac bandent trop mou pour me faire jouir ». Dans sa folie, elle a préparé une annonce sur le ganband de ce soir où Laurie dans sa soif de sexe et de BDSM se livrerait à tous ceux qui seraient capables de la baiser correctement.

    Depuis le midi, elle diffuse des messages annonçant le ganband où une maso s’offrirait. Vers 18 heures, sous prétexte de fêter son ticket gagnant du loto, Sarah débouche dans sa chambre une bouteille de champagne avec sa copine et l’incite à boire plus que de raison. Sous prétexte d’aller voir ses messages, elle met en évidence une image de fille entravée offerte à des hommes montée comme des étalons. Laurie s’enflamme aussitôt et part dans des délires impudiques.

    Sa rivale la pousse dans ses retranchements en lui faisant de fausses confidences, le mot « pudeur » n’a plus de sens ce soir dans cette chambre où en principe elles devraient se concentrer sur leurs études. Elle lui offre un collant résille ouvert à l’entrejambe, un cadeau « comme ça » entre filles. Laurie impudique et en confiance l’enfile, s’excite plus encore puis achève la bouteille de champagne avant de se laisser lier les mains dans le dos pour une séance de photos. Vers 20 heures, après une centaine de photos, elles sortent sans changer de dessous pour aller faire la fête en ville et passent un grand manteau par-dessus leurs tenues.

    Sous prétexte d’aller récupérer une fiche de cours, Sarah fait un détour par la fac puis lui propose de passer par la chaufferie pour faire d’autres photos coquines. Dans son innocence, Laurie cède à la tentation comme elle cédera à la tentation de s’allonger sur la vieille table transformée en établi pour mimer la pauvre victime qui va être offerte aux étalons. Sarah l’entrave plus que d’habitude, lui rempli la bouche d’une culotte avant d’enrouler du scotch autour de la tête de Laurie pour réellement maintenir le bâillon. L’étudiante manifeste son mécontentement mais il est trop tard pour réagir, ses « hummm » et « onnnnn » restent sans effet. Hormis tirer sur les entraves elle ne peut rien faire. Sarah rajoute des cotons démaquillants sur les yeux de sa victime puis un autre tour de scotch pour les maintenir en place privant sa rivale de tout moyen de communication.

     

    - Même tes larmes ne se verront pas salope !  

     

    La diabolique rivale jubile en sortant de son sac à main une affiche où il est écrit, je suis maso, claquez mes fesses et surtout baisez-moi comme des sauvages même si je crie. Sur les fesses de Laurie, Sarah dessine ensuite deux flèches désignant les orifices offerts. Son piège terminé, il ne lui reste plus qu’à couper la ficelle du string puis à envoyer les textos du téléphone portable de Laurie.

    Les étudiants n’y croyaient pas vraiment, pour eux c’était un canular mais ils se rendent sur le le blog de Laurie qu’ils connaissent pour l’avoir croisée dans les amphithéâtres et sont particulièrement surpris. Pendant que l’incendie court dans les neurones des étudiants manipulés, Sarah efface ses empreintes, abandonne le téléphone portable et va se faire un alibi en béton en allant ennuyer le proviseur pour une histoire d’horaires. Elle se fait rabrouer mais n’en a que faire et insiste avant de se faire jeter purement et simplement. C’est presque au pas de course qu’elle retourne à la chaufferie, accroche un étudiant qu’elle connaît puis lui demande si sa copine a vraiment osé réaliser ses délires ici. La réponse qu’il lui fait est éloquente : « oui, elle est venue se faire tringler par qui le désire ».

    Jubilant, Sarah rajoute aux bavardages et à qui veut l’entendre que ce n’est pas la première fois que Laurie fait ça, mais qu’oser le faire à la fac est une sacrée folie.

    Plusieurs étudiants sont arrivés, ils n’osent pas toucher Laurie fesses à l’air sous son collant ouvert mais ils se laissent aller à des commentaires graveleux. Comme bien souvent dans les groupes, il y en a un qui cherche à se faire mousser, il sait des choses. Questionné, il indique être au courant des délires de Laurie. Elle l’aurait même fait à la fac de Montpellier. Les plus courageux s’approchent mais personne n’ose toucher. La diabolique rivale se doutait de leurs hésitations, mais elle a anticipé.

    - Pour savoir si une fille est excitée, tu sais où il faut mettre le doigt ! Murmure Sarah à l’oreille d’un des plus entreprenants.

    Laurie vit les pires secondes de sa vie, à être ainsi entravée et exposée ventre et fesses nus, totalement offerte devant ces homme abjecte qui viennent voir sa déchéance comme au spectacle mais c’est bien pire encore lorsque l’un d’eux s’approche, touche l’entrejambe offert et constate d’un doigt inquisiteur que l’excitation est là. L’excitation n’est pas, c’est simplement le contenu du tube de lubrifiant que Sarah a vidé dans son vagin avant de s’enfuir et qui s’écoule lentement.

    - Putain les mecs, elle est trempée comme une salope !

    - Cette salope a écrit sur son blog que les étudiants d’ici bandent trop mou pour la faire jouir. Crie l’un deux. Si ça ce n’est pas de la provoc c’est quoi ?

    Deux autres s’approchent, touchent sans aucune gêne et constater que Laurie est vraiment mouillée. La seule chose qui mouille chez la victime sont ses yeux. Murée dans son silence elle pleure toutes les larmes de son corps. Submergée de honte et de rage, elle a pris l’ampleur du piège dans lequel elle est tombée.

    - Cette garce nous allume, on va lui faire voir si on bande mou. S’écrie l’un des étudiants en sortant sa verge gorgée de désir. 

    Ce qu’elle entend lui arrache le cœur, comment peuvent-ils penser qu’elle désire se faire violer ?

    - Ouai, on va la ramoner cette salope et lui faire regretter d’oser écrire ça sur son blog ! Clame un autre en défaisant sa braguette.

    Tirant sur ses liens comme une perdue, Laurie essaie de se soustraire à l’inévitable. Au plus elle bouge, au plus ses fesses deviennent le centre d’intérêt des mâles en rut. Le plus courageux monte sur la table, sous les encouragements des étudiants. Laurie agite sa tête dans tous les sens pour dire « non » mais ses gémissements ne sont pas perçus. La verge tendue fait son chemin entre les cuisses maintenues ouvertes par les cordes, rien ne peut plus l’arrêter. 

    Prostrée et en pleurs elle est prise sur cette table devant tout le monde et ne peut rien faire pour se dérober à l’intrusion de la bite profanant son intimité aux chairs délicates. Elle s’agite sous l'infernal va et vient comme pour se soustraire mais en vain, ou même pire, ses mouvements sont pris comme de l’excitation ou du plaisir et largement commentés. Complètement rompue par le désespoir elle se laisse aller au rythme du ballottement de son corps sur la table en pleurant silencieusement.

    L’étudiant la besogne comme un malade tandis que ses jambes engagent un combat sans espoir. Infatigable et pervers, il la possède jusqu’à sa jouissance en rallant comme un loup solitaire croquerait une brebis malgré la présence des spectateurs.

    A peine a-t-il laissé la place sous des applaudissements obscènes qu’un autre prend la place, ajuste sa verge et s’engage alors dans la fleur féminine comme un rustre. Ses poignets agités de vaines contractions rythment le martèlement violent. Il la laboure purement et simplement comme si la violence d’un coït était une démonstration de virilité.

    Subissant les assauts et coups de bélier de plusieurs hommes depuis plus d'une demi-heure, Laurie n’est plus qu’un réceptacle, un objet de plaisir, sans âme et sans désir qu’on utilise à l’envie, sans considération ni attentions simplement humaines. Le dernier, bien décidé à lui offrir un feu d’artifice bien plus fort que les autres veut s’offrir son cul.

    Laurie comprend tout de suite au doigt préparant l’étroit chemin de son anatomie qu’elle va vivre son pire cauchemar : se faire enculer devant tout le monde. Dans l’intimité, elle adore ça, mais là, présentement, la honte la submerge, son violeur ne le sait pas et s’il le savait n’en aurait que faire. Au contraire, pour « préserver » sa pudeur, il demande de l’aide, qu’on la force à cambrer les reins, qu’on lui écarte les fesses. Jamais au grand jamais, elle n’aurait imaginé vivre un jour une telle avanie.

    L’étroit orifice exposé entre les deux paires de mains devient la cible du beau Priape couvert d’un préservatif. En guise de lubrifiant, il crache sur l’étoile peureusement contractée avant de la forcer de son gland turgescent. Pendant un instant, la rosette poussée vers l'intérieur du rectum se refuse à éclore. Laurie lâche des cris de terreur et de souffrance dans son bâillon mais son violeur maintient sa pression insensible aux supplications. Sous les yeux des aides et spectateurs l'anus vient de céder et d'absorber d'un coup toute la longueur de la verge et lui arrache un grand cri étouffé.

    - Oh, les mecs, elle n’est pas neuve de ce côté-là moi je vous le dis. 

    Le jeune homme monté comme un dieu entreprend de labourer le rectum à grands coups de reins, obligeant Laurie à s'agripper à ses entraves pour se maintenir en position sous peine de se massacrer les seins sur le plateau de la table. Ils rient lorsque sous la pénétration sauvage ses petites mains s’agrippent aux entraves. Gagnée par une sorte de frénésie, ses vagissements se transforment en râles, pendant un instant, elle en oublie les spectateurs et sa condition. Son corps commence à la trahir, elle commence à éprouver un plaisir malsain, ignoble et complètement fou. Durant une seconde elle a effleuré l’extase un spasme l’a traversée, elle vit un de ses fantasmes malgré toute l’horreur de la situation. La jouissance monte en elle, gagnant son cerveau perturbé par le rut sauvage et ignoble.

    Des ondes maléfiques traversent ses reins, un plaisir odieux la submerge. L’implacable vigueur, avec laquelle il la prend use sa résistance, lui fait perdre conscience des réalités pour finir par lui offrir le plus long et le plus puissant orgasme de sa vie.

    Tout au long de son viol les téléphones portables prennent des photos et vidéos qui s’échangeront dans toute la fac et sur internet. Lorsqu’enfin ils la libèrent, elle les voit mais ferme les yeux comme pour effacer le souvenir de cette extase qui vient de la transporter et la met à présent mal à l'aise puis la fait se sentir coupable. Les viols l’ont cassée, ont brisée son vernis social mais la jouissance éprouvée bien malgré elle, ne seront pas sans un effet. 

    Libérée et débarrassée de ses entraves collantes, Laurie est portée plus qu’elle n’est raccompagnée au campus. A ses yeux rouges et son visage défait, le doute s’installe chez certains des violeurs. Préférant ne pas trop réfléchir, ils choisissent de la féliciter pour son courage mais ne s’éternisent pas. L’eau de la douche coule longtemps cette nuit là mais ne parvient pas à la laver de la honte et de la culpabilité. Plusieurs questions la minent sur son avenir, sur ce qu’elle doit faire, ce qu’elle va devenir mais la plus cruelle est : comment ai-je pu jouir en étant ainsi malmenée et violée ? 

    Suis-je maso à ce point là ?

    TSM 

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  • Daryl « régresseuse » professionnelle

    Par TSM


    Chapitre 1

    Il paie une « régresseuse » prof et découvre


    Ma tête chaude, comme si j'avais bu et je sais que l'alcool n'est pas la raison de cet état. C'est étrange, je devrai avoir honte, mais ce sentiment m'a quitté. Devant toutes ces femmes visiblement amusées, je dois avoir l'air cruche, les bras entravés dans le dos avec comme seul vêtement une couche pour adulte maintenue en place par une larges culotte en plastique verrouillée à ma taille par une chainette et un cadenas. 


    Quelle idée saugrenue ai-je eu en contactant cette maîtresse-femme rencontrée via un ami d'ABK ? Me voilà maintenant embarqué dans un vrai stage de régression. J'avais imaginé des jeux de domination soumission avec un peu de SM d'après ce qu'il m'avait dit et en fait depuis hier tout est différent, mes repères, mes principes, mes valeurs s'envolent.

    Depuis mon arrivée ici, c'est comme si par envie de vivre un instant de soumission érotique et satisfaire mes pulsions sexuelles je perdais mon moi et tout ce qui a fait le chef d'entreprise dynamique et rigoureux que j'étais avant de la rencontrer et le joueur réel et sérieux que l'on trouve sur sensationsm.

    Tout c'est fait sans violence, sans rapport de force, elle m'a embarqué non pas dans la réalisation de mes fantasmes les plus fous, mais dans un monde étrange en laminant tous mes fondamentaux. Je lui ai remis les deux-cent euros demandés vendredi soir en arrivant, non pas pour la rétribuer pour ce qu'elle allait me faire, mais pour ma participation aux frais, mes repas, l'hébergement et accessoires pédagogiques a-t-elle dit. Dès mon arrivée, j'ai senti que cette jolie femme sûre d'elle avec un sourire enjôleur et une voix cristalline allait me faire craquer et vivre des émotions fortes, j'étais loin d'imaginer ce qu'il m'arrive.

    Je ne me suis pas révolté hier soir quand elle m'a solidement entravé sur un lit avant de me mettre une couche, lui ayant parlé de mes délires de bondage longue durée et de couche, j'ai trouvé cela normal, plaisant, du moins jusqu'à ce matin.

    Ce matin j'étais blême et très mal, quand elle m'a donné un biberon de lait sans me détacher. J'ai essayé de lui expliquer que je voulais aller aux toilettes pour faire ma grosse commission, mais elle a fait comme si elle n'entendait pas. Blottis contre sa poitrine, j'ai bu tout mon lait les yeux fermés dans une impression de bien être que je n'aurais jamais imaginé mais ce qui devait arriver est arrivé. J'ai fini par faire, cela ne m'a pas amusé du tout, je n'aime pas tout ce qui touche à la scato mais elle s'en moquait royalement. Il est même possible que les caresses sur mon visage soient à un accompagnement psychologique pour la chose.

    Après ce moment pour moi  très scato, elle m'a rapidement changé et lavé en me souriant. La seule chose que j'ai trouvé agréable, c'est le lait de bébé étalé par ses douces mains expertes sur mes parties et mes fesses d'adultes. Daryl m'a ensuite remis une grosse sucette bâillon.


    Je l'appelle ainsi parce qu'elle est fixée à ma bouche par une large sangle attachée derrière ma tête. Il m'est presque impossible de parler avec cette grosse tétine dans la bouche et la grosse tétine plaquée sur mes lèvres. Pendant quelques instants quand elle m'a laissé seul entravé dans le lit à gros barreaux et sous une couverture molletonnées j'ai eu une impression d'ivresse, puis je me suis endormi.

    Un moment plus tard, combien de temps, je ne saurai le dire, elle est venue me réveiller. J'ai eu droit à quelques bisous sur le visage, à la caresse de ses longs cheveux châtains dans mon cou, à un tout petit gâté pendant lequel elle m'a parlé de visite puis m'a invité à me lever et marcher en me tenant comme si j'étais malade. Là, nous arrivons au salon. Je ne suis pas dans un donjon de dominatrice ou une pièce emménagée en nurserie, mais dans une vielle et grande maison bourgeoise de type anglais, avec d'immenses pièces et de chaudes tentures sombres aux murs puis du mobilier comme dans les livres exposant les anciennes pensions anglaises. Dans ce salon où elle me conduit, il y a un chevalet de punition avec de grosses sangles aux pieds, il me fait peur après m'avoir tant fait fantasmer. Vais-je être puni d'une faute que je n'ai pas commise devant ses femmes de tout âge ?

    Pour le savoir ou lui dire que j'ai peur il me faudrait parler, mais je n'en ai pas le droit, ma bouche n'a qu'un droit m'a-t-elle dit, téter la sucette de bébé qui me ridiculise aux yeux de ses femmes et boire les biberons constituant ma seule alimentation depuis hier.

    Les femmes sont au nombre de trois, il y a, assise sur un immense canapé une dame d'une bonne soixantaine d'années qui m'a l'air très sévère, une autre, la trentaine environ, vêtue d'un tailleur strict, je la vois bien en chef de service puis sur un autre canapé une grosse dondon blonde avec un visage d'ange avec une poitrine généreuse de chez généreuse.

    - Ouahou, quel beau bébé que voilà ! S'écrit la dondon.

    - Très mignon en effet, rajoute la mamie avec des pétillants.

    A mon approche la mamie et la dondon se lèvent, pour venir à moi, mes pommettes doivent être rouges de confusion. Sur l'immense table en chêne de la salle à manger, un matelas à langer et des affaires sont posées. Daryl me conduit à la table, les deux femmes m'aident à m'étendre sur le dos. Je suis monstrueusement gêné

    - N'ai pas peur, mes amies vont bien prendre soin de toi et t'habiller pour pas que tu n'ais froid, tu vas être sage n'est-ce pas ? 

    Ce n'est pas une question que me pose Daryl, sa voix et son regard appuyé exposaient clairement une autorité naturelle ne laissant souffrir de réfutation. On me fait asseoir puis allonger, aux bordures du vertige je ne résiste pas, je n'en n'ai ni l'envie, ni le courage, même si ce que je vis ne ressemble pas à ce que j'avais imaginé, pour l'instant nulle envie de me rebeller ne murit en moi. Défait de leurs protections, par quatre mains agiles, mes attributs sont exposés à leurs yeux gourmands dans une couche pleine d'urine. Bien que je ne sois pas d'un naturel pudique, la honte me submerge.

    - Oh, mais c'est qu'il est bien soigné ce bébé, sa pilosité est entretenue comme il se doit. Lance à qui veut l'entendre la grosse dondon en me soulevant les jambes pour me passer une lingette entre les fesses.

    Daryl les rejoint avec une cage de chasteté que je connais bien, c'est une CB 3000, j'en avais achetée une par curiosité pour en découvrir les effets. A la base de mon sexe, elle referme l'anneau puis y passe la goupille tranquillement, si elle ne se presse pas, je vais avoir une érection qui rendra impossible la pose du tube. Soudain, je ressens qu'elle pose quelque chose qui me picote la verge avant de l'enfermer dans le tube. D'un seul coup d'œil, je comprends ce qu'elle a ajouté, ce sont des POI, sorte  de picots qui pénètrent dans la chair lors de l'érection. Je n'en connais que le principe je vais en connaître maintenant les effets, c'est sûr.

    - Avec ça les filles, je peux vous dire que votre bébé n'est pas prêt de jouer avec son petit robinet, vous pouvez être sûre qu'il ne fera pas de cochonnerie dans votre dos. Explique Daryl en tournant mon sexe dans tous les sens.

    - Mais c'est génial ce truc ! Rajoute la chef de service en se rapprochant. Je vais en acheter une, comme ça mon mari ne m'emmerdera plus et surfera moins sur des sites pornos.

    - Si tu veux, je peux t'en procurer une pour 260 euros, ça t'intéresse ? Lui répond Daryl.

    Cette réponse me permet de comprendre que ma nurse fait du bisness de tout et va se prendre 100 euros en passant. La discussion s'oriente sur les effets positifs de la cage de chasteté sur l'homme, Daryl leur explique qu'après quelques jours les machos sont très prévenants et gentils, toujours prêts à rendre service parce qu'ils espèrent négocier une libération anticipé ou qu'ils tombent fou amoureux. La discussion sur les avantages de cet accessoire qu'elle est en train de leur vendre se poursuit comme si je n'étais pas concerné. Tout en discutant elles me remettent une couche, la culotte en plastique sans oublier de verrouiller le cadenas, puis me libèrent les bras, pour m'enfiler une grenouillère rose se fermant dans le dos à l'aide d'une fermeture éclair qui se bloque elle aussi avec un cadenas. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'avec tout ça, je ne risque pas de me faire des choses....

    C'est lorsque Daryl me passe un solide harnais que je comprends que le pire est à venir. Muni de sangle passant autour de mon corps et entre les jambes puis de bracelets pour les poignets, je perçois clairement que mon avenir immédiat ne sera point dans la liberté de gambader. Après avoir entravé mes mains enveloppées de moufles, elles me font descendre puis asseoir sur une couverture étalée sur le sol près du canapé. A peine suis-je assis, que Daryl passe des bracelets à mes chevilles puis les relie à mon harnais pour me forcer à garder les jambes repliées. Posé sur les fesses, privé de l'usage de mes bras et avec les jambes ainsi repliées, mon équilibre est particulièrement instable.

    Elles prennent place sur les canapés pour prendre leur thé et café et poursuivent leur discussion sur les bienfaits de la cage de chasteté. http://tsm-textes.over-blog.com/pages/Chastete_Quelques_mots_et_photos-870645.html

    Les plaisirs imaginés avant de venir ici, pour l'instant ne sont point au rendez-vous. Je trouve le temps long même si leurs conversations sur les mecs sont instructives sur la nature féminine. C'est fou ce qu'elles peuvent dire sur nous et leurs plaisirs sexuels quand elles sont ensembles ! ! !

    Mes fesses et mes jambes commencent à me faire souffrir, non pas à cause de la couche mais de ma position. Pour essayer de les apaiser un peu, je tente une discrète et  légère migration. En guise de discrétion, je perds l'équilibre et me vautre sur le côté. Elles éclatent de rire et se moquent de moi. A cet instant que les hais ! Pour parfaire le ridicule de ma situation, Daryl et la grosse dondon me font rouler sur le dos. La dondon rajoute « tu es bien comme ça, au moins tu n'iras pas plus bas ».

    Etendu ainsi avec les jambes maintenues pliés, je ressemble à une grenouille couchée sur le dos. J'ai soif, j'ai envie de faire pipi. Même si mon intimité est cachée, faire dans ma couche devant quatre femmes est une étape bien difficile pour moi. Je m'y résous rapidement parce que je sais que je n'ai pas d'autre alternative. Le plus difficile est de commencer une fois lâchée ma vessie, laisse s'écouler l'urine chaude sur mes testicules puis mes fesses. Dans ce relâchement sphinctérien, un pet que j'aurai voulu discret se fait entendre. Moi qui voulais être discret ! Les regards se tournent vers moi, les commentaires amusés et moqueurs vont bon train. Le plafond blanc, n'offre guère de distraction et ne me permet pas de m'isoler psychologiquement pour ne point entendre ce qu'elles disent.  Dans les jeux Ds et SM plus on l'entrave plus je suis excité, là je n'arrive pas vraiment à rentrer dans mes trips,  

    L'heure du dîner approche, les filles se lèvent pour aller préparer le repas, la dondon, chargée de me surveiller demande si elle peut me donner le sein. Enfin quelque chose de sympa. Daryl donne une réponse positive à sa requête, mais lui rappelle que mes mains doivent rester entravées. Lorsqu'elle  libère mes jambes, le soulagement est tel que pour un peu je l'embrasserai. Aidé pour me mouvoir vers le canapé, je m'installe couché sur le côté, mon torse s'appuie sur ses cuisses généreuses. Elle me lâche un instant pour ouvrir son chemisier et extraire ses seins plantureux de son soutien-gorge, je suis à deux doigts de chuter et lutte pour ne pas m'affaler sur le sol.

    Mon dieu que ses doudounes sont grosses, belles, énormes ! D'une main, elle guide ma tête vers son téton de l'autre elle soulève le mamelon pour le mettre à la hauteur de mes lèvres. Outre le plaisir de déguster son sein, la chaleur humaine et la douceur de sa peau me comblent de bonheur générant quelques réactions au sein de la couche. Je tète avec un plaisir certain en oubliant toute gêne, pour être rapidement gêné, par la crise du logement de mon Popaul qui prend de l'ampleur. Les POI, pénétrant dans la chair de ma verge déjà comprimée me font mal. J'essaie d'oublier ce sein que je ne peux que voir, une petite claque me rappelle à l'ordre. Mon érection diminue mais ne disparaît point. Il faudrait être un saint pour rester de marbre en se sustentant d'un aussi beau sein ! Je ne saurai dire si c'est bien sain, mais c'est bon.

    Une demi-heure plus tard, après quelques visites et commentaires des filles venues voir leur amie s'offrir quelques plaisirs avec le gros bébé, j'ai l'immense honneur d'être assis en bout de table en position dominante, non pas pour le place dédiée au chef de famille, mais parce qu'elles m'ont installé sur une chaise haute ! Pendant le repas, alors que la mamie et la chef de « sévices » m'alimentent à la petite cuillère avec une bouillie indigeste, submergé par une irrésistible envie de m'amuser, de faire l'idiot je fais « brrrrrrr » avec mes lèvres en ayant la bouche pleine comme me l'ont fait mes enfants quand ils étaient petits.

    Comme il est dans mes habitudes de ne pas faire les choses à moitié, j'y suis allé gaiment ! Le visage de la chef de « sévices » n'est pas chargé de taches de rousseur mais de bouillie. Devant sa mine déconfite et son tailleur strict soudainement moins strict, j'éclate de rire, rire contagieux, les convives amusées me rejoignant dans « l'œuf au riz » crépit, pardon je diverge l'euphorie. La réaction ne se fait point faite attendre, je me prends une mandale d'une puissance que je n'aurai jamais imaginée avec des bras aussi fins.

    Malgré la gifle, lorsqu'elles entreprennent de l'aider à se nettoyer, même la tête baissée, mon amusement se voit. Daryl, avec son flegme inébranlable y met soudain un terme en ouvrant un placard pour décrocher une canne anglaise dont elle tapote le chevalet de punition. Devant son regard courroucé je n'ose m'aventurer à lui faire remarquer que cette pratique n'est pas adaptée aux bébés. Elle attrape la petite cuillère et me fait manger, la canne posée sur la table m'ouvre l'appétit, je n'ai plus envie de faire des « brrrrrrr » avec mes lèvres en ayant la bouche pleine. 

    Je n'arrive pas à comprendre pourquoi j'ai toujours cette impression d'être ivre, pourquoi cette première journée ne m'excite pas mais ne m'ennuie pas non plus malgré ma condition de bébé adulte. Sans pouvoir l'expliquer, je crois que je commence à comprendre le sens des mots « stage de régression » utilisé par mon ami d'ABK puis de cette maîtresse-femme si particulière, si craquante aussi avec sa voie douce et posée puis son sourire enjôleur. Ce qui est sûr après cette quinzaine d'heures passées ici, c'est je ne serai plus jamais le même, j'ai découvert que je pouvais être quelqu'un d'autre dans un autre monde.

    Le temps et les évènements s'écoulent comme s'ils n'avaient pas d'emprise sur moi. Cela fait maintenant plus d'une heure que je suis seul entravé sur mon lit et que les femmes discutent. La porte s'ouvre, Daryl entre avec la vieille dame, les autres semblent être parties.

    - Patou va te changer puis te donner ton biberon, je vais te laisser seul avec elle, je compte sur toi et je vais te faire confiance, alors ne me déçoit pas. Si tout se passe bien et si tu es sage, ton week-end régression peut évoluer dans un sens comme dans un autre, tout dépendra de ton attitude.


    A suivre

    TSM

    http://tsm-textes.over-blog.com/

     

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  •   L'île de la tentation chapitre 11

    Par TSM


    Laura sait trop bien qu'elle va devenir l'esclave d'un tortionnaire particulièrement cruel et sadique mais à défaut de retrouver sa liberté, elle est bien décidée à vendre sa peau chèrement en faisant feu de tout bois pour être au moins la favorite. Dire qu'elle se déteste au plus haut point est un euphémisme, car elle a pleinement conscience qu'elle s'est jetée toute seule dans les bras d'un fou pour jouer la bourgeoise dévergondée. Elle aurait du se douter que sa vie de princesse ne durerait pas toujours mais l'appel du luxe, de l'argent facile et d'une vie de rêve en ce pays paradisiaque lui ont fait perdre la raison. Elle sait qu'aujourd'hui, elle va en payer le prix fort.

    Aline, entravée presque au-dessus d'elle est en train d'uriner debout comme elle le fait depuis son arrivée ici. Lorsqu'elle reçoit quelques gouttes, une envie de meurtre la submerge, mais elle n'y peut rien hormis râler pour faire comprendre à sa compagne d'infortune qu'elle l'éclabousse. Sur ces entre-faits, Bernard entre aux écuries. Il est saoul, ses propos sont hachés, sa voix avinée.

    - Vous n'êtes que de grosses connes, des putains de grosses connes, on s'amusait bien, vous avez tout gâché. Je vais vous mâter moi, vous allez apprendre qui je suis. A partir de maintenant, vous allez marcher droit et si vous vous rebellez, moi je vous massacre. Dit-il en détachant les colliers des filles qui n'en mènent pas large. Et toi la grosse conne lesbienne, tu vas commencer par nettoyer le cul de ta copine afin que je puisse y mettre mon auguste membre ! Eructe Bernard en attrapant Laura par les cheveux.

    La supplique de Laura peu motivée et terrorisée n'a pour écho qu'une série de gifles retentissantes. Sous les coups appuyés, elle crie rapidement des « oui » étranglés, désespérés. Conduite par les cheveux aux fesses d'Aline invitée à se mettre à quatre pattes dans l'allée, elle ne peut qu'abdiquer et lécher le pertuis délicat. Bernard les abandonne pour aller prendre une cravache, à son retour, la vision des filles à quatre pattes l'une derrière l'autre l'amuse.

    Ses commentaires sont graveleux et décousus. Il s'assoie sur le dos d'Aline pour surveiller le travail à la façon d'un pervers ivre, la cravache siffle, les coups sont violents Laura se tord de douleur, tente de fuir, prend deux coups de cravache sur la figure, ses hurlements démentiels n'arrêtent pas pour autant Bernard. Maintenue par les cheveux d'une main et frappée de l'autre, pieds et poings liés elle est ramenée de force à son labeur. Pour ne plus être battue, elle exagère les mouvements de sa tête et tire bien la langue pour lécher entre les fesses qu'elle cinglait parfois les jours précédents.

    Il ouvre sa braguette puis fouille dans son slip pour en extraire sa verge. Si dans son délire éthylique il se voit le sabre à la main chevauchant les filles une après l'autre, dans l'état où il est, les résultats de l'agitation du mollusque récalcitrant à l'ouvrage sont peu probants. Mécontent, il incendie les filles en ponctuant ses propos de coups de cravache. Dépité, il se relève, chancelle en retirant son pantalon puis s'assoit sur un sulky. 

    - Les filles, si vous ne me faites pas bander, je vais vous massacrer, alors officiez de grâce, officiez de vos bouches, rendez utiles vos gueules d'amour ou je vous prends rendez-vous  avec le fouet. Lance Bernard en rigolant tout seul de ses inepties avant de prendre appuie sur le tréteau détesté par Aline.

    Aline affolée se précipite pour faire une fellation à Bernard, elle a trop souffert du fouet pour tarder à faire ce qui lui est demandé. Laura rechigne, s'approche mais ne fait rien et attend que sa consœur d'infortune lui laisse « la place ». Elle se fait incendier, traiter de noms d'oiseau puis sous la menace de représailles vient soutenir l'action d'Aline. Bien que les deux filles se détestent, leurs langues se côtoient autour d'une verge qui ne peut trouver vigueur, les trois grammes d'alcool dans le sang de son « propriétaire » n'aidant pas à l'érection. Fou de rage, Bernard donne des gifles, insulte les filles puis les repousse avec dégout.

    - Vous n'êtes pas des bonnes à rien, mais des mauvaises en tout. Je ne sais pas ce que je vais faire de vous. 

    - Tu as trop bu mon chéri, délivre-moi je vais te ramener à la maison et m'occuper de toi. Propose Laura en se faisant câline.

    J'ai peut-être trop bu, mais ma boussole me donne toujours le cap, (rire) tu crois que je ne te vois pas venir « salope ». Non c'est ta copine qui va être gentille avec moi, toi tu vas intégrer tes nouveaux quartiers. Aline, va chercher ton mors, tu vas le lui prêter et l'attacher dans le box de Lucie. Laura s'emporte à nouveau, prend de nouvelle gifles, s'étale de tout son long et reçoit une volée de coups de pieds. Aline se précipite avec le mors à la main pour essayer de calmer Bernard. Il s'interrompt dans sa bastonnade pour la laisser faire. Une fois la tête harnachée et le mors en bouche, Laura en larmes se laisse guider vers le box où Aline passe le filet dans un des anneaux du mur.

    - C'est bien ma poulette, met-lui les fers aux poignets, comme ça, on sera peinards tout les deux pendant qu'elle cogitera à ses conneries de bourgeoise. 

    Laura abandonne, épuisée et dégoutée, elle sait que dans l'état où est Bernard, lutter ne servirait à rien, si ce n'est à prendre d'autres coups. La mort dans l'âme, elle se laisse entraver sans aucune résistance en traitant Aline de garce. Pour ne pas générer de nouvelles vagues de violence, Aline fait la sourde oreille mais ne se presse pas de sortir du box, espérant encore échapper à la suite des évènements faciles à deviner.

    Bernard les mains chargées d'entraves, appelle Aline, lui ordonne de prendre un sulky, elle va devoir le conduire à leur logis, Monsieur est fatigué. Il s'écroule dans le siège plus qu'il ne s'assoie, il s'en est fallut de peu qu'il lui échappe des mains.

    - A la maison petite, j'ai soif et j'ai faim de toi !

    Pendant le trajet les conduisant à la maison, l'idée de fuir traverse l'esprit d'Aline, dans l'état où est Bernard, il aurait bien du mal à la rattraper, mais lorsque l'on est nue, que l'on a échappé à la mort une fois avant d'être corrigée au fouet, on médite avant de tenter de s'évader. 

    Furieuse et honteuse en même temps de son manque de courage, elle conduit à la bâtisse l'homme qui va abuser d'elle. Aux pieds des escaliers, elle pause délicatement le sulky, Bernard en descend avec peine puis la prend sous son bras, comme si soudain il était pris d'un élan d'affection tout en prenant ses chaînes avec lui.

    - Je t'aime toi, tu vaux dix Laura, je vais t'aimer comme on ne t'a jamais aimé si tu es gentille avec moi. On va trinquer pour fêter ça, emmène-moi au salon, j'ai du champagne au bar, tu vas nous servir, hein, tu vas faire la soubrette pour Bébert.

    - Oui monsieur.

    Arrivée au salon, Bernard s'écroule dans un immense canapé et la guide à distance pour le service qu'Aline effectue bien volontiers, elle ferait n'importe quoi pour qu'il tombe dans un coma éthylique. Elle trinque avec son bourreau, il lui demande de danser puis change d'avis.

    - Non ma poule, vient ici, parce que même si tu es jolie et que tu vas être gentille, on va quand même te menotter, parce que tu es une gonzesse dangereuse toi, tu as déjà tué un homme. Quand on sait comment tu as trucidé le ministre, on fait gaffe. Oh, tu te rends compte que tu as tué un ministre dis ? Tu es une femme exceptionnelle, comment fais-tu ? Tu massacres un de mes clients, et qui plus est, un ministre, tu attaches ma femme dans un box et je t'aime. Bon j'ai assez bu, je crois qu'on va aller se coucher. Aide-moi à me lever.

    Le « on va aller se coucher » fait blêmir Aline. Quitte à être abusée, autant que ce soit dans un lit douillet que dans un box après avoir reçu le fouet pense-t-elle en lui attrapant les bras pour l'aider à se lever. En s'appuyant sur elle, il la guide vers la chambre de l'infamie. De sa poche il extrait un cadenas et attache les chaînes d'Aline aux barreaux de la tête de lit. Nue, les bras entravés au-dessus de sa tête, désespérée elle le regarde retirer son pantalon et son slip. Murée dans son silence elle espère encore un miracle sans trop y croire, jusqu'au moment où il caresse sa poitrine du bout des doigts en la regardant comme un loup face à une brebis.

    - Les anneaux sur les seins te vont à merveille, demain on fera venir le bijoutier, je vais t'en offrir de très beaux tout en or. Murmure Bernard avant de se mettre à embrasser goulument les jeunes seins fiers de leur tenu pendant que ses doigts s'insinuent entre les cuisses de la jouvencelle apeurée et dégoutée à l'idée de ce qu'il va se passer. 

    Il lui caresse délicatement l'entrejambe un moment en jouant avec les anneaux fraichement posés sur les lèvres puis grimpe sur elle plus qu'il ne l'enlace en s'approchant de son visage sans équivoque possible sur ses intensions. Il l'embrasse avec fureur en grognant de plaisir, sa langue impétueuse plonge dans sa bouche à la recherche d'un échange. Aline écœurée par l'haleine et la langue a bien du mal à partager ce baiser, mais l'idée de finir embrochée la pousse à abdiquer et à réagir. Se faire prendre quand on est forcée et difficile à vivre, se faire embrasser et bien pire mais la peur donne l'audace et le courage. Elle espérait encore qu'il s'endorme mais sent avec horreur entre ses jambes la verge dure de son violeur. « Oh mon dieu, prie-t-elle, faite que cela soit rapide »

    Elle sent avec horreur qu'il dirige sa verge vers l'entrée de son nid d'amour puis son gland l'ouvrir lentement, l'écarter et la remplir profondément sans pour autant interrompre un instant son baiser glouton. Complètement rompue par le désespoir elle se laisse toute-entière aller au rythme du ballottement de son corps dans le lit grinçant au rythme des pénétrations. La chaleur du corps de son violeur, la fait abondamment transpirer, mais cette fois, aucune envie de rébellion ne lui vient à l'esprit. Ses frêles jambes écartées s'agitent à peine, elle pousse de petits gémissements plaintifs pendant qu'il la prend à grand coups de reins depuis quelques minutes qui semblent être des heures.

    Elle tremble, s'agite, geint sous les asseaux de plus en plus rudes. Dans ses certitudes, Bernard croit qu'elle prend du plaisir, alors que c'est de douleur, de rage, de honte. Les gémissements de désespoir comblent le mâle en rut, dans un grand coup de rein il s'enfonce le plus loin possible en elle pour la polluer de son sperme en gueulant comme un porc que l'on égorge. Abruti d'alcool, de fatigue et de plaisir, il reste en elle sans bouger pour sombrer dans une douce léthargie puis un profond sommeil. Sous le poids du corps transpirant, Aline commence à regretter son box mais en même temps extrapole des projets d'évasion.

    A partir de maintenant, elle va répondre à toutes ses attentes mais en se rebellant un peu pour ne pas trop éveiller sa méfiance. Elle se dit qu'avec un peu de ruse et de temps, elle pourrait prendre la place de Laura et un jour qu'il ne sera pas là, prendre un cheval pour s'enfuir. Elle sait que son plan va être difficile à réaliser, mais plutôt que de finir sa vie en grillade, elle préfère offrir son corps aux délires et plaisirs d'un homme pendant quelque temps afin de pouvoir un jour retrouver la liberté.

    Dans son box, Laura fait elle aussi des plans pour reprendre sa place et dès que possible fuir ce lieu maudis. Elle sait qu'Aline va tout faire pour tromper la vigilance de Bernard aveuglé par l'insolente beauté de la jeunesse. En même temps elle espère vivement qu'il ne lui viendra pas des idées de « dressage » car s'il confie une cravache à sa rivale, elle n'est pas sûre de pouvoir garder son sang froid.

    .....................


    Le chant des oiseaux les cueille au petit matin dans leur sommeil. La captive, habituée à la paille, savoure inconsciemment la douceur des draps. Bernard ouvre un œil sur une vision de rêve. Une jolie fille nue, âgée de dix-neuf printemps, avec de longs cheveux blonds et soyeux étalés en soleil sur l'oreiller blanc vient de se lover contre lui. Un petit nez délicat sur son visage pointu, lui donnent un petit air félin. Bien qu'elle ne soit pas là de son plein gré, il se plait à rêver un instant qu'elle soit amoureuse de lui.

    Dans un élan de tendresse, ses doigts caressent la courbe de l'épaule pour continuer leur course sur le bras fin en se délectant de la peau douce et fraiche de la jouvencelle. D'un petit geste délicieux, elle s'agite sans ouvrir les yeux comme pour faire fuir une mouche mais sous l'insistance de l'effleurement, Aline ouvre les paupières dévoilant à Bernard les magnifiques yeux d'un bleu profond qui l'ont fait fondre dès le premier jour.

    Aline lutte aussitôt avec elle-même pour ne point se reculer, puis referme les yeux, non pas qu'elle ait envie de dormir, mais pour chercher au plus profond de son âme, la force et le courage nécessaire à ses projets d'évasion. La main se fait plus précise dans ses intentions et quitte les hauteurs pour glisser sur le galbe gracieux de la hanche avant de descendre sur la cuisse fuselée pliée vers lui. D'une ondulation discrète, Aline exalte l'appétit du prédateur qui  ne manque point de laisser sa gourmandise s'exprimer. De la pointe d'un doigt malicieux il fait un saut de puce sur le sein sans défense pour cause d'entraves pour y décrire quelques cercles pernicieux autour de l'aréole foncée. L'émotivité du buste féminin en s'exprimant parfois sans même qu'on ne lui demande son avis, offre au glouton un appelant de choix pour ses lèvres gourmandes.

    Comme envouté, il se penche lentement pour titiller du bout de la langue la fraise des bois exposée. Ne pouvant fuir, Aline doit se résoudre à se laisser faire un petit moment pour mettre en place son échappatoire. Au lieu d'afficher sa réticence, elle pince sa lèvre inférieure en affichant ses dents blanches à l'alignement parfait tout en se cambrant pour s'offrir plus encore à une caresse finalement pas si désagréable que ça. La main, glissant vers le triangle érogène ne rencontre aucune résistance la cuisse s'ouvrant à son arrivée pour en libérer l'accès. Lorsque les doigts taquins s'aventurent sur la fente glabre, Aline soupire en ondulant du bassin. C'est lorsque Bernard entreprend de jouer les spéléologues avec délicatesse comme s'ils voulaient séduire, qu'Aline décide de s'exprimer d'une petite voix désolée.

    - Tu vas me détester, mais j'ai une énorme envie de faire pipi.

    A suivre

    TSM

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  •   L'île de la tentation chapitre 8

    Par TSM



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    Ce chapitre est un des plus violents et des plus cruels. Un résumé est rédigé en début de chapitre 8 pour vous permettre de suivre l'histoire sans lire ce passage qui comporte des scènes qui peuvent être choquantes.


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    Mardi 22 heures

    Très solidement attachée sur un chevalet, Aline observe sans comprendre les raisons de la présence de ces hommes aux regards pervers et de la tension palpable de cette grande salle au sol sablonneux où Bernard lui a fait faire ses premiers pas, « attelée » puis l'a faite « travailler ».

    « Tu vas vivre des instants forts qui seront pour toi des souvenirs impérissables et à jamais gravés dans ta mémoire ». Lui a dit Bernard quand il lui a passé un harnais et un mors recouvert de cuir très épais.


    Mais que vont-ils me faire encore ? Pourquoi m'attacher ? Pourquoi y a-t-il autant de lumière ? Pourquoi y a-t-il des caméras sur pieds près de moi et pour filmer quoi ? Pourquoi ces gens sont-ils là au milieu de la nuit ?  

    Ces questions sans réponse traumatisent Aline qui tremble comme une souche. Sa gorge est nouée, ses respirations sont courtes, son corps et sa tête sont particulièrement bien immobilisés par les sangles, elle est pétrifiée de peur.

    A la vue d'un brasero fumant, porté par Alan et Bernard à l'aide de barres de fer, son cœur semble s'arrêter et son sang se glacer dans ses veines. Cela ne peut être que pour elle, ils vont la brûler, la marquer comme une bête, la ferrer et ces monstres qui la regardent, ne sont là que pour assister à son calvaire, comme la foule devant les bûcher au moyen-âge.

    Elle frissonne de panique et tire en vain sur ses liens en hurlant, en suppliant dans son mors avec l'hypothétique espoir que quelqu'un vienne à son secours. Un homme avec une sacoche s'agenouille près d'elle. Aline ne sais plus si elle doit être rassurée ou avoir peur, mais pleure et supplie des mots incompréhensibles en roulant des yeux, seuls gestes que les liens lui permettent.

    L'homme ouvre sa sacoche, il y a un stéthoscope, c'est un médecin, mais pourquoi faire ? Il écoute son cœur sous son sein gauche qui pend sur le côté de la poutre du chevalet puis sur son dos. Il sort un garrot qu'il pose à son bras. Le froid du désinfectant lui fait l'impression d'une brûlure, elle crie et s'agite. La vue d'une seringue la plonge dans une crise d'angoisse puis de démence quand il enfonce l'aiguille dans son bras fermement maintenu par Alan venu à la rescousse.

    La piqûre terminée, elle se sent défaillir lorsqu'elle voit Bernard, la main gantée sortir une tige de fer fumant du brasero et s'approcher d'elle. Le silence se fait, seules ses bruyantes respirations d'affolement percent le calme de l'instant.

    - Le H de Henri, sera ta marque d'appartenance. Avec fierté et jusqu'à ta mort tu la porteras. Tu voueras à Henri une dévotion sans faille pour t'avoir épousée dans la tradition de notre club. Si un jour il lui arrivait malheur, ton parrain ici présent te recueillera. Tu vas faire partie des nôtres, tache d'en être digne. Dit Bernard d'une voix grave et posée avant de disparaître de son champ de vision.

    Le silence est total, lourd. La bouche ouverte et les yeux écarquillés d'horreur par l'appréhension de l'atroce souffrance qu'elle va endurer, Aline bloque sa respiration. Son cœur bat la chamade, ses tempes bourdonnent, elle a froid et transpire en même temps.

    Aline se sent défaillir quand quelque chose touche sa fesse, puis elle pousse un horrible hurlement inhumain. Une fulgurante douleur part de ses reins et traverse son corps. Ses paupières fermées sont si contractées qu'elle ne peut voir les flashs des appareils photos qui immortalisent l'horreur de la scène, la fumée et ses convulsions. Tous ses muscles sont tétanisés sous l'indicible souffrance de la brûlure. Le médecin se précipite, lui donne une gifle, un cri d'agonie résonne longuement avant de se muer en un long gémissement.

    Sans même s'en rendre compte, Aline a relâché un long jet d'urine sur un des photographes qui s'est approché pour faire un gros plan sur la cicatrice encore fumante. Elle sanglote et pousse de petits râles aigus à chaque expiration. L'odeur de chair brûlée est très forte, mais les humeurs qui accompagnent ses larmes ne lui permettent pas de sentir quoi que ce soit.

    Autant excités par le spectacle de cette pouliche nue, offerte et ferrée que par les fragrances de la chair brûlée, deux des spectateurs généreux en dollars jubilent. Ils vont pouvoir abuser d'Aline. « Deux maximums » a dit le docteur, « après cela peut être dangereux pour sa santé ».  

    Le richissime parrain, s'avance tel un prédateur sur sa proie en ouvrant son pantalon pour en extraire sa verge bandée. Pendant ce temps, Alan ouvre la sangle qui maintenait sa tête et protégeait son cou. Ses longs cheveux blonds libérés tombent en cascades et masquent le visage rougi de larmes et de souffrances.

    Les spectateurs envieux, massent sans pudeur le devant de leur pantalon, l'un deux lance avec vulgarité « Baise-là bien veinard ». Aline a compris ce qui l'attend. Non elle ne veut pas être violée, non pas devant tout le monde. Pourquoi, pourquoi moi ? Se demande-t-elle.

    Elle crie « non » dans son mors en tournant la tête pour affirmer sa négation et son désespoir. Ses cheveux soyeux décrivent des cercles qui pourraient être une vision érotique exceptionnelle en d'autres situations.

    L'esprit embrumé de souffrance, elle sent l'ignoble contact d'une verge qui s'ajuste à sa vulve pour en chercher la faille. L'assaut du bélier de chair dure et brûlante est violent. Il martyrise ses chairs délicates sur son passage en dilatant sans aucune précaution, le fourreau contracté. Les mains posées et serrées sur ses hanches, l'infatigable pervers, la possède comme un forcené. L'intimité vulnérable de la pauvre Aline haletante ne s'habitue point à l'ignoble et publique pénétration. Ses poignets liés sont agités de vaines contractions, qui rythment le martèlement et ses «ah» de souffrance et de désespoir.

    Le ahanement masculin du violeur affole Aline qui se morfond à l'idée être en plus souillée, polluée. Mais il n'en sera rien, le parrain se retire au moment fatidique pour se répandre sur son dos, affirmant ainsi aux yeux de tous, sa virilité, si l'on peut utiliser cette expression pour un violeur.   

    Le richissime client suivant, essuie d'un revers de manche les gouttes blanches qui maculent le dos à la peau délicate de la jeune pouliche qu'il va à son tour forcer. Jugée trop dangereuse, la bouche d'Aline a été épargnée mais cela ne sera pas le cas de ses reins.

    Le sadique caresse les fesses exposées et rapidement, titille l'orifice interdit. Non pas là...se désole Aline. Avec une vulgarité extrême, il se penche, écarte les charmantes rondeurs et crache pour lubrifier un peu la rosette délicatement froncée et peureusement contractée qu'il va forcer.

    Aline, qui avait refusé cette partie de son anatomie à son copain trop entreprenant, crie, râle supplie comme elle peut avec le mors qui bloque ses paroles de désespérée. Lui, il sourit à la pensée des cris à venir quand l'étroit petit conduit va devoir gober sa grosse bite.

    Non, elle ne veut plus être violée et encore moins par là. Elle serre ses petites fesses comme une perdue, mais l'écartement de ses jambes liées au chevalet, ne lui est pas favorable. Pervers mais rusé, le violeur présente son gland au sillon des fesses puis claque ses parties charnues en se rapprochant de la brûlure. Dans ses gestes de panique, Aline s'offre à son bourreau qui se positionne sur l'orifice envié qu'il force déjà. 

    La délicate rosette est poussée vers l'intérieur du rectum mais se refuse à éclore. Aline pousse des cris de terreur et de souffrance mais il maintient sa pression en se nourrissant des supplications désespérées et des mouvements de la petite tête blonde. Soudain, l'anneau de chair commence à éclore sous son gland. D'une seule poussée brutale il s'enfonce dans l'anus vierge et contracté. Elle pousse un cri de bête forcée en se débattant inutilement dans ses liens. 

    A l'impression de déchirement s'ajoute à la sensation de brûlure provoquée par l'ouverture trop rapide des sphincters tendus. Elle hurle de douleur et de honte quand il perfore son anus jusqu'au tréfonds de ses reins. Tandis qu'elle continue à crier, il commence à la travailler, comme s'il cherchait à s'enfoncer un peu plus profondément à chaque fois.

    Soumise au sadisme d'un homme qui s'en donne à cœur joie, elle est sauvagement sodomisée devant ces gens qui encouragent son violeur. C'est horrible, c'est ignoble, puis c'en est trop pour Aline, fauchée par la perte de connaissance salutaire qui l'épargne des atrocités et de son calvaire public.


    Mercredi 9 heures

    Etendue sur une table dure recouverte d'un drap blanc, Aline contemple le plafond d'une infirmerie où tout est blanc. Elle est nue sous un drap blanc, sa fesse douloureuse est recouverte d'un gros pansement et ses membres sont liés aux montants métalliques.  

    Elle ne se souvient très bien de ce qui c'est passé après l'immense douleur de la brûlure qui a fait d'elle une bête que l'on peut forcer à souhait.  Elle est réveillée depuis plus d'une heure et ressasse tout ce qu'elle a subi depuis son arrivée. Ici, l'horreur n'a pas de limite.  J'ai tout perdu, l'honneur, la dignité, le respect. Je suis un animal perdu au bout du monde et j'ai moins de valeur qu'une prostituée.

    La porte qui s'ouvre la fait sursauter. Laura et le médecin entrent et lui sourient en lui demandant de ses nouvelles. Comme si elles pouvaient êtres bonnes ? Que répondre à ces monstres sanguinaires ? De toutes les façons, elle ne leur parlera plus, à quoi bon parler, un animal ne parle pas. 

    Laura retire le drap qui la couvre, le médecin passe son stéthoscope puis l'ausculte en lui parlant, totalement indifférent face à son silence. On détache ses chevilles et relève ses jambes pour changer le pansement et recouvrir de crème blanche la brûlure qu'elle ne peut voir, mais qui ne peut être qu'affreuse.

    Comme un bébé et sans aucune gêne ou pudeur, elle les laisse manipuler ses jambes sans comprendre pourquoi ils les relèvent maintenant vers son cou. Quand Laura passe de gros bracelets dans le creux de ses genoux puis les crochète à une chaîne au-dessus de sa tête, Aline comprend qu'elle va subir une visite médicale approfondie. Pourquoi l'attacher, cela ne fait pas mal et puis de toute façon, elle ne résiste plus puisque son corps et son âme ne lui appartiennent plus. Il peut bien lorgner son intimité qui n'a plus rien d'intime dans ce lieu maudit.

    Pendant que Laura rajoute de solides sangles à son bassin, Aline observe le médecin qui prépare ses instruments et passe un casque avec une grosse lumière sur le devant. C'est lorsqu'il se retourne avec un gros spéculum et un plateau chargé d'une foule de choses inconnues, qu'Aline sort de son mutisme et se met à hurler.

    - Ne crie pas comme ça, il va juste te mettre un stérilet pour que tu puisses être heureuse avec ton Henri sans être engrossée ! Lui dit Laura en caressant son visage. 

    - Je ne veux pas ! Non ! Pitié ! Pleure Aline.

    - Cela ne fait pas mal. C'est froid et désagréable mais pas douloureux, alors calmez-vous s'il vous plait ! Demande fermement le médecin en désinfectant ses instruments puis son sexe très exposé de par la position.

    Aline, ayant spéculé sur la douleur du spéculum, crie lors de son introduction puis pendant son ouverture à l'intérieur de sa vulve qui s'extasie malgré elle. La tête logée dans la poitrine de Laura qui la tient comme un bébé, elle ne parvient pas à voir ce qu'il fait entre ses jambes ni à l'intérieur de son ventre où elle sent les effets de l'air. Le désinfectant et les instruments froids exacerbent encore les sensations internes.   

    - Ca fait mal dedans, ça fait mal dedans ! Arrêtez, Noonnn ! Arrêtez ! Supplie Aline.

    Mais le médecin, malgré lui, pratique ce pour quoi il est grassement payé en dollars. La chose est rapidement faite mais les jambes d'Aline ne redescendent pas pour autant. Le praticien fouille maintenant dans sa valise, puis revient vers son entrejambe avec d'autres instruments. Aline le sent pincer puis étirer ses lèvres intimes, peut-être vérifie t-il la pose de son stérilet ? Soudain, une piqûre lui arrache un hurlement. Son cri ne l'arrête pas dans ses gestes douloureux, au contraire, il continue là où il vient de lui faire mal. C'est horriblement douloureux.

    - Ca fait mal ! Arrêtez ! Mais pourquoi ? Que me fait-il ? Demande Aline aux suppliques sans réponse.

    Par deux fois, sa lèvre intime gauche est piquée et martyrisée. Elle rue dans ses liens et hurle à pleins poumons sous l'indicible souffrance. Lorsqu'il étire l'autre lèvre épargnée jusqu'à présent et recommence à martyriser ses chairs, elle crie sans répit comme un animal que l'on égorge. Trempée de sueur, elle est tellement essoufflée qu'elle est au bord de l'évanouissement. Un jet d'urine lui échappe, éclaboussant le médecin qui se met à pester comme un diable.

    - Merde ! Qu'est-ce qu'elle est conne celle-là ! Hurle le médecin rageur plein de sang et d'urine en lui donnant une grande claque sur les fesses. Même pas capable de se tenir !

    Cette insulte s'ajoute encore à sa souffrance et à son avanie. Aline s'enfonce dans la folie et jette sa tête les dents en avant contre les seins de Laura. Les gifles et les coups semblent sans effet, comme si elle ne ressentait plus la douleur. Le médecin surpris, bondit et tire sur les mâchoires plantées dans un sein sans parvenir à les desserrer.

    Passé le moment de panique, il saisit son aiguille et se met à en piquer le sexe d'Aline qui hurle à gorge déployée et lâche sa proie mammaire. Laura crie, pleure, sa poitrine est en sang. Le médecin regarde la vilaine morsure par le tissu déchiré et repousse difficilement la mordue, décidée semble t'il à tuer.

    Comme Aline de son côté est totalement incontrôlable et cherche à le mordre pendant qu'il soutient Laura, il lui assène un coup de poing, mettant aussitôt un terme à sa crise de folie. La tête projetée sur la table, Aline, totalement inconsciente, bave, du sang coule de son nez.

    Un dilemme se pose à lui. S'il la laisse ainsi sur le dos, les humeurs vont se répandre dans ses poumons et elle va devoir être transportée d'urgence à l'hôpital, s'il lâche Laura, elle va la tuer et on pourrait le lui reprocher !

    « L'anesthésique de contact » situé au bout de son bras, lui semble dans un premier temps la solution idéale pour gérer l'épidémie de folie. Laura reçoit soudain une violente gifle qui, si elle ne l'endort pas, l'assoie tout de même dans un état des plus vaseux.


    Finir ce qu'il a à faire, pour prendre son fric et foutre le camp au plus vite devient la priorité du médecin. Il assène deux gifles à Aline pour la ranimer puis sans aucune précaution perce la lèvre intime pour y placer un deuxième anneau. Il asperge le sexe de Bétadine rouge, de sa patiente en larmes, décroche et rattache les jambes une à une puis, récupérant une sangle sous la table, bloque la tête de la furie en la passant sur sa gorge avec moult précautions.

    Lorsqu'il asperge sa fière poitrine agitée, de grosses larmes roulent sur les joues d'Aline pendant que ses lèvres tremblantes laissent échapper de longs gémissements. Les yeux remplis d'épouvante, elle regarde le médecin attraper son sein gauche pour le serrer cruellement.

    A l'aide de ses dents, le médecin déchire l'emballage d'une grosse aiguille qu'il pose sous le téton. La douleur est aiguë lorsqu'il pique, Aline se mord la lèvre pour retenir son cri puis se met à hurler lorsqu'elle voit réapparaître de l'autre côté. Son retrait est aussi douloureux que la mise en place d'un anneau doré.

    Haletante et tétanisée par la peur, Aline regarde la Bétadine se répandre en quantité sur son sein droit. Le souffle coupé par la douleur intense qui lui traverse la poitrine, elle n'a même plus la force de crier lorsqu'il perce son deuxième sein. Elle sanglote et pousse de petits râles aigus, lorsqu'il place l'anneau, symbole de son nouveau mode de vie.

    La dernière piqûre dans son bras, la laisse sans réaction, elle qui en avait si peur, avant, dans une autre vie. Les yeux dans le vague, elle le voit ranger ses instruments à la hâte puis aider Laura à se relever pour quitter la pièce en l'aidant à marcher.  

    ..............................................................

    De son bureau, le premier ministre a délégué le principal de ses missions, pour organiser son prochain week-end prometteur de sensations et trouver les 80 000 euros qui lui manquent pour réaliser son rêve fou.

    Entre deux affaires, il se plait à rêver de chevauchées sauvages dans sa propriété avec sa belle nue et cheveux au vent sur un pur-sang arabe. Henri est amoureux de son dernier jouet, il a rajeuni de 20 ans. Pris d'une irrésistible envie de lui parler, il décroche son téléphone et compose celui du portable à transmission par satellite de Bernard.

    - Allo !

    - C'est moi, comment va ma belle

    - Elle va bien, les préparatifs avancent. Vous avez les fonds ?

    - Je les aurai ce n'est pas un problème et vous le savez !

    - Je veux lui parler !

    - ???????

    - Je veux lui parler !

    - Un poney ne parle pas !

    - Il peut entendre, je veux lui parler et qu'on fleurisse son box !

    - Vous déraisonnez

    - J'ai sous les yeux votre dossier d'exportation de........... et je m'interrogeais sur les moyens à mettre en œuvre pour le présenter à Bruxelles. Je pense trouver une idée judicieuse pour convaincre, mais un bain de jouvence ravivera sans nul doute mes neurones !

    - Je vais vous la passer ! Fulmine Bernard. Mais vous êtes fou.

    A suivre

    TSM

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  • L'île de la tentation chapitre 6/9

    Par TSM


    8 heures

    Ce matin, le moral d'Aline est au beau fixe malgré les liens autour de son cou et la litière de paille dans laquelle elle est assise. Cette nuit, ses cauchemars sont devenus rêves. Rêves de liberté et rêves d'amour avec cet homme bon dont elle s'est éprise en une nuit.

    C'est la première fois qu'elle atteint le paradis des plaisirs dans les bras d'un homme. Et quel homme ! Il est tendre, doux, respectueux, gentil. Certes, il aime le ponygirl, mais peut-être que cette pratique est courante dans un couple. Après tout, que connaît-elle de la vie ? Rien, à part deux jeunes amants maladroits qui ne lui ont donné aucun plaisir alors qu'avec lui, elle a découvert des sensations qu'elle n'aurait jamais imaginées.

    Régulièrement ses mots reviennent à l'esprit de l'orpheline élevée par la DASS : « Je t'aime », « Tu es le soleil de ma vie ».

    Regrettant son absence, elle se plait à espérer un TREC ce matin, pour qu'ils puissent encore s'isoler sur les chemins sauvages de cette île paradisiaque.  

    En même temps, elle est confuse à l'idée de ne pas être propre et belle pour lui. A l'aube de cette nouvelle journée, elle a fait ses besoins naturels le plus loin possible dans un angle, en prenant exemple sur la façon de procéder de Lucie. Sa gêne préalable à l'expulsion si naturelle mais toutefois d'une façon peu commune, n'a été que de courte durée, le port de la queue de cheval pendant la journée équestre ayant quelque peu assouplit et distendu son fondement toujours enflammé.

    Curieuse, Lucie s'approche puis se penche par-dessus la barrière de bois qui les sépare.

    - Vous vous êtes bien amusé hier soir ? Lui demande-t-elle avec des yeux complices.

    Aline serait particulièrement embarrassée par cette question intime si elle n'était pas contrainte au silence par cette boulle qui clôt sa bouche.

    - Moi, j'aime bien être chevauchée pendant le Pony Night, si tu vois ce que je veux dire. Je trouve que la nuit libère nos pulsions animales et les rend plus fortes, plus sauvages. Une fois, j'ai tellement décollé que j'en ai perdu connaissance et qu'il a.... Chut, quelqu'un vient ! Chuchote Lucie.

    Alan entre dans les écuries d'un pas décidé. Il détache Lucie pour la conduire dans l'allée centrale puis entreprend de faire son box avec d'une fourche et d'une brouette pour transporter la paille souillée. A l'aide d'une éponge savonneuse, il la lave et la rince en s'attardant sur ses formes puis entre ses jambes plus que de raison. Lucie ne semble pas gênée, les cuisses largement écartées, elle le regarde avec des yeux langoureux.

    Aline sent bien qu'il y a une certaine complicité, entre eux, il faudra qu'elle se méfie de cette fille et ne lui fasse pas de confidence sur leur projet de fuite. Oh ? Elle s'agenouille devant lui, peut-être va-t-il leur laver les cheveux ?

    Soudain, Alan dégrafe son pantalon pour en extraire sa verge bandée face au visage de Lucie. Elle ne le fuit pas, bien au contraire et le prend dans sa bouche sans aucune contrainte ! ! !

    Comment se peut-il ? Est-ce une habitude de faire cette chose après avoir été lavée par lui ? Non ! Elle ne fera jamais ça, plutôt mourir ! Particulièrement gênée et inquiète, Aline détourne son regard pour se mettre à prier face au mur blanchi à la chaux.

    Quelques minutes plus tard, des bruits, des gémissements et claquements perturbent sa communication divine. Ne pouvant contenir sa curiosité, elle jette un regard furtif. Oh mon dieu ! Ce n'est pas vrai ! Alan tire sa tête en arrière par les cheveux et la prend debout contre la barrière comme un sauvage en accompagnant ses mouvements brutaux de coups de cravache sur ses cuisses. Le pire, c'est que Lucie ne semble pas le subir ! Elle est cambrée et s'offre à lui en éprouvant du plaisir puisqu'elle lui dit des « oui » comme une folle et sans aucun pudeur !  

    Aline tourne la tête pour fuir cette vision d'horreur, mais les bras liés, ne peut obstruer ses oreilles pour fuir ces ignobles bruits. Les claquements de la cravache deviennent plus forts, plus rapides aussi. Un long râle de plaisir féminin et des cris emplissent soudain les écuries.

    Comment ce peut ? Comment Lucie peut-elle avoir du plaisir ainsi et crier « oui », « plus fort », « encore » ? Aline a bien entendu parler de masochisme, mais ce qu'elle voit et entend, va bien au-delà bien des définitions du dictionnaire.

    .........................................

    Lucie, équipée d'un harnais de gala, est dans son box. Aline, la gorge serrée et le ventre noué d'angoisse, voit Alan venir vers elle avec un regard pervers.   

    - Aller vient ma poule, on va te faire une beauté !

    Guidée jusqu'au point d'eau de l'écurie, Aline tremble comme une souche. Lorsqu'il entreprend de fixer à sa cheville gauche un gros bracelet, elle s'affole, résiste et lui donne un coup de pied. Sans dire un mot, Alan se redresse, saisit une cravache et cingle ses fesses et ses cuisses. Aline se tord de douleur en poussant des cris étouffés. Vrillée sur elle-même, jambes serrées, elle offre de par sa position sa poitrine à la main d'Alan qui cueille un sein d'un soufflet cuisant.

    - Je continuerai tant que tu ne seras pas devant le poteau jambes écartées ! Aboie Alan en continuant de la cravacher. 

    Laminée de douleurs, Aline prend si vite la pause demandée, qu'elle se cogne le front contre le poteau de bois. La longe de son collier est aussitôt passée dans un gros anneau au-dessus de sa tête. A moitié pendue par le cou, elle tire inutilement sur ses liens pour essayer de se soustraire aux morsures infernales de la cravache. Sa poitrine s'abîme sur le bois rugueux pendant que ses fesses endurent une avalanche de coups. La correction est atroce, les cris et les râles même étouffés, emplissent l'écurie.

    - Tourne-toi et ne t'avise plus jamais de botter ! Lance Alan visiblement satisfait du visage défait de sa victime lorsqu'il détend un peu la longe.

    Saisissant les deux tétons entre le pouce et l'index de ses mains, il commence à les tordre en les pinçant affreusement. Une odieuse chaleur envahit ses bouts de seins qu'il écrase dans un roulement de plus en plus rapide. Il les tire vers le haut, forçant Aline à se mettre sur la pointe des pieds les yeux rivés sur ses seins cruellement tendus. 

    - Et si je te pendais par les tétines ?

    - OOOOOOOOONnnnnnnnnnnnn ! Hurle Aline dans son bâillon.

    - Tu seras bien sage ? Murmure Alan le regard brillant de méchanceté.

    - Ouuu-i Ouu-i !  

    Libérant soudain les deux tétons érigés par la traction cruelle, il observe le mouvement de la fière poitrine qu'il étire à nouveau dès qu'Aline a posé ses talons sur le sol. Ce petit jeu le comble tout comme le visage suppliant de sa jeune victime.   

    Elle est soulagée de le voir reprendre son ouvrage interrompu par le coup de pied malheureux. Les fesses et les seins en feu, Aline n'oppose plus aucune résistance. Il la lave avec l'éponge comme il l'a fait avec Lucie en insistant particulièrement entre ses jambes tenues écartées par une barre.

    - Je mets beaucoup de savon là, parce que ce matin je vais plumer ton petit minou ! Dit Alan en fixant le visage de sa victime pour en apprécier les réactions.

    Aline fait des « non » désespérés de la tête. Même si elle est jeune, prude et inexpérimentée sur ses choses là, elle a compris le sens de ses mots qui sonnent à ses oreilles comme une sentence de mort. Lui, semble se délecter de son visage cramoisi et inondé de larmes ! De sa poche, il extrait un rasoir qu'il ouvre lentement avec un regard brillant de méchanceté devant les yeux apeurés.

    - Faut pas bouger, ça coupe ces choses là !

    La lame froide glisse sur la peau délicieusement satinée de son ventre plat pour descendre vers le triangle érogène. Pendant qu'elle fait son office, Aline tremble de la tête aux pieds mais ne bouge pas d'un cil, même quand il étire ses lèvres intimes pour affiner le rasage.

    En quelques minutes, de la fine toison soyeuse, il ne reste plus qu'un souvenir. Son ventre ressemble maintenant à celui d'une petite fille qui pleure à chaudes larmes sur son sort.

    Pendant le rinçage elle n'a plus honte de rien, comme si sa dignité s'en était allée avec sa pilosité intime. Il écarte ensuite ses fesses pour en nettoyer le délicat petit orifice plissé. Les yeux dans le vague, comme infantilisée elle ne réagit plus et attend la fin de la toilette.

    - Aujourd'hui, c'est dimanche, alors on va te faire belle pour ton amoureux ! Lui dit la femme qu'elle n'avait pas vu arriver dans son dos.

    Cette sorcière qui l'a faite courir en la cravachant, s'est déguisée avec un ensemble de cuir noir brillant, de hautes cuissardes assorties à un body corset qui soutient sa poitrine sans la masquer. Pour parachevez sa tenue, un chapeau haut de forme rouge avec du tulle de la même couleur et un cache cou vermeil. L'effet est des plus surprenant mais Aline n'est plus étonnée de rien.

    Dans ses mains, elle tient des cuissardes, un superbe harnais rouge parsemé de clous dorés et un «clou de tête» avec de longues plumes rouges. Elle pose ses affaires puis fait asseoir Aline pour la coiffer et la maquiller. La mise en place de la queue de cheval dans son adorable petit postérieur avant la fermeture du harnais, ne se réalise pas sans tentatives de discutions, mais la cravache agitée sous son nez a rapidement raison de ses réfutations. Le lubrifiant n'apaise pas ses douleurs mais facilite le passage de ce cône froid qui lui arrache un cri lorsque la partie évasée s'enfonce dans ses reins.  

    Sa poitrine est mise en valeur par un soutien-gorge ouvert, assorti à un large tour de cou. Sa tête est ornée du clou et ses jambes moulées par les cuissardes noires à talons hauts.

    Rapidement attelée à un chariot dans la cours, elle est conduite à la villa par la conductrice qui la guide sans brusquerie mais corrige le moindre de ses écarts de la pointe d'un long fouet dont une partie est rigide.

    Une quinzaine de personnes discute sur la terrasse dallée et comme l'on peut s'en douter, son arrivée ne passe pas inaperçue. Henri semble fier d'elle et la complimente sur son exceptionnelle beauté. Aline, heureuse de son compliment en oublie un peu la gêne de son exhibition. 

    Lucie, conduite par Alan, arrive au petit galop. Son arrivée est aussi particulièrement remarquée. Sa taille est ceinte par une large ceinture si serrée, qu'Aline se demande comment elle peut encore respirer. Sa poitrine généreuse agrémentée d'un tatouage de cheval qui rue porte des larges anneaux fixés dans ses tétons percés.

    Complètement dans son rôle, elle racle le sol d'une de ses bottes ferrées en ruant légèrement. Aline comprend qu'il s'agit d'une exhibition du club lorsque d'autres ponyboys et ponygirls arrivent en tenues de parade. Deux hommes en harnais tirent un gros chariot guidé par une femme debout armée d'un gros fouet. Un autre double arrive quelques minutes plus tard, mais ce sont deux femmes harnachées avec des tenues vulgaires qui tractent un chariot conduit par un homme tout de cuir vêtu.


    Les ponygirls portent des bas noirs, qu'elle drôle d'idée en cette période se dit Aline. Tout ce qu'elle voit, dépasse son entendement. Henri s'apprête à monter dans le chariot de sa belle et constate qu'elle a été battue.

    - Qui c'est qui t'a fait ça ? C'est Bernard ? Demande Henri en caressant son adorable fessier zébré par la cravache.

    Aline fait « non » de la tête.

    - C'est Alan ?

    Aline fait « oui » de la tête.

    - Conduit-moi à lui ! Demande Henri avec une voix cassante qui ne laisse pas entendre de réfutation en s'asseyant dans le chariot. 

    Aline exécute son ordre, contourne les attelages en s'inquiétant de la suite des évènements. Arrivé devant son bourreau du matin, elle s'arrête en frémissant.

    - La prochaine fois que tu la touches, je te tue ! Dit Henri avec une voix calme posée et glaciale.

    Alan de répond pas à cette menace. Elle sent bien que les hommes s'affrontent du regard un instant puis Henri claque les rênes pour qu'elle avance. Aline, fait un écart en démarrant pour faire passer la roue du chariot sur les nu-pieds de celui qui l'a tant faite souffrir depuis son arrivée.


    Guidée d'une main ferme, l'attelage quitte la villa pour s'enfoncer dans la végétation luxuriante du Sri Lanka. En chemin, il contemple avec ravissement ses fesses striées sans la moindre once de graisse pour altérer ce chef d'œuvre ciselé par la main de mère nature. Cette exceptionnelle beauté fessière est sublimée par une courroie rouge et cloutée d'œillets dorés. Elle en sépare les magnifiques lobes et bloque la queue rouge qui balance au rythme des pas.

    Quelques minutes plus tard, du haut des palmiers, les écureuils s'étonnent de voir un homme serrer dans ses bras une femme attachée à un chariot. Débarrassée de son mors, elle se donne à lui dans un baiser, fougueux, passionné. Aline déguste les lèvres d'Henri comme le calice de la vie. Ce n'est pas sa liberté qu'elle achète mais bien de l'amour de jouvencelle qu'elle donne.

    Il ne résiste pas à l'envie de croquer les deux beaux fruits butant contre sa poitrine. Il les prend dans ses mains en les caressant habilement, puis embrasse du bout de ses lèvres brûlantes les petites pointes de chairs auréolées qui offrent une douce résistance aux assauts de sa langue gourmande de ces fraises des bois encore sensibles des horribles pincements d'Alan. Le vent caresse son buste humide des baisers gourmands et ses épaules nues à la peau frémissante de désirs. Etre debout, presque nue, le corps pris dans ce harnais avec ses poignets bloqués aux bras du chariot, trouble Aline soumise aux désirs de son homme.   

    Prise par le magnétisme de l'instant, minaudant les yeux énamourés, elle croise et décroise ses longues jambes comme en attente de perspectives érotiques.

    - Fait-moi l'amour, mon corps tout entier a besoin de toi !

    - Ce soir ma puce, ce soir, il faut que nous rentrions maintenant ! Dit Henri.

    - Non, pas encore, détache-moi et laisse-moi te serrer dans mes bras.

    - Ma puce, demain je vais devoir partir de bonne heure pour te sortir de là. C'est beaucoup plus compliqué que je ne le pensais. Il va falloir que tu me fasses confiance et que tu sois patiente. 

    Comme un grand coup de chaleur dans l'échine elle reçoit ses mots en plein harnais.

    - Ne me laisse pas ici, s'il te plait ! Emmène-moi avec toi ! Pleurniche Aline aux yeux embués.

    - Si l'oiseau des îles que j'aime veut bien m'épouser dans la tradition de ce pony club fou, elle pourrait bientôt s'envoler pour roucouler dans ma résidence secondaire en Jordanie.


    .......Silence................


    ..........Emotions.............


    .............Tremblements.............


    ...................Larmes de bonheur.............


    - Tu m'aimes à ce point ?

    - Oui ! Je suis profondément amoureux de toi. Tu peux refuser ma demande en mariage, mais ma vie t'appartient déjà. Je....

    - Mais, tu n'es pas marié ?

    - Je suis en train de divorcer.

    Le dialogue des langues câlines est soudain muet, mais tout comme le silence, il vaut son pesant d'or.

    - Dois-je en conclure que c'est oui ? Demande Henri essoufflé par le torride baiser.

    - Libère mes bras si tu n'as pas peur de te faire manger ? Répond Aline.

    - Rentrons avant de faire une bêtise qui pourrait compromettre nos projets ! Répond Henri qui a du mal à faire taire son envie de gourmandises érotiques.

    ..................................

    10 heures 30


    Près de l'immense cour dallée de la villa, des obstacles de concours hippiques ont été installés. Du côté de la réception des sauts, des tapis de sport sont prévus pour éviter les blessures en cas de chute.

    Henri explique que ce ponyplay s'appelle le Saut d'Exposition. Le pony est guidée par son conducteur courant à ses côtés. A chaque passage, les barres sont légèrement relevées, le gagnant sera celui qui sautera le plus haut.

    Aline regarde étonnée pendant près d'une heure les concurrents humains bras déliés, sauter à tour de rôle les obstacles sous les applaudissements des spectateurs. Prise d'une irrésistible envie de faire plaisir à Henri, elle fait des signes de la tête pour lui faire comprendre qu'elle désire participer. A l'école, elle était la meilleure de sa classe au saut d'obstacle, elle peut faire largement mieux que ces hommes bedonnants ou Lucie qui semble t'il va surclasser les ponygirls présentes aujourd'hui malgré sa taille étranglée.

    Etonné dans un premier temps, il refuse en prétextant qu'il ne veut pas qu'elle se blesse mais devant l'insistance et ses clins d'œil, il finit par céder et la dételle. Rapidement déchaussée, elle est conduite au départ, les poignets libérés des contraintes. Son premier parcours est très remarqué et applaudi.

    Les jambes fuselées d'Aline cache une puissance certaine. Henri souffle en courant auprès d'elle, en s'interrogeant sur les bienfaits de ce jeu sportif pour son cœur emballé. Si elle n'avait pas cette p.... de queue dans les fesses, Aline pourrait faire bien mieux encore. En lui proposant de participer, elle l'avait un peu oublié cet accessoire douloureux et très gênant dans l'effort.

    Comme elle l'avait présagé, les ponyboys sont rapidement déclassés tout comme les deux ponygirls qui ne pouvaient pas sauter bien haut avec leurs grosses cuisses. Lucie n'est pas décidée cette fois à la laisser gagner, elle a un rand à tenir devant cette foule en délire. Henri en nage, a un mal fou à suivre sa pouliche dans ce duel. Les obstacles sont maintenant d'une bonne hauteur. Lucie est passée de justesse au premier et a fait tomber le deuxième.

    Dans la prise de vitesse, Henri ne peut pas aller aussi vite qu'Aline le désire, d'un coup de tête, elle arrache les rênes de sa main et passe allégrement les obstacles sans son conducteur pour revenir à lui en souriant avec des yeux pétillants de fierté sous un tonnerre d'applaudissement !

    ..................................

    12 heures

    Autour d'un apéritif grand luxe, les débats sont accès sur le jeu et sur cette jeune pouliche d'une exceptionnelle beauté. Henri, légèrement ivre fait boire du champagne à Aline sans lui retirer son mors. Complètement euphorique, prise par l'amour, la joie d'avoir gagné et grisée par le champagne, Aline se laisse aller avec insouciance en son ponyplay dans l'hilarité la plus totale.

    Elle joue la comédie, elle surprend, elle est joyeuse, espiègle, funambulesque, personne ne résiste à sa séduction. Dépassé par les évènements, Henri lui souffle quelques mots à l'oreille, l'attelle et la raccompagne aux écuries.

    Aline est naturellement belle, mais quand elle se fait féline et provocante, elle devient simplement irrésistible. Pendant qu'il retire ses cuissardes, elle le regarde avec un air d'appel au viol sur son visage et les yeux mi-clos. Ni tenant plus, pris d'une impérieuse envie de sexe sauvage, il retire le mors et l'embrasse passionnément. .

    Rapidement retournée pour être plaquée contre la barrière du box, il retire la queue rouge, ouvre l'arrière du harnais et prend sa ponygirl qui n'attendait que ça. Son fourreau intime tout émoustillé l'accueille avec délice. Sa poitrine fait l'objet d'un malaxage sans retenue et de petits pincements faisant vibrer les seins tièdes et jaillir les pointes comme des dards.

    Délaissant les appelants enflammés, il claque soudain ses fesses tendues vers lui. Attachée et complètement nue, Aline s'abandonne sans réserve au plaisir déferlant malgré les soufflets insistants qui chauffent ses charmantes rondeurs. La douleur est là, mais c'est le plaisir qui domine. C'est comme si une braise ardente montait de ses reins, jusqu'à son esprit en perdition affective et émotionnelle.

    Le bas du harnais se décroche lentement libérant un peu les poignets d'Aline qui glissent presque naturellement vers son sexe nu depuis se matin. Ses petits doigts agiles font émerger le bouton des plaisirs en déployant les pétales de chair gluante de sécrétions intimes. D'où me vient ce plaisir d'être ainsi malmenée se demande t'elle en le titillant frénétiquement.

    Il fesse et fouraille comme un perdu, elle marmonne de longues onomatopées noyées au milieu de ses grognements de plaisir et de ses plaintes. Elle pousse soudain, un cri de bête aux aboies qui résonne longuement avant de se muer en gémissements.


    Saisissant les cheveux blonds qui volettent sur le dos à la peau satinée, il tire sa tête en arrière et s'enfonce profondément dans les reins cambrés pour rapidement s'abandonner en une puissante jouissance qui n'en finit plus. 

    Les sensations et les émotions étaient si fortes, qu'Aline pleure de bonheur en s'excusant d'être heureuse à en pleurer. Henri, malgré ses idées perfides en est particulièrement ému. Les bras qu'il a complètement libérés étreignent son cou si fortement, qu'il en ressent les battements de son cœur qui bat la chamade. Il enlace par la taille et l'embrasse passionnément puis se perd dans ce baiser.

    .............................................

    Henri est sorti du box où elle est séquestrée mais après un dernier bisou, par elle quémandé. Il s'interroge. Et si cette fille était celle qu'il a toujours cherchée ?

    A suivre

    TSM

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