• La coquine piégée devient soumise sexuelle

    Suite des aventures de « La coquine » dont la première partie est ici :

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/27_Hard-OU-tres-violent/recits-histoires-roman/4216_RECIT-Une-coquine-piegee-et-forcee-se-decouvre.html

    Préambule

    Coquine a vécu malgré elle une aventure peu orthodoxe assez proche d'un viol sans pour autant en être un. Ci-dessous le dernier paragraphe du récit précédent pour mémoire.

    « Même si aujourd'hui j'ai encore honte j'avoue que j'ai vécu quelque chose de très fort, de si intense que je le revis seule le soir sous ma couette avec mes doigts. Je n'arrive plus à faire fontaine, à connaître cette jouissance qui m'a faite totalement décoller et que je n'avais jamais vécue avant. Louis m'a promis de me faire vivre d'autres choses et que cette fois ce serait dix fois plus fort encore. J'ai honte de le dire mais je n'ai pas dit non ».

    La coquine piégée devient soumise sexuelle

    Louis et Anna m'appellent maintenant « Coquine » ce sont des coquins libertins adeptes également du BDSM qui m'ont « éclairée » sur les choses de la vie autre que la vie vanille. Ils ne sont pas mes Maîtres mais je ne m'oppose pas à leurs fessées qui me laissent toujours pantelante. Il est fort possible que je me fasse un jour « mangée » par Anna, mais l'avenir nous le dira.

    Louis m'a invité ce midi en m'indiquant que je devais prendre mon après-midi. Je m'y rends donc avec une bonne bouteille de rosé puisqu'ils aiment ce vin. L'apéro est un peu plus corsé que d'habitude, je sens bien qu'ils me préparent quelque chose et essayent de me décontracter avec un petit excès d'alcool. Le repas préparé par Anna est simple mais succulent, j'aimerai avoir ses talents de cuisinière. A peine terminé, Louis nous emmène, dépose Anna à son travail pour me conduire à cette fameuse maison en travaux où j'ai vécu des choses diaboliques.

    Je sais encore une fois que le suivre n'est pas une bonne idée mais encore une fois, il m'est impossible de résister. Je suis même convaincue que c'est une bêtise mais me laisse conduire au grenier où j'ai vécu une forme de tournante heureuse et très jouissive. En montant les escaliers de bois, mon trouilleomètre est à zéro, je le suis comme une brebis en route pour l'abattoir. Il sort des cordes de son sac, à leur vue mon estomac se bloque, ma gorge se serre, un frisson me saisit mais encore une fois, l'incapacité totale de fuir me submerge. C'est ainsi, ne me demandez pas pourquoi, il m'est impossible de répondre à cette question. Telle une condamnée à mort, lorsqu'il me dévêtit je suis sans réaction. Ma pudeur n'a plus aucune prise sur les évènements.

    Sur une sorte de tabouret de bois assez haut, il pose un coussin de cuir puis il entrave mes mains à mes cuisses avec ses cordes. Dans l'incapacité mentale de résister, je le regarde prendre son temps pour m'attacher. Louis me soulève et me pose sur le dos sur le tabouret, mon sang ne fait qu'un tour, je ressemble à une grenouille sur une table de vivisection. Il lie ensuite mes pieds écartés avec une barre de bois puis il passe la corde à une des poutres du grenier. A présente, mon intimité ne peut être plus offerte, je suis morte de honte et comble de l'horreur, cette situation m'excite. Bien que je sois déjà totalement immobilisée et à sa merci, il persiste à ajouter des cordes comme si j'avais envie de m'échapper. Dans l'état psychologique où je suis, les cordes supplémentaires ne servent à rien, je n'ai pas envie de fuir même si j'ai une peur bleue de cet inconnu où je vais avoir la vedette.

    Soumise sexuelleAu lieu d'abuser de moi, de me faire monter au septième ciel comme la dernière fois, Louis m'abandonne purement et simplement en me souhaitant un bon après-midi. La haine me submerge aussitôt, comment peut-il me faire ça alors que je lui fais totalement confiance ? Les minutes s'égrainent lentement, elles me donnent l'impression de durer des heures. La position devient rapidement inconfortable, je le hais. Si un fou passe par là, peu probable qu'il s'aventure dans ce grenier, je ne pourrai rien faire hormis le laisser me massacrer après m'avoir violée, car mon intimité est à la fois offerte et à la bonne hauteur pour cela. Mes seins sont eux aussi bondagés, comme s'ils pouvaient décider d'aller voir ailleurs. Quand je lève la tête pour les voir, j'ai l'impression qu'ils grossissent, c'est bizarre comme sensation.

    Des bruits de pas me font bondir dans mes liens, mon heure est arrivée. Les ouvriers de la dernière fois entrent dans le grenier, s'approchent de moi et me claquent les fesses en arrivant. Je suis presque rassurée de les voir car malgré les quelques petites gifles ou claques sur les fesses qu'ils m'ont données, ils n'ont pas l'air méchants. Louis les rejoint rapidement et leur explique qu'aujourd'hui je suis totalement à eux. A cet instant, j'aimerai me fondre dans le décor et disparaître mais il est trop tard pour cela, je n'avais qu'à refuser ou prétexter un rendez-vous plutôt que me jeter sciemment dans la meute de loups. Paradoxalement, me sentir ainsi offert à leur merci me met dans tous mes états. Je suis folle, givrée, une vraie malade mentale mais c'est ainsi, je n'y peux rien, me sentir ainsi comme une proie face à des prédateurs sexuels assoiffés de sexe m'excite.

    Cette fois ils sont moins prévenants que la première où ils m'avaient déjà bien bousculée. En un rien de temps, l'un des ouvriers sort son sexe et me prend sans comme ça sans même me parler pendant qu'un autre ouvre sa braguette pour extraire sa bite à quelques centimètre de mon visage. Je la prends dans ma bouche et commence à lui donner ce qu'attend son propriétaire pendant que les autres malaxent ma poitrine saucissonnée. A peine ont-ils commencé à malaxer mes seins d'une sensibilité étonnante surement due aux cordes qui en font des grosses oranges, que mon esprit s'envole. La verge en moi me taraudant sans relâche pendant qu'ils me pétrissent les seins comme des boulangers, me pousse déjà au paroxysme de l'excitation. Je ne suce pas la bite que j'ai en bouche, non, elle devient pour moi un exécutoire tellement je me sens transportée dans les brumes évanescentes de ma folie. Je m'y accroche, je l'aspire, je la dévore.

    Celui qui branle l'intérieur du ventre m'entreprend comme la première fois. En quelques minutes il m'a conquise, je suis à lui ou plutôt à sa main diabolique, ces phalanges infernales qui vont m'arracher un orgasme d'une puissance impossible à imaginer et que je n'avais jamais connu avant de le rencontrer. La vague arrive doucement du fond de mon âme, sachant ce qu'il m'attend je suis moins contractée, j'ai moins peur. Ce n'est pas une vague déferlante que je sens arriver, mais un tsunami qui emporte tout sur son passage, ma retenue, ma pudeur sont déracinés de mes principes. Cette fois je sais ce qu'il m'arrive et crie « encore » et des « oui » d'une totale impudeur que je ne me connaissais pas. Bien que je sois encore au bord du vertige quand un doigt force ma petite porte de derrière, je m'insurge et crie « non pas là » mais ils n'en n'ont que faire. Louis vient de leur apporter un tube de lubrifiant.

    Soumise sexuelleGénéreusement lubrifiée par leurs doigts avides, de par ma position mon anus semble ouvert à leur gourmandise. Si jusqu'à présent j'étais arrivée à interdire ce passage à mes rares amants, cette fois je sais que je n'y couperai pas. Elle se pose contre moi, pousse, avance recule, cherche à dompter la petite porte interdite, cette bite va m'avoir je le crains. C'est sale, dégueulasse, ignoble, j'ai honte plus que je n'ai mal. Mon petit trou finit par céder malgré-moi à la pression impitoyable et à s'ouvrir. Lentement il prend possession de mes entrailles, c'est un douloureux mais comme à cet instant précis comme si Louis leur avait demandé, ils s'acharnent sur mes seins et mon clitoris déjà bien malmené cela reste supportable. C'est fou, totalement fou, je me sens remplie. Ses premiers mouvements lents me perturbent, j'avais peur d'avoir très mal alors que là, cela me fait plus drôle que mal. Après m'avoir laissée apprivoiser la bête, le cheval de Troie s'anime et commence à me conquérir. Ses mouvements lents deviennent plus intenses, plus profonds, plus forts. Le plus surprenant est que cela me transporte dans de sombres sensations plus fortes que la raison. Je me perds, je divague, je crie sous ce laboureur émérite qui parvient à retourner mes sens.

    Entre leurs mains, je ne suis plus qu'un corps dont ils peuvent user et abuser à leur convenance. Au bout d'un moment et après plusieurs spéléologues acharnés ayant visité mes intérieurs devenus accueillants et gourmands, ils entreprennent de me libérer puis de me porter sur un vieux canapé hors d'âge à moitié détruit. Soulevée je suis, empalée sur une bite en pleine forme je suis. Son propriétaire me vole un baiser puis soulève mes reins. Ce n'est qu'en sentant une présence contre mon petit trou que je comprends leurs intentions. J'ai soudain peur mais la deuxième bite vient sans trop de souci rejoindre sa voisine. Et là, faisant cause commune pour m'anéantir, elles se mettent en mouvements. Oh mon dieux, (pardon je blasphème) que c'est bon d'être ainsi comblée, pourfendue, possédée, prise de partout avec en prime Louis qui m'oblige à m'occuper de sa bite gorgée de désir. Mes seins frottent la poitrine de celui qui est dessous pendant qu'ils s'animent en moi, mes melons toujours saucissonnés semblent eux aussi s'animer et faire cause commune avec les bites pour me clouer sur la croix du plaisir malsain. Je me perds, je crie, je hurle mon plaisir, je ne suis plus qu'une esclave sexuelle, esclaves de ces hommes, esclave du plaisir qui me ravage et inconnu jusqu'à ce jour.

    Soumise sexuelleQuand à la fin de la joute qui a durée un temps indéfinissable, ils se mettent autour de moi à genoux sur le sol poussiéreux pour présenter leur glaive vainqueur, je ne peux que les sucer non pas avec conviction, mais avec passion pour les remercier de ces plaisirs divins. Leurs mains s'animent sur leur arme pour le jugement final, aspergée de sperme, je bois, j'avale, je suce leurs bites avant de m'écrouler sur le sol comme vide de vie mais heureuse.

    Louis je te hais mais qu'est-ce que c'est bon.

    La coquine

    TSM journaliste de Fessestivites.com

    Les photos sont ICI

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    La vidéo est ici

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  • RECIT érotique hard Une coquine piégée et forcée se découvre

    Je savais que je ne devais pas les suivre mais c'était comme si une force particulière m'entrainait. Louis et Anna sont des coquins libertins, ils font aussi du BDSM et me disent depuis toujours qu'en moi réside l'âme d'une soumise qui ne demande qu'à se révéler pour que je m'épanouisse. Nous étions dans le grenier d'une vielle maison en cours de restauration, Louis avait pris une bouteille de vodka pour qu'on s'échauffe les sens mais je n'en ai pas bu, je n'aime pas ça. L'ambiance de ce grenier semblait leur plaire, ils se caressaient, s'embrassaient et moi, je tenais la bougie... Pour les laisser tranquilles, je me suis éloignée mais les râles de plaisir ont attisé ma curiosité.

    Dans l'angle d'un mur derrière une vieille porte de bois, je les observais en me disant qu'ils avaient de la chance de pouvoir vivre leurs passions contrairement à moi qui suis trop timide. Ils ont raison sur une chose quand ils parlent de moi, j'aimerai être bousculée, prise comme une salope et m'éclater, les cordes et bondage comptent aussi de mes fantasmes mais entre mes rêves et la réalité, il y a un pas que je ne pensais pas franchir un jour.

    Des ouvriers sont arrivés, trop occupée à mater Louis et Anna en me caressant discrètement je ne les ai pas entendus et ils m'ont vue. Je me suis précipitée vers mes amis, les ouvriers ont suivi. Ils ont vite compris et les voyant que je matais leurs câlins. « Elle a des envies de sexe mais n'ose pas » leur a dit cet enfoiré de Louis. J'étais blême, je l'aurais tué.

    coquine piégée et forcée« On va la décoincer » Répondit un des ouvriers en me poussant vers mes amis. « Ce serait une bonne idée » leur a répondu Louis au lieu de me défendre. De fil en aiguille, ils sont devenus très entreprenants avec moi, j'avais peur mais la présence de Louis me rassurait un peu. Anna a disparu, je crois maintenant qu'elle était de mèche avec Louis pour ce qu'il m'est arrivé ensuite. Les mains baladeuses des ouvriers sans gêne devenaient plus précises, Louis les a rejoint puis m'a ordonné de me mettre à genoux. Comme je n'arrivais pas à m'y résoudre, ils m'ont appuyé sur les épaules pour me faire fléchir. A genoux face à Louis massant son sexe à travers son pantalon, j'ai alors compris que je n'aurai aucune aide de sa part, bien au contraire. « Suce-le » criait un des ouvriers. L'un d'eux a guidé ma main sur Louis, j'étais morte de honte mais sous leur insistance j'ai fini par ouvrir son pantalon.

    Ils me touchaient les seins comme des malades et commençaient à les malmener, l'un d'eux m'a attrapée par la nuque pour plaquer mon visage sur le sexe de Louis. Contrainte et forcée je l'ai pris dans ma bouche, cela m'a fait comme un électrochoc, il y avait au moins deux ans que je n'avais pas de copain. Un des ouvriers me tenait la tête et me faisait faire des mouvements pour que je le « suce bien » pendant qu'un autre passait sa main sous ma jupe. J'avais beau le repousser, ses doigts sont entrés dans ma culotte et là, il a crié à tous le monde que je mouillais comme une salope. Quelle honte. Si j'avais pu passer entre les tuiles je me serai envolée comme un papillon affolé. Au lieu de m'aider Louis forçait ma bouche pendant que les ouvriers me malaxaient les seins ou me tripotaient la chatte malgré ma résistance. Mon chemiser a été ouvert brutalement, laissant dans ce grenier de la honte quelques boutons. Mon soutien-gorge n'a pas résisté longtemps à leur fougue, palpée de toute part, je ne savais plus où donner de la tête. Je disais « non » j'essayais de résister mais en même temps, je faisais tout ce qu'ils me disaient de faire. Quand un autre des ouvriers à sortie son sexe et me l'a présenté, je l'ai sucé lui aussi sans qu'il me le demande.

    Pourquoi ai-je fait ça, pourquoi n'ai-je pas crié, pourquoi ne les ais-je pas mordus ? Je n'en sais rien mais à partir du moment où je les suçais au lieu de me débattre, je crois que j'ai ouvert la porte à tous leurs délires et toutes leurs envies perverses. Je suis convaincue maintenant qu'ils ne sont pas des violeurs, certes ils m'ont tripotée comme des mecs qui ont envie de faire peur à une fille mais si j'avais voulu m'enfuir j'aurai sûrement pu le faire. Au lieu de ça, j'ai accepté de sucer toutes les bites qui se présentaient devant ma bouche. Cet enfoiré de Louis a tendu ses fesses vers mon visage en m'ordonnant de les lécher, il a suffi qu'une main me pousse un peu pour que j'y loge mon visage et ma langue. Ils ont tous voulu goutter à ma langue de « lèche cul » et je les ai laissé faire même si je disais « non » sans résister physiquement ou mordre.

    coquine piégée et forcéeL'un d'eux a attrapé ma culotte et l'a déchirée, ils m'ont tripotée et s'amusaient à dire que je mouillais comme une salope. Pour me prouver que c'était vrai, l'un d'eux m'a carrément fait lécher ses doigts après m'avoir tripotée. Ils m'ont soulevée pour me présenter jambes écartées à Louis. Soulevée et entre leurs mains, je n'étais qu'un pantin de chair, cuisses ouvertes, chatte à l'air prête à être baisée. Louis a osé me prendre, sa verge dure m'a comblée totalement, si j'étais morte de honte, ses mouvements en moi me troublaient. Entre sa bite et les mains des ouvriers me malaxant les seins et me caressant le clitoris, j'ai rapidement senti monter en moi une onde de plaisir malsain. Louis s'est retiré, j'ai cru qu'un autre aller prendre sa place et me violer mais au lieu de ça, l'un d'eux m'a enfoncé ses doigts dans la chatte pour me branler de l'intérieur comme un malade. A un moment il s'est passé quelque chose que je n'ai pas compris. Mon ventre devenait bouillant, j'avais envie de faire pipi. Je leur ai dit mais ils s'en moquaient. Au lieu de ça, celui qui me branlait comme un malade l'intérieur de mon ventre à accélérer encore son mouvement. J'avais honte, je criais, mon corps semblait décoller, ma vue s'est troublée, j'ai cru perdre connaissance tellement les sensations étaient fortes.

    coquine piégée et forcée« Elle est fontaine » cria celui qui me branlait comme un malade. « Elle est fontaine ». J'ai jouis une première fois contre mon gré puis une seconde qui m'a faite hurler tellement c'était fort, puissant, un peu comme une avalanche qui ravage tout sur son passage. A partir de ce moment là, je ne me souviens plus de grand-chose, j'ai été soulevée plus d'une fois et prise dans tous les sens, j'ai sucé des culs et des bites sans même opposer aucune résistance, je n'étais plus moi-même. J'y éprouvais un plaisir malsain, c'est fou.

    Même si aujourd'hui j'ai encore honte j'avoue que j'ai vécu quelque chose de très fort, de si intense que je le revis seule le soir sous ma couette avec mes doigts. Je n'arrive plus à faire fontaine, à connaître cette jouissance qui m'a faite totalement décoller et que je n'avais jamais vécue avant. Louis m'a promis de me faire vivre d'autres choses et que cette fois ce serait dix fois plus fort encore. J'ai honte de le dire mais je n'ai pas dit non.

    TSM journaliste de Fessestivites

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  • Soumise violée sous camisole de force

    Laurie ex soumise L déprime depuis que son compagnon l'a laissée tomber pour une jeune soumise perverse qui lui a fait tourner la tête. Elle a tout perdu, son homme, son Maître, la maison où elle s'épanouissait depuis 15 ans. Sans travail puisqu'elle l'aidait dans l'entreprise, Laurie est à la rue.

    Hébergée par un Maître respectueux du réseau Fessestivites, elle essaye par tous les moyens de s'en sortir. Maître Hervé n'abuse pas de la situation, il ne lui propose ni de participer aux soirées ni de coucher avec lui. Depuis plus d'un mois ils fonctionnent comme frère et sœur. En la voyant sombrer dans une sévère dépression, Maître Hervé lui a conseillé d'aller voir un psy pour obtenir une aide. Comme il est toujours de bons conseils, elle s'est donc rendue chez un psychiatre et lui a tout expliqué en long, en large et en travers de sa vie. II sait donc qu'elle est soumise et d'un naturel maso, points qu'il a creusé lors de la dernière séance.

    Le psychiatre Henri est un monstre mais ni elle ni Maître Hervé ne pouvaient s'en douter.

    Adepte de BDSM depuis de longues années, mais rejeté par toute la communauté pour son sadisme excessif Henri s'est engouffré dans la tête de sa patiente en état de faiblesse qu'il manipule à souhait. Comme elle trouve une oreille attentive en lui et une patience d'ange pour le paiement de ses honoraires, Laurie s'épanche plus que de raison lorsqu'il creuse sa sexualité en guise de psychothérapie. Si bien qu'un jour, elle lui avoue avoir fantasmé sur l'idée de se faire carrément violer et humilier dans des endroits sordides par des dizaines d'hommes. Si elle avait vue les dessins pervers qu'il griffonnait ce jour là sur son bloc note, Laurie se serait enfuit à toutes jambes.

    Au lieu de fuir, elle accepte de sortir avec lui le soir même en lui promettant de ne rien dire à son ami Hervé car un psychiatre n'a pas le droit d'avoir des relations privées avec une patiente. Elle l'appelle donc et prétexte une soirée chez une amie chez qui elle restera peut-être pour la nuit.

    Une heure plus tard, Henri conduit Laurie dans un grand restaurent où ils prennent l'apéritif loin des regards dans un parc luxuriant. Sans aucune méfiance, elle se baisse pour ramasser le paquet de cigarette que son psy vient de faire tomber. Lors de cet instant prémédité, Henri verse une poudre dans le verre de sa victime. A la fin du repas servit rapidement à sa demande, Henri aide sa victime à monter dans sa voiture car elle est épuisée, épuisée mais amoureuse.

    Soumise violée sous camisole de forceLorsqu'elle ouvre les yeux, Laurie est dans une pièce aux murs matelassés. Quand elle essaye de bouger, elle constate qu'elle est entravée nue dans une camisole de force. Ses appels de détresses restent sans effet, personne ne vient. Soudain, un long moment plus tard deux infirmiers entrent dans cette ex salle réservée aux fous en crise. En guise de réponse à ses questions, ils se mettent à la tripoter, à la traiter de salope quand elle tente de résister. Après une série de gifles dès plus appuyées, elle est obligée de céder à ses violeurs qui l'étranglent lentement pour l'obliger à les sucer.

    L'un deux l'attire à lui brutalement puis plaque les lèvres contre les siennes et l'embrasse avec violence avant de diriger sa tête vers son sexe bandé en lui arrachant presque les cheveux. Le gland violacé vient appuyer contre ses lèvres et s'enfonce dans sa bouche avec une certaine brutalité. Il la tient fermement par les cheveux et lui impose des mouvements sauvages. Il tente même de lui faire engloutir l'intégralité de son membre sans être gêné par les haut-le-cœur qui la secouent sous les coups lents et répétés de son gros gland contre la luette. Rejetée en arrière comme un déchet que l'on jette, sa bouche est forcée par l'autre infirmier tout aussi doux. La bouche déformée par ce mandrin, elle hoquette et pleure sans que ses larmes n'attendrissent ses violeurs.

    Soumise violée sous camisole de forceLorsqu'ils entreprennent de retirer la sangle de la camisole passant entre ses jambes, Laurie comprend que rien ne lui sera épargné. Ses suppliques restent vaines et trouvent un écho effrayant.

    - Ne fais pas la mijaurée, parce qu'une queue comme ça, ça se refuse pas non ? Ici, tu n'es qu'une chatte, un cul et une bouche dans lesquels on va souvent jouir.

    Les mots agressifs hurlés par les colosses la figent de peur. Mise à genoux puis la tête écrasée dans la mousse recouvrant le sol, elle sent l'infirmier se placer derrière sa croupe offerte. Elle ne peut accepter ce qu'il va se passer, s'en est trop. Elle tente en vain de se débattre mais placé entre ses genoux écartés de force, l'infirmier ajuste sa verge sur la vulve offerte et la pénètre violemment. Laurie se débat et se tord sous la brute puis se met à hurler. Le second infirmier lui écrase les yeux avec ses doigts pour lui faire comprendre qu'elle doit se taire. Laurie pousse de petits gémissements plaintifs pendant qu'il la prend à grand coups de reins, gémissements interprétés comme du plaisir par ses violeurs.

    - Tu vois que tu aimes salope !

    Pendant le va et vient sauvage de son violeur, le second infirmier use et abuse de la bouche de Laurie dont il soutient la tête par les cheveux. Entre leurs mains elle n'est plus qu'un pantin de chair dont ils s'amusent à leur guise. Un troisième infirmier arrive mais il ne sera pas son sauveur bien au contraire, il vient chercher sa part de « viande fraiche ».

    Soumise violée sous camisole de forceL'infirmier caresse ses fesses et rapidement, commence à titiller l'orifice interdit. « Non pas là crie t'elle en comprenant tout de suite que le doigt préparait le chemin à son pire cauchemar, la sodomie refusée jusqu'à présent même dans sa vie de soumise. Devant ses ruades désespérées, elle est jetée sur le dos, ses jambes maintenues ouvertes ne peuvent que s'agiter lorsque l'infirmier pousse son Priape au centre de l'orifice étroit. Le rectum élargi à outrance à peine mouillé par un brin de salive résiste fièrement. Elle se met à hurler lorsqu'il cède sous la pression et d'absorbe d'un coup toute la bite qui s'enfonce en elle jusqu'à la garde. Ses yeux exorbités par l'effroi reflètent la douleur intense ravageant ses reins vierges jusqu'à présent.

    L'un après l'autre ils labourent le rectum à grands coups de reins, obligeant Laurie à appuyer sa tête contre le ventre de ceux qu'elle suce pour se maintenir en position sous peine de s'étouffer quand elle est à genoux. Ils rient à chaque fois lorsqu'elle se débat sous les nouvelles pénétrations.

    Baisée ou enculée profondément, totalement vaincue elle suce maintenant les queues qui se présentent à elle sans réfuter ou même essayer de résister. Elle se sent plus que jamais esclaves sans âme ni raison, ballottée, retournée, utilisée sans aucune considération, elle n'est plus qu'un réceptacle. Une heure plus tard, elle pense son calvaire terminé lorsqu'une fois leurs affaires faites et dûment avalées ils lui remettent la sangle ventrale de la camisole de force.

    « A demain salope » lui lance le dernier des infirmiers en fermant la porte. Laurie sait maintenant qu'elle a vraiment tout perdu, l'honneur, la dignité, le respect, qu'elle a moins de valeur qu'une prostituée qui peut refuser un client trop brutal ou sale.

    Dans son bureau, Henri s'est branlé devant l'écran de surveillance de la salle pendant son viol sans pour autant parvenir à bander réellement. Depuis qu'il a été mordu pour avoir maltraité une soumise, ses érections limitées ne lui permettent plus de savourer les plaisirs de la vie.

    Epilogue

    C'est encore une fois Maître Hervé qui a réussi à la sauver par son insistance auprès de la police et cela grâce à ses relations sans quoi Lucie serait morte aujourd'hui. Au départ, la police refusait d'enquêter car Laurie est majeure et il n'avait aucun lien de famille avec elle. C'est le téléphone portable de Laurie qui l'a sauvée. Tombé entre les sièges de la voiture du psychiatre, il a permis une géo localisation correspondant soit à son domicile soit à son cabinet. Ce médecin interrogé affirmait ne pas avoir de nouvelle de sa cliente par contre son téléphone était toujours là où il allait ! 24 heures plus tard, la batterie du portable totalement déchargée n'aurait plus permis une géo-localisation. Félicitations à Maître Hervé pour son acharnement.

     

    TSM journaliste de Fessestivites

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  • BDSM et viol d'une soumise par Maître Maya à Bugarach

    Bienheureux les humbles qui embarqueront au Pic de Bugarach dans le plus simple appareil car eux seuls survivront au cataclysme c'est ce qu'indiquait les nombreux messages sur internet. A un mois du solstice d'hiver qui correspondait cette année au 21 décembre 2012 à une prédiction Maya de "fin du monde", je me suis rendue dans l'Aude après avoir contacté un homme dominateur appelé Maître Maya.

    viol bugarach 21 decembre mayaComme indiqué, je me suis présentée nue sous mon manteau à la porte de l'église le vendredi à 19 heures. Il est arrivé vêtu d'un grand manteau noir dans un silence religieux et m'a tendu un collier de soumise.

    - Met ça autour de ton cou, à partir du moment où il sera fermé, tu seras ma soumise et devras te monter à la hauteur de mes exigences.

    Lorsque j'ai voulu discuter un peu il a mis son doigt devant ses lèvres pour me faire comprendre de me taire. Son sourire et ses beaux yeux bleus ont fait fondre le peu de lucidité qu'il me restait. J'ai donc tendu mon cou à cet homme qui avait su me séduire et me rassurer sur internet. Tel un caniche, je me suis laissée conduire dans les rues de ce petit village jusqu'à une magnifique maison de maître avec des murs de pierre impressionnants.

    Toujours sans un mot, à peine la porte fermée, il a ouvert mon manteau et m'a faite étendre sur le sol à deux pas d'une immense cheminée et d'un beau feu crépitant. Nue étendue sur le dos, bras et jambes en croix devant Maître Maya je me sentais une petite chose fragile sous ses yeux perçants ma carapace.

    - N'ai pas peur, je vais te préparer pour la cérémonie des douleurs mais tu ne sentiras rien.

    Il a commença par poser des bougies sur le sol tout autour de moi puis a éteint la lumière. Avec les crépitements du feu comme seuls compagnons et cette ambiance magique qu'il avait su créer, mon taux d'excitation me faisait oublier peu à peu la cérémonie des douleurs qu'il venait de m'annoncer. Une heure plus tard, avec la musique d'histoire d'O tournant en boucle et quelques centilitres de sécrétions intimes s'écoulant insidieusement sur le grand drap noir je l'ai entendu arriver à pas de velours.

    - Vient, l'heure de la cérémonie a sonné.

    Avec grande galanterie, il m'a aidé à me relever puis m'a bandé les yeux. Conduite je ne sais où, il m'a demandé à un moment d'attendre sans bouger. Mon cœur bâtait la chamade et lorsqu'il a posé de lourds bracelets à mes poignets, j'ai bien cru qu'il aller s'arrêter de battre. Lentement mes mains se sont mises à monter vers le plafond, l'air de la pièce s'acharnait sur mon épiderme devenu une multitude de capteurs sensoriels.

    Pour la première fois depuis mon arrivée, ses mains m'ont touchée, leur contact m'a fait frémir et fondre comme un caramel mou oublié sur une plage au mois d'août. Alors que je commençais à décoller, une autre paire de mains s'est posée sur moi et là, j'ai commencé à déchanter. Fouillée par des mains inconnues, je ne pouvais plus rien faire hormis m'abandonner et vivre ce que j'avais toujours fantasmé de vivre.

    D'un seul coup, une lanière a cinglé fortement mon dos laissant un trait de feu sur son passage. Bien d'autres sont tombées, de plus en plus vite de part et d'autre de mon corps me permettant de comprendre qu'ils étaient plusieurs à me fouetter. Si les douleurs du début étaient rudes, au fur et à mesure comme disait Mylène la fermière, mon masochisme me transportait dans un autre monde, un monde si difficile à décrire mais si particuliers à vivre.

    Je suis arrivée à un seuil de perdition jamais atteint de douleur mais aussi de jouissance sous leurs coups de plus en plus puissants. A la limite de l'inconscience, j'ai été portée à dos d'homme pour être entravée étendue sur le dos sur une sorte de table. Ma tête dépassait et tombait dans le vide tandis que mes fesses dépassaient un peu d l'autre côté. Les jambes en l'air maintenues en V par des bracelets et accessoires que je ne pouvais voir, mon intimité leur était offerte et n'avait plus rien d'intime. Et là, lorsqu'il a touché mon entre secrète de la pointe de son gland, j'ai compris que j'allais devenir leur jouet mais j'étais bien loin de la réalité.

    - Elle est à vous pour la nuit, vous pouvez user d'elle par tous les trous et si elle cherchait à résister, n'hésitez pas à la fouetter. Leur a indiqué Maître Maya.

    Prise comme une bête livrée en pâture, je n'ai pu que subir comme une poupée de chair. La bouche forcée par une énorme verge pendant qu'une autre s'acharnait en mon vagin, je ne pouvais que gémir pendant que des mains malaxaient mes seins comme si elles étaient en train de pétrir du pain. Le pire fut ma première sodomie qui fut brutale, sauvage et très douloureuse. J'ai cru un instant être pourfendue, déchirée tant cet enf.... s'acharnait sur moi. La douleur a fini à la longue par faire place à un trouble puis un feu impossible à contrôler. Couvant en moi lentement sous les assauts répétés, lorsqu'une main s'est mise à claquer ma chouchounette il est devenu un brasier. Et là, comme une malade mentale que je suis, j'ai été terrassée par une jouissance paroxystique aussi violente qu'un tsunami balayant tout sur son passage.

    Comment ai-je pu jouir dans ces conditions ? Je ne saurai le dire car c'est inexplicable et j'en ai honte maintenant que je suis libre. Ils ont usé et abusé de moi toute la nuit, je crois que j'ai été vendue et non pas offerte dans une logique BDSM. Le pire c'est qu'au début j'ai éprouvée du plaisir et jouis comme une tarée que je suis. A la fin, je ne sentais plus grand-chose hormis du dégoût et une incommensurable envie de fuir. Manipulée par ma peur de la fin du monde, je me suis offerte corps et âme comme une catin. Le lendemain, jetée plus que raccompagnée à ma voiture je me suis entendue dire que je ne pouvais être l'élue et sauvée.

    J'ai beaucoup de chance d'être en vie et que mon test du sida soit négatif car la fin du monde aurait pu avoir lieu pour moi il y a peu.

    Histoire inventée par TSM en délire sur la thématique de la fin du monde.

    Les photos, récits et vidéos sur ces thèmes et bien d'autres sont sur www.fessestivites.com

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  • Cuckold l'agonie d'un soumis cocu qui va vivre la soumission extrême dans le cocufiage.

    Cuckold l'agonie d'un soumis cocu

    Maîtresse Kalinka devient de plus en plus sadique avec son mari soumis et le fait cocu de la pire des manières.

    La semaine dernière, elle l'a entravé sur la table du salon avant de poser la chaise percée sur son visage. Tout heureux, il s'attendait à recevoir son champagne doré mais il n'en fut rien. Louis attendait patiemment, malgré l'inconfort de la position. Son sexe, devenait chaque jour, chaque nuit davantage, le siège de désirs impérieux multipliés par les effets de la cage de chasteté portée en 24/24. La chaise percée lui permettait donc d'espérer en se sustentant de la liqueur de sa Maîtresse de pouvoir enfin embrasser, lécher, savourer l'infime douceur de la vallée des plaisirs de sa reine. Mais il n'en fut rien.

    Elle apparue telle une fée dans son champ de vision vêtue d'un déshabiller à réveiller les morts. Le siège naturel de toutes ses convoitises lui apparut masqué par une fine et délicieuse culotte en satin rouge. Aussi délicieuse soit-elle, lorsqu'elle prit place sur la chaise percée, il comprit aussitôt que les pétales de chair il ne les verrait point.

    - Avec ton nez, masse-moi doucement et surtout, ne mouille pas ma culotte ! Lui ordonna Kalinka.

    Cuckold chaise percée culotte soumis cocuLes fragrances naturelles de sa Maîtresse retournent littéralement les sens de Louis privé du contact tant espéré. Il effleurait donc le bourgeon dardé de son nez à travers de fin rempart de tissus lorsqu'elle saisit délicatement ses tétons entre le pouce et l'index puis soudain les étira cruellement.

    - Tu dors ou quoi ! Aboya-t-elle.

    Pour l'obliger à abdiquer pour le plan sadique mijoté malicieusement pour la fin de la soirée, Kalinka s'était armée d'un martinet. Elle se mit à en rudoyer les testicules tendus pour cause d'érection contrariée par la cage. Louis bondit tant sous la douleur que de surprise en ruant dans ses liens. Pendant un bon moment, elle s'amuse à fouetter ci et là sans aucune pitié pour son soumis.

    C'est le son de la sonnette qui mit un terme à ses souffrances. Il ne sut pas à ce moment là s'il devait s'en réjouir ou s'en inquiéter car être vu nu, encagé sous une chaise percée n'est pas l'idéal pour faire briller le vernis social d'un homme. Du salon, il reconnu une voix masculine, masculine certes mais inconnue. Son sang ne fit qu'un tour, même s'il Louis est habitué aux frasques diaboliques de sa Maîtresse. Les pommettes rouges de confusion, il ne put que se fondre tout au plus dans la table du salon, lorsque l'homme entra dans le dit salon des fesses-tivites.

    Cuckold soumis cocu

    Et là, la tête tournée en s'en démettre les vertèbres cervicales, il put apercevoir un homme roulant une pelle monumentale à sa Maîtresse accrochée à lui comme la misère sur le monde.

    En quelques minutes, cet homme lui apparu comme un « gros enculé » une « bordille » un enfoiré sadique de première, un conn.... pervers aussi diabolique que sa Maîtresse.

    - Bonsoir cocu, ravi de faire ta connaissance !

    Cet en..... se permit de demander à sa Maîtresse de s'asseoir sur la chaise afin que son soumis lui chauffe « la foune » et cela, en posant le pied sur son sexe encagé ! ! ! ! N'ayant d'autres choix que d'abdiquer pour cause de Maîtresse motivée et de pied sur les couilles, Louis agita donc son nez de cocu dans la dite « foune » qui ne tarda pas à migrer vers la couche conjugale lui étant interdite. (Louis dors dans le placard)

    Deux heures plus tard, et après des gémissements et cris de plaisir l'ayant rendu fou au point qu'un appel aux urgences psychiatriques aurait était nécessaire, Maîtresse Kalinka et son amant sortirent de la chambre pour venir lui faire part des plaisirs éprouvé et dont il avait déjà connaissance à la sonorité encore imprégnée dans les murs !

    Sans que cela souffrît discussion, Maîtresse Kalinka prit place sur la chaise en lui intiment l'ordre de lécher les restes de son amant. Le pauvre Louis dépité, hébété, fou de rage enfonça sa langue dans le vagin et bu l'abondante sève qu'il lapa avec conviction, malgré son dégout, sur les délicates parois pour son sexe interdites.

    Cuckold chaise percée maitresseLe doux nid d'amour savamment nettoyé resta en place à la demande de l'amant qui se permit d'aller chercher des flutes à champagne pour trinquer avec lui. En clair et comble de l'ignominie, l'amant trinqua avec sa Maîtresse en croisant les verres comme des amoureux et avec lui en faisant trinquer sa flute contre sa cage de chasteté ! ! ! ! ! Fou de rage et comme un exutoire, Louis lécha l'anus de sa Maîtresse et le pénétra avec sa longue langue de vipère prête à piquer telle une verge frénétique sans savoir que l'amant était aussi passé par là.

    Cette action rageuse provoqua chez Maîtresse Kalinka un petit Mistral, pardon un petit vent qu'il ne perçut pas perdu dans la fureur d'une tornade sentimentale faite de soumission et d'abnégation de soi.

    TSM

    Les photos de cette agonie de soumis cocu sont ici :

    http://www.fessestivites.com/fre/Article/21_Gynarchie-et-caudaulisme/albums/3303_Cuckold-l-agonie-d-un-soumis-cocu-PHOTOS.html

    La vidéo de cette agonie de soumis cocu est ici :

    http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/30_Cuckolding/1315_Cuckold-chastete-et-degustation.html

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