• Le cerveau de Lucy acquiert des pouvoirs quasi illimités.



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    Cette histoire n'a aucun rapport avec le film Lucy de Luc Besson qui est diffusée dans les salles de cinéma depuis le 6 août 2014 et que nous vous recommandons.

    La plupart des humains n'utilisent que 10 % de leur cerveau, mais suite à un accident de la route et aux électrochocs réalisés aux urgences pour faire redémarrer son coeur, le cerveau de Lucy a changé. Elle parvient à lire et entendre les pensées des personnes qu’elle croise et qui s’acharnent à la maintenir en vie puis à essayer de réparer les dégâts occasionnés sur son corps par un prédateur de la route roulant à 180 kilomètre heure au lieu de 90.

    Ce qu’elle entend dans leur cerveau est une véritable torture psychologique, « elle ne s’en sortira pas, si elle s’en sort elle sera un légume, ….. ». La médecine fait des prouesses tout comme le chirurgien tentant de sauver ses jambes. A près douze heures d’opération, Lucy se retrouve aux soins intensifs, où peu à peu, elle retrouve les sensations de son corps et surtout les douleurs. Elle est envoyée dans un centre spécialisé pour les graves accidentés de la route afin d’y suivre une rééducation fonctionnelle. Ne parvenant pas à parler, le personnel soignant se fit à ses réactions physiques pour tirer des conclusions.

    A la lecture de son dossier, l’infirmier Tony est convaincu que celle magnifique jeune femme ne parlera plus jamais et sera un « légume ». En grand pervers il profite de la situation lorsqu’il est chargé des toilettes pour laisser courir ses mains plus que de raison. Il pratique même la palpation de ses seins magnifiques en forme de poire n’ayant nul besoin de soutien-gorge lorsqu’elle se déplaçait. Autant dire que la toilette intime est un véritable calvaire pour Lucy percevant toutes les pensées lubriques de l’infirmier allant jusqu’à doigter ses orifices pour qu’ils soient « propres ».

    Une nuit, profitant de deux arrêts maladies dont un frauduleux, il se retrouve seul pour gérer une vingtaine de patients. Outre l’enfer de la situation et de la peur générée par les pensées du personnel soignant, Lucy subit un viol de la pire espèce, le viol d’une handicapée.

    SIX MOIS PLUS TARD

    Lucy a retrouvé l’usage de ses délicieuses jambes, elle marche encore avec des béquilles mais n’arrive pas à parler mais elle parvient maintenant à écrire. Devenant autonome pour les gestes de la vie quotidienne, les médecins estiment qu’elle peut rentrer chez elle et suivre les soins en externe.

    UN AN PLUS TARD

    Après des mois de galère, Lucy a retrouvé toutes ses facultés. Elle passe à l’hôpital pour remercier le personnel puis laisse une boite de chocolat avec une très jolie lettre à l’attention du chirurgien. A la suite de quoi, elle se rend au centre spécialisé pour les graves accidentés de la route pour remercier le personnel soignant en demandant à voir le prénommé Tony…..

    L’infirmier est mort de peur lorsque le directeur du personnel lui demande de venir dans son bureau pour revoir Lucy. Il s’attend au pire, à perdre son travail et à aller en prison. Rien de ce à quoi il s’attendait ne se passe, bien au contraire, Lucy tient à le féliciter et à dire à son chef que Tony par sa gentillesse, ses gestes et son écoute silencieuse a réussi à lui redonner envie de vivre et de se battre. Le directeur est aux anges, fier de son équipe il ne décèle rien et ne s’oppose pas à ce qu’il ait une discussion privée pendant laquelle elle lui donne son numéro de téléphone en lui indiquant qu’elle aimerait beaucoup le revoir avant de quitter rapidement les lieux en prétextant que son taxi l’attend.

    L’infirmier Tony croit rêver, une fille digne de poser sur les magasines de charme lui fait du rentre dedans malgré le fait qu’il l’ait violée !!! Il attribue cette absence des faits à une pathologie cérébrale et accepte deux jours plus tard une invitation au domicile de Lucy lui proposant une petite soirée dînatoire.

    Fier comme Artaban, avec une fierté poussée à l'extrême frisant l’arrogance, Tony se rend donc au rendez-vous fixé convaincu d’une soirée sexe hors norme. La belle le reçoit vêtue d’une robe courte très échancrée afin de mettre le feu aux neurones coquins de l’enfoiré qu’elle va briser sous peu. Parvenant à lire et entendre les pensées des personnes qu’elle croise, Lucy s’amuse à jouer avec son ex violeur en le provoquant juste ce qu’il faut pour qu’il ne perde pas pieds. Pendant l’apéritif, elle prétexte même d’avoir un problème pour masser le bas de son dos et lui demande, lui qui l’a connue nue, s’il acceptera de lui passer une crème et de lui faire un massage, chose qu’il accepte avec un sourire ravi. S’il savait ……

    Pendant le repas, Lucy s’amuse à le faire parler de ses fantasmes, qui n’en a pas lui dit-elle, puis à jouer de ce qu’elle entend dans la tête du pervers pour l’emmener à se confier en guidant ses pensées. A la fin du repas copieusement arrosé au champagne, elle insiste pour lui faire goûter le rhum planteur qu’elle fait elle-même, en lui disant qu’un homme aussi fort que lui ne peut qu’apprécier. L’alcool masquant le GBH (Drogue du violeur) qu’elle est parvenue à se procurer, l’infirmier boit et prétexte dans sa crise de modestie savourer le breuvage même s’il lui fait mouiller ses yeux, pour l’instant d’une façon naturelle…..

    Quelques minutes plus tard, il perd de sa superbe puis s’arrête de parler, l’oiseau est pris au piège. Lucy prend son temps pour lui retirer son pantalon en le faisant rouler sur le canapé-lit qu’elle vient d’ouvrir. Elle place un coussin sous sa tête, non pas pour une question de confort mais pour que l’on voit bien son visage quand elle va faire des photos compromettantes. De son frigo elle sort des carottes, une courgette et du beurre comme lubrifiant avant de prendre la papier qu’elle a préparé bien à l’avance en rêvant de cet instant.

    Pour que l’on ne reconnaisse pas son intérieur, elle tend des draps autour du canapé qu’elle recouvre également avant de s’occuper de son violeur. Sur les photos qu’elle prend, on voit l’infirmier avec les légumes plantés dans l’anus puis le papier posé bien en évidence où l’on peut lire « cul disponible pour toutes et tous » puis son numéro de téléphone. A l’hôpital cela va faire jaser…..

    Les photos réalisées, elle écrit « cul disponible pour tous » au feutre sur le dos de son violeur avant de lui enfiler une culotte en dentelle achetée au marché puis des bas résilles. Après avoir refait une série de photos, elle lui enfile son pantalon, remets ses chaussures puis l’aide à se lever. Le faire marcher jusqu’à sa voiture est difficile mais elle y parvient et l’installe sur le siège arrière.

    Dix minutes plus tard, elle est en route vers « le bois » avec ses accessoires dans le coffre. La vengeance va être terrible.

    La suite est ici
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  • Travesti pute violée 1

     

    Julie, travesti, rêve qu'on l'oblige à faire la pute, d'être obligée de se faire prendre par des mecs. Elle propose ses services sur des sites de rencontres en indiquant "pute gratuite et soumise à votre service". Dans ses fantasmes, elle serait drivée par une Maîtresse aussi intraitable que sévère.

    En rencontrant Maîtresse Sad, elle ne se doute pas que ses fantasmes seront réalisés bien au-delà de ses espoirs et qu'elle va connaître l'enfer sur terre et non pas un simulation ou un jeu de rôle.

    - Quelles sont tes expériences sexuelles et de pute ? Demande Maîtresse Sad lors de leur première rencontre.

    - En plus de mes rencontres, j'ai fait plusieurs fois les parkings de l'autoroute et je me suis déjà offerte deux fois en club gay.

    - Tu aimes te faire défoncer et que l'on te force ?

    - Oh oui Madame.

    - Sache que si je te prends comme soumise sexuelle, avec moi tu vas vivre de grandes choses mais aussi que je suis particulièrement sévère. Quand je punis, ce ne sont pas de petits jeux BDSM ou une simple fessée, mais de véritable sanctions physiques ou psychologiques. Personne n'aime mes punitions mais grâce à cette façon de faire, les soumis dont je m'occupe progressent dans leur soumission. L'acceptes-tu ?

    - Oh oui Madame.

    - Que nous soyons bien claire entre nous, si tu veux entrer à mon service, je te veux intégralement lisse, chaque poil trouvé sera l'objet d'une sévère punition. A cela je veux que tu prennes des hormones pour faire pousser tes seins, que tu ais une véritable chevelure, les perruques c'est pour les TV d'un soir, puis que tu passes chez une esthéticienne que je vais t'indiquer. Elle t'apprendra à te faire belle, le prix de ses prestations est évidement à ta charge. Je veux aussi une obéissante totale et sans condition ou négociation. Es-tu réellement prête à accepter tout cela ?

    - Oui Madame, toute vos exigences sont ni plus ni moins que ce que je cherche à vivre depuis des années. Testez-moi, je ne vous décevrai pas.

    - Te tester, bien voyons et t'offrir un moment de plaisir, c'est cela ?

    - Non Madame, je suis vraiment décidée à vivre cette vie de soumise et de pute, je ne cherche pas des séances.

    - Et bien nous allons faire un test puisque tu es si sûre de toi. A poil tout de suite !

    Julie a honte de son corps d'homme, se mettre nue devant quelqu'un est une épreuve, mais pour gagner la confiance de Maîtresse Sad elle s'exécute aussitôt en retirant ses vêtements. Pendant cet effeuillage rapide, Sad se rend à une de ses armoires pour prendre un gros plug et du Wasabi en pot, un piment japonais très fort qu'elle achète dans une boutique asiatique.

    - Je veux voir si ton cul est à la hauteur de tes prétentions. Mets ce plug dans ton cul avec mon wasabi en guise de lubrifiant.

    Cette exhibition sans préparation psychologique perturbe profondément Julie, encore une fois elle prend sur elle pour réaliser ce qu'il lui est demandé. Lorsqu'elle lubrifie son anus avec la pâte onctueuse, la sensation de chaleur est quasi immédiate, cela brûle un peu. Maitresse Sad mime l'impatience, Julie aux abois malgré maintenant la sensation de brûlure, s'acharne pour faire entre le gros plug en son fondement.

    - Tu es trop longue, je vais te motiver un peu. Lui indique Maîtresse Sad en quittant son trône pour venir étaler du wasabi sur le gland de Julie blême.

    La bite et le cul en feu, Julie se désespère de ne parvenir à absorber le plug, les yeux fermés pour se concentrer, elle ne peut voir Maîtresse Sad saisir un fouet court. Un sifflement aussitôt suivi d'un trait de feu sur les fesses de la travesti se déhanchant sans pudeur pour réaliser sa mission arrache un cri à Julie puis génère la contraction de ses fesses. Le plug rejeté tombe sur le sol, Maîtresse Sad lui ordonne de le remettre et de se presser si elle espère une récompense et entrer à son service. Ce test d'entrée est très difficile et douloureux mais Julie s'investit totalement pour ne pas manquer cette chance. Maîtresse Sad saisit un tabouret, force la travesti en perdition à s'asseoir puis, sans même la prévenir, lui appuie fortement sur les épaules. En franchissant les sphincters en feu, le plug arrache un cri de douleur à Julie à deux doigts de toute arrêter.

    - Bien, je suis fière de toi, branle-toi tu as trois minutes pour jouir dans ta main. Ordonne Maîtresse Sad en attrapant les tétons masculins qu'elle fait rouler sous ses doigts qu'elle utilise rapidement comme des pinces tactiles dont les ongles acérés sont des plus cruels.

    Pour Julie, se masturber est un véritable soulagement pour son gland lui permettant d'apaiser les sensations de brûlure du wasabi. Parvenir à la jouissance dans ses conditions lui est très difficile, Maîtresse Sad lui offre ses doigts à lécher avant de lui fourrer dans la bouche pour bien asseoir sa domination. Quelques gifle plus tard, Julie finit par éjaculer dans sa main comme demandé.

    - Puisque tu te dis "pute" tu te dois de bouffer du sperme non ? Lèche tout ! Crie Maîtresse Sad devant la moue de Julie.

    Cette dernière fait encore un effort et s'exécute malgré son dégoût.
    ...................................

    Félicitée pour ce test, Julie est ravie, bien qu'un peu inquiète par la rigueur extrême et la fermeté de cette dominatrice enjôleuse ayant accepté de la prendre à son service. Maîtresse Sad lui a imposé de porter une cage de chasteté, un modèle spécial à acheter sur ABCplaisir puis lui a indiqué une liste de médicaments et comment les trouver pour s'hormoner sans délai.

    Pendant trois mois, à raison d'une séance tous les quinze jours, Julie se rend chez sa Maîtresse. Les rencontres sont difficiles, dures parfois, mais elle peut y vivre sa soumission et se sentir totalement femme. Intégralement lisse, Julie se rend chez Maîtresse Sad le vendredi soir à 18 heures comme convenu pour un long week-end. Le lundi étant férié elle est aux anges, elle va pouvoir passer trois jours en compagnie de sa Maîtresse. Dès son arrivée, une tenue spécifique l'attend dans la petite chambre qui lui est attribuée. Avant même de se maquiller comme demandé, Julie très curieuse se précipite sur les vêtements, un gros corset de cuir, un porte-jarretelles, des bas puis une jupe ultra courte sont étendus sur le lit avec des escarpins noir.

    Dans la tête de Julie, le week-end s'annonce bien rien que pour cette tenue, si elle savait qu'elle va vivre un enfer, elle ne se réjouirait pas autant et prendrait ses jambes à son cou.

    Maquillée, pomponnée, elle se présente à sa Maîtresse une demi-heure plus tard. En constatant qu'un homme au profil de videur de bas quartier est assis auprès d'elle sur le canapé, Julie s'inquiète. Elle s'approche, fait une révérence puis vient se mettre debout, mains dans le dos jambes écartées à côté d'eux, la position d'attente "d'une bonne soumise" lui a indiqué sa Maîtresse lors des séances de formation.

    - Je te présente Julie, une petite pute prête à se faire baiser et à sucer sur simple demande. Pour sa première sortie, je pense qu'il faudra l'attacher car elle est quand même un peu rebelle, dit Maîtresse Sad à la personne assise à côté d'elle, avant de se tourner vers Julie. Va t'allonger sur le dos jambes écartées sur la table de mon salon, il faut que je te prépare.

    Julie s'exécute aussitôt, s'installe comme demandé sur la table en se posant mille questions. Maîtresse Sad arrive quelques minutes plus tard, lui retire sa cage de chasteté puis passe une lingette sur le sexe mou parfaitement imberbe. Sad entreprend alors de recouvrir son bas ventre avec un large ruban adhésif noir, puis entreprend de faire entrer les testicules dans le bas ventre à la place où elles étaient avant la naissance. La chose se fait sans douleur, Maîtresse Sad ayant l'expérience du tuking.

    Les précieuses masquées, pour qu'elles ne ressortent pas, elle ajoute de nouvelles bandes d'adhésif noir avant de poser un pénilex qu'elle dirige entre les jambes de Julie. Pour parachever la transformation visuelle, Maîtresse Sad termine par la réalisation d'une culotte avec des bandes de ruban adhésif bien ordonnées pour qu'il y ait une certaine élégance dans cette transformation. Autorisée à mettre la main entre ses jambes, Julie n'en croit pas ses yeux ni ses doigts, son sexe masculin a disparu !

    LE TUCKING EXPLICATION ICI
    http://forums.fessestivites.com/travestissement/le-tucking-t1884.html

    - Bien, maintenant que tu es prête, tu vas pouvoir vivre tes rêves de pute, mais sache que si je prends plaisir à te préparer à la réalisation de tes fantasmes, je prendrai plaisir à te massacrer au moindre manquement. Me fais-je bien comprendre ?

    - Oui Madame !

    - Alors en route !

    Julie est heureuse, comblée, comme sur un petit nuage quand, avec un gros collier et une laisse elle trottine derrière sa Maîtresse et l'inquiétant inconnu. Si elle savait qu'elle vient d'entrer dans un des plus dangereux réseau de prostitution, elle sauterait de la voiture en marche mais il est trop tard, elle rêve.

    La suite est ICI mais attention c'est réellement extrême et réservée à un public averti.

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  • Viol BDSM dans les caves


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    La fantasme du viol, du sexe sous la contrainte anime les pensées coquines de Christine depuis des années. Lorsqu'un soir après avoir un peu abusé du champagne elle en parle à son ami, il lui expose que de faire l'amour attachée et de vivre même un pseudo viol n'est pas du tout la même chose. Il insiste même en lui parlant de traumatisme psychologique possible après une telle aventure. En guise de réponse, Christine s'approche de lui, prend sa main et la guide sans aucune gêne vers son entrejambe pour lui permettre de constater qu'elle est trempée rien que d'en parler.

    Lorsqu'il essaye de creuser, elle va encore plus loin et lui parle des vidéos Hard et abus qu'elle regarde sur Fessestivites. Bien qu'elle soit franchement alcoolisée, il lui propose de le réaliser histoire de délirer un peu une sorte de viol où elle serait la victime de sadiques. Complètement en décalée, et sans mesurer les conséquences de ses propos, elle accepte et se jette sur le pantalon de son ami pour l'ouvrir et en dévorer le contenu. Ce soir là, Christine est déchaînée, elle est à la limite de la mante religieuse quand ils font l'amour.

    Si la veille elle s'est laissée aller à des folies, le lendemain, après que les effluves du champagne soient éliminées, elle s'inquiète un peu et se demande si elle n'est pas allée trop loin. Trois jours plus tard, Paul lui propose de réaliser ce dont ils ont parlé. Elle hésite un peu, rougit mais finit par accepter les règles qu'il lui fixe : une fois commencé, tu n'auras aucune possibilité de fuite.

    Le rendez-vous est fixé un samedi soir dans les caves de l'immeuble d'un des amis de Paul où il a tout préparé. Christine doit s'y rendre seule, descendre dans les caves et s'appuyer contre un mur et l'attendre. L'ambiance de la cave la grise même si elle a peur, elle se traite mentalement de folle mais la confiance totale qu'elle porte à son Maître d'Amour lui donne des ailes.

    Après l'avoir laissée mariner un moment, il pénètre en silence dans les couloirs sombres et humides. Dès qu'elle le voit, ses craintes s'envolent, elle lui sourit mais il joue le jeu défini au départ. Attrapée par les cheveux et plaquée contre un mur couvert de salpêtre, elle se laisse tripoter en suppliant par principe même si ces mains lui ont déjà donné tant de plaisir. Forcée à s'agenouiller, elle résiste un peu par principe quand Paul décide de lui imposer une fellation. Si la chose convenait pleinement à Christine excitée comme une puce, l'arrivée d'un autre homme lui glace le sang. Paul quant à lui ne réagit pas et continue de forcer sa bouche comme si de rien n'était.


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    Soudain un troisième homme arrive, les choses vont très vites. Sa tête est repoussée, on lui enfile une cagoule, on la soulève pour la transporter dans les couloirs. Là Christine a vraiment peur, cela ne correspond pas à ce qu'elle s'était imaginé. Les hommes la touchent sans aucune gêne, lui imposent de sucer leur queue, Christine ne sait plus quoi penser. Prise dans une forme de tournante, elle cède parce que Paul fait partie des hommes qui la bousculent, entendre sa voix est la seule chose qui lui permet de ne pas faire une crise de nerf. Soudain les hommes lui retirent ses vêtements, elle essaie de résister mais en vain, en quelques secondes elle est nue, plaquée contre une caisse, on lui attache les mains dans le dos.

    Quand Christine sent un sexe fouiller son intimité, elle est blême, elle comprend qu'elle va réellement y passer, que Paul lui a monté le plan prévu mais avec du monde en plus. Prise debout penchée en avant, elle pousse un "ah" de douleur car la pénétration était des plus rapide. Sa bouche est forcée par un deuxième homme pendant que Paul lui tient la tête pour qu'elle ne le fuit pas. En quelques minutes, elle n'est plus qu'un pantin de chair passant de main en main et de sexe en sexe. Quand l'un d'eux mouille sa petite porte elle comprend que rien ne lui sera épargné. Même si elle apprécie la sodomie, être prise ainsi par des inconnus la gêne monstrueusement. Ce qu'elle voulait c'est que Paul la viole, pas qu'il invite des copains pour la violer avec lui.

    La nature étant ce qu'elle est, grâce à la présence et aux mots volontairement grossiers de Paul, elle commence à s'abandonner au plaisir de l'amour brutal. Ils n'ont plus besoin de forcer sa bouche, elle "gobe" les verges se présentant à sa bouche avec une certaine conviction.

    Etant adepte de bondage et de shibari, Paul entreprend de l'attacher puis de la suspendre jambes écartées au dessus d'une petite banquette emmenée pour la circonstance. Un des hommes s'allonge sur celle-ci et donc sous Christine puis la sodomise sans plus de préalable. Quand elle voit arriver le second homme avec sa verge bandée à la main, elle comprend aussitôt leurs projets de double pénétration. Tel qu'elle est suspendue, les hommes n'ont plus qu'à la faire se balancer pour la pénétrer profondément. C'est le moment que Paul choisit pour venir lui donner sa verge à sucer en lui indiquant : "maintenant que tu es prise par les trois trous éclate-toi salope."


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    - Allez les mecs, on lui fait la misère pour la faire chanter, feu à volonté.

    S'il lui a indiqué "éclate-toi" le mot est faible par rapport à ce qu'elle vit, à ce qu'elle ressent. Son cerveau ne sait plus où donner des neurones tant elle décolle. La position diabolique qu'il lui a imposée avec son shibari de malade fait d'elle une marionnette sexuelle sans défense, livrée en pâture à des bites qui la rendent folle. Passant de mains en mains, de sexe en sexe bien souvent au pluriel Christine est terrassée par des jouissances paroxystiques d'un autre monde et d'une puissance insoupçonnée. Elle n'est plus qu'un corps en quasi perpétuelle jouissance et hurlant de plaisir.

    Quand Paul la délivre de la suspension pour la mettre à genoux mains liées au-dessus de sa tête, les entraves ne servent plus à rien, elle est totalement prête à donner sa bouche pour remercier les priapes l'ayant rendue folle. Les mecs se branlent autour d'elle, dirigent leur verge sur son visage pour l'inonder du sperme longuement contenu pendant ce pseudo viol.

    En pleine crise de bonheur, Christine les remercie, approche sa bouche pour embrasser leur verge comme si elle câlinait le gros nounours qu'elle garde encore à la tête de son lit.

    Les hommes partis, Paul l'aide à enfiler ses vêtements avant de la charger sur son épaule pour la reconduire comme un sac de pomme de terre à la voiture. Sur le siège elle fond en larmes pendant le trajet, mais Paul n'a aucune inquiétude, ce ne sont pas les larmes du malheur ou de la honte, mais bien celles d'une femme heureuse évacuant le trop plein de sensations. Elle lui murmure des "je t'aime" entre deux crises de larmes jusqu'à la maison où sur la couche conjugale, ils s'endormiront enlacés sans même se doucher.

    Ecrivaillon


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  • Bienvenue en enfer après Dragon 2

    Bienvenue_en_enfer_02.jpg

    Information de l'auteur : ce récit érotique Hard en deux chapitres n'est pas à mettre entre toutes les mains. Il est déconseillé aux non initiés à cette littérature de lire ce texte.

    TSM

    Lucie sort du cinéma à 23 heures, elle vient de voir Dragon 2 un film de Dean DeBlois un Film d'animation‎‎ exceptionnel. L’animation est splendide et la 3D géniale favorise l’immersion lors des scènes de vols à dos de dragon dans des décors pleins de vie, fourmillant de détails qui forcent l’imagination. Elle le voit à UGC Ciné-Cité Bercy 2 à Paris, dans le douzième arrondissement.

    La tête pleine d'images, elle marche tranquillement sur les trottoirs rue des pirogues de Bercy lorsque soudain, la porte d'un van s'ouvre à son passage. Elle est aussitôt happée à l'intérieur, un bras la ceinture fortement un gros tampon de chloroforme posé sur sa bouche et son nez ont rapidement raison de sa résistance. En quelques secondes elle n'est plus qu'un pantin de chair. Un homme descend du véhicule, fume une cigarette comme si de rien n'était pour observer les alentours,puis rassuré, décolle les autocollants posés sur les plaques d'immatriculation. Lucie, une très belle fille âgée de 21 ans, est installée sur le siège avant, les deux hommes lui mettent la ceinture de sécurité, vide sur elle un bouteille de vin, avant de prendre la route. Avec ses précautions, s'ils subissent un contrôle de police, les agents comprendront à l'odeur que leur amie est effectivement saoule. Le passager fouille son sac à main à la recherche du téléphone portable dont il retire la batterie pour éviter tout repérage.

    Le van quitte l'autoroute à Senlis, traverse la forêt, Creil pour s'enfoncer dans les terres, dans cette région, la lune éclaire le paysage fait de champs de betterave et de pomme de terre. Arrivé dans une ferme isolée, elle est extraite du véhicule pour être portée comme un sac de patate dans un gigantesque hangar. L'air frais la réveille, il lui faut quelque secondes pour réagir, se rendre compte qu'elle est portée, que quelque chose ne va pas. Elle s'agite, commence par demander ce qu'il lui est arrivée avant de demander à ce qu'on la pose. Même avec la tête embrumée, l'absence de réponse et la situation, lui font comprendre qu'il y a vraiment quelque chose ne va pas.

    - Lâchez-moi ! Je… vous… en prie… Supplie Lucie

    En guise de réponse ses poignets sont retournés dans son dos et liés sans douceur , elle se contorsionne pour échapper à l'étreinte sauvage de l'homme qui la tient mais en vain. Lucie est traînée en suppliant et en secouant la tête comme une folle pour dire non sous un crochet auquel ils entravent son cou avec une chaîne. Terrassée par la peur, tétanisées par l’horreur de la situation elle n'ose plus bouger, parler. Un des hommes téléphone, pendant que l'autre installe face à elle un fauteuil de bureau et une tablette à côté sur laquelle il pose une bouteille de whisky et un verre.

    Un gros 4X4 BMW entre dans hangar quelques minutes plus tard, l'immense portail est aussitôt refermé derrière elle. Un homme vêtu d'un costume trois pièces en descend, pour s'installer confortablement dans le fauteuil sans plus d'attention pour elle qu'un simple objet. On lui tend le sac à main de Lucie qu'il ouvre et fouille sans vergogne sous les yeux horrifiés de Lucie.

    - Oh, cette étudiante en droit nous vient du pays du soleil et du bon vin, Château neuf du Pape pour être précis. Mademoiselle, vous allez rapidement constater qu'ici vous allez pouvoir rapidement vous rendre compte que le contenu de vos cours ne vous servira à rien. Que font vos parents ?

    Dans un sursaut d'énergie, Lucie répond que son père et viticulteur avant de s'énerver et de leur ordonner de la libérer sur le champ. Devant leurs sourires amusés par sa requête, elle craque s'énerve, hurle puis les insulte.

    - Hmm ! Je suis sûr que cette fille va nous faire passer d’agréables moments ! On va faire de toi une " Cocotte du Rhône" bien soumise, une vraie pute de luxe. Je te conseille de me parler autrement si tu ne veux pas finir aux assises de l'enfer des filles.

    Devant cet humour déplacé, Lucie craque, de sa jolie bouche un flot d'insultes surprenant sort en paquet, elle tire sur ses entraves comme une forcenée.

    - Tu veux qu'on te libère ? Pas de souci, libérez les poignets, on va s'amuser un peu. Indique Monsieur Arès, un nom Grec totalement adapté à sa cruelle personnalité.

    Le temps qu'ils libèrent ses poignets, il va à sa voiture chercher son fouet de dressage, une chambrière de deux mètres cinquante de long qu'il manie à merveille lors du dressage de ses chevaux. Un claquement aussi violent qu'un coup de feu sonne dans le hangar, faisant bondir Lucie de peur.

    - Tu vas danser pour nous,….. sans tes vêtements évidement, cela sera plus érotique.

    - Allez vous faire foutre ! Hurle Lucie de rage en tirant sur la chaîne accrochée à son cou.

    - Voici un bien joli petit poisson que je vais faire frétiller et qui d'ici quelques minutes se fera un plaisir d'exécuter mes ordres. Je veux que tu nous fasses un beau streep-tease tu as une minute pour commencer de façon élégante.

    Lucie n'arrive pas à admettre ce qui lui arrive, ce que l'on attend d'elle et ne peut s'y résoudre. Elle est bloquée, sa gorge reste sans voix. Soudain, un trait de feu assortie d'un clac sonore aussi violent que la douleur ressentie sur ses cuisses la fait bondir et se vriller sur elle même.

    - Prend ton temps, tu es aussi très jolie quand tu as mal.

    Son très joli visage délicieusement cerclé par une magnifique chevelure blonde est défait. Ses yeux libèrent des flots de larmes entraînant sur leur passage un maquillage léger devant maintenant des rus disgracieux sur ses joues. Lucie pose ses mains sur les boutons de son chemisier pour entreprendre ce qui lui est demandé mais ses doigts ne parviennent pas à défaire le moindre bouton. Un second coup de fouet, aussi violant que le premier lui arrache un cri de bête que l'on égorge. La douleur est telle qu'elle frotte avec énergie l'intérieur de sa cuise, sans même penser que son geste dévoile sa petite culotte.

    - J'ai dit à poil ! Aboie l'homme au fouet avec un sourire sadique posé sur les lèvres avant de ponctuer son ordre par un coup de fouet ultra sonore donné dans les airs.

    Lucie entreprend aussitôt d'ouvrir les boutons de son chemisier, elle trouve même qu'ils ne vont pas assez vite pour les défaire. Elle le jette à même le béton pour entreprendre aussitôt la fermeture de son soutien-gorge. La jupe est retirée aussi vite, elle ne veut plus souffrir. Lorsque ses doigts se posent sur son string, ils semblent s'arrêter, ne pas vouloir.

    - J'ai dit à poil !

    L’ordre impératif l’électrise à nouveau, les connections psychologiques ne semblent plus vouloir se faire, d'un côté il y a la barrière de la pudeur, de l'autre la peur de souffrir encore, que faire ? Que faire quand votre tête commande et que vos doigts refusent ? Un nouveau claquement de fouet la fait bondir, elle fait descendre son string comme quelqu'un qui se jette à la mer avant de mettre ses mains devant pour masquer son triangle intime entièrement épilé.

    Cette nudité presque juvénile attise les idées perverses de ses ravisseurs, Monsieur Arès interpelle un de ses hommes de main, murmure quelque chose à son oreille avant de s'installer dans son fauteuil et de prendre son verre. Le crochet du treuil électrique se met à monter et à tirer sur la chaîne de son cou. Dans un moment comme celui là, le geste réflexe est de mettre ses mains à son cou, Lucie n'y pense même pas quand elle dévoile sa plus tendre anatomie en portant les mains sur la chaîne qui l'étrangle.

    Son ravisseur s'approche d'elle pour entreprendre d'apprécier la qualité de sa prise. Ne me touchez pas ! Sanglote Lucie mais bien au contraire, l'homme se met à lui palper sa poitrine quasi juvénile mais bien formée des deux mains pour la malaxer sans vergogne. Lucie claque des dents de peur, quand les mains commencent à courir sur ses épaules, ses fesses rebondies avant de s'insinuer entre ses cuisses. D’un geste rapide, il fouille l’entrejambes de la jeune femme qui se mord les lèvres sous l’intrusion des doigts qui s’insinuent en elle.

    - Je t'explique ma belle, tu es en formation pute soumise depuis ce soir, je vais t'apprendre l'humilité et à donner du plaisir aux hommes. Quoi qu'ils désirent dans quinze jours tu t'exécuteras comme une bonne pute doit le faire. Celles qui résistent paient chèrement le prix de leur résistance, tu le découvriras bien vite, on ne résiste pas à Monsieur Arès.

    Lucie serre maladroitement ses cuisses pour protéger son pubis et sa vulve mais l’homme saisit une de ses jambes qu'il soulève d'un geste rapide. Déstabilisée, elle s'accroche à la chaîne pour ne pas s'étrangler totalement pendant qu'il fouille sa chatte et sa raie des fesses pour apprécier la souplesse de son passage secret.

    Monsieur Arès aime tester ses nouvelles recrues, ses hommes savent qu'ils n'ont pas le droit d'y toucher tant qu'il ne leur donne pas le feu vert, aucun d'entre eux, grassement payé mais aussi mené d'une main de fer ne s'aventurerait à abuser d'une fille sans permission. D'un geste il fait comprendre à ses hommes de descendre le treuil et de lui bloquer les bras.

    - Je t'explique gentiment ce qu'il va se passer. Tu vas me sucer avec conviction, ensuite je vais te baiser. Si tu t'appliques et si tu ne te rebelles pas, il n'y aura aucune douleur mais si l'envie de prend de me résister, tu vas découvrir l'enfer sur terre.

    Il l'attire à lui brutalement puis plaque les lèvres contre les siennes et l'embrasse avec violence avant de la repousser pour attraper son fauteuil où il s'installe en ouvrant son pantalon. Le sol semble se dérober sous les pieds de Lucie comprenant totalement ce qui est attendu d'elle pendant qu'ils lui lient les poignets avec des barres et plaques de métal. Ses poignets entravés sont ensuite reliés à la chaîne de son cou, le métal froid et la peur la font grelotter. Attrapée par un téton rudement pincé, elle n'a pas 'autre choix que de s'agenouiller devant "la chose" bandée.

    - Suce moi petite pute, savoure l'auguste membre qui dans un moment te fera chanter. Si l'idée te venait de mordre, sache que je réserverai une punition de première ordre à ton clitoris si je ne te le coupe pas.

    Cette menace d'ablation traumatise Lucie convaincue que son bourreau en est totalement capable. La mort dans l'âme, elle avance sa tête qu'il saisit aussitôt pour lui faire absorber son membre gorgé de désir. La main ferme sur sa nuque la guide dans le mouvement, puis une fois que le rythme est réglé à sa guise, la main caresse la chevelure soyeuse d'une grande douceur. Prestement repoussée comme un vulgaire objet, Lucie est relevée par la chaîne, il l'oblige à s'agenouiller sur son fauteuil avant de fouiller entre ses cuises.

    - Tu es très bandante toi, je vais te baiser de suite tant tu me donnes des envies, salope !

    Prostrée et en pleurs elle se laisse prendre sans rien pouvoir faire pour se dérober à l’intrusion de cette bite profanant son intimité aux chairs si délicates. Ses poignets sont agités de vaines contractions, elles rythment le martèlement sauvage pendant que sa magnifique poitrine est ballottée au gré des coups de butoir. Elle se met à crier et pleurer, une claque monstrueuse sur la fesse lui impose le silence pendant que le sexe ravageur la pénètre avec violence. Des larmes inondent son visage, elle se met à haleter pendant ce rut sauvage, un frisson lui parcourt la colonne vertébrale lorsqu'elle l'entend grogner de plaisir. Sans aucune gène ni même se poser des questions sur sa contraception, il pollue son ventre en se collant fortement contre elle pour y déverser sa semence.

    L'affaire faite, sans être libérée de ses entraves Lucie est conduite vers une gigantesque cuve en béton armé. Une trappe presque aussi grande qu'une porte est dévissée, on la pousse à l'intérieur où elle découvre une femme nue blottie contre la paroi. La trappe aussitôt refermée, elle s'effondre à même le sol où elle vide ses yeux de grosses larme de désespoir. La fille s'approche d'elle, la couvre d'une couverture puis lui caresse la tête dans un hypothétique espoir de la réconforter.

    Lorsqu'elle est un peu apaisée, Lucie parvient à parler, à poser des questions dont les réponses lui glacent le sang. La fille, prénommée Magali, est ici depuis au moins quinze jours et que sa vie n'est plus qu'un enfer. Elle se met à pleurer en racontant qu'elle a été elle aussi violée et fouettée x et x fois. Que dans sa formation, ont lui apprend l'obéissance absolue aux désirs des hommes. Quand Lucie demande comment elle fait pour ne pas craquer, Magali lui répond qu'elle n'a pas le choix, et qu'hélas, elle commence à s'habituer à faire tout ce qui lui est demandé pour ne pas souffrir inutilement.

    Magali lui raconte que l'on s'habitue à être prise par "tous les trous" comme ils disent. Quelle a déjà eu plus d'une douzaine de client, enfin plutôt des gens qui viennent pour s'amuser et contribuer à sa formation.

    - Tu verras en journée on finit par s'y habituer, le plus dur c'est quand l'envie leur prend le matin de bonne heure avant d'aller aux champs. Surtout ne résiste pas, ne te rebelle pas cela ne sert à rien, Arès aime punir et faire mal, il s'éclatera à casser ta résistance, prend sur toi et endure où tu vas souffrir.

    La nuit de Lucie, couchée sur une simple couverture jetée à même le sol dans une cuve en béton, est une nuit horrible peuplée de cauchemars. Elle sait que devant elle s’ouvre une existence bien difficile dans laquelle son corps est devenu une valeur négociable, qu'elle a tout perdu, l’honneur, la dignité, le respect, et même moins de valeur qu’une prostituée qui peut refuser un client trop brutal ou sale. Entre deux cauchemars, elle fait un rêve, la police et les pompiers la tirent de là, son père et sa mère lui tendent les bras.

    En guise de petite déjeuner, vers six heures, la trappe s'ouvre, Arès entre, baisse sa braguette pour en extraire son sexe avant de lancer d'un air amusé : allez petit pute Lucie, c'est l'heure de ton biberon.

    Prise par la rage et le désespoir, Lucie se lève puis fonce tête baissée dents en avant vers son bourreau avec la ferme intention de le "bouffer". En voyant ça, Magali ferme les yeux en se blottissant contre la paroi car elle sait qu'il va y avoir un carnage. La fille d'avant qui a fait ça est revenue totalement démontée avec un visage tuméfié et des tries sanguinolentes sur tout le corps. Arès habitué au rébellion esquive la tête frêle aux dents acérées pour simplement la diriger vers la sortie. Lucie surprise s'étale de tout son long sur le béton sans rien pouvoir faire pour se protéger dans sa chute. La trappe est aussitôt refermée sur Magali qui ferme les yeux et pleure à l'idée de ce que la petite nouvelle va prendre.

    Attrapée par les cheveux, Lucie est prestement relevée, conduite à l'extérieur par Arès elle est jetée à même la boue du parking où elle s'étale une seconde fois. Pendant qu'elle supplie et pleure, il saisit sa chambrière qu'il fait aussitôt claquer sur elle. Pour éviter les coups, Lucie roule sur elle même dans la boue, elle essaye de se lever pour courir mais une chambrière c'est long, puissant, cela coupe les jambes frêles qui essayent de courir.

    - Je ne m'arrêterai que quand tu viendras lécher mes bottes sale pute ! Crie son bourreau.

    Chacun des coups porté fait mouche sur l'épiderme de Lucie qui hurle maintenant en se contorsionnant de douleur. Très méthodiquement il choisit les zone où il va frapper, il les lui annonce même, c'est sa touche de sadisme, sa marque personnelle. La cuisse gauche, la droite maintenant, oh, ta jolie fesse gauche n'est pas encore marquée, ....... Ces annonces sadiques sont systématiquement accompagnées de grandes souffrances puis de la même phrase : "je n'arrêterai que quand tu viendras lécher mes bottes. Percluse de douleurs, Lucie abdique, supplie et se précipite aux pieds de son bourreau où sans même réfléchir elle baise les bottes boueuse de toute ses forces pour ne plus souffrir.

    - Tu va être punie pour ça, mais cela fait aussi partie de ta formation. Lui dit Arès en l'attrapant par les cheveux pour la reconduire dans le hangar vers une aile qu'elle ne connaît pas encore : le silo.

    Une trappe métallique est ouverte et poussée à l'intérieur, Lucie tirée par les cheveux supplie, s'excuse, demande pardon en pleurant. Ces suppliques excitent son bourreau qui attache les entraves de ses mains à un crochet qu'il fait remonter. Les poignets dans le dos en remontant obligent Lucie à se pencher en avant et à offrir ses fesses, plus il fait monter les poignets, plus la barre métallique reliée à son cou lui fait baisser le tête. Qu'elle ait le cul plein de boue ne pose aucun problème à Arès qui est maintenant monstrueusement excité. Il sort son sexe gorgé de désir, fouille entre les lèvres féminines à la recherche de la faille qu'il trouve sans trop de difficulté et force d'un seul coup. Lucie n'est plus qu'un pantin de chair livrée aux envies de coït sauvage d'une brute dans coeur ni âme.

    La pénétration est si violente qu’elle ne parvient pas à reprendre sa respiration. La chaîne de son cou l'étranglant à moitié, des mouches passent devant ses yeux fermés, si elle n'était pas attachée elle s'écroulerait. Cruellement pliée en avant elle ne peut rien faire pour essayer d'atténuer les pénétrations aussi sauvages que profondes. Comme la veille, Arès se vide en elle en lui disant qu'elle est bonne, que ce soir il testera sûrement son cul d'abeille.

    - J'ai soif s'il vous plait, donnez-moi à boire.

    -Tu ne le mérites pas mais j'ai quelque chose pour toi. Ouvre la bouche lui répond Arès avec un sourire pervers posé sur les lèvres. Si tu le fais tomber avant ce soir, tu seras à nouveau fouettée.

    En guise d'eau, il ramasse un caillou qu'il lui met dans la bouche en lui conseillant de bien le lécher, cela aide quand on à soif.

    Avant de quitter les lieux, il descend un peu le treuil pour qu'elle ne s'étouffe pas, ce serait con de tuer une aussi belle proie qu'il vendra bientôt une petite fortune à son client amateur de chair fraîche, un politique milliardaire grand consommateur...... puisqu'il consomme au bas mot, une fille par mois.

    Lucie n'a guère d'aisance ni de choix dans les positions, à genoux mais cela tire sur ses poignets, ou la position penchée en avant qui ne permet pas de se reposer non plus. Arès éteint l'ampoule suspendue et referme la trappe du silo en lui conseillant de méditer à ses actes. Entravée et emmurée dans un silo totalement clos, l'obscurité est pesante. La résonance décuple le moindre bruit, c'est une journée bien difficile qui attend Lucie en pleine crise de désespoir. Une heure plus tard, après avoir appelé et supplié en vain elle va vivre la honte de devoir se faire dessus comme une bête.

    La suite est ici


    TSM

    Les photos de Bienvenue en enfer après Dragon 2 sont ici

    La première vidéo est ici

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  • Ville de Plaisir rencontre BDSM (Récit un brin hard)


    Par Ecrivaillon



    Ville_de_plaisir_rencontre_BDSM.jpg



    Situé au coeur des Yvelines, la Ville de Plaisir compte près de 32 000 habitants dont Carine, une femme adepte du BDSM, une femme soumise du réseau Fessestivites en recherche d'un Maître.
    Si l'homme est un animal choisi pour son pelage, Carine ferait bien de prendre le temps de méditer avant de se lancer dans des aventures.

    Prête à tout pour réussir, y compris à satisfaire les patrons dans leurs moindres désirs. Elle postule chez Monsieur Henri, est un véritable sadique adapte du BDSM qui n'hésite pas à pousser ses victimes féminines dans leurs plus intimes retranchements.

    Encore en période d'essai dans l'entreprise, elle commet une bêtise assez importante et onéreuse en termes de conséquences. Immédiatement convoquée à la direction, elle se confond en excuses puis ajoute au cas où, "je sais que cela mériterait une sérieuse fessée". L'avalanche de mots incendiaires du patron cesse aussitôt.

    - Pouvez-vous répéter ce que vous venez de dire mademoiselle ?

    - Oui Monsieur, je sais que cela mériterait une sérieuse fessée et je suis profondément désolée par ma bêtise qui coûtera de l'argent à l'entreprise. Répond Carine les yeux baissés.

    Le petit canon assis en face de lui dans un fauteuil volontairement placé à distance du bureau, lui permet d'avoir une vue imprenable sur ses cuisses délicieusement fuselées. Pour un Maître sadique, une telle perche ne se loupe pas ! Qu'il la vire ou pas, il aura toujours trois mille euros de frais, autant creuser un peu pour voir ce que cache cette magnifique poupée dans son paquetage.

    - Revenez ce soir après 18 heures je vais méditer sur votre histoire qui, je ne vous le cache pas, est mal engagée.

    "Alors virée" demande la secrétaire habituée aux colères de son employeur. Carine répond par la négative en précisant qu'elle en a bien peur. La suite de la journée se déroule sans encombre, elle fait son possible pour être une vendeuse exemplaire en tous points.

    A dix-huit heure précise, les jambes en coton, elle reprend les escaliers conduisant aux bureaux. La secrétaire étant partie, elle frappe timidement à la porte, avant de l'ouvrir suite à un aboiement significatif signifiant "entrer".

    Cette fois, il ne l'invite pas à s'asseoir et se décide à lever son gros popotin pour tourner autour de sa proie dans un but fort simple : en apprécier les courbes et le savant parfum de ce chef d'oeuvre de la nature. Pendant un long moment il arpente le bureau en recommençant sa grande messe d'employeur furieux avant d'en venir aux faits.

    - Ce matin, vous m'avez indiqué par deux fois que cela mériterait une fessée. Est-ce que je me trompe ?

    - Non monsieur.

    - Je crois que je vais vous la donner cette fessée méritée mais soyons bien d'accord, je ne vous oblige en rien et j'ai un motif à 3000 euros pour vous licencier. Nous n'allons pas tergiverser deux heures, si vous êtes toujours dans les dispositions de vous faire pardonner, retirer votre string et posez-le sur le bureau.

    Carine se doutait bien qu'elle allait vivre un truc comme ça, n'étant pas à une fessée près, elle n'avait pas tendu la perche pour rien. Mentalement, elle se plaça dans l'état d'esprit de son ex vie de soumise, exécuter un tel ordre lui donna même un coup agréable dans l'échine, échine qui n'allait pas tarder à être rudoyée. Après six mois d'abstinence fessière, cette fessée était presque la bienvenue. Prestement tirée par le bras, elle n'offrit aucune résistance lorsqu'il la fit s'installer sur ses genoux.

    Le corps de Carine n'est pas celui d'une biche, aux courbes pleines et sensuelles, mais plutôt celui d'une gazelle, souple et nerveuse, avec de jolies jambes aux mollets discrets, au fuseau de la cuisse légèrement accentué. Partout, sa chair est d'une grande fermeté, sa peau tendue sur ce que l'on sent être des muscles. Son ventre est plat, ses hanches à peine rondes mettent en valeur ses sublimes fesses, petites et pommées.

    Lorsqu'il souleva sa jupe courte, Henri eut un coup au coeur ! Il avait sous les mains le plus beau cul qu'il n'ait jamais martyrisé. Il ne s'en priva pas, mais, par peur de blesser cette beauté, il commença doucement avant de revenir à son naturel : faire crier les filles. Au bout d'un certain nombre de claques retentissantes sur les fesses, l'épiderme rougit et sa propriétaire s'agite. Là non ! Certes il était rouge vif mais la garce encaissait sans bouger. Il y mit toute son ardeur au point de ruisseler de transpiration mais en vain.

    Il lui fallait cette fille qui ne pouvait qu'être une maso pour se laisser fesser par son patron et qui plus est, ne pas réagir à sa punition. Il en fut convaincu quelques secondes plus tard quand il lui demanda de se relever.

    - Merci monsieur ! Dit Carine les yeux baissés avant de prendre un mouchoir dans la boite posée sur le bureau pour essuyer le visage de son patron très étonné par ce geste ! ! !

    - Votre cul d'une grande beauté est pire que le supplice de tantale pour les yeux. Vous mouillez généreusement, j'ai donc dans l'idée que vous êtes habituée à prendre des fessées, répondez !

    - Oui monsieur.

    - Mais encore ?

    - J'étais soumise fut un temps monsieur et fière de l'être mais mon Maître s'est envolé vers d'autres horizons. Répondit spontanément Carine sans même réfléchir à qui elle disait cela, après cette fessée dès plus humiliante pour une salariée, elle avait effectivement quasiment jouit.

    - Penchez-vous en avant sur mon bureau, nous n'en avons pas terminé !

    Henri n'en croyait pas ses yeux, une soumise aussi belle et libre ! Autant en profiter de suite, elle ne pouvait le rester.

    - Je veux tester votre soumission avant de prendre ma décision de vous garder à mon service, en clair je vais vous baiser. Lui indiqua Henri en attrapant un préservatifs dans un des meubles de son bureau sans trop la quitter des yeux.

    La belle restait sans réaction ! ! !

    Deux minutes plus tard, profondément logé en elle comme s'il fallait faire mal pour avoir du plaisir, il laminait son ventre de jouvencelle en appréciant les petits gémissements plaintifs qu'il parvenait enfin à lui arracher. Pour Carine, ce fut une nouveauté, son enfoiré de patron parvenait à la faire grimper, elle s'offrit même plus encore en se mettant sur la pointe des pieds à ce pieux la taraudant comme jamais. Est-ce les circonstances, les six mois d'abstinence qui généraient en elle un tel plaisir nous ne le saurons pas mais Carine s'envoyait bel et bien en l'air en s'approchant à grands pas de la stratosphère aussi paradoxalement que cela puisse paraître.

    En grand gourmand de sexe et de BDSM, il ne put résister à un appel circulaire.

    - Ton étroit fourreau culier est beau quand il se crispe !... Comme ta petite fleur brune vibre et palpite, tends bien ton derrière je veux aussi le prendre pour te faire chanter de bonheur ma belle ! Lui indique Henri en se retirant de la minette éplorée.

    Du bout des doigts, il mouille le délicat petit émonctoire avant d'y poser son gland turgescent. A force de batailles et de pressions psychologiques anales, un relâchement sphinctérien se fait lui permettant de s'engouffrer dans les voies initialement impénétrables d'après certains. Pour la première fois, Carine parle, demande d'aller moins fort, chose qu'il accepte un temps limité avant de reprendre la dernière ligne droite d'une chevauchée digne d'un champ de course.

    Bizarrement, la sensation de douleur se transforme progressivement en plaisir, soumise dans l'âme en perdition, Carine ressent une grande excitation à offrir à son boss ce qu'elle a de plus intime. Le rapace ne tarde point à apprécier la souplesse de ce délictueux fondement devenu accueillant, mais hélas, cela ne dura pas. Un beuglement s'échappa de sa bouche grande ouverte en résonnant dans les bureaux par chance pour lui, vides.

    La chose faite, il la pria de s'asseoir, ouvrit un de ses placards contenant un frigidaire dont il sortit une bouteille de champagne pour fêter son CDI.

    ................................................

    En son petit appartement de la rue de la République, Carine méditait après cette surprenante aventure car elle l'avait très bien vécue malgré toute l'horreur de la situation. En clair elle venait de se faire fesser et de tirer un coup, chose qu'Henri ne pouvait savoir.

    UN EPILOGUE SURPRENNANT

    Elle refusa ensuite de poursuivre cette relation. Henri, gardant l'espoir de la conquérir et pour éviter les ennuies....., n'insista pas hormis une promotion lui permettant d'avoir un second rendez-vous privé inutile pour sa tentative de séduction.

    Un mois plus tard surprise surprise !!!!!!!!!!!!!

    Carine arriva de bonne heure dans l'entreprise, prit les escaliers des bureaux avec la ferme intention de s'amuser et de venger les femmes qu'il avait dû martyriser avant elle. Lorsqu'elle se dirigea vers le bureau du patron, la secrétaire l'interpella en lui demandant où elle allait, le big boss n'étant pas encore arrivé.

    - Il en est totalement informé, je dois l'attendre dans son bureau, ne vous inquiétez pas ! Répondit Carine particulièrement joyeuse.

    Elle pénétra dans le bureau, se fit un café avant de s'installer confortablement derrière le bureau d'Henri pour le siroter tranquillement. Comme l'on peut s'en douter, lorsque le patron découvrit la chose, les murs tremblèrent sous ses cris.

    Carine le regarda calmement avec son sourire aux dents blanches, ses yeux clairs et rieurs pétillants d'intelligence avant de lui conseiller fortement de s'asseoir pour lui remettre un document.

    Ayant peur qu'elle ait porté plainte pour harcèlement sexuel, il parvint à grand peine à se calmer mais refusa de s'asseoir en face de son bureau pour lire le dit document qu'elle lui tendait. Et là, la surprise fut telle qu'il prit place dans le fauteuil indiqué, comme Carine un mois plus tôt.

    - Cher monsieur, comme vous le constatez, grâce à un héritage substantiel, j'ai racheté 70 % des parts sociales de votre entreprise. Les 21 % que vous aviez accordés à votre ami Antoine Le Persan, afin de conserver la majorité de blocage, sont passés dans mon portefeuille boursier, il va prochainement prendre sa retraite. En clair je suis votre patronne.

    Rouge comme une écrivisse Henri s'étouffait de rage. Il attrapa une poignet de mouchoirs pour s'éponger le front en essayant tant bien que mal de faire passer sa salive dans un conduit de peur devenu très étroit.

    - Un Président directeur général cela se vire facilement, c'est une question de stratégie ou d'argent, mais n'étant pas une aussi bonne gestionnaire que vous, mon banquier a étudié votre bilan de l'année dernière, je vais vous garder dans l'entreprise. Sachez que je peux appuyer sur le bouton "licenciement" quand je veux si besoin était. Rassurez-vous, mon but n'est pas de vous nuire, juste de vous apprendre le respect des femmes, soumises ou non.

    - Que voulez-vous réellement ? Parvint difficilement à dire le PDG.

    - Je veux deux choses simples à faire, enfin au moins une. La première est un poste aux côtés de votre DRH, bien rémunéré cela va de soit, cela me permettra de contrôler vos agissements. J'y viendrai de temps en temps. Ensuite je veux quelque chose que vous allez avoir plus de mal à admettre.

    - Je vous écoute !

    - Je veux que vous me léchiez le cul ! Au sens propre évidement.

    Henri crut avoir une attaque ! Carine se leva, fit le tour du bureau, souleva sa jupe offrant au regard du PDG son adorable petit postérieur protégé par aucun rempart de dentelles ni même un string.

    - Jamais ! Aboya Henri

    - A zéro vous êtes viré. 5 / 4 / 3 / 2

    Carine n'eut pas besoin de prononcer les autres chiffres.

    Ecrivaillon

    Note de l'auteur : Je me suis un peu amusé avec cette histoire totalement fictive et un peu tirée par les cheveux j'en convient, mais je trouvais que la ville Plaisir" était en totale adéquation avec mon envie de punir, au moins par une histoire, les employeurs et "chef" usant de ces pratiques.

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