• Ville de Plaisir rencontre BDSM (Récit un brin hard)

    Ville de Plaisir rencontre BDSM (Récit un brin hard)


    Par Ecrivaillon



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    Situé au coeur des Yvelines, la Ville de Plaisir compte près de 32 000 habitants dont Carine, une femme adepte du BDSM, une femme soumise du réseau Fessestivites en recherche d'un Maître.
    Si l'homme est un animal choisi pour son pelage, Carine ferait bien de prendre le temps de méditer avant de se lancer dans des aventures.

    Prête à tout pour réussir, y compris à satisfaire les patrons dans leurs moindres désirs. Elle postule chez Monsieur Henri, est un véritable sadique adapte du BDSM qui n'hésite pas à pousser ses victimes féminines dans leurs plus intimes retranchements.

    Encore en période d'essai dans l'entreprise, elle commet une bêtise assez importante et onéreuse en termes de conséquences. Immédiatement convoquée à la direction, elle se confond en excuses puis ajoute au cas où, "je sais que cela mériterait une sérieuse fessée". L'avalanche de mots incendiaires du patron cesse aussitôt.

    - Pouvez-vous répéter ce que vous venez de dire mademoiselle ?

    - Oui Monsieur, je sais que cela mériterait une sérieuse fessée et je suis profondément désolée par ma bêtise qui coûtera de l'argent à l'entreprise. Répond Carine les yeux baissés.

    Le petit canon assis en face de lui dans un fauteuil volontairement placé à distance du bureau, lui permet d'avoir une vue imprenable sur ses cuisses délicieusement fuselées. Pour un Maître sadique, une telle perche ne se loupe pas ! Qu'il la vire ou pas, il aura toujours trois mille euros de frais, autant creuser un peu pour voir ce que cache cette magnifique poupée dans son paquetage.

    - Revenez ce soir après 18 heures je vais méditer sur votre histoire qui, je ne vous le cache pas, est mal engagée.

    "Alors virée" demande la secrétaire habituée aux colères de son employeur. Carine répond par la négative en précisant qu'elle en a bien peur. La suite de la journée se déroule sans encombre, elle fait son possible pour être une vendeuse exemplaire en tous points.

    A dix-huit heure précise, les jambes en coton, elle reprend les escaliers conduisant aux bureaux. La secrétaire étant partie, elle frappe timidement à la porte, avant de l'ouvrir suite à un aboiement significatif signifiant "entrer".

    Cette fois, il ne l'invite pas à s'asseoir et se décide à lever son gros popotin pour tourner autour de sa proie dans un but fort simple : en apprécier les courbes et le savant parfum de ce chef d'oeuvre de la nature. Pendant un long moment il arpente le bureau en recommençant sa grande messe d'employeur furieux avant d'en venir aux faits.

    - Ce matin, vous m'avez indiqué par deux fois que cela mériterait une fessée. Est-ce que je me trompe ?

    - Non monsieur.

    - Je crois que je vais vous la donner cette fessée méritée mais soyons bien d'accord, je ne vous oblige en rien et j'ai un motif à 3000 euros pour vous licencier. Nous n'allons pas tergiverser deux heures, si vous êtes toujours dans les dispositions de vous faire pardonner, retirer votre string et posez-le sur le bureau.

    Carine se doutait bien qu'elle allait vivre un truc comme ça, n'étant pas à une fessée près, elle n'avait pas tendu la perche pour rien. Mentalement, elle se plaça dans l'état d'esprit de son ex vie de soumise, exécuter un tel ordre lui donna même un coup agréable dans l'échine, échine qui n'allait pas tarder à être rudoyée. Après six mois d'abstinence fessière, cette fessée était presque la bienvenue. Prestement tirée par le bras, elle n'offrit aucune résistance lorsqu'il la fit s'installer sur ses genoux.

    Le corps de Carine n'est pas celui d'une biche, aux courbes pleines et sensuelles, mais plutôt celui d'une gazelle, souple et nerveuse, avec de jolies jambes aux mollets discrets, au fuseau de la cuisse légèrement accentué. Partout, sa chair est d'une grande fermeté, sa peau tendue sur ce que l'on sent être des muscles. Son ventre est plat, ses hanches à peine rondes mettent en valeur ses sublimes fesses, petites et pommées.

    Lorsqu'il souleva sa jupe courte, Henri eut un coup au coeur ! Il avait sous les mains le plus beau cul qu'il n'ait jamais martyrisé. Il ne s'en priva pas, mais, par peur de blesser cette beauté, il commença doucement avant de revenir à son naturel : faire crier les filles. Au bout d'un certain nombre de claques retentissantes sur les fesses, l'épiderme rougit et sa propriétaire s'agite. Là non ! Certes il était rouge vif mais la garce encaissait sans bouger. Il y mit toute son ardeur au point de ruisseler de transpiration mais en vain.

    Il lui fallait cette fille qui ne pouvait qu'être une maso pour se laisser fesser par son patron et qui plus est, ne pas réagir à sa punition. Il en fut convaincu quelques secondes plus tard quand il lui demanda de se relever.

    - Merci monsieur ! Dit Carine les yeux baissés avant de prendre un mouchoir dans la boite posée sur le bureau pour essuyer le visage de son patron très étonné par ce geste ! ! !

    - Votre cul d'une grande beauté est pire que le supplice de tantale pour les yeux. Vous mouillez généreusement, j'ai donc dans l'idée que vous êtes habituée à prendre des fessées, répondez !

    - Oui monsieur.

    - Mais encore ?

    - J'étais soumise fut un temps monsieur et fière de l'être mais mon Maître s'est envolé vers d'autres horizons. Répondit spontanément Carine sans même réfléchir à qui elle disait cela, après cette fessée dès plus humiliante pour une salariée, elle avait effectivement quasiment jouit.

    - Penchez-vous en avant sur mon bureau, nous n'en avons pas terminé !

    Henri n'en croyait pas ses yeux, une soumise aussi belle et libre ! Autant en profiter de suite, elle ne pouvait le rester.

    - Je veux tester votre soumission avant de prendre ma décision de vous garder à mon service, en clair je vais vous baiser. Lui indiqua Henri en attrapant un préservatifs dans un des meubles de son bureau sans trop la quitter des yeux.

    La belle restait sans réaction ! ! !

    Deux minutes plus tard, profondément logé en elle comme s'il fallait faire mal pour avoir du plaisir, il laminait son ventre de jouvencelle en appréciant les petits gémissements plaintifs qu'il parvenait enfin à lui arracher. Pour Carine, ce fut une nouveauté, son enfoiré de patron parvenait à la faire grimper, elle s'offrit même plus encore en se mettant sur la pointe des pieds à ce pieux la taraudant comme jamais. Est-ce les circonstances, les six mois d'abstinence qui généraient en elle un tel plaisir nous ne le saurons pas mais Carine s'envoyait bel et bien en l'air en s'approchant à grands pas de la stratosphère aussi paradoxalement que cela puisse paraître.

    En grand gourmand de sexe et de BDSM, il ne put résister à un appel circulaire.

    - Ton étroit fourreau culier est beau quand il se crispe !... Comme ta petite fleur brune vibre et palpite, tends bien ton derrière je veux aussi le prendre pour te faire chanter de bonheur ma belle ! Lui indique Henri en se retirant de la minette éplorée.

    Du bout des doigts, il mouille le délicat petit émonctoire avant d'y poser son gland turgescent. A force de batailles et de pressions psychologiques anales, un relâchement sphinctérien se fait lui permettant de s'engouffrer dans les voies initialement impénétrables d'après certains. Pour la première fois, Carine parle, demande d'aller moins fort, chose qu'il accepte un temps limité avant de reprendre la dernière ligne droite d'une chevauchée digne d'un champ de course.

    Bizarrement, la sensation de douleur se transforme progressivement en plaisir, soumise dans l'âme en perdition, Carine ressent une grande excitation à offrir à son boss ce qu'elle a de plus intime. Le rapace ne tarde point à apprécier la souplesse de ce délictueux fondement devenu accueillant, mais hélas, cela ne dura pas. Un beuglement s'échappa de sa bouche grande ouverte en résonnant dans les bureaux par chance pour lui, vides.

    La chose faite, il la pria de s'asseoir, ouvrit un de ses placards contenant un frigidaire dont il sortit une bouteille de champagne pour fêter son CDI.

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    En son petit appartement de la rue de la République, Carine méditait après cette surprenante aventure car elle l'avait très bien vécue malgré toute l'horreur de la situation. En clair elle venait de se faire fesser et de tirer un coup, chose qu'Henri ne pouvait savoir.

    UN EPILOGUE SURPRENNANT

    Elle refusa ensuite de poursuivre cette relation. Henri, gardant l'espoir de la conquérir et pour éviter les ennuies....., n'insista pas hormis une promotion lui permettant d'avoir un second rendez-vous privé inutile pour sa tentative de séduction.

    Un mois plus tard surprise surprise !!!!!!!!!!!!!

    Carine arriva de bonne heure dans l'entreprise, prit les escaliers des bureaux avec la ferme intention de s'amuser et de venger les femmes qu'il avait dû martyriser avant elle. Lorsqu'elle se dirigea vers le bureau du patron, la secrétaire l'interpella en lui demandant où elle allait, le big boss n'étant pas encore arrivé.

    - Il en est totalement informé, je dois l'attendre dans son bureau, ne vous inquiétez pas ! Répondit Carine particulièrement joyeuse.

    Elle pénétra dans le bureau, se fit un café avant de s'installer confortablement derrière le bureau d'Henri pour le siroter tranquillement. Comme l'on peut s'en douter, lorsque le patron découvrit la chose, les murs tremblèrent sous ses cris.

    Carine le regarda calmement avec son sourire aux dents blanches, ses yeux clairs et rieurs pétillants d'intelligence avant de lui conseiller fortement de s'asseoir pour lui remettre un document.

    Ayant peur qu'elle ait porté plainte pour harcèlement sexuel, il parvint à grand peine à se calmer mais refusa de s'asseoir en face de son bureau pour lire le dit document qu'elle lui tendait. Et là, la surprise fut telle qu'il prit place dans le fauteuil indiqué, comme Carine un mois plus tôt.

    - Cher monsieur, comme vous le constatez, grâce à un héritage substantiel, j'ai racheté 70 % des parts sociales de votre entreprise. Les 21 % que vous aviez accordés à votre ami Antoine Le Persan, afin de conserver la majorité de blocage, sont passés dans mon portefeuille boursier, il va prochainement prendre sa retraite. En clair je suis votre patronne.

    Rouge comme une écrivisse Henri s'étouffait de rage. Il attrapa une poignet de mouchoirs pour s'éponger le front en essayant tant bien que mal de faire passer sa salive dans un conduit de peur devenu très étroit.

    - Un Président directeur général cela se vire facilement, c'est une question de stratégie ou d'argent, mais n'étant pas une aussi bonne gestionnaire que vous, mon banquier a étudié votre bilan de l'année dernière, je vais vous garder dans l'entreprise. Sachez que je peux appuyer sur le bouton "licenciement" quand je veux si besoin était. Rassurez-vous, mon but n'est pas de vous nuire, juste de vous apprendre le respect des femmes, soumises ou non.

    - Que voulez-vous réellement ? Parvint difficilement à dire le PDG.

    - Je veux deux choses simples à faire, enfin au moins une. La première est un poste aux côtés de votre DRH, bien rémunéré cela va de soit, cela me permettra de contrôler vos agissements. J'y viendrai de temps en temps. Ensuite je veux quelque chose que vous allez avoir plus de mal à admettre.

    - Je vous écoute !

    - Je veux que vous me léchiez le cul ! Au sens propre évidement.

    Henri crut avoir une attaque ! Carine se leva, fit le tour du bureau, souleva sa jupe offrant au regard du PDG son adorable petit postérieur protégé par aucun rempart de dentelles ni même un string.

    - Jamais ! Aboya Henri

    - A zéro vous êtes viré. 5 / 4 / 3 / 2

    Carine n'eut pas besoin de prononcer les autres chiffres.

    Ecrivaillon

    Note de l'auteur : Je me suis un peu amusé avec cette histoire totalement fictive et un peu tirée par les cheveux j'en convient, mais je trouvais que la ville Plaisir" était en totale adéquation avec mon envie de punir, au moins par une histoire, les employeurs et "chef" usant de ces pratiques.

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