• Et si je tue ton frère tu m'aimeras encore parce que fondamentalement tu es épris d'une volonté de puissance qui ne trouve aucune voie d'expression


  • Je possède un putain d'instinct c'est un truc qui me vient de l'enfance j'ai fréquenté les animaux avant les humains et ça m'est resté ce flair de bestiole aux aguets je peux renifler vos culs et l'intérieur de vos cervelles aussi facilement que je découpe une tranche de pomme d'adam à 15 ans j'avais déjà pigé que mise à part quelques énergumènes plus ou moins tarés le reste de la meute est un amalgame d'idiots clonés qui avalent la bonne parole pour la chier aux antipodes sans même avoir changé une virgule nul désespoir ou fatalité c'est la suite logique de la force du groupe sur le solitaire la résultante en est un affaiblissement intrinsèque de l'individu pour l'émergeance d'un bouffon standart sans qualité cela signifie donc omniprésence d'une faculté d'adaptation sournoise dirigée vers le bas omniprésence d'une organisation sociétale axée en direction du perfide bref la machine à hacher la viande dans The wall est devenue inutile car les mères expulsent des steaks hachés on line baptisés citoyens méticuleusement emballés dans le code civil et marqués au fer rouge d'un quelconque barbecue à la con en promo


  • Ta culotte est encore tachée de sang

    Oui maman je n'avais plus de serviette

    Idiote moi j'en garde toujours une en réserve

    Et bien tu peux te la foutre au cul pour essuyer ta merde


  • L'art est un rideau sur la scène invention perfide utilisée pour dissimuler le réel et la musique en est le parangon ce mouvement de sons provoque une aliénation de la conscience anesthésiant légal chargé d'embarquer l'esprit dans une danse hamelinique jusqu'au lit d'une Weser labellisée l'artiste est le coeur infecté qui contamine l'organisme sa volonté d'imprégner de son urine le monde fait de lui une gangrène sous une peau de maquillage 


  • Je ne laisserai pas la moindre espérance intacte il ne s'agit ni de destruction ni d'extermination mais simplement de la mise en oeuvre d'un champ de néant je croise des ombres des mouvements de fuites tentatives de médiations serviles compromis ils ne sont que les soubresauts d'un organisme qui se meurt et ne méritent que le mépris je vois l'être dans sa globalité et je ne m'attarde jamais sur les détails le paysage qui m'entoure est irrespirable pour quiconque je vis sur l'ultime sommet un lieu vierge depuis l'avènement du sang et je ne tolère aucune intrusion à ma frontière les dieux et les idéologies pendent sur des crocs de boucher restes de sensibilité peut-être