• INFLUENCE ET TECHNIQUES MANIPULATOIRES CLASSIQUES ET PSYCHOLOGIQUES. 

    La plus grosse manipulation de l'Histoire, vous ne la connaissez peut-être pas encore ? Il est temps d'y remédier ! La notion de "viol" dans le couple n'existe pas ; et surtout elle ne peut pas exister ! En effet, il s'agit avant tout d'une construction idéologique, politique, médiatique, enseignante et féministe, qui s'appuie sur la manipulation des masses et l'utilisation simultanée de diverses techniques manipulatoires et d'influence. On peut à ce sujet parler de la plus grosse manipulation de l'histoire de la modernité ! Comment cette manipulation a t'elle été rendue possible ? Par quelles techniques vous a t'on fait penser et agir comme on le souhaiteà l'insu de votre consciencedevotre connaissance et de votre libre arbitre, ce qui constitue à la fois une négation de l'identité humaine et une forme de déni de l'altérité de l'autre ? A travers la déconstruction implacable du mythe du "viol conjugal", vous allez découvrir l'une des techniques les plus efficaces et des plus redoutables : le conditionnement pavlovien ; mais aussi d'autres techniques manipulatoires d'une simplicité déconcertante : censureamalgame et sophisme, dans le chapitre "manipulation de la langue et du langage", sans oublier la technique d'influence la plus redoutable : lasoumission à l'Autorité. Certes, s'il faut combattre les abus et maltraitances dans le couple, il ne faut pas pour autant laisser dire et faire n'importe quoi ! Quelle est donc la différence entre des "abus" et le viol ?  La réponse et la démonstration sans appel sont dans le site et le blog ci-dessous :


    La déconstruction du mythe du "viol conjugal", expression inventée de toute pièce à des fins idéologiques, politiques et de contrôle du corps des hommes, est à découvrir dans son intégralité en cliquant sur le lien ci-dessous :



    Pour les enfants, adolescents et personnes n'ayant pas le temps de lire : 


     

    Par Eric Jourdain, psychanalyste.

                                       

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    PRESIDENTIELLE 2012 

    UMP, Parti socialiste, Modem, Europe écologie etc. sont devenus les fossoyeurs et les imposteurs de la République. Mais ces partis ne font pas que salir la Robe de la République et la réduire à sa plus simple expression : une invocation verbale permanente de façade, ils confisquent également la démocratie. Il y avait donc urgence à dénoncer l'indicible et à démasquer alors ces « maîtres à penser » de l'européisme, du mouvementisme, du mondialisme etc. des idéologies qui sont aux antipodes des valeurs et des principes républicains et démocratiques, surtout à l'aube d'échéances électorales majeures : 2012.  
      
      En effet, des outrages à la République et au drapeau français sont commis par la députation française, en toute discrétion et en toute impunité. Ces outrages, qui inacceptables de la part de députés et de ministres en exercice, sont évidemment dissimulés aux français par les grands médias traditionnels : France TVLe mondeLe FigaroTF1M6Le pointL'Express, Europe 1, RTL etc.

    Lecture :  Résister au bougisme de Pierre-André Taguieff      
                   Le meilleur des mondes d'Aldous Huxley

     


     Triptyque sur la notion de démocratie  

    1ère partie 

        Citons ici et pour commencer les propos tenus par la féministe et philosophe Élisabeth Badinter dans l’émission100 minutes pour comprendre (du 19/01/2004) pour faire un lien entre le « corps d’une personne » (son intégrité et sa maîtrise) et le « corps de la nation » : “ Et je voudrais dire aussi, parce que ça me tient à cœur, c’est que tous les progrès qui ont été faits pour que la femme devienne maître de son corps, tout ces progrès, pardonnez moi de vous le dire, ont été fait contre les religieux. […] Et c’est cette enseignement de la maîtrise de soi [sous-entendu de son propre corps], de la libertéqui est la caractéristique d’une démocratie avancée. Et moi ce que je souhaite, c’est qu’on enseigne à toutes les petites françaises, de toutes origines, qu’elles ont le droit de ne pas être vierge, que leur corps est à elle, qu’il appartient ni au père, ni au mari, ni à personne. ” […] 
     
        La féministe et féminophile Élisabeth Badinter ne fait pas le lien entre le corps physique et le corps de la nation, et se contredit dans le mauvais sens du terme, car quant le « corps de la nation » est touché dans son intégrité et son identité, les corps physiques des sujets qui la composent le sont également : les guerres, la concurrence économique exacerbée, […] nous touchent dans notre chair, en raison des blessés et des morts dans le premier cas, et des délocalisations d’entreprises dans le second cas (cf. les cas de suicides chez France télécom). L'immigration massive n'est pas non plus sans conséquence sur ce qui fonde l'identité française […] Pourquoi, dès lors, vouloir supprimer l'identité française, et préserver uniquement celle qui nous constitue, en tant qu'humain, en matière de sexualité, si ce n'est pour de basses et mauvaises raisons relevant non pas de l'Intéret général mais d'intérets privés et personnels : la république et la démocratie s'oppose en théorie au totalitarisme, à la déshumanisation, à la décivilisation, à la barbarie érigées en politiques et en système politique de gouvernance par les partis traditionnels essentiellement ..

        Pourquoi ai-je fais un lien entre Le meilleur des mondes et Résister au bougisme ? La formule séduisante du Meilleur des mondes tient en la formule suivante : "Chacun appartient à tout le monde" ; avec pour conséquence que nous sommes tous potentiellement des partenaires amoureux en puisssance, puisqu'il n'y a plus de frontières entre moi et toi, entre un moi et un toi ; la formule des idéologies en vogue actuellement en Europe et dans le monde tient en ceci : "Puisqu'il y a plus de frontières entre les nations, puisqu'il ne doit plus y en avoir, nous devons suivre alors, sans broncher et se révolter, les injonctions, les diktats etc. de la mondialisation, du mondialisme, du bougisme, du fédéralisme européen, du FMI, de l'oligarchie planétaire etc..
    "  

      
       En un mot, les deux mondes sont cohérents dans l'atteinte de l'intégrité corporelle (corps physique et corps de la nation) et les deux "modèles idéologiques" asservissent hommes et femmes confondus, d'une certaine manière. Dictionnaire Robert : "Assujettir : "Mettre dans sa dépendance : Les peuples que Rome avait assujetti. Maintenir (qqn) dans l'obéissance. La mainmise de l'état [...] sur la pensée de tous les [hommes et femmes] qu'il assujettit(Duham). Dominer par un ascendant moral, tenir (qqn) sous son empire". Mais je ne suis pas là pour condamner un modèle idéologique et théorique au bénéfice d'un autre : libre à vous de choisir celui qui vous séduit. Mais dans le premier cas, on condamnerait la négation de l'identité humaine, si le modèle du Meilleur des mondes était appliqué en Europe en matière de sexualité ; à contrario, dans l'autre modèle, le modèle néolibérale, sans frontières, européiste, bougiste et mondialiste, qui n'est plus théorique celui-là, car il est déjà appliqué aux peuples du monde entier, on la vante et on en vante les bienfaits, alors qu'il y a aussi et pourtant négation de l'identité humaine. Mais alors pourquoi ? tout simplement parce que cela sert l'élite féminophile : UMPPSMODEM en France etc. !  Il s'agit d'unecontradiction majeure sur un sujet sensible [...] de la part de ces élites. 

     

        Le mot « outrage » a plusieurs sens, et le sens que l’on peut ici donner dans un premier temps est un sens volontairement ou involontairement galvaudé et erroné donné à des concepts politiques majeurs par les politiques, l’élite globaliste et les « gens-biens » :  les concepts de « République et Démocratie » en sont un parfait exemple. Si les nouvelles figures de la perversion (évoquées dans un article à venir) créent leur propre loi et l’imposent à la collectivité, en dehors du respect scrupuleux et rigoureux des procédures démocratiques […], elles donnent aussi au langage un sens qui lui convient, un sens qui correspond à mon désir à moi. Les mots « république » et « démocratie » ont un sens commun à l’origine : ils sont tout deux caractérisés par un espace national fermé par des frontières, garant de l’« indépendance », de la « maîtrise de son destin », n’en déplaise à la trahison et la falsification de ces termes par les politiques, les journalistes etc.. Faisant suite au livre intitulé le Mémento du républicain, et qui mettait en évidence une « République » vidé de son contenu, et qui n’en est plus vraiment une, telle une moto sans ses roues, son moteur et ses freins : en effet, une roue, un frein de moto, un moteur de moto ne constituent non seulement pas en tant que tel une moto, et encore moins une moto en état de marche, quelques principes républicains, telle la « sécurité », l’« égalité » et la « laïcité » ne constituent pas non plus l’ensemble des principes et valeurs caractérisant une République, et encore moins une république en fonctionnement, Résister au bougisme de Pierre-André Taguieff s’inscrit toujours dans la dénonciation d’un régime politique particulier mis en place d’abord et surtout depuis les années 1980 par les socialistes, et que j’ai décidé de baptiser par l’expression suivante : « l’Anti-République et l’Anti-Démocratie française », les termes République et démocratie étant étroitement liés et imbriqués. Mais d’abord, où les trouve t’on, ces antidémocrates ?  À l’UMP, au Parti socialiste, au Modem, au Front de gauche, à Europe écologie, mais aussi et surtout dans les médias etc. L’historien des idées et philosophe Pierre-André Taguieff, dans son livre Résister au bougisme, dénonce  les idéologies et les politiques qui sont la négation de l’idée de démocratie et de République, voir de civilisation : Utilitarisme, Consumérisme, Hédonisme, Éducation d’individus centrés sur leurs seuls intérêts particuliers sont en effet mis en valeur et encouragés dans les sociétés, à travers les idéologies propagées et imposées de l’Européisme, du Globalisme et du Mouvementisme et des politiques et des lois adoptés et appliqués en leur nom par la députation française, et ce « au détriment des valeurs et principes démocratiques et républicains », « au détriment de  l’émancipation des peuples, des hommes et des femmes de notre pays », « au détriment tout simplement de la dignité de la personne humaine » : l’émergence dans l’espace public d’un sujet autonome et d’un citoyen qui pense par lui-même ; « au détriment de nos valeurs issus du siècle des lumières » : la Raison, la Rationalité, le Progrès. « Où est passé le respect de la dignité la plus élémentaire de la personne humaine ? », peut-être que vous vous poserez la question,  après avoir lu ce livre dérangeant.  Peut-être que vous allez avoir la tentation, à la lecture de Résister au bougisme et pour les plus fous d’entre vous, de prendre un flingue, et d'assassiner un Brice Hortefeux, une Michèle Alliot-Marie etc. Non, je vous le déconseille vivement !

        Quant un homme ou une femme politique vous parleront de « citoyens européens et du monde etc. », et bien vous saurez dorénavant que c’est totalement faux, car il n’y a de République, de Démocratie et de citoyenneté que dans le cadre d’un espace national fermé par des frontières : la fameuse « Souveraineté nationale » inscrite d’ailleurs dansla constitution, et non pas dans un espace européen fédéraliste et encore moins mondial, que l’Européisme, le Globalisme et le bougisme etc., et les politiques menées en leur nom, instaurent de fait. Ces idéologies et ces politiques sont la négation de nos valeurs et de nos principes. « La République et le drapeau français sont outragés par ceux-là même qui en ont la charge et la fonction ; pire que ça, la députation prétend défendre à grand renfort médiatique et d’éloquence verbale la république, la démocratie etc. :  vous l’aurez ici compris et deviné :  leur volonté est de donner le change, en cherchant des poux uniquement à un pauvre type qui se torche le derrière dans un concours du politiquement-incorrect avec un drapeau français ; vous comprendrez qu’il faut donner le change et être dans la surenchère constamment pour dissimuler ces outrages à la République et au drapeau français. Les députés Français sont devenus les fossoyeurs de la république et de la démocratie ! Faut-il leur rappeler qu’ils en sont les dépositaires et les garants, qu’ils ont des devoirs ? Visiblement, ils n’en n’ont cure ; sauf pour vous qui votez pour ces monstres d’indignité et d’inhumanité et qui n’ont aucune excuse ! Une seul arme dans un premier temps à utiliser, la honte. « Faisons leur honte ! ». « La brûlure de la honte est le commencement de la morale », avait dit, non sans raison,Alain Finkielkraut à l’encontre des « barbares » des cités. Reformulons sa citation en la détournant de sa cible et en la focalisant sur l’élite globaliste (PS, modem, UMP etc.) : « La brûlure de la honte est le commencement d’émergence d’une conscience morale, humaniste, républicaine et démocratique », Faisons honte à la députation française, qui semble avoir perdu, ou n’avoir pas encore eu, ne serait-ce qu’un commencement de conscience morale !

    cf. ci-dessous des extraits du livre.

    E. Jourdain, psychanalyste 
     





    Extraits de Résister au bougisme (ou négation de l'identité humaine par l'UMP, le PS, le Modem

    « Les normes particulières de la modernisation mondialisatrice sont simples, voir sommaires : consommer toujours pluscommuniquer toujours plus rapidementéchanger d’une façon optimalement rentableRapiditéefficacité,flexibilitérentabilitéL’entrée dans la société bougiste planétaire et l’imposition à tous les peuples des valeurs de l’individualiste moderne/occidental (utilitaristes, "compétitivistes", hédonistess’accompagnent d’une réduction de la démocratie au couple formé par les droits de l’homme et le marché libresans frontières. Entre le sujet universel (le genre humain), sujet d’inhérence des droits de l’homme, et la multiplicité des individus idéalement dotés de droits, […] il ne doit rien y avoirNe doit rester que le face-à-face de l’universalité humaine abstraite et de l’individuinsulaire, mobile et sans mémoire, réduit à lui-même, littéralement dé-lié. Cette volonté d’éliminer les peuplesles nations et les États souverains est l’attribut principal du sujet mondialisateur et/ou globaliste, celui qui incarne ou représente le nouveau pouvoir polymorphe émergent à l’échelle planétaire. C’est là priver la démocratie de son champ d’inscription et d’exercicec’est plus largement abolir l’espace politique. […] Le processus de globalisation,toujours suivi par son double symbolique, [l’idéologie] du salut par le mouvement techno-marchandillégitime le politique tandis qu’il légitime […] le technique/technologiquel’économique et le financierLe lien social est pulvérisé pour être remplacé par les inter-actions libre-échangistesLe politique s’efface devant le médiatique et le financier, tandis que s’affaiblissent les institutions démocratiques. […] Cette idéologiefondée sur une promesse de salut dans et par le mouvement en avant perpétuel suivant une vitesse accéléréeje l’ai baptisée bougisme” ou “mouvementisme”. […] On peut caractériser le bougisme comme la dernière en date des métamorphoses de l’idée de progrès, produite par un appauvrissement de celle-ci : lorsque l’affirmation du progrès s’opère sans qu’en soit définie la notion, sans etre référée à des fins de l’homme qu’il s’agit de réaliser dans le futur (liberté, justice, etc.), sans s’appuyer sur une vision de l’Histoire universelle, elle revient à faire du “mouvement” ou du “changement” une idole, quelque chose comme un nouvelle Absolu, un substitut de l’Être suprême. Il s’agit d’un nouveau système du destin : au cœur de la vulgate émergente, l’on rencontre l’idée d’une évolution techno-marchande inéluctable. La catégorie vide de “mouvement” se charge ainsi de ce contenu résiduel. Voilà pourquoi, dans un contexte où “les forces rivales du tribalisme réactionnaire et de l’économie globale […] déchirent le tissu des nations démocratiques”, comme le dit très bien Barber, “ le combat pour la démocratie est devenu un combat non seulement contre la réaction, mais aussi contre un prétendu progrèsquiau nom de la globalisationpousse à la désintégration de la citoyenneté et à la marginalisation de la souveraineté populaire”. Par un paradoxe secrètement provocateur, les idéologues de la mondialisation rédemptricealors même qu’ils contribuent à détruire les conditions de possibilité de toute démocraties’efforcent de confisquer la référence à la démocratie et de monopoliser la célébration du régime démocratiqueCe discours en faveur de la démocratie que tiennent les nouvelles élites globalistes (et auquel elles tiennent tant), c’est-ce que je propose ici d’appeler le démocratisme”. Par ce mot en “isme ”, je désigne donc une rhétorique mystificatrice, impliquant un voilement idéologique de l’entrée dans la société posdémocratique, qui se caractérise notamment par l’effacement de la figure du citoyenau profit de celles du consommateur et de l’actionnaire.

    « Ce qu’on y appelle “démocratie” n’est que mise en scène médiatico-électoralerhétorique convenue et décor standard. C’est pourquoi la “vigilance démocratique”, réduite à une rhétorique “de bois” dans la société de réseaux qui remplace le civisme par le cynisme affairiste, tend à devenir l’esprit de la démocratie, supposé animer un système électoral intégralement professionnalisé. Une “vigilance” vide pour une démocratie spectrale. […] Les élites intellectuellespolitiques et médiatiques qui portent et illustrent le messianisme globalisteet démonisent simultanément tous les réfractaires à son imposition planétaire, sont au service de la nouvelle classe-caste transnationale qui, cumulant les pouvoirs économico-financiers et technologiques, vise en outre à se substituer aux dirigeants politiques traditionnelsélus de plus en plus évidemment dans des conditions pseudo-démocratiques(simple affaire de marketing) […] La nouvelle alliance de la ploutocratie et de la médiacratie a pour conséquence de réduire la démocratie à un spectacle commémoratifet de douteuse qualité. Tout se passe comme si la démocratie avait changé de nature. Comme si une transsubstantiation du type de régime avait eu lieu, masquée par la permanence de l’étiquetteLa vielle et belle dénomination recouvrirait une marchandise politique tout autre. Ne faut-il pas dès lors faire le constat d’une corruption de la démocratie, au sens conféré naguère à ce terme par l’Encyclopédie ? : […] « Corruption, en philosophie, est l’état par lequel une chose cesse d’être ce qu’elle était ; on peut dire que le bois est corrompu quant nous ne le voyons plus subsister, et qu’au lieu du bois nous trouvons du feu […]. De là cet axiome de philosophie, que la corruption d’une chose est la génération d’une autre. La corruption diffère donc de la génération comme deux contraires diffèrent l’un de l’autre. […] les contemporaines “sociétés démocratiques” sont en réalité des entités post-démocratiques et pseudo-démocratiques, et à bien des égards anti-démocratiquesAutant de raisons de se montrer réfractaire au modèle d’existence qu’elles s’efforcent d’imposer. […] »
    Les "violences psychologiques" dans la sphère publique faites aux dissidents politiques etc. en France (cf. le chapitre Soumission au destin économico-financier : de la résignation néo-religieuse au terrorisme intellectuel “bougiste”, sous chapitre intitulé Intolérances et répugnance de la “nouvelle classe”. 


    « Encore faut-il s’adapter au mouvement sans discussion ni interrogation ni révolteCeux qui refusent de suivre l’injonction bougiste et la version rose de la mondialisation sont aussitôt dénoncés et disqualifiés, en “novlangue”, comme “passéistes”, “frileux”, “rigides”, “crispés”, voir “réactionnaires”. Toute rébellion est stigmatisée commearchaïque”, toute résistance comme “populiste”. Le  “peuple”, voilà le superflu ; la nation, voilà l’origine de tout les maux. La nouvelle classe […] prend la relève des nomenklaturistes des prétendues “démocraties populaires” qui rêvaient de dissoudre le peuple pour opinions non conformes. Quant aux accusations de “fascisme” ou de“racisme”, plus récemment de “révisionnisme” ou de “négationnisme”, on sait qu’elles permettent, abusivement lancées, de disqualifier n’importe quel adversaire ou concurrent. De contraindre au silence les mauvais esprits. D’imposer surtout l’auto-censure dans l’espace des débats publicsD’installer ainsi un système de censure ni légal ni déclaré. […] La vraie censure, suggérait Barthesne consiste pas à empêcher de dire mais à obliger à dire.L’esprit de censure vise à imposer une langue châtiéeavec son lexique norméses tournures recommandéesses représentations positives et négativesOn dit et redit ce qu’il convient de dire. C’est ainsi que soupçons et accusationssont répétés. Tout se passe comme si […] l’installation de la pensée unique et obligatoire dans la société de consensus manipulé avait transformé l’espace pluraliste et conflictuel de la presse - et plus largement l’espace public - en un espace médiatique homogène, monodoxique, où règneraient un tyran invisible, le Journal unique ! L’opinion dominante n’a jamais tant tenu lieu de dogme, même pour les indifférents. Elle est fabriquée et entretenue dans les institutions du nouveau pouvoir intellectuel, devenu pouvoir médiatique. Démocratie est aussi vide que [...] (cf.Résister au bougisme pour la suite) 

    Dénonçer les outrages à la République et au drapeau français commis par la députation française est notre devoir à tous, car n’oublions jamais que des  femmes, mais surtourt des hommes, une inégalité de plus qui touche les hommes, sont morts pour des valeurs et les principes : émancipation des hommes et des femmes de notre pays, émancipation des peuples, et non leur asservissdement, pour la dignité de la personne humaine etc. COMBATTONS TOUS ENSEMBLE L'UMP LE PSLE MODEM, etc.

     

     

     

     

     

    Vive la République et la démocatie

    RE


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  • Un « inceste invisible » qui ne dit pas son nom : l’inceste de l'État français

    Cette « inceste invisible » de l'État français a été instauré subrepticement, puis « légalisé », à travers la promulgation d'un certain nombre de « lois », et notamment la nouvelle loi relative au délit de « violences psychologiques faites aux femmes  » dans le couple. Sous la pression de certains « psys » issus de mouvances idéologiques nauséabondes et détestables, (Yvonne Poncet-Bonissol officie, hélas, dans l'émission Toute une histoire sur France 2, Violaine-Patricia Galbert dans l'émission C'dans l'air sur France 5, Marie-France Hirigoyen etc.), de féministes intégristes (Sihem Habchi du mouvement Ni pute ni soumise etc.), d'avocats douteux (maitre Geiber officiant sur France 2 dans l'émission Toute une histoire), de journalistes féministes intégristes (Marie-Ange Le Boulaire qui officie dans les JT de France 2, Françoise Joly et Guilaine Chenu dans l'émission Envoyé spécial de France 2 etc.) et de personnes issus de certains milieux associatifs plus que douteux, des « lois anti-républicaines et illégales » ont été votées par la députation : « Il n'y a en effet de légalité que si et seulement si la loi est articulé au respect scrupuleux et effectif des procédures démocratiques, des valeurs et des principes d'une République [...], en partant du postulat que nous sommes dans une République, ce qui n'est aujourd'hui plus vraiment le cas [...]. Qu'est-ce qui caractérise alors ces hommes et ces femmes qui ont réussi à imposer leur loi par des moyens condamnables ? On peut faire ici le parallèle, voir un lien de parenté, entre la perversion du pervers sexuel pathologique et celle de ces hommes mais surtout de « ces femmes, féministes et psychologues » : une « structure et une personnalité perverse ». En effet, si le pervers sexuel pathologique impose à autrui « sa » loi, essentiellement d'ailleurs par la violence physique, à contrario, la féministe, la journaliste et la psychologue perverse, notamment, s'inscrivent sur une échelle d'une toute autre envergure, et imposent à la collectivité « leur » loi, non seulement par des manœuvres déloyales, des pressions permanentes sur le législateur, un lobbying, mais aussi et encore par un formatage médiatique des esprits, un terrorisme intellectuel systématique et surtout un contrôle des représentations sociales en écartant la dissidence intellectuelle des plateaux télévisuels […] : même mode opératoire, même méthode, même stratégie, et même processus inconscients pour arriver à leurs fins, d’où d'ailleurs l’expression heureuse du chercheur et sociologue J.P Legofff : « Le rapport bien particulier à la loi des psychologues, psychothérapeutes et autres associations de victimes » (cf. l’article sur Le harcèlement moral du même auteur). La « Loi de la République », la Loi dans sa neutralité, son respect des valeurs de la république et de l'Intérêt général, sa constitutionnalité etc.) a cédé sa place à des « lois »  émanant de cerveaux structurés dans la perversion. La députation française, gardienne des valeurs de la République s'est discrédité et avili en commettant une nouvelle fois de plus un outrage au drapeau  français et à la République. L' « inceste invisible , selon la définition d'Aldo Naouri et de la psychanalyse, se caractérise de la façon suivante : un lien malsain qui n'a pas lieu d'être « en empêchant l'enfant de grandir » (dans la famille) ; un lien malsain qui n'a pas lieu d'être « en abolissant la distinction sphère privée/publique » (au niveau de l'État français) ; un lien malsain qui n'a pas lieu d'être « en effaçant les frontières entre les corps » : les frontières symboliques entre le corps physique de la mère et celui de l'enfant (famille), mais aussi entre le corps politique et le corps social (État) sont floues, indiscernables et confondus (famille et État français) [...], d'où une « infantilisation » des individus et la disparition du sujet, et donc de la « violence psychologique » faite aux hommes et aux femmes [...] Par qui ? Orchestrée de main de maitre par ces femmes surtout qui dénoncent les effets du harcellement, de l'inceste, et de la violence psychologique etc. sur les plateaux télévisuels, on pourrait en rire s'il n'y avait pas tant de souffrance et de détresse chez nos enfants et chez nos maris. Dénoncer le crime ou l'horreur du phénomène social (la « violence psychologique », l'inceste et le harcèlement etc.) pour mieux le perpétrer, mais sur une échelle plus grande et qui plus est en toute discrétion et en toute impunité, tel est l'art féminin et féministe d'aujourd'hui. Citons encore à ce propos J.P Legoff : « Dans sa formulation comme dans la mobilisation qui s'est faite en son nom, le harcèlement moral participe de ce qu'il dénonce.[...] L'agressivité qu'on entend combattre et éradiquer au nom de la lutte contre le harcèlement se retrouve dans la véhémence de la dénonciation publique. Médias et justice deviennent les instruments d'une lapidation symbolique [...] » L'émission de M6 Génération Famille fut un exemple mémorable et inoubliable : sexisme et violences psychologiques à l'encontre des hommes étaient au programme de cette émission, au nom de la dénonciation des violences faites aux femmes, avec la bénédiction du proconsul Frémiot [...] Citons ici E.Badinter : « Les hommes et les femmes sont à égalité en ce qui concerne les violences psychologiques » = sexisme à l'encontre des hommes dans cette émission [..] ; mais aussi des « violences psychologiques », car il n'y a pas eu d'experts psychologues opposés à  cette femme issue d'une mouvance idéologique "sectaire"pour équilibrer les débats  : Marie france Hichigoyen ....[...]

    Livre/article à lire (obligatoire) :  Big Mother de Michel Schneider, écrivain et psychanalyste (ce livre préfigure cet inceste féminin invisible au niveau de « l'État français »)

                                                               La proportion maternelle à l’inceste d’Aldo Nourri, célèbre pédopsychiatre (cet article d’Aldo Naouri explique la notion d' « inceste invisible féminin » au niveau de « la famille ») 

    J'ai été scandalisé par le reportage tendancieux et partisan de Marie-Ange Le Boulaire sur les "violences psychologiques" faites aux femmes, sous tendant que les "violences psychologiques" ne sont que dans un sens d'ailleurs. Le respect de l'Autre semble dorénavant et plus que jamais à sens unique : "respectez nous, vous, les hommes ; nous, les féministes et les femmes, on a le droit de ne pas vous respectez ! ", comme si les femmes respectaient toujours les hommes et les enfants et que la faute incombe toujours à l'homme ; indigné par rapport à une nouvelle loi relative au "délit de violence psychologique" dans le couple ; en colère face à la faiblesse argumentative des témoignages diffusés dans le JT de 20h00 du mercredi 25 novembre 2009. Un petit rappel des valeurs et des principes est plus que jamais nécessaire : L’État n'a pas à s'ingérer directement dans la vie de couple ; l'État n'a pas à régenter les rapports humains, les attitudes et les comportements dans la sphère privée, et donc dans la vie de couple : cela s'appelle tout simplement du Totalitarisme, comme le suggérait d'ailleurs Toqueville dans son livre De la démocratie en Amérique. Il y a déjà dans le Code pénal des articles qui prennent en compte les atteintes à la dignité de la personne, et cela suffisait et aurait suffit amplement puisqu'il s'agissait, à la différence de la nouvelle loi en préparation, d'une loi générale, une loi extérieure et transcendante au couple. En effet, les articles 225-14 du code pénal et suivants sanctionnent le fait de soumettre une personne, en abusant de sa vulnérabilité ou de sa situation de dépendance à des conditions [...] d'hébergement incompatibles avec la dignité humaine. Le droit pénal ne manque donc pas de dispositions relatives aux atteintes à la dignité de la personnes, aux agressions verbales, aux menaces et aux violences psychologiques etc. Les raisons qui vont amener le gouvernement à légiférer sont en fait d'un autre ordre que celui du "vide juridique" supposé et avancé dans les médias : on est ici dans le domaine de l'idéologie féministe véhiculée par les médias sous domination féministe ainsi que leurs associations : femme victime, tout est viol etc. Les atteintes à la dignité de la personne s'inscrivaient jusqu'alors dans le cadre de la loi générale ; il n'en sera plus de même dorénavant : outre une ingérence et une intrusion directe et malsaine dans la gestion de notre vie intime et privée, le caractère incestueux d'une part de cette loi ne laisse pas d'inquiéter, la loi en préparation porte gravement atteinte aux valeurs républicaines et démocratiques pour la simple raison que dans une République, la loi n'a pas pour finalité de favoriser une communauté, et encore moins une catégorie sexuelle : en effet, les femmes sont d'emblée associées "dans l'esprit des juges" au statut de victimes, et le coupable désigné sera toujours et toujours l'homme : deux conséquences, primo, la discrimination sexuelle et le sexisme envers les hommes sont désormais légalisés et une fois de plus à sens unique ; secondo, cette loi accentuera la désintégration sociale et le délitement du lien social et du vivre-ensemble dans notre société, chacun pouvant se dire victime de l'autre pour des broutilles ! Le communautarisme (féministe, juif etc.) n'a pas sa place dans une République, mais pas pour le premier ministre. Pourtant, rien n'empêchait récemment encore de porter plainte pour atteinte à la dignité de la personne sans que cela puisse remettre en question le caractère inviolable de la sphère privée dans le couple, et on pouvait suite à des traitements dégradants, répétitifs, graves, difficilement prouvables judiciairement, difficilement identifiables et mesurables d'ailleurs, porter plainte contre son épouse ou son époux ! Cette ingérence directe et malsaine de l'État dans nos vies privées et intimes s'inscrit dans une sorte d'inceste étatique légal et légalisé que l'on ne saurait non seulement admettre mais qui est condamnable moralement et juridiquement à plus d'un titre ! Faut-il le rappeller aux magistrats ? C'est pourquoi il y a peu de gens qui oseront porter plainte ! La Loi symbolique séparant la sphère publique et la sphère privée doit rester inviolable et plus forte que l'État et sa volonté perpétuelle d'infantiliser les femmes et les français pour mieux contrôler leurs affaires, et en conséquence ici les dominer ; avec toute la souffrance et toute la violence qu'une telle domination étatique incestueuse sur les corps et les esprits peut engendrer d'ailleurs dans nos sociétés ! En effet, tout comme un lien maternel trop étroit favorise la violence chez les jeunes, le lien trop étroit mère/fils en effet ne permet pas à l'enfant de s'émanciper et d'être libre, il en est de même avec Big Mother et l'État maternel qui régne dans la société francaise (cf. Big Mother de Michel schneider) ; d'où des violences en constante augmentation malgré une inflation législative de plus en plus répressive : les mères autant que l'État maternel de l'UMP/du PS/et du MODEM sont les coupables, coupables car responsables de ce lien trop étroit et malsain qui ne permet pas l'émancipation des enfants et des hommes malgré le beau discours officiel d'émancipation ; mais c'est le genre féminin qui se pose en victime, cherchez l'erreur, elle est monumentale ! Et puis quand on ne s'entend plus dans un couple, on s'en va sans faire de chichis ! Et quand on n'y arrive pas tout seul, on se fait aider ! Le Code pénal n'a pas sa place en général dans ce genre d'affaires. Alors, ne donner aucune explications à l'Autorité policière et judiciaire si, un jour, vous êtes confronté à ce genre d'accusations et de dénonciations, qui peuvent être inventées par les femmes en toutes circonstances, et quoi qu'il arrive, le coupable, c'est l'homme, alors qu'il n'en est rien dans la réalité ! D'autre part, une loi votée par une minorité d'élus qui ne représente plus le peuple depuis longtemps (le Référendum sur L'Europe fédérale en est une démonstration éclatante) sous la pression d'une autre minorité qui plus est, il s'agit dans l'affaire qui nous concerne de féministes intégristes et extrémistes, n'a finalement aucun caractère légal et légitime : la "République" vient du latin respublica, c'est la "chose publique", c'est la "chose commune", c'est l'affaire de tous ; et non pas l'affaire exclusive de féministes intégristes et extrémistes : cette Loi n'est pas en conséquence une Loi de la République (cette loi en effet n'émane pas de la "Volonté générale" mais de la volonté d'associations féministes minoritaires et de leurs puissants alliés les médias ; elle ne s'inscrit pas non plus dans le respect des institutions et des valeurs républicaines qui stipulent l'existence d'une citoyeneté, d'une école de la République, d'un cadre national ou d'une souveraineté nationale, disparues depuis fort lontemps etc.)

     Titres des prochaines publications (à une date indéterminée dans l'ensemble) :  Alerte aux anti-démocrates (fin septembre 2010)  

    1.Le rapport bien particulier à la Loi des associations de victimes et de maître Geiger (publication : février 2010 environ) ; 2. Un acte sexuel forcé dans un couple n'est pas un viol : pourquoi ? ; 3. La notion de consentement n'a aucun sens ; 4. Alerte aux anti-démocrates (I,II,III) ; 5. Il n'y a plus d'école de la République en France ; 6. Le "négationnisme" de la nature humaine, de l'Histoire et de la vie par l'ordre matriarcale et féminin : ses conséquences sur la réalité de l'amour maternel ; 7. Le rapport bien particulier au Droit des politiques, des magistrats et des forces

     


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  •  « Rapport bien particulier à la Loi » de maitre Geiger (cet individu qui a fait des études de droit pour mieux en détourner le sens officie sur le service publique dans l’émission Toute une histoire sur France 2) ; rapport bien particulier à la Loi aussi des « femmes, féministes, journalistes, psychologues et associations de victimes », mais aussi des médias et des politiques etc. [...] En effet, des « lois au service d’un sexe et/ou d’idéologies nauséabondes » [...] se substituent de plus en plus à la fameuse « Loi de la République », désormais et de plus en plus en voie de disparition : « lois au service d’une idéologie nauséabonde et détestable » (l'idéologie ou l'idée selon laquelle la « justice  et la « loi » doivent réparer la souffrance des victimes [...], voir ci-dessous) ; « lois au service d’un sexe », le sexe féminin, ce qui est normalement anticonstitutionnelle et contraire aux valeurs de la République (loi relative aux « violences psychologiques » faites aux femmes par exemple) : la loi est ainsi instrumentalisée et dénaturée de son sens étymologique pour devenir l’allié et le soutien d’un sexe, d’une minorité et de son idéologie : Les expressions « au non de la Loi » ou bien encore « c'est la Loi », évoquées souvent par la police et la justice ont fait place désormais à la formule : « au nom de leur loi », c’est-à-dire au nom de la « loi de quelques féministes et autres groupes dits dominés » qui dominent finalement les hommes. [...] Je vous invite à réfléchir à cette grave question qui ne laisse pas d'inquiéter les humanistes et les défenseurs de la République […] L'esprit des lois de la république et la Loi ne sont plus désormais que des vieux souvenirs [...] : ils font  place trop souvent dorénavant à une nouvelle formule : « au nom de leur loi ». Il est temps de confondre les procureurs et les préfets, la police etc. dans leur trahison des idéaux républicains ; de les confondre dans leur mensonges et leurs contradictions  ; de les mettre face à leurs responsabilités et leurs devoirs ! Un préfet, un procureur n'a pas à « salir impunément la robe de la république » dans l'exercice de ses fonctions...Bref, il faut  leur tirer les oreilles au propre comme au figuré, puisque l'on ne peut les condamner pénalement à l'heure actuelle !  [...]

    À lire (obligatoire) :  Que veut dire le harcèlement moral ? ” de J-P.Le Goff : dans la revue Le débat, n°124, mars et avril 2003 (article que l'on peut consulter en intégralité dans une bibliothèque) 

                                           Fausse route de Badinter Elisabeth   

     

    « lois au service d’une idéologie » : 1ère exemple

     

     F L’idéologie selon laquelle la « loi et la justice » sont instrumentalisés : la loi no-2002 73 de modernisation sociale sur le harcèlement moral au travail du 17 janvier 2002. Des idéologies détestables et nauséabondes inscrites dans les lois françaises, la « volonté particulière de quelques femmes qui prévaut sur l’Intérêt général et le respect des principes républicains et démocratiques […] des lois « illégales voir anticonstitutionnelles », c’est notamment le cas avec la notion de « harcèlement moral » que l'on évoquera ci-dessous, mais c'est aussi le cas plus particulièrement avec la notion de « viol » (dans un prochain article) et de « violences psychologiques », telles sont les conséquences et les évolutions d’une conception de la Loi, de la République et de la démocratie bien particulière aux anti-républicains (journalistes, féministes intégristes, associations de victimes,  psychologues) sur lesquels s’appuient les politiques pour assoir, chacun de leur coté, leur domination sur le reste de la population : Le totalitarisme s’appuie en effet sur un certain nombre de minorités pour mieux régner [...]  Jean Pierre Le Goff,  sociologue et chercheur au CNRS a dénoncé dans la revue Le Débat de 2003 la notion de « harcèlement moral » et l’idéologie qui la sous-tend, une idéologie qui dénature l’essence même de la Loi […]. En voici quelques extraits :

    « Thérapeutes et associations de défense des victimes relayées par les médias font valoir un rapport bien particulier à la loi. L’inscription du“ harcèlement moral” dans la législation est faite pour venir au secours de la victime en“ nommant sa souffrance” et en la reconnaissant comme victime ayant des droits. La loi est considérée comme un processus thérapeutique globale qui passe par la déculpabilisation de la victime, la verbalisation de ce qu’elle a vécu (pouvant s’accompagner d’un témoignage public) et le recours en justice contre le harceleur. Sur le plan psychologique, un jugement positif reconnaissant la réalité de l’agression est considérée comme une étape essentielle dans le processus de guérison. Le recours à la dimension symbolique du tiers que représente la loi est ainsi envisagé comme l’instrument nécessaire permettant à l’individu de se décharger du poids d’une culpabilité inconsciente, de se désengager d’une relation duelle destructrice et de «e reconstruire ». Cette référence au tiers semble s’inscrire dans une conception traditionnelle de la justice alors qu’elle la subvertit de l’intérieur en déplaçant le centre de gravité vers l’individu souffrant et en faisant du tiers neutre un instrument à son service. Le droit n’est plus considéré comme une référence qui symbolise la prééminence d’un ordre commun sur les désirs individuels, mais l’instrument qui permet de se faire reconnaitre comme victime et d’exiger réparation. Psychologisation et instrumentalisation de la loi vont de pair, thérapeutes et juristes spécialisés accompagnant et encadrant ce processus. Loin de réaffirmer la prééminence d’un ordre collectif dont la transgression est sanctionnée par la loi, la notion de « harcèlement moral psychologise et instrumentalise un peu plus la justice ». J.-P. Le Goff met en évidence également dans cet article de 2003 les « conditions d'émergence du harcèlement » en en désignant implicitement les causes et les "coupables" : le « Néolibéralisme », le « Globalisme  » , le « Mouvementisme », l’ « Européisme », mais aussi les politiques qui sont adoptées et appliquées en leur nom. Ces idéologies et politiques auxquelles adhèrent l’UMP (de Mr Jean François Copé et cet ordure de Mr Fennec, mais aussi le PS, le modem, et dans une moindre mesure, le Front de gauche et Europe écologie (Européisme surtout) asservissent non seulement les hommes et les femmes de France et d'Europe, mais ces idéologies sont incompatibles avec « l’idée même de République et de Démocratie, avec l'idée même d'Humanisme et de Civilisation » [...]

    « lois au service d’une idéologie et d'un sexe » : 2ème exemple

     

    L’idéologie selon laquelle la « loi » et la « justice » sont instrumentalisés et dénaturés : l’article 222.23 du code pénal sur la définition du viol […] (cet article fera l’objet d’une autre publication à une date ultérieure, lisez en attendant Fausse route de E. Badinter, une féministe plus honnête qui dénonce le « tout viol » …) [...]

     

    Titres des prochaines publications (à une date indéterminée dans l'ensemble) :

    Alerte aux anti-démocrates (entre juin et septembre 2010)

    1.Le rapport bien particulier à la Loi des associations de victimes et de maître Geiger (publication : février 2010 environ) ; 2. Un acte sexuel forcé dans un couple n'est pas un viol : pourquoi ? ; 3. La notion de consentement n'a aucun sens ; 4. Alerte aux anti-démocrates ; 5. Il n'y a plus d'école de la République en France ; 6. Le "négationnisme" de la nature humaine, de l'Histoire et de la vie par l'ordre matriarcale et féminin : ses conséquences sur la réalité de l'amour maternel ; 7. Le rapport bien particulier au Droit des politiques, des magistrats et des forces de l'ordre (suite 1) ;

     


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