• Ô douleur ! Ô peine ! Mon corps m'a trahi, il vieillit et l'enfant qui se cache en moi me lâche, que faire devant  cet ennemi qui use mon corps, que choisir et quand réagir.

    Mes rêves me tourmentent, mes envies et mes projets que j'ai laissé de coté dans un tiroir me manquent, et je suis là dans un petit coin à attendre que nos rêves mûrissent pour cueillir leurs fruits, mais le temps est devenu mon ennemi.

    Je suis là assise comme une poupée sans voix, je sourie avec un regard qui brille, et l'envie de crier, de pleurer m'étouffe. Je ne rêve plus je ne vis plus, je ne fais que compter les jours qui passent.


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  • Une immense tristesse m'envahit, une envie de pleurer, de marcher jusqu'à m'épuiser et ne plus penser à rien.

    je ne sens seule, même si je ne le suis pas vraiment.


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  •      
        Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,
        Traversé çà et là par de brillants soleils ;
        Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,
        Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. 
       
        Voilà que j'ai touché l'automne des idées,
        Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux
        Pour rassembler à neuf les terres inondées,
        Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux.
       
        Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
        Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
        Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ?
       
        - Ô douleur ! Ô douleur ! Le temps mange la vie,
        Et l'obscur ennemi qui nous ronge le cœur
        Du sang que nous perdons croît et se fortifie !
    Baudelaire

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    Loin de la pression et du poids

    Qui s'abat sur mon être parfois

    Je cesse de penser à mes craintes et à toi

    A tout ces instants de bonheur que je te dois

    Mais le trouble et l'angoisse qui est en moi

    Et mes peurs surgissent chaque fois

    Que je pense de venir la proie

    D'une  souffrance que je ne conçois

    Et que dans la douleur un jour  je me noie,

    Alors je m'enfuis vers mon refuge étroit

    Pleurer la grandeur de mes émois

    Et si je ne parviens à répondre au pourquoi

    C'est que je m'aperçois

    Etre plus faible que je ne le crois


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  •  

     Fouir le monde n'est pas aussi simple que l'on croit,

     Par moment on veut rêver car c'est plus simple de rêver, de plus ça nous permet de ne pas se poser de questions un certain temps, 

     Alors qu'en est-il des cauchemars, Peut-on dire que c'est un signal d'alarme, qui nous rappelle nos peurs? Parfois nos cauchemars nous fons affronter nos craintes et nos pensées que l'on refuse d'écouter, sans le vouloir on se retrouve face à tous ce qu'on ne s'avouer,  

     Et plus on refuse de les écouter plus ils devient de plus en plus posant et terrifiant,

     Le mal est bien présent dans notre existence, on ne peut dire qu'il suffit de voir le bon coté des choses pour pouvoir avancer, et bien qu'il y a toujours des exceptions, plus le temps passe plus la magie disparaît et la réalité se met à l'évidence.


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