• L'Indépendant/Midi-Libre,, " Un trésor en plein coeur de la Cité ", mardi 29 juillet 2014. (Laurent Rouquette)

     

    L'Indépendant/Midi-Libre,, " Un trésor en plein coeur de la Cité ",  mardi 29 juillet 2014. (Laurent Rouquette)


    " L'Indépendant/Midi-Libre,, " Un trésor en plein coeur de la Cité ",  mardi 29 juillet 2014. (Laurent Rouquette) "

    « Un trésor en plein cœur de la Cité ? »

     

    Albert Fagioli, radiesthésiste, vérifiait, hier, sur le terrain, ses découvertes à propos du monument. Albert Fagioli en pleine recherche, hier matin dans les rues de la Cité.

    Albert Fagioli, radiesthésiste, vérifiait, hier, sur le terrain, ses découvertes à propos du monument. L'apparence est celle d'un touriste lambda (pantacourt, tee-shirt, sac photo en bandoulière) mais l'étrange chose qu'il tient en mains fait se tourner les regards. Dans la rue Cros-Mayrevieille, l'artère principale de la Cité de Carcassonne, Albert Fagioli avance en brandissant devant lui son Dowser. Soudain, la pointe de l'appareil se tourne franchement vers la gauche. "C'est là, affirme-t-il. Le souterrain est là-dessous". Et une "découverte" de plus confirmée sur le terrain…

    "Il y a quelque chose !"

    Car si Albert Fagioli arpente, ces jours-ci, les ruelles de la Cité, c'est pour y vérifier des recherches effectuées sur carte, chez lui, en Moselle. Sur un simple plan, toujours grâce à son Dowser, le radiesthésiste a identifié une bonne quinzaine de souterrains, pour la plupart entrant et sortant du monument ou du château comtal. Et puis, il a repéré ce tracé d'une galerie en sous-sol, partant de la Tour du Tréseau pour traverser le monument jusqu'à la porte Saint-Nazaire. Et, au milieu, sous l'ancien jardin potager du couvent des sœurs de Saint-Vincent-de-Paul, il a dessiné les contours d'une salle souterraine circulaire… Cette salle,"elle est bien là", affirme-t-il une fois rendu sur les lieux, devenus aujourd'hui un parking pour l'hôtel du Donjon. Presque à l'identique du dessin qu'il avait fait sur le plan, Albert Fagioli retrouve les limites de la salle et fait de grandes traces au sol avec les pieds. À l'aide d'une baguette type sourcier, il affine puis détermine la taille de la salle : environ 8 m de diamètre. Il teste ensuite sa profondeur : elle serait enfouie à quinze mètres sous terre. Enfin, il se concentre sur un nouveau mouvement de sa baguette et lâche, furtivement : "Il y a quelque chose…"

    « Le dowser est un outil de recherche radiesthésique, version moderne de la baguette de sourcier. »

    Troublant

    Quoi ? On n'en saura pas plus. Un trésor, peut-être ? Albert Fagioli ne veut pas s'avancer. Il a fait face, depuis toutes ses années de pratique de la radiesthésie, à de nombreux sceptiques et ne veut certainement pas ajouter de l'eau au moulin de ses détracteurs. Mais sa capacité à repérer, sur plan, les cavités souterraines et la précision avec laquelle il a effectué, hier, à la Cité, ses confirmations de terrain, sont troublantes. Tout comme ces mouvements du Dowser placé entre les mains d'une consœur journaliste qu'on ne peut soupçonner de complicité. Reste à confirmer, par des fouilles éventuelles, la présence de ces cavités, souterraines et peut-être trésors…

    Un amateur passionné

    Albert Fagioli travaille sur plusieurs "mystères", dont Rennes.L'homme qui arpente en ce moment les rues de la Cité est un passionné de radiesthésie, mais également d'Histoire. Albert Fagioli, âgé de 45 ans, est mécanicien-régleur sur machines offset "dans le civil", mais il pratique la radiesthésie depuis de nombreuses années, toujours à la recherche des grands mystères de l'Histoire que le sous-sol pourrait révéler. Ainsi en est-il de ses recherches sur le Duc d'Enghien, et sur son fabuleux trésor, issu de l'héritage de la famille de Condé, qui passionna les foules dans les années 1920. Albert Fagioli, à l'aide de son appareil Dowser et de son extrême sensibilité, assure avoir découvert le probable emplacement du trésor qui serait notamment constitué de 400 kg de pièces d'or. Plus près de nous, le radiesthésiste a travaillé sur Rennes-le-Château et identifié notamment un souterrain, entre la Tour Magdala et le Casteillas. Il a également repéré deux cryptes sous l'église, dont il a donné les dimensions précises et la localisation des six souterrains qui partent de ces cryptes. Cryptes à Alet Enfin, Albert Fagioli était la semaine dernière à Alet (notre édition du vendredi 25 juillet). Il y a mis en évidence l'existence de deux cryptes, dont une dans laquelle il estime que pourraient se trouver des malles renfermant des archives. Car le Dowser, cet appareil simplissime utilisé par M. Fagioli (sorte de version moderne de la baguette de sourcier) ne repère pas que les cavités. Il peut aussi indiquer la nature de ce qui y est enfermé. Pour peu que l'on sache en déchiffrer les signes…

    Voir l’article : http://www.lindependant.fr/2014/07/29/un-tresor-en-plein-coeur-de-la-cite,1912707.php

     


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