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Par TAOMUGAIA le 21 Juin 2012 à 07:31
« Je vous ai déjà dit que j’exige quelque chose de bien plus universel que la compassion envers les animaux : il faut que cette compassion croisse sur le sol d’un respect universel devant tout ce qui est vie. Sinon, cette compassion reste incomplète et inconstante. »
Albert Schweitzer
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Par TAOMUGAIA le 13 Juin 2012 à 07:30
"Nous sommes réticents aux meurtres particuliers, mais permissifs aux génocides, et résignés au meurtre général, biologique."
Viviane Forrester-La violence du calme
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Par TAOMUGAIA le 3 Mai 2012 à 07:45
Dimanche prochain, je voterai pour Hollande. Uniquement pour que le sale type que tu vois sur la photo dégage.
L'ami de la bande du Fouquet's, le proxo de l'hôtel Bristol, est aussi le candidat préféré de la racaille des talus et des aficionados.
Pour prendre son panard devant un baltringue tournant autour d'une bête ensanglantée, il faut être bien barré et atteint.
Sarkoléon l'est. Le pote de Simon Casas doit aller se faire voir ailleurs, loin, très loin. Le père Noël des viandards attend qu'on le jette à la benne, avec les encombrants. Fais-lui ce plaisir; et qu'il crève la gueule ouverte.
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Par TAOMUGAIA le 26 Avril 2012 à 07:43
Le chat noir
Un fantôme est encor comme un lieu
où ton regard se heurte contre un son;
mais contre ce pelage noir
ton regard le plus fort est dissout:ainsi un fou furieux, au paroxysme
de sa rage, trépigne dans le noir
et soudain dans le capitonnage sourd
de sa cellule, cesse et s’apaise.Tous les regards qui jamais l’atteignirent,
il semble en lui les recéler
pour en frémir, menaçant, mortifié,
et avec eux dormir.
Mais soudain, dressé vif, éveillé,
il tourne son visage — dans le tien:
et tu retrouves à l’improviste
ton regard dans les boules d’ambre
de ses yeux: encloscomme un insecte fossilisé
Rainer Maria Rilke
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Par TAOMUGAIA le 20 Avril 2012 à 08:57
Les oiseaux perdus
Le matin compte ses oiseaux
Et ne retrouve pas son compte.Il manque aujourd'hui trois moineaux,
Un pinson et quatre colombes.Ils ont volé si haut, la nuit,
Volé si haut, les étourdis,Qu'à l'aube, ils n'ont plus trouvé trace
De notre terre dans l'espace.Pourvu qu'une étoile filante
Les prenne sur sa queue brillanteEt les ramène ! Il fait si doux
Quand les oiseaux chantent pour nous.Maurice Carême
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