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    Celles et ceux qui crèchent à Paris ou en Ile de France sont vraiment vernis pour le coup... Paul Watson sera dans le coin dimanche 3 avril et elles/ils auront l'occasion de le rencontrer et de taper la discute avec lui.
    Tiens, lis-ça :

    "Le dimanche 3 avril 2011 aura lieu une soirée spéciale à La Flèche d'Or à Paris, en présence du Capitaine Paul Watson :


    Au cours d'une soirée de concerts, le Capitaine Paul Watson, Président et Fondateur de Sea Shepherd, ONG de défense des océans, de retour de la septième campagne d'intervention contre la chasse à la baleine dans le sanctuaire baleinier Antarctique, donnera une conférence au cours de laquelle il reviendra sur la victoire historique remportée cette année sur les baleiniers japonais. Paul Watson présentera également les enjeux et les objectifs des interventions de Sea Shepherd en Méditerranée contre la pêche illégale au thon Rouge et aux iles Féroé (Danemark) contre les massacres de dauphins, prévues l'été prochain.

     

    La conférence sera traduite en simultané par Lamya Essemlali, Présidente Sea Shepherd France. 

     

    Monsieur Moulinot, qui fêtera les 1 an de la Moulibox et notamment de la "Moulibox Sea Shepherd", sera également présent lors de cette soirée."

     

    Programme

    -18-19 heures : concert

    -19-21 heures : discours et échanges avec Paul Watson

    -21-minuit :  concert et DJ

      


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  • Couv_20CochonQuiChantait_Masson_pt1

    Le dernier livre de J. M. Masson sort aux éditions One Voice ! Découvrez, à travers une multitude de témoignages et d’observations, la vie émotionnelle des animaux de ferme, dont la sensibilité demeure méconnue du plus grand nombre.   

    Une collaboration passionnante
    Jeffrey Moussaïeff Masson et One Voice ont décidé de s’associer pour l’édition de la traduction française du  "Cochon qui chantait à la lune".
    Pour cet auteur de best-sellers, spécialiste de la vie mentale des animaux, comme pour l’association, un seul objectif : contribuer à ce que les animaux soient mieux connus du grand public, pour mettre un terme à leur exploitation. Avec ce livre, l’accent est mis sur les animaux élevés dans les fermes : cochons, vaches, moutons, chèvres, poules et canards.

    Des cochons surprenants
    Dans son nouveau livre, Masson fait définitivement tomber les idées reçues concernant les cochons. Leur personnalité, autant que leurs comportements sociaux et leurs préférences alimentaires les font étrangement ressembler à nos semblables. Il décrit des animaux intelligents et attachants, qui remuent la queue comme les chiens lorsqu’ils sont contents et sont capables d’aimer les humains, sans doute bien plus que de raison...

    Des poules qui câlinent
    Masson raconte aussi comment se comportent les poules lorsqu’elles ne craignent pas l’humain, rapportant notamment le cas de certaines aimant beaucoup se faire câliner… Il relate aussi l’histoire de l’une d’entre elles, particulièrement taquine, qui prend un malin plaisir à faire sursauter un chat.
    Les poules acquièrent grâce à lui une identité, et s’avèrent, bien plus que des volatiles stupides, des oiseaux sensibles capables de choses surprenantes lorsqu’on leur permet seulement d’exister et de nous faire confiance !

    Des facéties des chèvres aux canards pacifiques
    A travers une multitude d’anecdotes, de rencontres et d’observations, Masson lève le voile sur les animaux les plus intensément exploités. Il nous livre ainsi de fascinants témoignages sur les facéties des chèvres et leur grande intelligence, mais aussi de belles histoires d’amitiés entre des moutons ou des veaux et, plus surprenant encore, celles de canards pacifiques et altruistes...

    Changer le regard
    Au fil des pages, on comprend que si nous ignorons tant de choses à propos de ces animaux, c’est sans doute parce que nous ne voulons pas les connaître, pour pouvoir continuer à les exploiter - impunément. Car une fois que l’on a ouvert les yeux sur le trésor de leur existence, on ne peut plus les considérer comme d’insensibles machines à produire...

    Extrait de l’avant-propos :
    « (…) La plus terrible de toutes les injustices consiste à ôter la vie à un animal, QUEL QU’IL SOIT, car il ne peut plus exprimer sa raison d’être qui est simplement d’être, d’exister et de faire tout ce à quoi son évolution l’a conduit : ressentir des émotions, nouer des relations, vivre en liberté dans un environnement naturel sans être exploité par un autre être. Il n’existe aucune excuse pour tuer un animal et nous devons nous garder des tentatives de justification au nom de la nécessité ou d’un droit divin.


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  • cri

    Tiens, je ne vais pas me gratter... Pour parler de la parution récente du bouquin de Sandrine Delorme "Le cri de la carotte", je vais laisser faire celui dont c'est le métier et qui sait de quoi il retourne; son éditeur (Les points sur les i).
    Sache que les illustrations, vraiment chouettes, sont l'oeuvre d'Insolente Veggie, qui tient vaillament (bien qu'elle ne bouffe pas de cadavres) un blog à visiter sans tarder.

    […] Je suis devenue végétarienne parce que j’ai compris ce qui se cachait de l'autre côté de mon assiette. Pour le veau, comme pour tout autre animal devenu viande. Je n’avais alors aucune idée des conséquences, ni de la longue évolution qui m’attendait, ni de brusquement devenir, simplement parce que je changeais mon alimentation, une sorte d’objecteur de conscience. […]
    Les mouvements pour le végétarisme, pour le véganisme et pour les droits des animaux ne cessent de préoccuper les consciences collectives et s’invitent de plus en plus souvent dans les médias.

    Sandrine Delorme, à travers un récit de vie, drôle, nourri par de nombreuses réflexions, répond avec brio à une foultitude de questions : qui sont les « VG » ? Pourquoi et comment devient-on végétarien, végétalien, végane, militant de la cause animale ? Quels liens avec le bio, l’écologie, la décroissance ? Pourquoi s’occuper d’animaux plutôt que des humains ? Et quid des végétaux ? Enfin, les animaux ne se mangent-ils pas entre eux ?...

    Le cri de la carotte propose de s'orienter vers une réflexion commune pour la cause animale; en effet, depuis quand un comportement ancré dans nos habitudes lui confère-t-il une légitimité ?

    Aux omnivores, aux apprentis végétariens ou aux activistes des droits des animaux, cet ouvrage suggère de nombreuses pistes et aide chacun d’entre nous à élargir le champ de son humanité.

    Préface de Jacques Boutault, maire du 2e arrondissement de Paris, où les cantines scolaires servent depuis janvier 2009 un repas végétarien hebdomadaire.


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  • news_100603_2_1_Peter_Bethune

    Il pouvait prendre 15 ans de taule. Il en a pris 2 avec sursis et pourra ainsi rentrer chez lui, en Nouvelle-Zélande, en héros.
    Lui, c'est Peter Bethune, le membre de l'équipage de Sea Shepherd Conservation Society qui affrontait la flotte baleinière japonaise dans les eaux de l'Antarctique l'hiver dernier.
    Il était à bord de l'Ady Gil, un trimaran très performant, quand un baleinier japonais, le Shonan Maru 2, avait délibérément foncé sur le bateau, le percutant puis le coulant, menaçant à cet effet la vie de 6 militants de SSCS.
    Peter s'était alors introduit sur le baleinier pour protester contre l'acte inqualifiable des tueurs de baleines.
    Mais tout ça, je t'en avais parlé. Reporte-toi donc à mes articles de février dernier.

    Capturé comme un véritable prisonnier de guerre, détenu au Japon dans un centre de haute sécurité, Peter risquait gros. Il faisait face à cinq chefs d'accusation (coups et blessures, violation de propriété privée...).

    Le jugement rendu il y a quelques heures par le tribunal de Tokyo est plutôt clément, ce qui était l'objectif des avocats de Peter Bethune qui n'avaient pas plaidé la relaxe, sachant que le procès était mené à charge compte-tenu des considérations nationalistes et xénophobes qui entouraient l'affaire.
    Peter devait être condamné, il l'a été mais il est aujourd'hui libre et sera expulsé du Japon.
    Comme le rappelle SSCS, Peter Bethune a participé activement à une opération qui a permis de sauver la vie de 528 baleines.

    Peter est un chic type, un vrai chic type.


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  • crew_aerial_ship_crew_by_Paul_Taggart

    Paul Watson était en France début avril où il a donné quelques conférences. Ce fut pour lui l'occasion de revenir sur la dernière campagne (opération Musashi) de Sea Shepherd Conservation Society dans les eaux glacées de l'Antarctique, afin de pourrir la vie de ceux qui donnent la mort, pour plomber les coûts de cette chasse à la baleine conduite par la flotte japonaise.

    Le quotidien Libération lui a consacré une pleine page dans son édition du lundi 20 avril.

    L'article est mou du genou, avec un ton distancié qui me déplaît mais bon...L'essentiel est de franchir la muraille des médias qui sont en général peu commodes et malveillants avec la cause animale, surtout quand elle s'affiche comme radicale comme c'est le cas avec le captain Watson et SSCS.

    Voici un extrait. Puis le lien (ne tarde pas trop pour cliquer dessus car il se peut qu'il ne reste pas valide très longtemps).

    "Le job, c’est six mois en mer par an pour contrer les prédateurs des baleines, requins, dauphins, phoques et même concombres de mer. Et bientôt, le thon rouge de Méditerranée.
    Mais quand on dit défendre, on ne parle pas de manifs ou de pétitions.
    Watson prône l’intervention. Ses bateaux n’hésitent pas à attaquer les navires à coups de «guerre chimique biologique» (des bombes à base de beurre pourri), d’éperonnage à l’ouvre-boîtes géant ou de poursuites sur des milles de baleiniers qui ripostent parfois avec violence.

    Watson fait tout pour leur polluer la vie et frapper au portefeuille. L’argumentaire est rodé : «Nous avons la loi pour nous, nous agissons au nom des réglementations internationales. Le jour où les Etats les feront respecter, nous arrêterons.» Les aventures du Captain Watson ont inspiré plusieurs films - le dernier, Pirate for the Sea, fait la tournée des festivals - et une série documentaire télé, Whale Wars, suit ses campagnes."

     

    http://www.liberation.fr/terre/0101562974-harpon-entendeur

     


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