• Francis Marmande ou au-delà de la connerie

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    Francis Marmande aurait pu choisir de travailler comme quiconque. Comme le commun des mortels, dont il partagera le sort.
    Mais non. Sorti de Normale sup', agrégé de lettres modernes, il bosse quand il a le temps. En fait, quand il a fini d'écrire des conneries; ce qui lui laisse peu de répit.

    Francis Marmande écrit pour Le Monde. Ce quotidien qui avait censuré et désactivé mon blog. Au nom de la liberté d'expression, celle de Jack-Alain Léger, fervent aficionado, vieux pote de boisson de Francis, et qui, pour terrasser les anti-corrida, balançait dans le même journal, édition du 05 juillet 2002 : " La fiesta brava ? Hitler était contre (Reichgesetz du 24 novembre 1933)."
    Car Francis Marmande bande pour la corrida.

    Francis Marmande adore cet arrière-goût fasciste de la mort et de la cruauté qui s'habillent en collants roses, portés par des matadors équipés de tout en série, sauf de coeur.
    Est-ce l'expression d'une virilité défaillante ? On ne sait...Quoique...On reste songeur quand il déclare " Morante enchante les deux sexes, mais surtout, à cela se reconnaît un torero, Morante hystérise mal les mecs."
    C'était dans Le Monde du 26 mai 2009, dans une chronique intitulée "Au-delà du bien et du mal".

    Francis aurait-il des problèmes avec sa bite ?  Ou sa libido, comme tu veux.
    Parlant d'un bar situé dans le 11ème arrondissement de Paris, à proximité de la statue de Léon Blum, il ne peut s'empêcher de préciser : "statue qui évoque un torero tirant une véronique en lunettes."

    Tu auras compris le jeu de mots foireux : une véronique, c'est une passe de cette cape qu'on appelle 'capote'.

    Francis a des bouffées de sadisme. Il ne saurait comment vivre sa sexualité perturbée. Exalté, il a choisi la corrida.
    Il a l'air chic, savant, cultivé, a lu Ortega y Gasset dans les chiottes des arènes de Nîmes et ça lui picote dans le bas-ventre quand il regarde un toro se faire charcuter et exécuter dans l'arène.

    Le fumet du sang lui chatouille certes les sinus mais il doit également véroler quelques neurones, sinon comment expliquer ce qu'il dit de ce matador (Morante de la Puebla) ? :" Il inspire des sentences fameuses : "La tauromachie n'est art que parce qu'elle naît science." Il exalte l'important, lequel voit en le voyant, dans sa boule de plastique, force ellipses et autres huit euclidiens".

    Mais restons dans l'option peine-à-jouir.
    Jack-Alain Léger, toujours, en conclusion de son article, revendiquait pour son ami Francis : "Les deux oreilles nous lui accorderons, oui, et, tiens ! la queue !
    "

    Quand je te dis que la corrida, c'est la distraction préférée des impuissants.


  • Commentaires

    1
    Olaf44
    Vendredi 27 Décembre 2013 à 01:38
    Un abruti faisant tout passer au nom de l'Art
    J'ai malheureusement été élève de ce pitre ridicule durant mes études à Jussieu. Je donnerai des infos à qui bon semble sur cet abruti qui sacralise tout et n'importe quoi au nom de l'Art. Notamment une anecdote où j'ai mis cet adorateur de la torture animale en colère, à un point où il s'est ridiculisé.
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