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    La soirée vécue par Julia

    C'est vrai que la journée de samedi, je n'ai pas trop pensé à ce qui allait m'arriver le soir même. Ce n'est que quand tu es arrivé que je me suis dit, ça y est dans une heure, je serai au centre de la soirée et que j'ai vraiment réalisé que j'allais avoir plusieurs hommes (je ne savais pas encore combien à ce moment précis) pour moi toute seule. En fait, j'étais un peu gênée d'être le centre d'intérêt de tous ces hommes et la "chose" pour laquelle ils se déplaçaient. Je me disais en moi même, à moi d'être à la hauteur...

    J'ai aimé me préparer, mettre en valeur mes formes, me parfumer, me maquiller et être la plus désirable possible.
    J'ai commencé vraiment à avoir l'estomac serré lorsque mon mari m'a dit "c'est bon, ils sont là, nous allons pouvoir commencer...".

    A genoux dans les escaliers......

    Mon mari m'a alors mis un bandeau sur les yeux et m'a amenée dans les escaliers. L'attente a été longue et rapide à la fois... J'essayais de capter des bribes de conversation et d'entendre les voix qui me parvenaient au loin...
    Puis, le premier homme est monté. Je me demandais ce qu'il pouvait penser à ce moment précis de la soirée.
    Me trouvait-il à son goût, est-ce que je l'impressionnais? Ses mains douces ont commencé à parcourir mon corps, mes seins, mon cou, mes joues, mes lèvres... J'étais suspendue à ses gestes et je n'osais pas le toucher. Puis, j'ai entendu qu'il dégrafait son pantalon et il m'a attiré doucement vers son sexe pour que je le lèche et le suce... C'était un véritable bonheur. Je goûtais avec délectation à son sexe, en promenant ma langue sur toute la surface du gland... Jugeant que je ne devais pas aller plus loin, mon premier amant me retira doucement le sexe de la bouche et je l'entendis monter les escaliers...

    Je savais que le nombre d'hommes présents serait au moins égal à 3. Mais mon mari avait laissé planer le doute et je ne savais pas exactement combien seraient là...
    Le second homme montait... Lui aussi était très doux. Je sentais son appréhension, car sa main tremblait en me caressant. Lui aussi semblait excité par cette situation car son sexe était déjà très dur quand je décidais de le sucer. J'étais très concentrée sur mon rôle de "salope soumise" et toute inquiétude avait disparu. Je savais que j'avais un rôle à jouer et cela m'excitait. J'entendais des bribes de conversation provenant de la salle à manger et je me demandais ce qu'ils me réservaient... Le second amant rejoignit les autres et je me retrouvais seule de nouveau dans les escaliers, en attente d'un bruit, d'un souffle, d'un effleurement...

    Puis, la porte s'ouvrit de nouveau. Un troisième homme montait. Il s'arrêta à ma hauteur et me caressa les seins, déjà sortis de mon soutien-gorge. Puis, me considérant davantage comme une soumise que les deux autres hommes, il fit pivoter ma tête en me prenant la nuque et me mis la bouche sur son sexe pour que je le suce. J'avoue qu'à cet instant, je me suis sentie vraiment dominée et considérée comme un objet au service du désir de ces messieurs... Cet homme monta également les quelques marches qui nous séparaient de la salle.
    Je restais là, seule à attendre la suite des événements. Toute crainte avait disparu... J'étais sereine et savait que la soirée ne faisait que commencer.
    Mon mari est ensuite venu pour me demander comment je me sentais et si j'étais prêt à continuer...

    Prise sur la canapé du bureau

    Il m'emmena ensuite dans le bureau. Je gardais le bandeau sur les yeux, et j'attendais patiemment que l'on me demande de m'exécuter de nouveau...

    (...)

    ... Attendant dans le bureau, mon petit mari est ensuite venu me chercher pour me conduire dans les toilettes. Il m'a enlevé ma chemise et dégrafé mon soutien-gorge. Je suis donc restée en culotte et en bas...

    Le premier de mes amants est venu et m'a mis directement son sexe dans ma bouche. Je me rappelle qu'à ce moment-là, je ne pensais qu'à une seule chose donner du plaisir à mon partenaire... J'étais trop concentrée pour pouvoir prendre du plaisir moi-même, mais le fait qu'il jouisse rapidement m'a procuré une certaine satisfaction...

    Nue, assise sur la lunette des toilettes

    Le scénario prévoyait que tous les hommes de la soirée me jouissent dessus, ce que mon premier amant s'est empressé de faire. Le sperme a jailli partout sur moi, sur mes seins et mes bas... J'avais ensuite ordre de nettoyer le gland avec ma langue, ce que j'adore faire...

    Les trois autres hommes de la soirée sont ensuite venus à tour de rôle dans les toilettes et se sont livrés au même rituel. Je pense que je devais les exciter, car tous ont mis très peu de temps à jouir...

    J'avais la peau luisante de sperme et je me considérais à ce moment comme un objet sexuel, même si j'avais l'impression de bien maîtriser la situation.

    J'ai ensuite été autorisée à aller prendre une douche tout en repensant à ce que je venais de faire...

    Au centre du salon avec les 4 hommes

    Après avoir pris une douche pour me rafraîchir, je suis revenue dans la salle où mes 4 amants m'attendaient. Ils m'ont installé sur une couette par terre après m'avoir déshabillée. Mon mari s'est installé entre mes cuisses alors que deux de mes amants me mangeaient les seins. C'était un délice. Il ne manquait plus à mon bonheur que d'avoir un sexe dans ma bouche, ce que le quatrième amant s'empressa de faire...

    Je me laissais aller à mon plaisir et ne pus résister à occuper mes mains avec les deux sexes de mes partenaires déjà durcis par l'excitation. Je prenais énormément de plaisir à caresser ces deux sexes, à sucer profondément celui qui était dans ma bouche et à sentir la langue de mon mari me lécher mon clitoris...

    ... J'avoue que ce que j'éprouvais à cet instant précis est assez indescriptible. Pouvoir me donner toute entière à quatre hommes tout en donnant du plaisir en contrepartie, c'était vraiment très bon. Je pense que ce qui m'a fait jouir, c'est d'avoir deux sexes durs dans ma main et une dans ma bouche.

    Je pense que c'est et que cela restera un de mes meilleurs souvenirs et je tiens à remercier (ça fait un peu cérémonie des césars...) les organisateurs de la soirée ainsi que les hommes qui se sont prêtés au jeu, car je suppose que cela n'a pas dû être si simple que cela. Je pense que mon rôle était plus simple, car je n'avais qu'à m'exécuter...

    Julia


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  • Après discussion, le scénario de départ...........

    Entrée :
    21h30 : le premier h (appelons- le Franck) arrive (la porte est déjà ouverte)........... il monte , il trouve Julia sur le palier "en chemise blanche transparente et courte... en pull court, en robe transparente" yeux bandés offerte jambes écartées.......... il lui glisse une main sur un sein, de l'autre lui fouille la chatte puis lui donne sa queue à lécher puis sucer........quelques instants puis il continue et te retrouve dans la salle
    21h35 : le deuxième (Marc)....... même scénario
    21h40 : Eric arrive même scénario............ ils discutent avec toi (Maxime) tranquillement autour d'un pot

    Franck va chercher Julia lui parle et l'emmène dans le bureau la positionne sur le canapé jambes écartées. Marc les y rejoint se met à la sucer. Franck Marc et Maxime se retrouvent pour taper la belote (tarot c bien aussi........ mais si t'as que le scrabble..................) les 4 passent à tour de rôle la lécher....................
    Eric
    puis Maxime ..................... qui lui l'emmènera.....dans la salle de bain ou elle prendra une douche rapide, puis sera allongée sur le tapis et se fera à nouveau lécher (toujours les yeux bandés) par Franck.......... puis Eric .......Maxime....... Marc
    puis Marc.......qui l'emmènera sur le tapis de la salle ou elle sera "offerte à une bouche entre ses cuisses et suçant deux bites en mme temps" (des photos auront été prises déjà mais là cela sera la séance photo "collective" (se faisant lécher, debout une jambe sur une chaise plongeant la tête d'un amant entre ses cuisses, ses seins seront constamment suces............)....... enfin Marc l'emmènera ..........
    dans les escaliers ou elle se fera prendre par derrière de façon robuste par Franck........... Eric...............Maxime.....................Marc............... qui lui jouiront sur les reins.............
    Enfin elle sera installé allongée dans le bureau............ ou elle subira le passage de toutes les langues..................... pour la faire jouir à fond.......................
     

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  • Des jours passent, des semaines... Chaque soir, maintenant, je décide d'arrêter d'espérer bêtement. Je décide de ne plus m'apprêter... chaque soir, au moment de rejoindre mon lit, j'enfile la tenue qui est la sienne maintenant. J'en ai même acheté une deuxième pour être certaine de ne pas être prise au dépourvu.

    Aujourd'hui, j'ai reçu un email, pas un mot, une photo.

    C'est moi ! Là, sur le capot de la voiture, deux jambes tendues, une paire de fesses, ma jupe noire me couvrant le haut du corps. Mélange de dégoût et d'envie, je me sens toute chose.

    Les jours passent encore, encore et encore.

    Une main se pose sur mon épaule me réveillant en sursaut. Immédiatement, je suis prête. Je sais. Je suis à vous, mon Maître.

    Il me prend par le bras, je le suis.

    Nous sommes à nouveau dans la voiture. Nous passons devant l'abribus, le parking, la rue et le magasin de lingerie... A chaque instant, mon corps se tend, prêt à répondre à ses désirs...

    Nous sortons de la ville et prenons la direction d'une plage connue. Arrêt sur un parking, désert à cette heure. Il sort de la voiture, j'ai la main sur la poignée de la portière. Il se dirige vers le coffre, y cherche quelque chose, puis revient avec un petit sac de sport et m'ouvre la portière.

    Il se dirige maintenant vers la haie d'arbustes là qui borde le parking. Je le suis. Il s'arrête devant l'un des arbres et me fait signe d'approcher. Il m'attrape le bras, me plaque le dos contre le tronc. Il me prend les bras et prend une cordelette dans le sac qu'il a déposé à mes pieds.

    Il va m'attacher ! Oui, il me lie les poignets, il lance la corde sur la branche là au-dessus de ma tête et m'oblige ainsi à rester les bras en l'air. La corde est maintenant nouée sur l'arbre.

    Nouvelle recherche dans le sac : un foulard. Il le fait tourner entre ses bras afin de le transformer en cordon. Il me regarde, intensément, dans le fond des yeux, il me prend le menton et m'oblige à ouvrir la bouche. Je suis immédiatement bâillonnée. Mes yeux doivent exprimer ma terreur... Il sourit.

    Il recule, contemple la mise en scène et revient. D'un léger coup de pied à l'intérieur des chevilles, il m'oblige à écarter les jambes, le lien se resserre un peu plus me tirant sur les bras.

    Il recule à nouveau, paraît satisfait. Il retourne vers la voiture.

    Non, il part et s'enfonce dans la nuit ! Je suis seule, toute seule ! Le bruit de ses pas s'est très rapidement évanoui ! J'ai froid, je grelotte, je tente de tirer sur les liens.

    Le temps passe, interminable....

    Des pas, c'est lui enfin. Oui c'est lui je le devine. Il ouvre la portière de la voiture et allume les feux. Je suis maintenant dans le halo des phares qui m'éclairent par le côté.

    Il s'approche de moi, soulève ma jupe et le roule afin de découvrir mes cuisses et ma toison. Il fait de même avec mon petit haut. Il recule à nouveau pour contempler le spectacle....

    Je n'aime pas qu'il regarde mon corps comme cela. Je ne m'aime pas. Ce ventre que je trouve parfois trop rond, ces seins, trop petits, que je trouve ridicules. Il prend son temps, il sourit. Que va-t-il me faire ?

    « Vous pouvez approcher. .. » l'entends-je dire. A qui parle-t-il ? J'entends des pas sur les graviers. Dans la bande de lumière des phares de la voiture, je vois apparaître plusieurs hommes. Non ! Ce n'est pas possible ! Pas ça ! Je suis là, dépouillée, devant eux ! Cela m'est insupportable. J'en oublie mes liens et un réflexe me fait vouloir me sauver, la corde me ramène sèchement contre le tronc. Mon dos, puis ma tête, le heurte violemment. Je veux crier, de petits grognements sortent de ma bouche bâillonnée. Je m'agite en tous sens, tentant de défaire ses liens qui me brûlent les poignets.

    Mes mouvements désordonnés font retomber ma jupe et le haut. Cela me calme un peu.

    Il vient vers moi. Il me plaque contre le tronc et je l'entends me dire : « Laisse-toi faire, sinon je t'attache encore plus sévèrement, tu ne pourras plus du tout bouger.... » Je le regarde, le supplie du regard, des larmes inondent mon visage. Il sourit. Il remonte jupe et débardeur, écarte mes jambes d'un coup de pied sec et, à nouveau, recule, souriant toujours.

    Il appuie sa main sur l'épaule d'un des hommes, lui indiquant d'avancer. Combien sont-ils ? Dans la lueur de la voiture, j'en vois trois. Y en a-t-il d'autres ? L'homme s'approche, je ne peux plus bouger, paralysée. Il me regarde, me prend par le menton et saisit un sein et le masse. Instinctivement, je me cabre, faisant tout pour m'échapper, j'ai mal !

    Lui bondit, m'attrapant par les bras, me plaquant de tout son corps contre l'arbre. « Ca suffit maintenant, encore un geste et je t'offre à tous ces mecs ! » Je sens mon sang se vider de moi, mes jambes flageolent, le sol semble se dérober sous moi. Il me redresse, écarte à nouveau mes jambes sans ménagement, attrape ma toison d'une main, la tire en la soulevant, exhibant ainsi mon intimité à toutes ces personnes. Il lâche et repart vers le voiture. L'homme me reprend en main. Je suis anéantie, dans un état second...

    Enfin, il cesse, se retourne et rejoint les autres. Nouvelle tape sur l'épaule. Un nouvel homme s'approche. Je suis anéantie, il me regarde, tâte mon ventre, descend jusqu'à la naissance des poils. Non... je ne supporterai pas qu'il mette sa main... Il s'arrête, remonte des deux mains vers ma poitrine, je me laisse faire. Il manipule mes seins, pince les tétons, je n'ai plus aucune sensation... Ses mains descendent maintenant le long de mon dos. Elles attrapent mes fesses, les écartent. Cela cesse d'un coup. Il fait demi-tour. J'ai compris. Cela va être au tour du troisième. En effet...

    Je ne sais plus ce qu'il me fait. Mais j'ai compris, il n'ira pas plus loin que les deux autres. Je n'éprouve plus rien, rien. Le troisième homme fait lui aussi demi-tour...

    Il fait un signe. Les trois hommes disparaissent dans la nuit. Sont-ils réellement partis ? Ou alors n'ont-ils fait que quelques pas, juste de quoi s'enfoncer dans l'obscurité ? Je n'en sais rien...

    Il s'approche de moi, me sourit, s'approche de mon oreille et me confie doucement, très doucement : « Tu es magnifique. »

    Des deux mains, il me caresse maintenant le visage, tendrement, il n'a plus le même sourire, celui-ci rayonne. Je sens la chaleur revenir en moi. Doucement, avec d'infinies précautions, il m'enlève mon bâillon puis mes liens. Je tombe littéralement dans ses bras. Il m'appuie contre l'arbre et s'appuie contre moi. Oh ! Lui, enfin ! Je me laisse aller à ces caresses...

    Doucement, il me retourne et pose ses mains sur mes fesses. Je sens maintenant un doigt qui me caresse, si tendrement. Le doigt attend, je le sais, que l'humidité lui donne le signal pour entrer. C'est quasi immédiat. Il est maintenant en moi. Je voudrai tant qu'il entre encore plus fort. Je sens mes reins se cambrer. Sa main doit maintenant être trempée, j'ai l'impression de l'inonder. Je suis toute entière à lui, au plaisir qu'il me donne...

    Je ne sais pas comment il a fait, je n'ai même pas senti un geste, mais c'est maintenant sa verge qui s'insinue. Un éclair, une décharge de plaisir... Mon souffle se fait court, plus court, des petits cris sortent de moi. Je me retourne pour le voir.

    Un couple est là, tout près de nous ! Ils nous regardent. Lui est juste derrière elle, il la caresse, je vois sa poitrine, la main de l'homme qui la caresse entre les jambes. Je me retourne, je veux les oublier, je veux être à lui, rien qu'à lui !

    Il est maintenant bien en moi, ses mouvements se font moins tendres, plus forts. Je sens le couple approcher encore. La femme est maintenant appuyée comme moi contre l'arbre. Je la sens, je la vois là près de moi. Nos regards se croisent au moment où je crois deviner que son homme est entré, d'un coup, en elle. Elle a une expression, comme de surprise et de plaisir confondus. Je sens maintenant nos deux corps dont les mouvements vont, au même rythme, sous les coups de nos hommes. Mon plaisir est maintenant immense, je m'entends râler, elle, également, pousse des petits cris plus aigus que les miens. Tout s'accélère. Je perds la tête, c'est trop bon !

    Je saisis sa main, à elle. Elle me serre, fort. Nous crions maintenant toutes les deux ensemble.

    Il décharge en moi, je sens les jets à l'intérieur de moi. Aux sons que j'entends derrière moi, je crois que l'autre homme aussi.

    Elle lâche ma main. Oh, ils partent immédiatement.... J'en suis presque déçue. Lui, reste maintenant appuyer contre moi, reprend quelques mouvements en moi, comme pour voir si je suis encore là... C'est doux, ce sont ces moments que j'aime.

    Puis doucement, il me retourne et m'embrasse, un baiser profond et tendre, je suis toute à lui. Il me prend doucement par la main, attrape les affaires sur le sol et me reconduit à la voiture.

    Je n'ai aucun souvenir du chemin de retour, mais me voilà devant chez moi.

    Il vient m'ouvrir la portière, me prend par la main et me conduit dans ma chambre.

    Il m'allonge sur le ventre, doucement. Je sens sa main dégager ma nuque, enlevant doucement tous les cheveux. Il me fait trois baisers, d'une immense tendresse, un sur la nuque, un de chaque côté du cou, trois magnifiques baisers qui me font frissonner. Trois baisers... et il part... Je l'aime !


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  • J'arrive à la maison. Je décharge les sacs du supermarché de la voiture. Je n'ai pas remarqué le papier coincé dans la porte du garage. Il me faut tout reposer. J'attrape le mot.

    « A partir de ce soir, tu attendras chaque nuit, habillée, avec une jupe et sans culotte »

    C'est lui. Depuis la dernière fois, j'en voulais. Enfin !

    Il va me faire languir. Je le sais.

    Ce soir, je suis fébrile. Je ne pense qu'à cela.

    Je me surprends à chercher ma tenue. Je monte dans ma chambre, j'en étale une sur mon lit. Et au cours de la soirée, je remonte maintes et maintes fois, pour en changer.

    Dès 20 heures, je l'ai mis cette tenue que j'ai enfin choisie. Une tenue assez sage. Un peu de décolleté, et une jupe ample, mes bottes.

    Je vais maintenant me coucher. Je me couche habillée. Il ne viendra pas...

    Non, il n'est pas venu, je me réveille telle que je me suis endormie.

    Je le savais. Et demain, je m'apprêterai, il ne viendra pas non plus. Mais il viendra !

    Je l'ai fait attendre. Je veux que chaque soir, elle se prépare. Je veux qu'elle n'en puisse plus.

    Quand je décide d'aller vers elle, je veux qu'elle soit complètement offerte.

    Elle aura dû attendre plus d'une semaine. J'entre chez elle. Aujourd'hui, je ne prends pas de précautions. Elle doit m'entendre arriver.

    Ce soir, comme les autres, j'ai mis la tenue que j'ai maintenant réservée à cela. Pour rien encore ? Je voudrais tant qu'il vienne me prendre. Au fait, pourquoi habillée ? Je me fais des réponses, chacune me fait plus envie que l'autre. Va-t- il inviter quelqu'un, et me prendre, ainsi, habillée ? Veut-il me forcer comme cela, avec ma jupe ?

    J'entends la porte du garage. C'est lui. Oh, il monte, je l'entends, il le fait délibérément. Je m'immobilise sur mon lit. Ma respiration se fait courte.

    Il entre dans la chambre, vient directement vers moi. Il m'attrape par l'épaule et me tire afin que je me lève puis le suive.

    Nous descendons au garage. Qui vais-je y trouver ? Je m'attends au pire. Dans mes songes, après la dernière séance, j'ai vu un homme, des hommes ? Des couples ?

    Personne, il n'y a personne. Il me fait sortir dehors... « Tu vois la voiture là devant ? Tu t'installes côté passager. »

    Nous sommes maintenant sur la route.

    Il s'arrête. Un abribus. « Sors » Je vais sous l'abri. « Retourne-toi, appuies toi contre le mur, écarte les jambes. » Je m'exécute.

    Il passe sa main sous ma jupe. «Cambre-toi !» Je le fais du mieux que je peux. Sa main me fouille immédiatement. Je sens un choc immédiat. Mon plaisir est immédiatement à son comble. Je n'ai jamais ressenti cela. Je coule ! C'est impensable ! Déjà ? Aussitôt ? Je sens le liquide couler à l'intérieur de mes jambes. «C'est bon, retourne dans la voiture.» Non... Nous sommes à nouveau sur la route. Je vois les rues qui me sont familières défiler comme dans un rêve.

    Nouvel arrêt : un parking. J'ai déjà la main sur la poignée pour sortir. «Tu vas t'installer sur le capot de la voiture, là.»

    C'est froid. Je m'installe les jambes encore humides bien écartées. J'ai l'impression que j'ai mouillé ma jupe. Il retrousse la jupe et la remonte jusque sur ma tête. Je suis là sur le capot de cette voiture, offerte. Un flash soudain ! Il m'a prise ainsi en photo. Comme pour me remercier, il me branle quelques secondes, me pince le clitoris, j'attends ses doigts, je relève mon cul pour cela. «Retourne dans la voiture.» J'y suis déjà.

    Nouveau départ. Nouvel arrêt. Une rue commerciale. Un magasin de lingerie.

    « Entre devant la porte. Tu sais comment te mettre maintenant.» C'est dit d'une façon calme, sans apparente émotion. Je m'appuie contre la porte vitrée. Un regard en arrière. La porte enfoncée par rapport à la rue ne permet pas qu'on me voit.... Sauf si quelqu'un passe. Je suis là, les jambes tendues j'ai moi même relevé ma jupe, je sens le froid qui souffle sur mes jambes.

    «Penche-toi mieux.» J'attrape la poignée de la porte pour mieux me retenir, Je suis maintenant complètement arquée, j'attends.

    Il me flatte les fesses, écarte mes lèvres trempées et me prend d'un coup. Il me baise violemment, j'ai envie de crier ma jouissance, impossible là dehors en pleine rue. Il jouit très rapidement et se retire immédiatement. Son sperme dégouline sur mes jambes.

    «Dans la voiture.» Nous repartons. Vers où ? Oh non ! Il retourne vers ma maison. Il s'arrête. Pas un mot. D'un signe de tête, il m'intime l'ordre de sortir.

    Je sors de la voiture. Il repart aussitôt.

    Je rentre. Je monte immédiatement, je me laisse tomber sur le lit. Je pleure. Il me prends pour quoi ? Pourquoi je me laisse faire ? Pourquoi ai-je tant de plaisir ?


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  • J'ai laissé du temps... pour que, petit à petit, la réalité se transforme en songe, pour que l'attente se désespère.

    Mes pas font à nouveau crisser le gravier. D'autres pas également. La porte du garage coulisse à nouveau, libérant l'entrée. A nouveau l'escalier, la montée jusque l'étage. Sur la palier, je me retourne, lui faisant signe de rester là et de se dévêtir comme prévu.

    J'ouvre la porte de la chambre, le chevet toujours allumé. Je fais le tour du lit comme la fois précédente. Le même geste, je la retourne. Surprise mais pas d'effroi.

    Cela fait déjà des semaines que cela s'est passé. Depuis j'y pense et j'y repense. J'éprouve un mélange de sentiments que je n'arrive pas à démêler. La peur, indéniablement, la peur que cela arrive encore, mais également, la peur de moi-même. La honte, la honte de n'avoir pas su réagir, la honte de m'être livrée. Et puis, un sentiment, un trouble, j'ai envie qu'il revienne. Oui, j'ai aimé. J'ai aimé être à lui, j'ai aimé être sa chose.

    Mais il ne revient pas. Depuis chaque jour, avant de monter dans ma chambre, je descends vérifier que le portail du garage coulisse, permettant de libérer la porte battante. Mais il ne revient pas. Les premiers soirs, je mettais du temps à trouver le sommeil. Mais les jours passant, j'ai fini, non pas par oublier, mais par me faire au fait qu'il ne revienne pas... je n'arrive pas à oublier.

    Une main me retourne, c'est lui ! Immédiatement, mon cœur se met à battre, immédiatement, je sens mon esprit se fondre dans la soumission à la situation, je ne peux résister. Il met sa main sur ma bouche mais sent que c'est inutile, je ne soufflerai mot. Il me montre un masque, un de ces masques pour le sommeil que l'on met dans les avions. Je me laisse faire. Que veut-il m'empêcher de voir ?

    Il me retourne, j'ai maintenant la tête dans l'oreiller. Je suis nue si l'on excepte ma culotte. Je suis à plat-ventre, il m'écarte les cuisses et commence à me caresser les fesses et l'entrejambe. Je sens mon envie sourdre au creux de mon ventre. Il n'est pas doux. Ses doigts entrent sans prendre de précaution.

    Une main ! Une autre main me caresse les épaules ! Non ! Je me relève. Immédiatement une poussée me plaque contre le matelas et l'oreiller. Je tente de me débattre, de crier à travers l'oreiller, mes mains sont immédiatement attrapées et immobilisées. Il est maintenant à califourchon sur mon dos. Il s'attendait à ma réaction. Je sens maintenant deux autres mains me caresser les épaules, me caresser les cheveux. Elles sont plus douces que les siennes, des mains de femme ? Cette idée me révulse. Non ! ce n'est pas possible. Une nouvelle convulsion, déjà moins forte que les précédentes. Il prend l'ascendant sur moi, je me laisse apprivoiser. Petit à petit, il desserre l'étreinte et recule, il est maintenant assis sur mes jambes. Il lâche mes bras appuyant des deux mains sur mon dos, je comprends qu'il ne veut pas que je tente de me relever. Il s'écarte, reprenant l'intérêt qu'il avait pour ma vulve et mon cul. Les deux autres mains continuent leurs caresses. Je sens maintenant un souffle sur mon cou. Je ne veux pas voir, je ne peux pas voir, mais je tente de tout mon corps de percevoir... Des lèvres , là dans le creux de mes épaules qui se promènent dans mon cou, mes épaules, sous mes bras... et lui qui continue à me fouiller. Je voudrais ne pas le montrer, mais c'est impossible. Il doit être heureux de sentir ses doigts trempés.

    Je viens d'être mordue à la base du cou. Nouvelle morsure. Ils bougent sur le lit. Oh ! c'est maintenant elle qui me fouille. Je suis déjà trempée... Lui prend ma tête, m'ouvre la bouche, introduit ses doigts trempés et me fait les sucer, je lape, je suce, je me surprends à tenter de faire du mieux que je peux, il m'enfonce ses doigts, écrase ma langue. Elle (c'est assurément une femme... ou un homme très féminin) me caresse l'anus, l'humidifie avec ses doigts. Elle m'écarte les fesses et passe sa langue de ma vulve au haut des fesses, l'introduisant un peu plus à chaque passage, alternativement dans mon vagin et dans mon anus. Je tends mes reins pour encourager ces pressions. Il me tient la tête en arrière, deux doigts plaqués dans la bouche, elle me flatte les reins, ce sont maintenant ses doigts qui ont pris le place de sa langue dans ce long va et vient. D'un coup, je sens des doigts s'introduire dans mon cul. La douleur soudaine me fait mordre les doigts que j'ai dans la bouche, il me prend le menton et l'écarte pour me faire lâcher prise. Je m'habitue, la douleur fait place à une impression d'être fouillée, d'aimer me faire fouiller...

    Il enlève ses doigts et les remplace immédiatement par sa verge. Il se caresse dans ma bouche, il accélère, il me baise maintenant la bouche. Elle, elle m'a replié les jambes sous moi, elle enfonce ses doigts (il y en a plusieurs) de plus en plus profond. J'écarte les fesses pour faciliter cette fouille.

    Ils bougent encore. C'est lui maintenant derrière moi, il me tape sur la vulve et l'intérieur des cuisses me faisant comprendre qu'il entend que je lui écarte encore un peu plus mon arrière-train, il s'enfonce d'un coup dans mes reins, fort, très fort. J'ai envie de jouir, j'ai envie de crier. C'est impossible. Elle, c'est bien elle, me plaque la bouche sur une vulve, m'attrape les cheveux et me fait la caresser. Je le fais du bout des lèvres. Elle m'ouvre la bouche, attrape ma langue et tente de la sortir et ma plaque à nouveau sur sa toison. Je commence à la lécher. Elle m'appuie la tête pour que je m'introduise plus profondément. Je sens comme des spasmes dans son corps. Oui, encore. Lui me défonce le cul. Je ne sais plus ce que je suis, où je suis... Je vais jouir, là je vais....

    Tout s'arrête.

    Ils s'écartent, mais que font-ils ? Je suis là, enfoncée sur mon matelas, à eux, complètement à eux ! Rien. Je les sens bouger, juste à côté de moi, mais rien... juste parfois un morceau de corps qui touche mes pieds. J'entends, j'entends ses petits cris à elle. Il s'occupe d'elle ! Les mouvements sur le lit deviennent plus forts, je l'entends lui maintenant, il force, il commence à râler !

    Moi ! Je suis à vous ! Non, ils continuent. Je les entends bien maintenant ! Elle crie, il pousse des râles du fond de sa gorge. Oh ! je l'entends, il jouit, j'en suis certaine ! Elle explose !

    Un dernier mouvement, le silence. Je ne bouge pas...

    Ils bougent à nouveau. Il se penche sur moi, me plaque la tête dans l'oreiller, enlève le bandeau en me soulevant par les cheveux, et me l'enfonce à nouveau, très fort dans l'oreiller.

    Deux tapes sur les fesses... et je les entends partir. J'ai envie de pleurer. Va-t-il revenir seul ? J'attends. J'attends. J'ai froid maintenant. J'attends encore. Rien. Je finis par me soulever, par ramener ma couette sur mon corps complètement gelé... Vite éteindre cette lumière ! Je ne veux rien voir ! Je me dégoûte !.....

    Il ne reviendra pas.


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