• Bonjour et bienvenue sur le site du"bateau sans amarre".

    Je vous invite à naviguer d'île en île, de mot en mot à bord d'un bateau en errance sur des flots calmes ou tumultueux.

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    Vous jouez avec les mots, vous écrivez pour le plaisir, vous avez l'âme voyageuse, vous ne faites que passer, simple lecteur, ancrez-vous quelques instants et donner votre avis sur ce qui est en ligne...

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    Bon voyage à bord.

    Gueltan


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  • Des cheveux tendus aux vents

    Magnétiques musiques fugitives

    Harpes en écaille tressent à l'infini


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  • Roz Quénibenn s’en va par les chemins
    Des hortensias rouges à la main
    Roz Quénibenn s’en vient à ma main
    Roz, rose rozenn Quénibenn



    Elle est peut être à la pointe de Cosmeur
    Ou bien encore cachée derrière les hortensias roses
    Elle joue avec mon cœur bien trop frêle

    Je lui cueillerai des fleurs parfumées à Roz
    Des hortensias rouges ou des hortensias blancs
    La houle l’emporte vers les îles dorées qui s’égrènent au large

    Elle s’exile souvent dans les ajoncs voilés du matin
    Montagne blanche encore assoupie dans le ventre du vent
    Je la retrouve souvent dans les plis ronds des collines

    Elle ouvre ses yeux de granit irisés et lumineux
    Elle cueille quelques varechs séchés au bord de l’eau
    Puis se confond à la corolle d’une fleur de pommier

    Parfois, elle se fond dans l’émeraude des eaux
    Ou même dans le blanc des plages de sable
    Ses longs cheveux s’évaporent dans une dentelle

    Elle pleure souvent dans les rides des vagues
    Chasse des perles de sel égarées au fond des yeux
    Et soudain laisse flâner un sourire d'ange ou démon.


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    Printemps

     

    Les bourgeons éclosent au frêle soleil

    Et dès l'aurore jaillissent mille fleurs

    D'un vol incessant d'abeilles en fureur

    Coule l'hydromel aux saveurs de miels

     

    C'est ainsi que les printemps naissent

    Des couleurs vives sur ma palette grise

    Qu'une main habile tout en délicatesse

    Dépose sur la toile tendue par la brise

     

    Le petit vent malin balance ma main

    Courbe la ligne des pluies magiques

    Les nuages libres se détachent un à un

    S'évaporent dans un arc-en-ciel féerique.



    Et toujours ces sifflements et ces pleurs

    Symphonie fantastique en ut libertaire

    Écrite sur une octave altière imaginaire

    Musique aérienne en signes charmeurs.

     

     

     


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  • Dessine moi d'un regard

    toile tendue sur l'écran

    petit, si petit le trait

    en bleu, vers à l'envers

    ondes vagues abondes

    le messager S aime S

     


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