• Bravo !

     

    Le blog a enregistrer 220.000 visiteurs en un an ! ! !

     

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    A bientôt donc ...

    Bisous à tous

    Alain

     


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  • Ha Ouai ! Un sachet pareil, ça se refuse pas...

    ma bite 

    alain


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  • Petit souvenir de Jacques.

    On a passé un bon moment dans sa voiture.

    J'espère que tu a aimé ma bouche...

    Moi, j'ai beaucoup aimé ta queue.

    Bisous et à un de ces quatre peut être

    Alain

    DSCF0091 


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  • Beaux culs ! ! !

     

    belles paires de burnes aussi du reste

     

    Alain


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  • J’avais hâte de te revoir. Malgré la vitesse du TGV, puis le peu de transport en autobus qui suivait, je trouvais le temps long.

    Nous étions fin octobre, et depuis la mi juin, je ne t’avais pas revu. J’étais déjà amoureux de toi, mais je ne le savais pas encore. C’est ton absence, la pesanteur de ton éloignement qui m’a fait comprendre les sentiments que j’éprouvais pour toi.

    Toi, de ton coté, tu ressentais les mêmes sensations, sans comprendre vraiment pourquoi.

     

    Difficile de comprendre qu’on est amoureux d’un être du même sexe que le sien lorsque c’est la première fois.

     

    Nous avions passé tant de temps ensemble sur ce stage de fin d’année. Tous deux passionnés par la nature et la botanique. Nous avions découverts ensembles la forêt vosgienne, ses arbres, ses sentiers, sa faune. Chaque étonnement pour l’un était un étonnement pour l’autre. Nos rires, nos joies, nos courses folles et éperdues dans cette nature sauvage qui se finissaient en roulade, en fausses bagarres et en croisements de regards émouvants et incompris.

    Je sens encore l’odeur de ta sueur sur ta chemise de coton, l’odeur de ton shampoing après la douche, le retour aux dortoirs de l’établissement.

     

    Comment nous sommes nous aperçus de nos sentiments ?

    La joie d’entendre ta voie au téléphone ? Le manque l’un pour l’autre ?

    C’était fin septembre. J’entends encore ton silence et ta respiration au téléphone lorsque je t’ai dis : «  Thierry, tu me manques, je crois que je t’aime… »

    Puis ta réponse émue et lente : « tu me manques aussi… » qui signifiait : « Je crois que je t’aime aussi… »

     

    Alors nous avons comptés les jours. Et ce jour, le vrai premier jour de notre amour, c’est aujourd’hui. Ce mardi.

    Le bus me dépose à l’institut. Je pose vite mes affaires à l’hôtel, je demande si quelqu’un t’a vu. Tu es dans la forêt. Ca ne m’étonne pas de toi. Le premier instant de notre amour avoué sera ce qui nous a lié l’un à l’autre, notre passion pour la nature.

    Je vais à notre coin préféré, d   ans cette immense forêt. Je sais que tu y seras… Et tu y es.

     

    Je t’aperçois, je cours vers toi.

    Tu entends mon pas, tu te retournes, je suis déjà sur toi, je te plaque au tronc du premier arbre. Nos regards se fondent. Je t’embrasse comme j’ai rarement embrassé. Nos bouches se soudent, nos langues se joignent, nos respirations se mêlent, nos salives se mélangent. Le moment me fait chavirer, je décolle ma bouche de la tienne, je te regarde au fond des yeux, je te soupire « je t’aime » avant de prendre à nouveau possession de ta bouche. Combien de temps cela dure-t-il ? 5, 10 15 minutes. Je n’en sais rien. Mes mains parcours ton corps avec la même frénésie que les tiennes le long du mien.

    J’ouvre ta chemise, me penche et embrasse ton torse. Je ne le découvre que des papilles, mes yeux le connaissaient.

    Je te plaque à nouveau sur le tronc de l’arbre. Je cède à mes désirs, je m’écroule, les genoux au sol, comme plantés dans le tapis de feuilles mortes. L’odeur de l’humus monte dans mon nez, mes mains ont déjà ouverte la boucle de ta ceinture et les trois boutons de ton 501.

    Je descends ton jean à tes chevilles. Tu te laisses faire, tu me laisses faire.

    Je frotte ma figure et ma bouche sur le coton bleu ciel de ton slip. Je te sens désireux. Ton envie se développe vers le coté gauche. Je suis face à cette bosse bleue ciel.

    Je fais tomber les remparts. Je glisse ton slip le long des jambes, je découvre ton sexe, si ressemblant au mien et en même temps si différent. C’est un bel oiseau qui se tend dans son nid de poils. Je le prends avec ma main, je fini de sortir de sa gangue de peau ton gland rougi de désir. Un baiser et puis deux, ma langue qui cour le long de ton sexe, puis ma bouche qui t’aspire, te ressort, te reprend. Ma main et ma bouche s’accordent et se synchronisent. Ton érection est totale, ton sexe est dur, volumineux, ma bouche ne te contient plus. Je caresse de ma langue les veines bleues qui marbrent ton sexe et que sa fine peau n’arrive plus à cacher.

    Tes couilles deviennent tendues également. La peau est lisse, sans un poil, douce à toucher, agréable à lécher. Je prends délicatement l’une de tes couilles dans ma bouche, sentir ton testicule dans ma bouche m’excite. Je pourrai te faire mal et je te veux du bien, je ne veux pas te faire souffrir mais juste te faire jouir.

     

    Tes mains courent dans mes cheveux, se saisissent de ma tête, mon regard se lève vers toi, je te regarde dans les yeux, ton regard me supplie. J’ouvre ma bouche, te sucer est un besoin vital, une envie, une faim, comme la tétée pour un nourrisson, je t’absorbe, t’aspire, te suce, tu vas et viens du bout de mes lèvres au fond de ma bouche, tu glisses sur ma langue saliveuse, tu soupir, tu donnes inconsciemment d’imperceptible coup de reins, dirige ma tête avec tes mains, me forçant à accepter ton sexe encore plus profondément dans ma bouche.

    Le mouvement de ma tête accompagne celui de tes reins. Tu ne vas pas te retenir longtemps. Je suis à genoux à tes pieds, je suis en position volontairement soumise, je sais que tu vas jouir seul, Je n’ai qu’une hâte, sentir les saccades de ton sexe dans ma bouche juste avant que tes giclées de sperme n’arrivent sur ma langue et ne descendent dans ma gorge. Je veux avoir le goût de ton plaisir, je veux avaler ta semence, me délecter de ta jouissance.

    Tu râles. J’amplifie encore le mouvement, augmente la succion. Mes mains caressent tes fesses, tes couilles, tes jambes. Tu jouis. Un cri. Une giclée de sperme arrive a mes papilles. Un second cri, deux autres giclées. Je m’étonne, le goût de ta semence me plait. J’avale le trop plein mais en garde une partie en bouche, ton sexe l’étale sur ma langue. Que c’est bon mon amour.

    Je te suce encore. Je lave de ma bouche ton sexe qui se détend. Je te rhabille. Me relève, t’embrasse goulument. Te souffle dans le creux de l’oreille comme si les animaux alentours allaient entendre : « Ce soir, ce sera encore mieux dans notre lit ». Tu me regardes étonné. « Ce qui veux dire ? »

    -« J’ai envie de toi à fond Tierry, au plus profond de moi, je veux être ton amour totalement, je te veux au plus intime de moi, j’ai hâte que tu m’encule mon amour… »

    Tu souris. Tu me dis que tu souhaites aussi me sucer. Le programme est bien  chargé semble-t-il.

    Nous rentrons à l’hôtel. Mon slip est trempé. J’ai jouis en même temps que toi sans même m’en rendre compte.

    Chacun va prendre sa douche dans sa chambre. Nous nous retrouverons pour le repas.

     

    J’ai dormi un peu pour me remettre de ce voyage. J’ai repris une douche puis, nous nous sommes rejoins à dix-neuf heures dans la salle de repas. Tu étais déjà installé à une table un peu isolé, un peu d’intimité ne nuit jamais aux couples amoureux.

    Je me suis installé face à toi, j’avais envie de t’embrasser à pleine bouche. Je te fixais dans les yeux, nos regards se fondaient l’un dans l’autre comme d’autres parties de nous auraient aimé se fondre…. Le moment était délicieux. Un moment ou l’on n’a pas encore réalisé nos envies, ou l’on sait qu’on le fera, un moment d’attente à la fois insupportable et prometteur de tant de bonheur.

    A vingt-deux heures, nous remontons vers nos chambres. Le couloir est vide. Tu en profites pour me prendre la main, me coller au mur et m’embrasser tendrement. A nouveau nos langues s’entremêlent, nos salives se mélangent, je ferme les yeux, je me laisse emporter.

     

    Un bruit.

    Nous nous reprenons, j’arrive devant ma porte de chambre, ouvre rapidement, t’attrape par la manche et t’entraine vigoureusement dans mes appartements avant de refermer sur nous la porte de la chambre, promesse de trouver une intimité nécessaire à nos ébats tendres…

     

    Nous nous allongeons sur le grand lit, nous embrassons, nos mains explorent, chacun découvre le corps de l’autre. En quelques minutes, il n’y a plus que deux corps nus sur le lit et un tas de vêtements au pied de  ce dernier.

     

    A tes mains caressantes, ta langue est venue prêter main forte. Tu me découvres entièrement et je me laisse faire. Ta langue est dans mon cou, titille mes seins, lèche mon ventre, décent encore un peu, finalement, ta bouche entière prend possession de mon sexe. Tu suces merveilleusement bien mon amour.

     

    La douceur de ta langue m’enflamme. Je suis sur le dos, machinalement, mes mains ont saisie mes cuisses pour les relever vers ma poitrine. J’exhibe ouvertement mon sexe et mon anus à tes doux ébats. Tu n’en attendais pas moins. Je sens ta langue glisser entre mes fesses et venir caresser la petite pastille qui devient le centre de tes intérêts…

    C’est doux, c’est bon, de tes mains tu écartes mes fesses pour venir mieux me lécher. De caressante, ta langue est maintenant plus pénétrante. Deux doigts bien salivés viennent maintenant forcer le passage. Sans résistance, mon anus s’ouvre. Tu entres doucement au cœur de mes désirs. Tu joues avec mon plaisir. Le minuscule petit trou s’échauffe légèrement et se dilate. Je ne retiens pas mes râles et mes soupirs. C’est bons, c’est même divin mon amour.

     

    Tu te relèves. J’aperçois ton sexe tendu alors que tu cherches dans la poche de ton pantalon un préservatif. Je me retourne, me place à genoux sur le bord du lit, les fesses bien ouvertes et tendues, j’attends avec impatience….

     

    Je te sens à nouveau. Ta langue me lèche à nouveau entre les fesses. Tes doigts imprégnés de gel viennent me préparer. C’est un peu froid, ou peu être est-ce moi qui suis chaud bouillant …

    Tu poses ton sexe à l’entrée de mon anus inviolé. Enfin, une pression se fait sentir. Insistante.

    Mes muscles du ventre se tendent comme pour aller à la selle. L’effet souhaité est immédiat. Mon anus s’ouvre et tu en profites pour pousser et entrer en moi. Je succombe. Mon dieu que c’est bon ! C’est au dessus de ce que je croyais. Ton sexe bien tendu est maintenant en moi et s’enfonce doucement au rythme de tes vas et viens. Ca chauffe. Le mouvement devient plus rapide et violent. Tes couilles viennent doucement frapper les miennes.

    L’extase. Je te sens encré profondément en moi. Tu me remplis. Tu me dilates. Je ne résiste pas. Mon sperme se repend sur le couvre-lit, je jouis sans même qu’on ne touche le sexe, sans même qu’il soit réellement en érection. Pour la première fois de ma vie, je jouis par le cul.

     

    Tu m’as longuement sodomisé. J’ai éjaculé plusieurs fois. Ma jouissance à été totale. Lorsque tu as voulu éjaculer à ton tour, je t’ai demandé de jouir une fois de plus dans ma bouche. Je souhaitais profiter encore  du goût de ta semence dans ma bouche.

     

    Nous nous sommes endormis ensemble, dans les bras l’un de l’autre.

     

    Durant toute la semaine, j’ai été ta chose, ta femelle et j’ai aimé ça. Tu m’as refusé ton anus, mais ce n’était pas grave. En fait, je suis heureux car j’ai connu une jouissance que tu n’auras jamais, peut-être la seule jouissance commune entre les hommes et les femmes, la jouissance anale. Aujourd’hui, lorsque j’encule ma femme, je sais exactement ce qu’elle ressent. Elle aime ça et je la comprends.

     

    Elle ignore que je l’ai fait et encore plus que j’ai aimé, que dis-je, adoré…

     

    Tu as été le seul homme de ma vie, notre semaine a été une semaine torride, Il n’y a pas eu un soir ou je n’ai pas jouis de t’avoir en moi. Lorsque j’y repense aujourd’hui, j’ai encore envie… Te sentir à nouveau en moi, me sentir pris, mon anus qui s’ouvre pour te laisser entrer et se referme sur ton membre veiné, comme pour lui interdire de partir.

     

    Je t’aime encore et j’aime ma femme. Il n’y a pas de concurrence, vous êtes sur des terrains différents.

     

     

     

     

     


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