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Assise dans le noir sous cette pluie battante,
Les heures défilent et ma vie tourne un peu plus vite,
Jeunesse souriante passage à la vie d'adulte chaotique,
Tout ceci me fait penser à Cendrillon de Téléphone,
Mes trente ans approchent, mais les verrais-je seulement ?
Ai-je seulement le goût d'attendre que toi le faucheur tu viennes ?
Me ferras-tu attendre pour savourer le plaisir de me faire souffrir encore ?
Oseras-tu venir, me prendre en affrontant ce regard perdu qui est le mien ?
Écouteras-tu la peine qui déborde de cet organe qui bat encore ?
Le temps, l'espace, toutes ces mesures virtuelles de l'aiguille de l'horloge,
Filent et défilent sans que je puisse les retenir,
Tournent et retournent sans que j'ai envie de les arrêter,
Arrête ce supplice que tu me fais vivre...
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Une femme, rien que çà, avec des envies, des désirs
Jusque là rien de bien extraordinaire,
Un jour elle se trompe, le suivant, elle se trompe encore,
Des erreurs, l'on apprend beaucoup,
Aujourd'hui, j'ai compris une chose
Je suis moi et resterais toujours moi
Chaque parcelle de moi est à découvrir,
Celui qui entrera, maintenant, aura fort à faire.
Je suis un défi, un challenge et je n'entrerais pas en cage facilement!
Pour courber l'échine, la réflexion sera longue,
L'apprentissage sera un chemin semé d'embuches, mais,
je lèverais les pattes une par une
Pour mener à bien la construction de celle que je souhaite un jour être.
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Suis désolée, mais je cours cours et cours encore, mais je reviens si possible très viteeeeeeee.
Bises douces et tendres à vous.
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J'avais envie ce matin de danser sur cette musique,
Enveloppée par quelques tissus légers,
Transparence des matières dessinant mes courbes généreuses,
Aguicheuse comme tu me connais dans ces moments là,
Intemporelle danse de mon corps envoûté par cette chanson,
Moiteur, sensuelle tu me désires, je le vois sur toi,
Emmène moi vers toi, vers nous.
...
25 commentaires -
Tu m'attends la, angoissée, tous sens éveillés
Debout jambes écartées mains derrière le dos
Vêtue seulement sur les yeux d un bandeau
Appréhendant le futur, mais terriblement excitée
Un sursaut, un frisson, un objet te frôle
Te parcours, te visite avec douceur, te fouille
Tu reconnais la cravache, ton entrejambe mouille
Ton souffle s accélère, ton cœur s affole
Tu t'habitues à sa présence inquiétante
Elle te guide et tu suis ses directives
Elle t'apprivoise doucement, tu t'actives
En douce femelle bien obéissante
La cravache mouillée caresse ton sexe lisse
Ta bouche entrouverte cherche de l'air
Inquiète tu me devines, tu me sens derrière
Mais tu es offerte là, nue, sans artifices
La cravache t'incite à baisser la tête doucement
Et tu t'accomplis aussitôt, nuque offerte
Tu sens le collier envahir ton cou, tu es prête
Tu as enfin cette laisse dont je te parlais souvent
Tirée vers le bas, dans le silence tu t'accroupis
Mains attachées dans le dos, agenouillée
Prête à servir ton Maître, à le combler
Tirée par les cheveux, de plaisir tu gémis
"F"
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