• Mise à jour

    Aline qui ne peut rien faire sans être lubrique profite des piscines pour se montrer.



    votre commentaire
  •  Mise à jour

    Je roule lentement sur le parking du centre commercial, une pluie fine a commencé à tomber et je suis nerveux de retrouver vite ma nouvelle chienne. Je tourne un peu avant de m'arrêter à proximité du lieu convenu avec mon ami, Anne est-elle bien là ? A-t-elle acceptée de suivre mon ami et de lui obéir ? Cela dit vu son état et ses anneaux, elle n'a plus guère qu'un choix : celui d'être la gentille petite chienne de notre couple.

    Je descend de la voiture, ouvre de la fourgonnette pour que le chien sorte et m'accompagne, il part en jappant, furetant partout puis je l'entends aboyer près de grille. Je souris intérieurement, il a trouvé lui aussi la chienne surement, je m'approche, je vois mon chien reniflant avec méfiance Anne, les canins auraient ils peur des anneaux ? Il renifle doucement la nouvelle chienne, je vois sa truffe glisser sur le cou, les seins, s'arrêter sur son sexe. Un rien perplexe je m'approche, Anne pourrait-elle sentir la femelle dans ses conditions ? Je me penche, effleure à peine ses lèvres, oui aucun doute, elle dort mais elle a joui avant. Elle est vraiment incroyable et étonnant qu'elle ne soit pas soumise depuis bien longtemps.

    Je la détache de la grille, puis la recouvre de mon manteau pour la porter dans mes bras dans la voiture, son statut de soumise annelée la rend précieuse, il ne faut pas l'abimer. Je la dépose doucement dans le coffre de la fourgonnette, le chien saute à coté d'elle et se couche contre son ventre. Il est vraiment câlin mon chien et sait accueillir les nouvelles chiennes.

    Je passe un coup de téléphone à ma femme pour la prévenir de notre arrivée et pour lui demander de préparer du café chaud pour réveiller Anne à son arrivée. Il faut dés le départ, lui donner les règles de sa nouvelle vie, lui expliquer comment elle doit se conduire, ce qu'elle doit faire et ce qui arrivera si elle ne respecte pas les consignes. Tout cela doit être clair dès le départ. Son panier est déjà prêt dans la pièce du chien, le reste doit lui être expliqué. Je gare la voiture dans le garage de notre pavillon, ouvre la fourgonnette, fait sortir le chien et tapote les joues de la chienne :
    « eh oh réveille toi, ca y est tu es chez toi, ta nouvelle vie commence »
    Je la secoue plus fermement, tire sur le collier, enfin elle se réveille, les yeux endormis elle me regarde :
    « Qu'est ce que ... »
    Je la tire à l'extérieur du fourgon pour la conduire au salon.

    Ma femme l'accueille avec un grand sourire :
    « Elle a jouit dans la nuit mais elle est transit notre chienne, on va lui donner une douche, un café et nous verrons après » Elle prend la main d'Anne, la tire vers la salle de bain où elle la douche à l'eau chaude, arrête l'eau, sèche, frictionne la chienne qui n'a rien fait d'autre que de se laisser faire. Anne reprend des couleurs et commence à regarder autour d'elle, se réalise nue, bichonner comme une jument. Ma femme lui claque les fesses :
    « vient au salon, un café t'attend ».

    La nouvelle chienne entre dans le salon, nous voit assis tranquillement dans un canapé sirotant une tasse de café, voit une table avec une tasse et des fauteuils de libre, ne sachant exactement que faire elle se dirige vers la table, prend la tasse, jette un œil à un fauteuil et va pour s'y assoir. Un claquement sec la rappelle à l'ordre et elle voit l'objet qui désormais sera un des plus important de sa vie : une cravache en cuir bordeaux tressé. Ma femme vient de la frapper contre l'accoudoir du divan :
    « Que fais tu ? Bois ta tasse tu en as besoin mais personne ne t'a autorisée à t'asseoir »

    Anne gênée de cette situation nouvelle pour elle, reste debout devant nous, fixant la cravache et buvant son café serrant sa tasse à deux mains. Je lui souris, je pense à elle, à ce qu'elle doit ressentir, sa transformation si rapide, son traitement chez le docteur, la séparation de son mari et maintenant la voici debout devant ses maitres nue ses anneaux si visibles buvant un café pour se réveiller.

    Je ronds le silence :
    « Tu as été superbe jusqu'à maintenant et si j'en juge par ta réaction seule sur la parking, tu es très exitée par ce que tu vis »
    Je montre des yeux le sac plastique contenant le passeport et le carnet de santé :
    « Tu vois, tu nous appartient désormais, tu ne réutiliseras plus jamais ton passeport, ni ton carnet de santé, c'est nous qui les gardons et les utiliserons quand il y aura besoin »
    « Tu n'as plus besoin de porte feuille, porte monnaie, carte bleue, sac à main, tous cela, ce sont des attributs de femmes, toi tu es devenue une chienne, notre chienne »
    J'indique du doigt une feuille blanche sur une table avec un crayon à coté :
    « Va signer, c'est ta lettre de démission, c'est la dernière démarche, après nous n'aurons plus de compte à rendre à personne te concernant »

    Anne hésite un instant, elle essaye d'aligner quelques idées, certes elle est nue, annelée, mais doit elle être « sans rien » ? Doit elle abandonner toute identité, tout bien personnel ? Elle jette un regarde un peu perdu autour d'elle et se voit dans une glace de plein pied. Elle voit une femme jolie, angoissée, serrant dans ses mains une tasse à café, portant un collier, deux gros anneaux traversant ses seins, deux plus petit avec un cadenas pendant à ses lèvres, elle ouvre la bouche ne sachant que ressentir et voit son piercing sur la langue. Elle réalise que de toute façon, ainsi transformée elle ne peut plus qu'être une chienne et va lentement signer sa feuille de démission.

    Je me lève, la prend par les épaules, je ne peux résister à la serrer contre moi en lui murmurant : « Tu es magnifique, angoissée mais magnifique, tu verras, tu serras bien ici »
    J'ouvre un écrin et sort un médaille dorée sur laquelle est gravée : Chienne Anne, 19/10/2009, je tiens délicatement la médaille et l'attache au collier de notre chienne. Puis je conduis Anne face à la glace.

    Ma femme soupire, fais de nouveau claquer la cravache et se moque :
    « Tu es vraiment tout guimauve avec nos nouvelles, on croirait des photos de David Hamilton. »
    Elle s'approche du dos de la chienne :
    « La première chose mais ce n'est pas une règle tellement c'est évident, tu ne dois pas perdre ta médaille et la porter en toutes circonstances même si on te change de collier, compris la chienne ? »
    Ses derniers mots sont dits avec dureté, un mépris que contredit le regard intense qu'Anne peut voir dans la glace. La cravache ne tarde pas à s'abattre sur la cuisse :
    « Compris ? »
    Anne murmure faiblement :
    « Oui »
    La cravache s'abat de nouveau :
    « Oui qui ? »
    « Oui Madame, Maitresse, que dois je dire ? »
    La cravache frappe une troisième fois au même endroit :
    « Oui maitresse, »
    Anne regardant la glace, se voyant, voyant ma femme juste dans son dos et moi dans le canapé, répète docilement :
    « Oui Maitresse »

    Ma femme joue lentement avec les anneaux, ceux des seins, les petits des lèvres, fait bouger le cadenas, effleure le clitoris d'Anne. Le regard qu'Anne voit dans la glace est celui d'une femme satisfaite, presque émue de la situation. Ma femme murmure :
    « Mon mari a raison tu es superbe et si sensible »
    Elle décalotte le clitoris qui apparaît largement visible dans la glace. Elle se racle la gorge et commence :
    « Tu dors dans la pièce du chien sur un matelas rond »
    « Tu sors de ta pièce que quand on t'appelle »
    « Tu vouvoies tout le monde, regarde personne de face »
    « Tu es punie dès que nous le voulons »

    Ma femme se déplace dans le dos d'Anne en énonçant les règles de vie, elle ponctue ses phrases de petit coup de cravache contre sa cuisse et poursuit sa litanie.
    « Tu jouis que quand nous le voulons, et tu dois demander l'autorisation avant toute jouissance quelle qu'elle soit, même avec notre chien »
    « Tu es venue sans habit, tu vis nue chez nous et dehors tu portes les habits que nous voulons »
    « Tu manges avec le chien, sauf quand nous en décidons autrement »
    « Une fois tous les quinze jours tu seras conduite au salon de toilettage pour être épilée intégralement »
    « Dans ta pièce tu as une commode et une armoire, tu y rangeras les accessoires que nous t'achèterons, ils doivent être toujours propres prêts à être utiliser, tu y mettras aussi les habits que nous t'achèterons et dont tu prendras soins. »
    « Enfin une fois par semaine, 2h, tu pourras te servir de l'ordinateur en nous disant à qui tu parles, à qui tu écris, ce que tu fais avec, une fois par semaine, tu pourras écrire deux lettres et enfin une journée par mois nous te laisserons libre dans la maison sans avoir le droit toutefois d'utiliser l'ordinateur ou le téléphone. Nous profiterons de cette journée pour faire le point avec toi aussi »

    Elle termine cette longue tirade par un coup de cravache violent sur les fesses d'Anne :
    « As tu quelque chose à dire ? »
    Anne baisse les yeux et répond :
    « Non Maitresse »

    Je me lève, prend le poignet de notre chienne, la conduit devant une porte, l'ouvre :
    « Tu vois le matelas rond ? »
    « Alors va à ta niche la chienne »
    Je la pousse dans la pièce, le chien profite de cet instant pour s'y glisser à son tour et je referme la porte.


    votre commentaire
  • Mise à jour

    Ce soir la, à mon avis, ca ne glissait pas que sur les tobogans !

     C'est incroyable, elle a pris ces photos à l'autre bout du monde, à croire qu'elle n'y a été que pour se faire couler la chatte cette sensuelle Aline.



    votre commentaire
  • Mise à jour

    Je suis désolé, j'ai été un peu chargé cette semaine et je n'ai pas pu mettre à jour le site comme je l'aurais voulu, mais qu'à cela ne tienne, voilà toutes chaudes des photos d'une amie rencontrée récement.

    Vous retrouverez ces photos dans la galerie "mimi".



    4 commentaires
  • Mise à jour

    Vraiment elle ne respecte rien quand elle a envie d'être une salope, regardez donc où elle joue !



    votre commentaire