• Premiere seance

    Mise à jour

    Je t'ai regardé arrivé par le fenetre, degustant le mouvement de tes seins sous ta robe, degustant juste le fait que tu sois venue alors que tu aurais pu reculer à la derniere minute : tu en as donc vraiment envie.

    Je retiens ma respiration au moment où tu sonnes, cette sonnerie est comme le glas qui annonce ton renoncement.

    Je t'ouvre, te regarde de haut en bas, inspecte ton visage, tes mains, tes poignets, ton cou, je suis satisfait : tu as obeis.

    Sur le palier, j'approche lentement ma main de ta poitrine, en te regardant je la fais jouer librement sous le tissu de la robe : sur ce point la aussi tu as obeis.

    je fais glisser mon doigt d'un teton, à ta cuisse, caressant le galbe de ton sein, ton ventre, ton pubis du bout du doigt. Je remonte lentement ta robe, te regardant dans les yeux, mon doigt caresse l'intérieur de ta cuisse, l e haut de ta cuisse, ton aine, puis se pose délicatement sur ta fente, je la caresse, j'en aprécie la souplesse, la douceur, l'humidité.

    Je m'écarte et dis le premier mot "tu peux entrer la pouliche". Je te laisse passer devant moi et pose ma main sur ta nuque, t'arrétant en la pincant légérement "stop". Je ferme la porte en te tenant la nuque, puis te conduit au milieu du salon, m'assoids dans un fauteuil, croise les jambes, te souris "main dans le dos, ecarte les jambes". Je savoure la vue que tu m'offres : celle d'une femme soumise, déterminée, belle, sensuelle et obéissante.

    Je te félicite de ta ponctualité, de la précision de ton obeissance "tu vois une soumise doit etre précise, consciensieuse, sinon le jeux perd tout son interet". Je marque une pose.

    "Pour tes bijoux ne t'inquiété, tes attributs de femelle suffisent à te rendre belle et désirable, et tu porteras les miens, uniquement les miens quand je le désirerai".

    Je t'indique du menton un chevalet "va y pendre ta robe et reviens m'apporter à genoux la cravache qui y est pendue"

    Je te regarde te mettre nue, te dévore des yeux, te dévore d'envie, de désirs mais le maitre doit savoir se retenir comme la soumise apprendre la patiente.

    Je prends la cravache que tu me tends, fais glisser le bout du cuir sur ton corp pour voir comment il réagit, je remue légérement tes mamelons avec celle-ci, la fait glisser sur ta fente, tapote tes cuisses pour te les faire écarter, puis tapote tes reins pour te faire largement cambrée.

    "Bien petite pouliche, tu as appris ta postion à genoux, tache de ne pas l'oublier"

    J'inspecte tes aisselles, tes jambes, ton pubis, approuve ton épilation "ton ancienne amie t'a bien éduquée à l'épiliation, c'est parfait, une chose que je n'aurai pas à faire".

    Je fais glisser lentement la cravache sur te fente, sur ton bouton, le decalote à la main pour que le cuir l'irrite plus, lorsque chaque mouvement de cravache la rend plus luisante, je soupire et demande :

    "Alors as tu commencé le livre ? Qu'as tu pensé de notre rendez vous d'hier ? Qu'as tu pensé du regard des gens, des hommes sur toi hier quand tu es sorti des toilettes, du café et sur ton chemin de retour ?"

    J'accentue ma caresse : "Et hier soir dans ton lit, tu as révé à quoi ? T'es tu caressée ? As tu joui de tes pensées ?"

    Je m'amuse de l'accroissement de ton trouble : "Ah au fait, bien sur une pouliche bien élevée maitrise son plaisir et ne jouis pas n'importe comment comme n'importe quelle gourdandine, elle demande toujours la permission à son maitre avant"

    Je te reléve le menton de la cravache "Compris ?"

    J'attends ton "oui" puis redecalotte ton clito pour recommencer la caresse de la cravache : "Eh bien qu'attends tu pour répondre à mes questions petite gourde ?"


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