• Sirop de fraise

    Mise à jour

    Je savoure sa remarque, son rougissement, de sa maladresse aussi. Je prends une fourchette sur la table, me penche legerement et donne un coup de piques sur son bras : "j'attends de toi que tu obeisses". J

    Je me rassoids et attends tranquillement qu'elle réajuste ses boutons.

    "Voilà, tu as appris ta première lecon : une soumise doit être conscienseuse, et obeir avec precision, elle doit mettre son honneur a exécuter les ordres de son maitre dans tous les détails, tu as compris ?"

    Je repose la fourchette, la regarde, lui souris, "alors tu veux devenir soumise, être éduquée, devenir une jument ?" Je laisse passer un temps pour voir sa réaction.

    Puis je reprends, "mais tu veux être soumise sans un certains nombre de chose ?" Je reprends les limitations qu'elle m'a indiqué durant nos dialogues sur le net. Je parle lentement pour lui laisser le temps d'intervenir, voire meme de partir en courrant. Mais non elle reste la, droite sur sa chaise,son sac sur les genoux, ses boutons sagement fermés maintenant.

    Je continue "tu as compris que tu dois me vouvoyer, m'appeler Monsieur en toutes circonsances, être polie et respectueuses quoiqu'il advienne ?" nouveau temps de silence "Et bien sur tu seras dressée, parfois doulourousement, tu me serviras de potiche sexuel selon mes envies, tu seras insultée si vraiment je ne suis pas satisfait de toi" n ouveau temps de silence.

    "tu seras tres certainement fistée, attachée, enculée, et fessée" temps de silence un peu plus long "et tu apprendras à pleurer devant moi"

    Je marque une pause et demande "tu prends un sirop de fraise ?" Je fais signe au garcon pour qu'il me serve un martini et un sirop de fraise. Quand les boissons sont sur la table, je lui dis "bois" ! Elle se penche pour prendre le verre, elle recoit un nouveau coup de pique "tu as oublié de dire merci" !

    Je l'entends dire un faible merci les levres serrés, je m'amuse de sa gene et de sa tension.

    Je sors un livre de ma poche "Tu veux devenir une jument ?, alors tu liras ca" Je pousse devant elle La jument de Esparbec. Puis je le reprends, sort un stylo et marque sur la page de garde "A la plus adorable des femmes venant à leur premier rendez vous de soumission", je lui tends à nouveau le livre.

    "termine ton verre et choisis de rester ou partir".

    Je sirote mon martini comme si elle n'etait pas la.


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