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  • Les vitesses s'enclenchent.Les bâtiments defilent, et manuchao chante.
    De circonstance, d'ailleurs, celui-là.
    Je quitte Barcelone. An angel called ****.
    Hole in my heart.
    A mesure que je sens les kilometres s'allonger, s'étirer, et s'agrandir dans mon dos, je sens un trou béant s'élargir en moi.
    Peux pas ne rien faire.Dans une voiture, y'a pas 1 000 solutions. Alors je chope le stylo et le fais glisser.

    J'aime pas retenir mes larmes. J'aime pas lorsqu'il faut se forcer et que les muscles des coins de la bouche tirent malgrès tout vers le bas. Ne peux rien faire, que faire glisser le stylo.Le même stylo qui lui a ecrit, a cet ange entr'apercu. J'aime pas pleurer.J'aime pas ne pas savoir pourquoi je pleure. J'aime pas non plus savoir pourquoi. C'est triste d'être con.

    Même le stylo me lache...alors, je n'ai plus qu'a me lacher moi meme. M'auto-lâcher.M'auto-détruire.Me formater, comme un disk-dur. Fang, n'es qu'un disk-dur.(si elle est).


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  • J'était tellement tombée dedans que je n'ai pas pensé a relever le nom de l'artiste.(pardon).
    Il est rentré dans ma tête, et il a pris une photo.
    c'est tellement instantané cette toile. C'est ça quoi. Je la trouve réellement pleine d'émotion. Enfin, une vrai toile, quelque chose qui transmet quelque chose.

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