• ma citation préférée car elle est de moi je suis un diamant : plus j'ai de facettes, plus je brille

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  • Les yeux bandés pour mieux voir Ce qui ne brille que dans le noir Fière de ces fers, de ce collier Qu‘on juge outils pour m'humilier Montrant mon statut de chienne Juste un moyen de te rassurer De te prouver que je suis tienne Et cela quoiqu'il advienne Instants suspendus Hors du temps, perdus Mon souffle se fait plus fort J'attends, heureuse, mon sort Ma volonté est tienne Tes mains sont miennes Les coup tombent, le cuir mord Pour ton plaisir vivre mille morts Et en sortir troublée, comblée, mouillée Te savoir ému, tremblant, troublé Au port de ta tendresse m'amarrer Oublier la tempête, sentir l'ouragan se lever Collectionner les baisers bon-points Sur ma bouche, mon dos , mes seins Nos cris s'élèvent à l'unisson Tu t'endors en murmurant mon nom

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  • Je préfère le loup à l'agneau L'armagnac à la menthe à l'eau Les éclats de rires aux sanglots Je le préfère bien dans sa peau En jean et perfecto Ou en costard de chez Smalto Il se sait au top niveau Je le préfère bien dans ma peau Version recto ou verso Mais toujours bien au chaud Serré dans mon humide fourreau Je le préfère bien sur ma peau Jeux de plumes le long de mon dos Ou fessée digne d'une maso Chaque moment est un cadeau Pas un homo mais un homme haut Car je préfère le loup à l'agneau L'armagnac à la menthe à l'eau .....

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  • Des zébrures en croix sur ma peau Pour mieux suturer les failles de mon âme Des mots amers dans ta bouche Qui coulent comme le miel sur mon cœur Car il me faut souffrir pour aimer Aimer souffrir pour jouir Jouir pour te combler Te combler pour te donner l'envie D'aller plus fort, plus loin De me faire toucher le fond du puit Ou je trouverai ces quelques gouttes Qui étancheront ma soif Ma soif de savoir enfin Qui je suis vraiment

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  • Pendant que l'ascenseur montait au 7eme étage, elle pensa : 7eme étage, 7eme ciel ou descente aux enfers ... elle espérait les deux et se rappela comment ils s'étaient connus.. Il était le beau-frère de sa meilleure amie alors, il y avait eu les anniversaires et autres fêtes à chaque fois elle lui trouvait un charme fou, un coté animal et carnassier qui l'attirait tant chez un homme mais l'anneau d'or qui brillait à son doigt était, pour elle, une clôture infranchissable ... jusqu'au jour où, lors d'une conversation, Alice lui annonce : Martine et Philippe divorcent ... en rentrant chez elle, elle se rappelle avoir son adresse mail car il lui avait un jour demandé de relire une traduction dont il n'était pas trop sur.. Elle lui envoie un émail lui disant qu'elle était désolée d'apprendre qu'il divorçait.. Quelle menteuse tu fais pensa-t-elle en cliquant sur le bouton envoi. Le lendemain une réponse lui parvenait.. Rien de triste ils restaient bons amis mais il était aussi coupable qu'elle en la laissant glisser dans un statut d'épouse fade sans réussir à la faire rester la coquine qu'il avait connue et qui lui avait plu.. Il était surpris en recevant ce mail mais il se rappelait la faveur pour laquelle il ne l'avait jamais vraiment remerciée comme il faut, mais, que dés qu'il aurait fini de déménager, il avait l'intention de le faire. A cet instant elle se vit agenouiller sur un canapé, jupe relevée et lui debout derrière elle, une cravache à la main. Pourtant il y avait une chance sur 10 000 que ça arrive un jour ..De fil en aiguille les mails étaient devenus conversations téléphoniques de plus en plus personnelles jusqu'au jour où elle avait évoqué son initiation aux jeux de la soumission, il lui avoua sa surprise car elle avait une forte personnalité, mais il était ravit de le savoir car il avait lui aussi aimé ces jeux dans le passé.. Il lui proposait de venir dîner chez lui et si à la fin du repas elle souhaitait rester pour un peu plus, il lui suffirait, au moment qu'elle choisirait de prendre le martinet qui serait sur la commode et de lui présenter, les yeux baisers en lui signifiant son désir, mais après cette minute elle ne déciderait plus de rien.. L'ascenseur s'arrêta, elle sortit sur le palier, mouilla ses lèvres et sonna à la porte de gauche ... il ouvrit la porte en lui souriant. Ses yeux noirs brillaient tant qu'elle eut envie de se précipiter vers la commode pour y ramasser le martinet mais elle eut soudain faim en sentant une délicieuse odeur de poulet aux morilles ... il y avait des bougies qui brûlaient un peu partout et, sur la table basse une bouteille de champagne au frais et des canapés délicieux.. Il retira le pashmina de ses épaules et la pria de s'asseoir en lui désignant le canapé, il pris place dans le fauteuil face à elle, sourit de nouveau en s'apercevant que sa respiration était rapide et qu'elle passait régulièrement sa langue sur ses lèvres.. Il espérait qu'elle resterait après le dîner mais il ne voulait pas, pour l'instant, mettre la pression, alors il déclara qu'il aimait ce moment quand, le vendredi soir, on commence vraiment le week-end en lui servant une coupe.. Ils burent et mangèrent en parlant de tout et de rien ..Il l'a fit rire, elle le fit rire .. Elle était légèrement ivre et il avait à plusieurs reprises surpris son regard allant vers la commode du séjour.. Il se dirigeât vers la kitchenette pour servir le dessert quand elle se leva en disant que le dessert attendrait, elle se saisit du martinet et lui fit face, en baissant les yeux, et d'une voix soudain grave, elle déclara < je suis votre, faites de moi ce que bon vous semble >. Ce qui suivit l'étonna .. Très calmement il lui ordonna de débarrasser la table puis de remettre des glaçons dans le sceau à champagne, d'y mettre l'autre bouteille qui attendait dans le frigo et de venir lui servir une coupe .Elle commença à exécuter les ordres, un peu dépitée car elle pensait qu'il s'occuperait d'elle tout de suite. Elle ramassa les assiettes, alla à la cuisine, mit la bouteille dans le sceau avec des glaçons, but un verre d'eau et alla le servir.. Il la laissa faire puis lui dit : « mets-toi debout en me tournant le dos, écarte les jambes, et relève tes cheveux en mettant les mains sur la tête » elle s'exécuta.. » La table n'est pas complètement débarrassée, tu n'as pas fait les choses dans l'ordre que je t'ai donné, tu as bu un verre d'eau sans demander la permission alors que je t'avais clairement expliqué que tout passait par moi ... pour ces deux fautes tu recevras 50 coups je choisirai bien sur où, comment et quand mais pour le moment va dans la chambre, mets toi nue, allonge toi sur le dos et ne bouge plus ».. Elle se dirigeât vers la porte qu'il ouvrait et obéit en pleurant de dépit.. Rien ne se passait comme elle le pensait et elle ne comprenait pas sa façon de faire mais elle voulait aller jusqu'au bout même si elle pensait à cet instant qu'elle s'était trompée sur son compte et ne le reverrait plus.. Elle attendait maintenant dans la pénombre de cette chambre aux couleurs crème et rouge sombre.. Un bruit d'eau venait de la salle de bain, elle ferma les yeux, il prenait une douche.. Elle sursauta en entendant sa voix il dire sèchement « écarte bien les jambes, cambre toi et écarte ton sexe avec tes doigts ».. Il avait laissé couler l'eau mais il était debout au pied du lit, en robe de chambre rouge les mains derrière le dos.. Elle s'exécuta et se rendit compte que son excitation était, malgré tout, là tant elle était mouillée. Il lui ordonna de fermer les yeux et de ne plus les rouvrir avant son ordre.. elle aurait préféré un bandeau mais compris que, ainsi, c'était à elle de tenter de contrôler l'incontrôlable et d'en subir les conséquences .. Le jeu commençait à lui plaire, elle étira d'avantage ses lèvres pour qu'il se rende compte de son excitation.. Un sifflement et une brûlure la firent crier et rouvrir les yeux. il dit « un » ...il commençait la punition d'une façon inattendue et elle prit peur car ses lèvres et son clito étaient en feu et elle ne supporterait jamais les 49 coups restants mais, déjà, il était à genoux entre ses jambes et il la caressait, puis, tapant très légèrement avec un doigt sur son clitoris, il dit « deux » et lui dit » je suis le seul à décider de la force et l'instrument du coup. Il en reste 48 plus 10 pour avoir ouvert les yeux, tourne toi, mets toi à genoux, les épaules là.. Il empila 3 oreillers sur lesquels elle posa son torse ... Sa croupe large était légèrement plus haute que son buste et à nouveau il la surpris car au lieu des coups qu'elle attendait il commença à caresser sa vulve, frottant les lèvres l'une contre l'autre excitant ainsi le clito avec une extrême douceur puis glissa deux doigts en elle et lui donna 5 gifles retentissantes sur les fesses... il y eut ensuite une longue période où claques, coups de martinet et de cravache alternèrent avec des caresses de plus en plus poussées, de plus en plus précises, et, quand il lui donna les dix derniers coups de cravache, le long de son dos, en commençant par les omoplates, alors qu'il caressait son clitoris, elle jouit quand le dernier coup s'abattit sur sa raie. .elle avait serré les dents pour ne pas crier quand certains coups avaient été plus durs que d'autres mais soudain le plaisir ouvrait les écluses qu'elle avait bloquées. Elle criait de douleur, de plaisir, pleurait et tremblait à la fois... il ôta rapidement son peignoir, s'allongeât sur le coté et la pris contre lui et dit à son oreille » la, la calme toi ... merci ma belle pour tout ce que tu viens de m'offrir ... calme toi ... il lui caressait le front et embrassait sa nuque où coulait la sueur ... elle l'entendit dire.. Tu es ma soumise, tu t'appellera Eve car tu as la force et la faiblesse de la toute première femme.. merci.. Le jeu s'arrête pour le moment.. Fais une pose.. reprends des forces ... elle s'endormit dans ses bras en souriant.. Un besoin d'aller aux toilettes la réveilla .. elle ne savait pas qu'elle heure il pouvait être , elle avait perdu toute notion de temps ... elle alla au wc et soudain pensa qu'elle s'était endormie en laissant Philippe sur sa faim .. elle avait senti son sexe dressé dans son dos avant de sombrer dans un sommeil profond . .c'était la première fois que ça lui arrivait car elle avait toujours était généreuse avec son maître et initiateur ou ses autres amants vanille mais, elle se dit que, depuis son enfance, elle avait cette faculté de plonger dans le sommeil quand les choses la dépassaient, et cela avait été le cas plus tôt .. elle n'avait jamais jouit ainsi : Philippe avait masturbé son clitoris comme on branle un sexe d'homme, et il avait gonflé a tel point que, même encore maintenant, il n'avait pas repris sa taille normale et quand elle avait jouit, elle avait eu l'impression d'éjaculer .. vraiment ... » il faut que je lui donne du plaisir ..absolument » pensa-t-elle en passant à la salle de bain pour se rafraîchir et trouva un mot accroché au miroir : « j'ai du éteindre les bougies , débarrasser la table et me coucher en bandant encore .. tu as maintenant 2 solutions tu te sauve dans la nuit mettant fin a un embryon d'histoire ou tu trouve un moyen de te faire pardonner » . .elle fit une rapide toilette et retourna dans la chambre .. elle était sure qu'il faisait semblant de dormir car son départ du lit l'avait sûrement réveillé mais elle voulait jouer le jeu Elle se pencha sur son sexe qui était en demi érection et se mis à le sucer avec tendresse, l'aspirant pour le prendre dans sa bouche en entier puis jouant de sa langue tout le long .. le sexe se mit de suite a grossir et a durcir ..elle commença alors de long mouvement de va et vient ample laissant sa salive couler le long du membre pour qu'il soit bien lubrifié, bien qu'elle ne se rappelait avoir eu un amant avec une peau aussi soyeuse .. elle joua de sa langue contournant et titillant le bout du gland et le prépuce .. il mouillait abondamment et sa liqueur avait un arrière goût de noisette... il l'écarta en lui tirant doucement les cheveux .. « non, non mademoiselle, pas si vite, pas question que je jouisse maintenant (sa voix était joyeuse) j'ai trop faim de toi pour me contenter de ta bouche » il se leva et empoigna ses chevilles « guide moi » dit il et son sexe glissa d'un coup rein au fond de sa chatte avec un bruit mouillé et il s'arrêta net .. « si je bouge encore une fois je vais jouir dit-il ça ne m'est « .. mais il n'eu pas la chance de finir sa phrase elle s'était mise a onduler du bassin en resserrant son vagin au maximum.. Il jouit en la traitant gentiment de salope car elle le regardait en souriant, il finit de l'inonder avec 2 longs jets de sperme et un grognement de satisfaction ... il s'abattit sur le lit le souffle court et annonça en riant « tu me le paieras salope .. j'ai soif , vas me chercher un jus d'orange .. tu as le droit de boire aussi » quand elle entra dans la chambre avec un grand verre de jus d'orange elle vit que le tiroir de la table de chevet était ouverte et que 2 paires de menottes étaient attachées a chaque cote de la tête de lit .. elle sourit et se recoucha ...il reposa le verre, pris son poignet et l'attacha , le second .. il sortit un foulard plein d'objet du tiroir.. il passa un masque sur ses yeux et elle sentit ses genoux a l'intérieur de ses cuisses qui la forçaient, sans un mot, a écarter d'avantage les jambes ... un baiser sur un téton puis un pincement ... pincement sur l'autre, et cette sensation de tiraillement qui part du téton pour descendre au sexe ... le ronronnement léger d'un moteur électrique et un gode vibrant qui se glisse dans son vagin .. Le gode est assez gros mais elle est tellement excitée qu'elle s'enfonce dessus au maximum, le genou de Philippe vient le bloquer à l'intérieur alors qu'il la remplit sans être entré entièrement ... les pinces sur les seins sont tirées et tournées légèrement en simultanée.. elle soupire de plaisir grâce ou a cause de la morsure, et tout doucement, le genou pousse sur le gode et ça dure longtemps, la maintenant dans une zone de plaisir juste en deçà de l'orgasme .. puis la sensation brûlante du sang qui re-circule dans les tétons quand il enlève les pinces l'amène une marche plus haut .. il commence à caresser son clitoris « non « supplie –elle mais il lui répond qu'il veut la voir jouir et que c'est un ordre, mais, qu'après tout, elle a raison, ça peut attendre « il retire le gode et arrête ses caresses ... retourne toi et mets toi à quatre pattes..elle est obligée de croiser les bras sur le drap a cause des menottes, il se place derrière elle et frotte son sexe en érection contre ses fesses et sa chatte sans la pénétrer...son envie d'elle l'excite au plus haut point ... il caresse sa chatte pour lubrifier son anus et il y enfonce le pouce et rentre trois doigts dans sa chatte « quel orifice veux tu me donner ? « vu la position elle répond sans trop réfléchir « mon anus » ..pour toute réponse il retire son pouce et lui met une énorme claque sur la fesse gauche, elle se reprend « ma chatte » il retire ses 3 doigts et claque la fesse droite... bien sur la réponse est évidente « je vous appartiens maître (elle a enfin prononcer ce mot qu'il espérait ) vous prendrez ce que bon vous semble .. » »c'est bien tu apprends vite, ça mérite une récompense « il débloque les menottes pour lui permettre un meilleur appui, un gode plus petit s'enfonce dans son vagin .. il commence à vibrer et elle sent la froide douceur d'un gel lubrifiant sur son anus il pose son gland contre la rondelle et lui demande que ce soit elle qui s'y empale, elle commence alors un long recul, sans accoue, jusqu'à ce qu'elle sente ses testicules contre ses fesses, il saisit ses hanches, il commence un va et vient tantôt lent tantôt rapide .. elle est remplit par lui et par le gode ... les mouvements et vibrations semblent envahir tout son bas ventre .. les spasmes de sa jouissance font jouir Philippe et ils crient au même moment ... quelques minutes plus tard le gode et le sexe glisse hors du corps d' Eve il y a une odeur de « white linen », d' »eau sauvage », de cyprine, de sperme et de sueurs... il retire le bandeau .. un oiseau chante pour saluer la pointe du jour .. ils viennent de d'endormir ] Une bonne odeur de pain grillé et de café réveille Eve et aussi le besoin urgent d'aller aux toilettes.. Elle se lève vite et part vers les WC, Philippe l'attrape par le bras « où crois-tu aller comme ça ? » Sa voix est ferme, elle comprend qu'il ne plaisante pas.. « J'ai besoin de faire pipi » avoue-t-elle très gênée « c'est une vraie urgence » « tant pis, puisque tu n'as pas demandé, tu pourras aller te soulager quand je le serais « sur ces mots il ouvre le zip de son jean et, la prenant par les cheveux, la force à s'accroupir et il enfonce dans sa bouche son sexe dur, gonflé, et déjà humide.. »mieux tu effectueras cette tâche, plus vite tu pourras aller pisser mais si tu as une fuite je te bats comme plâtre, tu as compris ? « Elle fait signe de la tête que oui.. Bien sur elle a compris et elle s'applique à le faire jouir vite car sans ça, ça va tourner à la catastrophe.. Elle le happe en lui caressant les testicules à travers la toile épaisse et accélère les va et vient de sa bouche en serrant les lèvres et au bout de trois très longues minutes ou les larmes lui montent aux yeux tant elle se retient, il s'enfonce d'un coup plus profond en elle pour décharger, il la redresse et se rajuste.. »Vas-y mais laisse la porte ouverte « « pas ça « pense –t-elle et tous les carcans de son éducation stricte reprennent le dessus.. Elle supplie, il lui dit que pour cette fois il est prêt a transiger mais il fallait qu'elle comprenne que c'est une faveur qui ne se reproduira pas. Elle acquiesce à travers la porte des toilettes « bien sur monsieur, j'ai bien compris monsieur, je vous en remercie monsieur « et même si elle est vraiment sincère une partie de son cerveau pense. L'important c'est que, dieu que c'est bon, je me soulage après avoir eu à me retenir comme une malade.. Oh quel plaisir !! Par contre il faudra au moment propice que je lui explique que je ne pourrais jamais faire certaines choses devant lui.. Il comprendra. Elle revient dans le séjour il est assis et déjeune, elle aventure un « me permettez-vous d'aller prendre une douche ? » Il la sait gourmande et le pot de nutella sur la table est bien en évidence « tu ne veux pas déjeuner ? » La réponse fuse « oh si bien sur « elle allait s'asseoir mais se reprend très vite « si vous le permettez maître « il part d'un éclat de rire « tu m'appelle maître quand tu parles avec le ventre : l'estomac ou le vagin !! le reste du temps c'est monsieur c'est ça ?? » Son regard rit mais elle se sent percée à jour « c'est que je ne sais pas ce que vous préférez « elle sait qu'il ne sera pas dupe de cette réponse mais son cerveau surchargé d'émotions a du mal à fonctionner à plein régime.. « Assieds-toi et déjeune nous serons, pour quelques minutes, d'égal à égal mais je t'apprendrais bientôt à manger comme une soumise. Ensuite nous irons à la salle de bain ou tu feras ma toilette avant la tienne » elle hoche la tête, la bouche pleine, il aime sa gourmandise et devine que cette faiblesse le servira dans le futur.. .......A SUIVRE .........

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