• La semaine dernière, maîtresse me convoque.

    Elle me dit qu'elle est invitée à une soirée. Au départ je croyais que c'était une soirée Bdsm.
    Elle me signale simplement que c'est une soirée un peu spéciale, organisée par une de ses amies, qui rêvent de jouer à l'infirmière, où poussent exactement au professeur d'infirmières. Il lui faut un cobaye. Maîtresse a donc décidé que ce serait moi le cobaye.

    La soirée arrive, et nous nous rendons chez l'amie de maîtresse. Nous sonnons, nous sommes parmi les derniers arrivés.

    Je constate de suite que je suis le seul homme de la soirée. Rentrant dans le salon, je me sens observé par une dizaine de jeunes femmes entre 20 et 25 ans.

    Il y a une espèce de table au milieu du salon et des sièges qui sont posés en arc de cercle tout autour.

    Maîtresse me fait déshabiller et je me retrouve nu devant les jeunes filles. Je n'en mène par larges, étant donné que je n'aime pas du tout être observé et humilié de la sorte. Je comprends maintenant pourquoi maîtresse a voulu que je sois le cobaye, chaque champ que je déteste être la bête à observer.

    J'essaie de me protéger les parties génitales de des mains, mais une claque sur celle-ci me font les écarter.

    L'organisatrice de la soirée a prévu de faire un cours d'anatomie concernant les hommes murs. Et donc je suis le parfait cobaye avec mes 50 ans passés, mon petit ventre, mes muscles qui ne sont plus aussi fermes que ceux d'un jeune homme.

    Et une auscultation en règle commence. Elle me mesure me pèse, fait prendre des notes, ensuite commence vraiment l'auscultation médicale, prise de tension, réflexe, etc. etc. etc.

    puis elle me fait grimper sur la table, me fait mettre en position de levrette, prévenir les jeunes filles tout autour de moi, enfile un gant latex et me doigte le trou du cul, pour vérifier la grosseur de ma prostate elle fait enfiler des gants en latex à toutes les femmes et chacune va me doigter le trou du cul, afin de constater l'emplacement et la grosseur de la prostate. Évidemment cela me fait bander un peu. Ensuite, ce sera l'auscultation des parties génitales, souspesement des couilles, grosseur des testicules, palpation, et ensuite mis en condition pour voir comment un homme de mon âge bande à savoir s'il bande encore droit, dur ou mou.

    Deux jeunes filles sont chargées de me faire bander le plus possible. Une s'occupe de me branler, et l'autre de me malaxer des testicules. Apparemment elles n'ont pas trop d'expérience, car elles le font maladroitement. Malgré tout je bande comme un salaud et ma queue se dresse devant la dizaine de jeunes filles. Une autre chargée de mesurer mon sexe en longueur et en circonférence.

    Puis la maîtresse de maison, me fit remettre en levrette, écarter les cuisses, se saisissant de ma queue et le ramène en arrière, et commence à me branler sérieux, et sans ménagement. Sans se préoccuper si j'ai du plaisir ou pas. Elle cherche simplement à me faire cracher mon jus de couilles. Au bout de cinq minutes je ne peux résister. Je sens que je vais jouir et craché mon sperme. Ma queue durcie au maximum. La jeune fille le sens, glisse un verre sous mon gland et me finit. Dans un râle, j'éjacule. Elle me sort la bite jusqu'au bout afin de récupérer la moindre goutte de foutre. Elle me fait me redresser et montre à chacune des filles ce qu'elle a récupérée de semence. Les filles tour à tour prennent vers observe à travers lui mon sperme, le renifle, et une ou deux, ose tremper un doigt et goûter.

    Une jeune fille demanda combien de fois un homme pouvait bander éjaculer. Mauvais point pour moi, car je compris qu'elles allaient me faire cracher un maximum de fois.

    En effet je fus travaillé pendant 2:00. La deuxième fois ne fut pas trop dure. À partir de la troisième, une jeune fille est obligée de m'exciter, ce qu'elle fait facilement en un faisant sentir son sexe et en me pompant la queue. J'ai la bite qui me brûle, les couilles qui me font mal. Au bout de la quatrième fois je n'en peux plus et malgré la bonne volonté de plusieurs jeunes filles à me faire bander, je ne puis assurer.

    Je suis mort, complètement lessivé, les couilles vident, la bite molle, et les jambes flageolantes.

    Je n'ai pris aucun plaisir à cette soirée, mais j'ai contenté ma maîtresse qui a été satisfaite de ma prestation. Je ne souhaite pas à qui que ce soit de subir cet exercice.


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