• Intercommunalité

    Sachant que le président de la Cunca a toujours signifié, et il n’y a aucune raison d’émettre un doute sur ces propos, « qu’il n’est demandeur en rien », je me demande pourquoi, aujourd’hui, la majorité municipale souhaite adhérer à cette Communauté Urbaine et pourquoi avec tant de précipitation.

    J’aimerais, aujourd’hui, connaître les raisons et les réflexions qui poussent nos élus locaux à vouloir engager l'avenir de notre Commune dans cette voix là, alors qu’ils n’ont jamais exprimé, lors de la précédente élection municipale, de réticence à l’égard de la Communauté de Communes des stations du Mercantour. Pour mémoire, nous avons été les seuls à émettre des doutes sur l’étroitesse de cette Intercommunalité et avons milité pour un changement Intercommunautaire.

    Je demande, aujourd'hui, à ce qu’une consultation citoyenne soit organisée rapidement pour que les enjeux d'un rapprochement avec la Cunca nous soient expliqués afin que nous puissions les comprendre, les accepter… ou les rejeter. Les vraies questions devront être énoncées et discutées, comme celle de partager ou non une communauté de vie et d'intérêts avec la future métropole niçoise et la création administrative du Comté de Nice. (par exemple : combien de sièges pour notre municipalité, que fera-t-on de la petite enfance et de la culture, va-t-on garder nos commandes de l’accélérateur et du frein pour les investissements, qui ramassera la pierre sur la route départementale de la Bonette, pourra-t-on organiser des coopérations communales spécifiques, etc.) Il est essentiel que tous nos concitoyens disposent d'éléments objectifs, chiffrés pour agrémenter les réflexions de chacun. Je suis toujours dans l'attente de la première réunion d’explication devant rassembler les habitants de la Commune, les élus et les fonctionnaires des deux structures communautaires.

    Je ne suis pas opposé à un changement d’Intercommunalité (pas facile quand on est une petite intercommunalité, dépourvues de moyens financiers et humains, de bâtir une communication efficace, et donc d'exister dans le paysage touristique mondialisé. Pour y remédier, pas de secret : de l'audace et de l'imagination) Je ne suis pas, par principe, opposé à intégration au sein de la Cunca, même si je préfèrerais une Intercommunalité à l’échelle de nos montagnes (Haut Verdon-Val-d'Allos,  Cians-Var, jusqu’à Tende en passant par Saint-Martin Vésubie), une Intercommunalité de Projet.

    Aujourd’hui, il me paraît simplement important qu'une éventuelle adhésion à une nouvelle Intercommunalité soit le fruit d'un long travail de réflexion et d’un choix réfléchi entre tous, ne serait-ce que par respect pour notre Communauté Stéphanoise.

    (Demande effctuée, ce jour, par Courriel, à Madame le Maire et à son premier adjoint)

    Les 24 Communes de la Cunca :

    Aspremont ; Beaulieu-sur-Mer ; Cagnes-sur-Mer ; Cap-d'Ail ; Castagniers ; Coaraze ; Colomars ; Duranus ; Èze ; Falicon ; La Gaude ;  Levens ; Saint-Laurent-du-Var ; Saint-Martin-du-Var ; Tourrette-Levens ; La Trinité ; Vence ; Villefranche-sur-Mer ; Nice ; La Roquette-sur-Var ; Saint-André-de-la-Roche ; Saint-Blaise ; Saint-Jean-Cap-Ferrat ; Saint-Jeannet

    Les compétences de la Cunca :

    L'arrêté préfectoral du 27 décembre 2008 a été publié officiellement dans le recueil des actes administratifs de la Préfecture des Alpes Maritimes le 29 décembre 2008, portant transformation de la Communauté d'Agglomération Nice Côte d'Azur en Communauté Urbaine Nice Côte d'Azur et portant adoption de ses statuts.

    L'instauration de la Cunca entraine un transfert de compétences des communes et syndicats intercommunaux dans les domaines suivants :

    Compétences de plein droit :

    ·         développement et aménagement économique, social et culturel de l'espace communautaire ;

    ·         aménagement d'urbanisme : schéma de cohérence territoriale, plan local d'urbanisme, transports urbains, voirie, signalisation, stationnement ;

    ·         équilibre social de l'habitat sur le territoire communautaire ;

    ·         politique de la ville : prévention de la délinquance ;

    ·         gestion des services d'intérêt collectif : assainissement, eau, cimetières, crématoriums, abattoirs, marché d'intérêt national, services d'incendie et de secours ;

    ·         protection de l'environnement et politique du cadre de la vie ;

    ·         lycées et collèges

    Autres compétences :

    ·         contrôle de qualité des milieux naturels, des eaux de consommation et de loisirs ;

    ·         études générales, diagnostics et développement des outils de communication et d'information dans les domaines environnementaux ;

    ·         production d'énergie sur les sites et équipements de la communauté ;

    ·         gestion des ports de plaisance communaux

    Ca fait peur… à chacun de méditer.

    DB


  • Commentaires

    1
    DB
    Samedi 13 Juin 2009 à 13:43
    Non-information
    Mme Murris, nouvelle Conseillère Générale du Canton de Saint-Etienne de Tinée, depuis hier. Cela va ravir les 1714 électeurs (sur 2493 inscrits) qui avaient porté leur choix sur le gagnant du 16 Mars 2008. Nous aurons au moins évité un parachutage ou un deuxième choix. Maintenant, souhaitons-lui bonne chance, car son métier de conseillère va être capital pour notre Canton, avant de nous faire manger tout crû par la Cunca.
    2
    LA STEPHANOISE
    Samedi 13 Juin 2009 à 18:41
    Caroline
    Une Stéphanoise (Royaliste) à la tête de notre Canton, je ne peux que dire bravo et bonne chance Caroline. Je suis sure qu'elle aura autant d'énergie et de bon sens que son père qui doit être bien fier "la haut". Mais saura t'elle se démarquer de CE et EC ? Saura t'elle éviter de faire plonger le canton et les 3 communes dans la CUNCA au sein de laquelle, les Louis NEGRE, Henri REVEL, Alain FRERE ou JF SPINELLI ou...etc décideront de notre urbanisation, de notre voirie, de la gestion de notre cimetière... on croit être tombé sur la tête et pourtout c'est ce qui nous pend au nez.
    3
    DB
    Dimanche 14 Juin 2009 à 11:02
    Royaliste
    Pourquoi (Royaliste) ?
    4
    LA STEPHANOISE
    Lundi 15 Juin 2009 à 09:05
    royaliste ou "rouyale"
    "rouyale" en patois stéphanois puisque originaire de roya.
    5
    DB
    Lundi 15 Juin 2009 à 10:30
    Information amusante
    Les affiches pour l'élection cantonale étaient prêtes : Candidate : Mme Murris ; suppléant : M. Estrosi. Il ne lâchera rien ; qu'on se le dise. Mieux vaut en sourire qu'en pleurer !
    6
    lesaint
    Lundi 15 Juin 2009 à 13:13
    methode
    honteux,ecoeurant,des methode dun autre age, un canton bananiere......
    7
    DB
    Lundi 15 Juin 2009 à 17:11
    Suppléant
    Il juge, certainement, que sur le Canton il n'y a aucune personne "capable" d'être le suppléant-du-suppléant ! C'est amusant.
    8
    Elu esteron
    Mercredi 17 Juin 2009 à 19:16
    CUNCAMANIE
    Je suis élu d'un village dans la vallée de l'Esteron. Nous sommes confrontés dans notre vallée au même probleme que vous. Conseil Municipal cette semaine avec un seul choix le OUI... Notre communauté des communes à l'unanimité a decidé de disparaitre au profit de la CUNCA.Il nous a été dit que la TINEE et la VESUBIE avait déjà decidé de leur integration dans la CUNCA. QU'en est-il réellement? Je suis d'accord avec vous toute la population de nos belles vallées doit être tenue au courant. Qu'avant nous a voir avec le tramway et la renovation des quartiers des moulins...Je pense que le peu d'identité qu'il nous reste est en danger...Etre élu c'est être au service des citoyens...Mais que pouvons nous faire ?
    9
    DB
    Jeudi 18 Juin 2009 à 02:06
    C?NCA
    Cher monsieur, officiellement la décision n’a pas été encore prise pour la Communauté de Commune des Stations du Mercantour. Sans doute que les élus connaissent la solution finale, mais nous, concitoyens, n’avons pas encore été alerté (si ce n’est par l’organe de presse local). Je m’attends à ce que l’on m’explique que l’union fait la force ; on va nous faire croire que nos subventions seront plus importantes en intégrant une Communauté Urbaine ; on va nous raconter « qu’après moi le déluge ». On pourrait espérer que le partage des décisions (si cela est possible) et des ressources humaines et financières fassent faire des économies de gestion (ce qui n’est pas prouvé et qui par expérience s’avère faux). Tout est possible (je ne crois pas à la perte d’identité). Ce qui certain, c’est que des communes comme les nôtres n'ont pas d'autre issue que d'avancer vers des Intercommunalités plus grandes, qui permettent à tous de mettre en commun des solutions à chaque problème quotidien et d'apporter de meilleurs services envers nos concitoyens. Ce qui est primordial, c’est de trouver la bonne taille. Ce qui serait le pire c’est d’en faire un enjeu politique et une ambition personnelle. Je ne crois pas à une intercommunalité à 40, voire 50 communes car aucun de nous n’avons les mêmes attentes, les mêmes craintes, les mêmes espoirs (imaginez un instant notre bonne vieille Europe à 40 ou 50 pays !). Je crois plutôt en une collectivité regroupant des villages géographiquement proches et qui ont les mêmes problèmes et les mêmes besoins. Je souhaiterais plutôt une communauté de communes qui prenne en charge des domaines de compétences déjà bien établis avec nos voisins montagnards, qui s’engage dans des coopérations à 5 ou 6, pour : le développement durable, les transports, l’aménagement de nos territoires ruraux, la culture, la vie sociale, le sport, les activités touristiques, l’éducation, la formation, etc. En définitif, c’est une Intercommunalité de « Projets Communs » dont nous avons besoin, pas d’une Intercommunalité au service de l’administratif et du financier où chacun se demande ce que l’autre va avoir de plus, où chacun s’inquiète de ce que l’autre va nous prendre. C’est d’une Intercommunauté de « Montagne » dont nous avons besoin. Mais il n’y a jamais qu’une seule réponse possible, ni le oui du bien-pensant, ni le non du mal-pensant. Que pouvons-nous faire ? Seul ? rien. A plusieurs : beaucoup.
    10
    POIL A GRATTER
    Lundi 22 Juin 2009 à 14:52
    CUNCA
    Mais quel intérêt ont nos élus à se jeter dans les bras de la CUNCA? Serait-ce le montant de leurs indemnités? Quelqu'un connait-il la différence entre l'indemnité du maire et des adjoints actuels et celle du futur représentant de notre commune à la CUNCA? Que deviennent les indemnites diverses et variées de toutes les autres structures?Ceci expliquerait-il cela ?
    11
    Le FURET
    Lundi 22 Juin 2009 à 15:04
    CE Feu notre CG
    Je vous l'avais annoncé depuis longtemps que la"petite " était programmée pour remplacer le champion du cumul des mandats.Celui qui nous dit depuis des lustres " je ne vous laisserai pas tomber "La preuve: il n'est pas venu à la fête de la transhumance, n'a même pas été excusé, pas plus d'ailleurs que le Pdt EC qui lui était excusé ,mais absent quand même!!!!
    12
    DB
    Lundi 22 Juin 2009 à 17:38
    Indemnités
    Indemnités de base (brut/mois) d'un conseiller communautaire : de 221,59 € (-400.000 habitants) à 1.034,07 € (+400.000 d'habitants) ; Le Furet, moi ça ne me gène pas : il faut savoir faire son deuil, tourner la page et passer, vite, à autre chose !
    13
    LA STEPHANOISE
    Lundi 22 Juin 2009 à 18:43
    Rien à f...
    Je vous l'ai toujours dit (écrit) CE n'en avait rien à f.. de ses "amis" Tinéens qui sont pourtant les seuls à lui avoir permis de grimper en haut de l'échelle. Maintenant encore il se sert de nous à coup de menaces pour recréer "le comté de NICE". Soit vous dite "OUI" à la CUNCA, soit vous crevez dans votre coin. En bref, la création d'une voie dans un village sera possible et finançable si on fait partie de la CUNCA mais ne le sera pas dans le cas contraire.
    14
    DB
    Mardi 23 Juin 2009 à 11:21
    Passons...
    Je vous trouve très dur dans vos jugements envers notre nouveau suppléant. Au début des années 2000, l'important était de récupérer, enfin, une partie du gâteau financier distribuée par le CG (qui, depuis le départ de J. Médecin, allait systématiquement vers Valberg). Nous en avons obtenu (presque) suffisamment pour remettre à niveau nos remontées mécaniques. Le donnant-donnant (argent facile pour élection aisée) a été respecté. Passons à autre chose, maintenant. Consacrons-nous aux encouragements ou aux critiques de nos élus et suppléante. Privilégions les propositions pour faire avancer notre Commune.
    15
    FOX
    Mardi 23 Juin 2009 à 13:04
    CUNCA
    Hello tout le monde. Plusieurs fois que je passe ici et que je lis ce forum très instructif et où on peut finalement trouver un lieu d’échange qu’il n’y a pas dans notre commune. La CUNCA, oh là, ça me fait vraiment sourire. Les enjeux sont pourtant forts et personne n’en parle. Pourtant les conséquences ne seront pas des moindres pour les citoyens. L’intégration de ces communes dans la Communauté urbaine est lourde de conséquences puisqu’avec un tel passage ce sont plus de 80 % des compétences aujourd’hui exercées par les communes ou communautés de communes qui sont transférées à la CUNCA sans plus aucune possibilité de gérer soi-même lesdites compétences. Lourde de conséquences également quand on sait que le retrait de la Communauté urbaine est impossible et que celle-ci est créée sans limitation de durée. Lourde de conséquences quand on sait que toutes les décisions à prendre dans le cadre des compétences transférées (+ de 80%) le sont au sein du conseil communautaire de cette CUNCA. Et qu’au sein de ce conseil, si la ville de Nice dispose de 36 délégués, chaque village de nos vallées n’en aura, pour sa part, qu’un seul ! Mais c’est à croire qu’il y a ici une certaine politique de désinformation où les intérêts individuels priment sur les intérêts communs. Nos élus auraient ils à ce point les mains liés au point de se priver du dialogue avec les habitants de nos villages et hameaux ? de quoi ont ils peur ? Dieu serait il si puissant face à ces disciples au point qu’ils s’exécutent sans rien dire ? malheureusement il n’y a pas encore de Juda… En tout cas plus j’y pense plus je me dis qu’il faudrait peut être diffuser un peu la corruption de système tentaculaire que je pourrais classifier de monarchie mafieuse. Je me demande si ça ne pourrait pas intéresser le Canard enchainé. En tout cas nous ne sommes plus loin de voir à nouveau le Comte de Nice. Enfin, quelques questions qui j’espère ouvriront au débat. A-t-on envie de perdre l’âme de nos villages de montagnes ? Quelles orientations voulons nous donner à nos villages ? voulons nous transformer nos villages en immenses dortoirs ? Sommes nous prêt à payer les travaux de la ville de Nice ? Désolé pour ce coup de gueule, mais je pense qu’il est dans l’intérêt de tout le monde que les choses bougent enfin et qu’on puisse enfin s’exprimer librement sur des engagements de longue durée. Je vous invite à consulter ce lien web à recopier texto dans votre navigateur. C’est intéressant, prenez le temps de lire. adslevens.fr/telechargement/CUNCA.pps
    16
    Coaraze
    Mardi 23 Juin 2009 à 19:01
    canca
    http://www.letuyo.info/2009/01/10/des-villageois-un-ministre-et-beaucoup-damis-pour-la-cunca/ : « Je n’ai absolument rien contre cette communauté urbaine en tant que tel… mais nous préférerions plutôt collaborer avec les villages du Paillon, tout proches » explique madame le maire, Monique Giraud-Lazzari. La genèse de cette « incohérence » : le découpage « à la hache » de la Communauté d’agglomération Nice-Côte d’Azur (Canca), en 2002, qui n’a pas fait dans le détail. Excentré et à deux pas des vallées du Paillon, Coaraze comptait attendre tranquillement 2013 pour profiter du « lissage de la taxe professionnelle », et sortir de cette Canca pour rejoindre la communauté de communes du Pays des Paillons. Mais pour transformer son « agglo » en communauté urbaine, Christian Estrosi ne pouvait se passer des Coaraziens. « Même si personne ne veut le reconnaître » souligne Monique Giraud-Lazzari. Le nouveau maire de Nice, élu à la tête de la Canca au printemps dernier, s’est engagé « dans une course contre la montre », selon ses propres termes, pour réaliser cette opération avant le 1er janvier dernier et bénéficier d’une dotation de l’État plus importante. Avec un impératif : dépasser les 500.000 habitants. Avec 500.254 habitants au recensement de 1999, la Canca ne pouvait donc se passer des 659 Coarazien, sous peine de voir son dossier retoqué. Seul hic : une fois entrée en communauté urbaine, une commune ne peut plus en sortir… Bonne nouvelle : « M. Estrosi a aujourd’hui sincèrement reconnu que notre place n’est pas dans Nice Côte d’Azur » indique le maire de Coaraze. La cérémonie officielle à peine terminée, le maire de Nice a ainsi pris à part le secrétaire d’État aux collectivités territoriales, Alain Marleix, (qui a fait le déplacement), avec Éric Ciotti, président du conseil général, pour laisser Monique Giraud-Lazzari lui exposer le « cas Coaraze ». Un conciliabule apparemment efficace : si le « référé liberté » qui sera déposé auprès du tribunal administratif en début de semaine prochaine ne porte pas ses fruits, « le ministre étudiera le dossier pour trouver une solution ad hoc à notre situation » se réjouit le premier magistrat coarazien. « Et enfin, si d’ici un à deux mois, aucune issue n’est trouvée, un amendement à la loi relative aux libertés et responsabilités locales pourra être mis sur pied, et permettra à toutes les petites communes de France comme nous de sortir d’une communauté urbaine». « Si c’est la volonté des Coaraziens, je ne m’y opposerai pas ! » jure Christian Estrosi. Le recensement 2008 donne 512.160 habitants à sa communauté urbaine. Alors dorénavant, quelques centaines de villageois en plus ou en moins…
    17
    DB
    Mardi 23 Juin 2009 à 23:29
    C?NCA
    Devant l'importance pris par les débats sur la CUNCA, le Comté de Nice et nos différentes Intercommunalités dans les Alpes-Maritimes, je préfère transfèrer les commentaires sur le nouveau blogg www.cunca.blogg.org. N'hésitez pas à suivre ce nouveau blogg citoyen et à y apporter vos contributions.
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