• Week-end du 9 janvier 2010


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  • Récolte au début de l'été


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  • Depuis mon retour à la terre à moi, sous entendu mon arrivée à la campagne depuis décembre dernier, je renoue avec des sons, des couleurs et des éléments cotoyés dans mon enfance mais à l'époque le numérique n'existait pas... C'est beau la nature parfois, non ?


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  • Depuis mon retour à la terre à moi, sous entendu mon arrivée à la campagne depuis décembre dernier, je renoue avec des sons, des couleurs et des éléments cotoyés dans mon enfance mais à l'époque le numérique n'existait pas... C'est beau la nature parfois, non ?


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  • De retour à la maison après une semaine passée dans une station balnéaire en Espagne, St Juan de la Playa où nous nous sommes contentées de nous baigner invariablement dans la mer ou à la piscine, de dormir, de lire encore et encore et de boire des potions en tous genres (cerveza, mojito, margarita, sangria). Le cadre n'était pas le plus beau mais il nous fallait du concentré : tout au même endroit pour rester fixées sur l'objectif prioritaire à savoir ne rien faire. Nous avons bien tenté une balade culturelle et historique à Alicante - qui a failli virer au cauchemar puisqu'il pleuvait et que nous ne trouvions pas le moyen de grimper en haut de cette foutue cité - mais le résultat n'a pas été à la hauteur de nos attentes. Ces immeubles si haut venaient pertuber l'harmonie du paysage et par la même occasion augmenter notre déception, celle d'avoir perdu une journée à buller et d'avoir suer autant pour pas grand chose. On dit toujours qu'il faut souffrir pour mériter le beau, le surprenant, l'extraordinaire mais on ne nous dit pas toujours que parfois ces efforts ne servent à rien. C'était bien donc de couper avec le quotidien, celui du travail, de la route à faire tous les matins et tous les soirs, de ces clients à rencontrer encore et toujours alors que ni eux, ni moi n'en avaient réellement envie ces dernières semaines et de venir passer une semaine dans ce petit appartement au 11ème étage de la tour appelée Concorde à moins de 500 mètres de la Méditerrannée. C'était comme se téléporter dans un monde parallèle, un endroit qui a été crée de toute pièce pour des gens réclamant une pause, un endroit où toute pensée, réflexion est impossible. Lire, ça oui. Comme il est impossible de produire la moindre réflexion à propos de quelque sujet que ce soit - le voyageur dans ce monde parallèle est comme lobotomisé avant et pendant sa période dit de pause- il nous faut lire encore et encore et encore. Plonger notre cerveau à son tour dans des mondes et des histoires parallèles. C'est en rentrant à la maison qu'on recolle à la réalité et que notre cerveau se remet en branle. On refait des projets, on imagine l'avenir et on repense aux mêmes choses qu'avant de partir. Les espoirs sont les mêmes et les angoisses aussi.


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