• Sophie (28/03/2007) : Ma nouvelle érotique

    Bonjour,

    Tout d'abord, je vous confirme bien que je travaille en open space au milieu de mes collègues. Le midi, ils descendent souvent déjeuner un peu avant moi ce qui explique que j'ai alors un peu plus d'intimité. Souvent, le jeune stagiaire ne mange pas et je me retrouve seule avec lui. Vous comprenez maintenant un peu mieux la situation.

    Ceci dit, j'ai décidé de jouer le jeu que vous aviez prévu et j'ai écrit une petite histoire que je vous livre ici. Je vous précise simplement que je l'ai écrite au travail, entièrement nue sous ma robe et que cela m'a passablement excitée.

    L'histoire met en scène mon client vicieux (Laurent) que j'ai imaginé venir me chercher au travail pour m'emmener au cinéma. Laurent m'a demandé de porter une robe d'été légère, entièrement boutonnée sur le devant ainsi qu'un porte-jarretelles, mais de laisser mes seins et mes fesses entièrement nus (c'est précisément la tenue que je porte en écrivant). Le stagiaire (Philippe) est encore là et Laurent (à qui j'ai déjà raconté ce que Fabrice m'imposait de faire en sa présence) propose alors de l'emmener avec nous.

     

    Nous regagnâmes le bas de l'immeuble et nous dirigeâmes vers la station de RER avant d'entrer dans un cinéma de Paris. J'étais inquiète de la tournure que les évènements prenaient car je me doutais que le fait d'inviter Philippe impromptu était une idée vicieuse de Laurent.

    Nous nous sommes placés au fond de la salle et j'eus alors la confirmation que Laurent avait quelque chose en tête quand il choisit de me placer entre lui et le jeune stagiaire. Le film avait déjà débuté. L'histoire était intéressante. Au bout d'environ dix minutes, je sentais la main de Laurent contre ma cuisse. Elle remontait ma robe en même temps que la chaleur de sa paume gagnait le haut de mes jambes. Je redescendais discrètement ma robe car je ne voulais pas que le jeune boutonneux n'attrape une crise cardiaque et que je trouvais l'attitude de Laurent trop osée.

    Il ne l'entendait pas de cette oreille ! Excité par nos précédents échanges, il avait décidé de m'humilier. Il se rapprocha de mon oreille et me demanda si je lui étais entièrement dévouée. Je sentis mon cœur se serrer et une douce excitation remonter entre mes jambes. Il en profita pour me rappeler qu'il avait toujours ma photo à sa disposition et qu'il saurait en faire bon usage. Un sentiment d'angoisse m'envahit de nouveau. Je comprenais à demi-mots ce qu'il allait dire. Je devais ainsi lui être entièrement soumise. Curieusement, je sentis alors l'excitation me gagner. J'approchais ma bouche de son oreille et je m'entendis lui murmurer que j'étais sa putain. J'étais entièrement livrée à ses fantasmes et je lui précisais : « Je suis une chienne en chaleur, je suis votre salope. Ordonnez et je vous obéis. » Je pensais qu'il allait vouloir que je le caresse discrètement. Peut être même que je le masturbe jusqu'à la jouissance. En fait, j'étais loin de la réalité.

    « Remonte doucement ta robe au-delà de la lisière de tes bas. »

    J'avais la gorge nouée. Ce salaud voulait m'humilier devant ce jeune étudiant et plutôt que de remonter lui-même cette robe, ce qui aurait déjà été une humiliation, il accentuait encore la tension de la situation en me le faisant faire moi-même. Non content de montrer à notre voisin que j'étais passive, il voulait lui montrer que l'initiative venait de moi. Il voulait me faire passer pour une traînée. Le pire de la situation était que je sentais la honte m'envahir mais que l'excitation était telle que je prenais plaisir à cette situation. Je remontais discrètement ma robe. J'étais à la limite de la lisière de mes bas. Je savais qu'en poursuivant, je passerais pour une salope. Je sentais une excitation intense m'envahir. Je poursuivais et la chair de mes cuisses apparue alors. Je n'osais pas bouger. J'étais tétanisée par la honte et le plaisir de l'humiliation. Laurent se pencha vers mon oreille.

    « Ecarte doucement tes cuisses. »

    Je pensais devenir folle et pourtant me m'exécutais lentement. Je devinais l'étudiant qui commençait à s'agiter sur son siège, signe que l'excitation le gagnait également.

    Mais Laurent n'en avait pas encore fini et continuait à me faire glisser dans la débauche.

    « Enlève le bouton du haut de ta robe. »

    Ces mots me parvenaient comme dans un songe. J'étais rouge de honte. Presque paralysée également.

    « Tu m'as promis et je te rappelle que j'ai les moyens de t'imposer pas mal de choses. »

    Je me sentais une autre en dégrafant discrètement le premier bouton de ma robe.

    Laurent savait y faire, il m'énonçait les choses par petites bribes, histoire de me faire sombrer lentement mais sûrement dans la débauche et la honte.

    « Continue et enlève tes boutons un à un. »

    Je continuais à obéir à mon maître. Aussi discrètement que possible, je déboutonnais un deuxième bouton, puis un troisième et ainsi de suite jusqu'au dernier. Mais je maintenais ma robe comme le faisaient les boutons auparavant. Je savais déjà ce que Laurent allait me demander. J'en ruisselais d'avance. J'étais devenue sa chose. Pour mon plus grand plaisir.

    « Ecarte ta robe très doucement. Conserve les cuisses écartées. »

    J'étais une autre en tirant doucement de part et d'autre de ma robe. Mes seins apparurent, gonflés, les tétons durcis. Puis mon porte-jarretelles et ma chatte rasée, gonflée elle aussi de l'excitation de la situation.

    « Enlève cette robe et replace-toi dans la même position. »

    Je m'exécutais à nouveau, honteuse de cette situation de débauche dans laquelle mon client prenait plaisir à me faire glisser. Le stagiaire savait que j'étais une putain. Il semblait apprécier à en croire l'accélération de sa respiration. J'étais entièrement nue, dans un cinéma, entre mon client vicieux qui se plaisait à m'humilier et un jeune étudiant boutonneux qui était tétanisé par l'excitation de cette situation.

    Laurent changea alors de tactique et me demanda ce qu'il convenait maintenant de faire.

    « Voulez-vous que je vous caresse ? » M'entendis-je lui demander.

    « Je veux autre chose, je pense que tu es toute mouillée. Que font les putains quand elles ont la chatte trempée ? »

    Je n'en pouvais plus.

    « Elles se branlent. »

    « Alors branle-toi, fais-toi jouir. »

    Je décidais alors d'augmenter encore l'excitation de mon salaud de client qui prenait tant de plaisir à ma débauche. Je remontais ma cuisse gauche au-dessus de sa cuisse droite de façon à écarter encore mes jambes. Mais je ne m'arrêtais pas là. Je fis la même chose en plaçant ma cuisse droite au-dessus de celle de mon voisin. Il ne bougeât pas et je sentis que Laurent respirait de façon plus saccadée, signe de son excitation extrême. Les cuisses entièrement écartées entre ces deux hommes, je sentis ma main toucher mon clitoris et mes doigts s'enfoncer dans ma chatte béante. Je me branlais alors comme une chienne en chaleur en m'enfonçant plusieurs doigts simultanément. Laurent se pencha une nouvelle fois.

    « Ton cul est vide et je sais que tu aimes être enculée. Que vas-tu faire maintenant ? »

    Je ne répondis pas alors qu'il me tendait mon sac à main. Je l'ouvris et en sortis le godemiché disproportionné, puis le lubrifiant qu'il m'avait demandé d'amener. J'enduisis alors ce sexe de latex de cette crème et le branlais pour l'enduire entièrement. Je le plaçais ensuite contre mon anus et j'appuyais lentement. Le gode me pénétra facilement. Il faut dire que mon cul est pas mal ouvert maintenant. Je m'arrêtais lorsqu'il buta contre mes fesses, signe que tout le gode était entièrement enfoncé. Je continuais ensuite à me branler la chatte et mon clitoris en faisant aller et venir cette énorme bite de latex dans mon fondement. Je jouis encore plusieurs fois avant d'entendre la voix de Laurent.

    « Principe de symétrie. »

    « Quoi ? » Lui demandais-je ?

    « Tu reproduis simultanément à droite ce que tu fais à gauche. »

    Je tournais la tête vers lui pour être certaine de ce qu'il me demandait.

    « Vous êtes sérieux ? »

    « N'oublie pas que tu m'es dévouée corps et âme. »

    J'avalais alors ma salive.

    « Touche ma queue à travers mon pantalon. »

    Nue entre ces deux hommes, dans un cinéma de Paris, un énorme gode me dilatant l'anus, je tendis mes mains, les deux, vers les pantalons de mon client et du jeune stagiaire. Mes mains se posèrent simultanément vers leur bite. Je fus rassurée de ne sentir aucune réaction de Philippe. Je massais leur sexe simultanément.

    « Sors ma queue et continue de me branler. »

    J'étais comme dans un rêve ; mêlant la réalité aux fantasmes de Laurent, appréciant chaque seconde. J'utilisais les deux mains pour ouvrir la braguette de mon client puis sortis sa queue...

    « Principe de symétrie. »

    ... Avant d'opérer la même chose sur mon voisin de droite. J'avais une bite dans chaque main. Mes doigts allaient et venaient sur leurs sexes durs, gonflés, luisants.

    « Embrasse-moi, comme une putain le ferait. »

    Je me tournais vers Laurent et laissais glisser ma langue dans sa bouche, tout en continuant à agiter mes deux mains. Je pressais mes lèvres sur les siennes. Je reprenais souffle lorsqu'il me répéta :

    « Principe de symétrie. »

    Je me tournais alors vers le jeune stagiaire et lui tendis mes lèvres chaudes et humides. Il me rendit mon baiser. Nos langues se mêlèrent, nos lèvres pressées les unes contre les autres. Je reprenais ma position centrale.

    « Suce ma bite. »

    Je me penchais alors vers Laurent et aspirais goulûment sa tige. Son sexe était énorme, gonflé d'excitation. Son gland disparu dans ma bouche humide. Ma bouche l'épousait entièrement et je descendais presque jusqu'à ses couilles gonflées elles aussi de toute cette excitation contenue. Je remontais au gland lorsque j'entendis sa voix :

    « Principe de symétrie. »

    J'abandonnais ma sucette d'un instant pour aspirer à son tour le gland de mon voisin. J'opérais la même manipulation et tétais sa bite turgescente en la faisant coulisser contre ma langue. Je l'aspirais entièrement. Je sentis alors le liquide chaud s'épandre par saccade dans ma bouche. De longs jets contenus qui me remplissaient. Philippe s'était raidit, submergé par la jouissance. Je me relevais et avant d'avoir eu le temps d'avaler son sperme, je sentis les lèvres de Marc contre moi. Sa bouche se mêla à la mienne et nos langues se touchèrent, humidifiées par le sperme du stagiaire. J'étais comme folle. Je sentis alors Philippe se lever puis se diriger vers la sortie. Je me plaçais alors à genoux et retirais le gode qui me dilatait toujours l'anus. Je tendis les fesses vers Marc puis lui demandais de m'enculer. Je sentis alors sa bite gonflée et chaude se placer entre mes fesses et me ramoner. Son sperme chaud ne tarda pas à me remplir, pendant que je jouissais à mon tour.

    Voilà mon histoire inventée. Il va de soit que j'étais entièrement trempée en l'écrivant. J'ai même du aller me caresser aux toilettes ensuite ! Ce qui est curieux, c'est que j'ai maintenant l'impression de partager un secret avec Philippe. S'il savait !


  • Commentaires

    1
    Monsieur Pat
    Samedi 7 Août 2010 à 15:53
    Toute la légèreté dans la perversion...
    Toute la légèreté dans la perversion...ce que l'on ne peut trouver que chez une femme ! Joli cadeau ce texte, merci Sophie !
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