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    Histoire et Techniques du Cinéma et son évolution. Montage des parties les plus importantes d'un ancien document

    sur les origines.

    l'invention du cinéma et ses débuts

    histoire d’amour qui unit les Québécois et le septième art, de la première projection nord-américaine, à Montréal, en 1896, à l’ère des mégacentres de divertissement tels que nous les connaissons aujourd’hui

    6 fois 2 émissions télévision cinéma (1976) : PAS D'HISTOIRE 11

    RÉALISATION DE G. TEISSEDRE W. LUBTCHANSKY D. CHAPUIS P. RONY A. LUCIANI L. NEIL H. FALSE J. MEILLIER

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    En lien 

    1/4 L’invention du cinéma 1889-1913

    -

    2/4 Le cinéma de la guerre et des années folles 1914-1927

    -

    3/4 Du technicolor à la drôle de guerre 1935-1943

    -

    4/4 Du technicolor à la drôle de guerre 1935-1943

    Page en cours © Studio Point to Point

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  • Partie de Cartes film des Frères Lumière 1896

    Partie de Cartes  Peinture de Paul Cézanne 1992

    Partie de Cartes film de Georges Méliès 1896

    Note Party

    Louis Lumière par Éric Rohmer, 1968

    À DHS  ] DeHorSérie [ Photo  Cinéma, Point to Point Studio

     Un peu lumière mes frères

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  • Dziga Vertov, Photo:  "Saut de la Grotte" Collection Vertov au Musée du Cinéma Autrichien 1935

    Artiste Cinéaste Russe d'Origine Polonaise né le 02-01 1896

    Bialystock-Poland-1896

    La sixième partie du monde, Шестая часть мира.1926

    Ma voie mène à la création d’une perception neuve du monde. C’est pourquoi je déchiffre d’une manière nouvelle un monde qui vous est inconnu.  Je suis le ciné-œil. Je suis l’œil mécanique. Moi, machine, je vous montre le monde comme seule je peux le voir. Résolution du Conseil des Trois, (Elisabeth Svilova) et son frère (Mikhaïl Kaufman) et 1923.

    " Le cinéma dramatique est l'opium du peuple.
    A bas les rois et les reines immortels du rideau. Vive l'enregistrement des avants-gardes dans leur vie de tous les jours et dans leur travail !
    A bas les scénarios-histoires de la bourgeoisie. Vive la vie en elle-même !
    Le cinéma dramatique est une arme meurtrière dans les mains des capitalistes ! Avec la pratique révolutionnaire au quotidien nous reprendrons cette arme des mains de l'ennemi.
    Les drames artistiques contemporains sont les restes de l'ancien monde. C'est une tentative de mettre nos perspectives révolutionnaires à la sauce bourgeoise.
    Fini de mettre en scène notre quotidien, filmez-nous sur le coup comme nous sommes.
    Le scénario est une histoire inventée à notre propos, écrite par un écrivain. Nous poursuivons notre vie sans avoir à la régler au dire d'un bonimenteur.
    Chacun de nous poursuit son travail sans avoir à perturber celui des autres. Le but des Kinoks est de vous filmer sans vous déranger.
    Vive le ciné-oeil de la Révolution !


    La onzième année, un film de Dziga Vertov, 1928

    Artiste Cinéaste Russe d'origine polonaise né le 02-01 1896

    L'Homme à la Camera, film muet, N/B. Man with a Movie Camera, silent film B/W 1929

    Directionr réalisation : Dziga Vertov (nom de naissance David Abelevich Kaufman)

    Cadreur : Mikhaïl Kaufman (son frère David Abelevich Kaufman)

    Montage : Yelizaveta Svilova (sa femme Elisabeth Ignatevna Svilova)

    Production : Studio Dovjenko VUFKU (Comité pan ukrainien du cinéma et de la photo)

    Union soviétique lFormat : noir et blanc, muet <Durée du film : 93 ou 95 minutes selon les auteurs, 80 minutes

     

    Poster The Man with-the Movie Camera Dziga Vertov

    Videospectateurs : "Attention ! ce film est une expérience réalisée aux contacts d'événements réels sans l'aide du théâtre. Ce travail expérimental vise à créer un véritable langage international du cinématographe qui repose sur la séparation absolue de la langue, du théâtre et de la littérature." 1929 Dziga Vertov

    Человек с кино-аппаратом 1929 + playlist

    + d'infos

    La position de Vertov est encore plus radicale, plus extrême pour faire écho au propos de Max Milner. En effet, Eisenstein raconte "encore" des histoires, à la différence de Vertov. C’est d’ailleurs sur cet aspect que les deux hommes se brouilleront.

    Vertov refuse radicalement le cinéma artistique, et l’idée qu’il puisse être un objet de distraction, et de consommation, c’est-à-dire d’être réduit à un « opium du peuple » (la vocation en quelque sorte de l’entertainment). Il s’agit donc pour lui de se dé-prendre, de se dé_faire des habitudes et des héritages pour inventer des formes inédites à partir du réel. Car, pour lui, le cinéma en général, et le soviétique en particulier, doit aller dehors. Il doit filmer la réalité : l’existant, se doit d'enregistrer le monde effectif en se débarrassant de tout scénario, de toute forme d’écriture ou de référence qui brouillerait la nature machinique (mécanique) de l’image cinématographique. Un des enjeux affiché et affirmé par Vertov est de créer un cinéma international, un langage international qui n’aurait besoin, pour être saisi par tous les regard, que des enjeux de sa propre forme.

    Cette œuvre implicitement expérimentale à vocation universelle elle avance en pensant incessamment ses propres conditions de possibilité, et donc par-là même éduque le regard du spectateur aux conditions de formation de l’image et du regard. Il refuse donc de maintenir le regard du spectateur dans l’illusion fictionnelle. Ce à quoi s’attache Vertov, c’est une véritable mise à nue de l’illusion fictionnelle par la mécanique cinématographique, même.

    Article Un cinema révolutionnaire Sebastien Rongier


    thanks

     Panait Istrati et Nikos Kazatzaki en Ukraine Odessa Kiev,1928

    L'écrivain roumain de langue française Panaït Istrati filmé par les actualités soviétiques, en 1928, lors de son arrivée à Odessa. Istrati se rend en URSS pour célébrer le 10e anniversaire de la Révolution d'Octobre. Lors de ce séjour, il entreprend un voyage de plusieurs mois à travers le pays avec son nouvel ami Nikos Kazantzaki et leurs compagnes respectives, Bilili et Eleni Samios-Kazantzaki. Fervent partisan de la Révolution, désireux de rendre compte de ses bienfaits, Istrati (qui, fait rare, voyage sans escorte) doit déchanter brutalement. L'un des tous premiers, il décrira la réalité du régime stalinien dans l'ouvrage Vers l'autre flamme, écrit avec Victor Serge et Boris Souvarine. Autre témoignage de cette "véritable tragédie" qui vaudra à Istrati d'être rejeté du monde des lettres: le récit d'Eleni Samios-Kazantzaki,
    "La Véritable Tragédie de Panaït Istrati", resté inédit jusqu'à ce jour en français, que les Éditions Lignes viennent de faire paraître dans une édition établie et préfacée par Anselm Jappe et Maria Teresa Ricci lien ttp://www.editions-lignes.com/LA-VERITABLE-TRAGEDIE-DE-ISTRATI.html)

     

    l’hypertexte, Moscou 20-40, Sigismund Krzyzanowski

    Шоста частина світу 1926

    Zakir Paul Scenes from the Aesthetic Regime of Art Translated : Jacques Rancière

    Cairn Info

    La nature du cinéma : entre photogénie et attraction

    Télécharger « Vertov_Dziga_1922We_Variant_of_a_Manifesto.pdf »

    Télécharger « Jacques Rancière Voir les choses à travers les choses-Odessa 26.pdf »

    Dziga Vertov Archive org
     

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  • Le cerveau qui ne voulait pas mourir, Virginia Leith

    The Brain That Wouldn't Die film réalisé par Joseph Green en 1962 au USA, noir et blanc.

     Réalisation Joseph Green né en 1928 décédé en 1999, scénario: Rex Carlton,Joseph Green. Acteurs: Jason Evers, Virginia Leith, Leslie Daniels, directeur de la photographie: Stephen Hajnal… Joseph Green Acteur dans le film de Samuel Fuller fut acteur, réalisaur, scénariste, producteur, distribueur de Films cliquez liste documens archives

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      Vignettes / thumbnails

    En 1964 Joseph Green s'associera à Tetsuji Takechi pour réaliser le film Hakujitsumu

    Hakujitsumu, 白日夢, Daydream, Délire réalisé par Tetsuji Takechi & Joseph Green

    + d'infos

    générique du film Le cerveau qui ne voulait pas mourir

    Joseph Green Acteur dans le film de Samuel Fuller  fut acteur réalisaur scénariste producteur

    Périls of P.K

    Article Gulzar Joby

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  • Lutz Mommartz Self-Portrait 1967

    Lutz Mommartz, né en 1934 en Allemagne, Rhénanie-du-Nord-Westphalie à Erkelenz, travail depuis 1965 à la réalisation de films documentaires et expérimentaux, professeur de cinéma à l'Academie d'Art de Münster 1978 -1999 il vit à Düsseldorf. Il a publié de nombreux livres : Margret (Margaret comprenant la correspondance de 1957 à 2006), text 2003/06, (textes poèmes), texte-2002/3 (texte Web), De l'authentique comme art (vue d'ensemble de son travail de 1964 à 1999). Ses films sont disponibles pour le domaine publique. Il peuvent être téléchargés sur le site web à son nom et sur la page archives.

    Markeneier de Lutz Mommartz 1967 autre lien clique ici

    D"après le film Weg zum Nachbarn, Lutz Mommartz 1968 Point to Point Studio

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    mommartz

    Mommartz Lutz Archives

    Lutz Mommartz Wikipédia

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    Besonders Wertvoll - Particulièrement Précieuse, film de Hellmuth Costard 1968

    Un film qui fit débat! Ce film est conçu comme une protestation contre la commission de censure cinématographique Allemande. La polémique qui s'engagea lors sa programmation au Festival du court métrage de Oberhausen en Allemagne…provoqua un scandale.

    Hellmuth Costard (1940-2000), qui a étudié la psychologie, atourné ses premiers court-métrages dans le cadre du groupe detravail “Film et Télévision” à l’Université de Hambourg, puisfut l’un des co-fondateurs de la Coopérative des cinéastes de Hambourg, créée sur le modèle du New Cinema américain et contre “l’idiotie de l’industrie cinématographique établie”,avec entre autres Helmut Herbst, Thomas Struck, WernerNekes (dont nous avions montré plusieurs films lors du week end allemand de 2004 et dont nous montrons le dernier film),Dore O. et Klaus Wyborny.

    En 1968, son film Prime à la qualité (Besonders wertvoll), choisi à l’unanimité par le comité de sélection, déclenche un scandale au festival du court-métrage d’Oberhausen et la direction du festival décide à la dernière minute de ne pas le projeter. Le sens de la subversion dont il y fait preuve se retrouve dans L’oppression de la femme se reconnaît au comportement même des femmes (Die Unterdrückung der Frau ist an dem Verhalten der Frauen selbst zuerkennen). Lire Plus >> Film d'Allemagne les inattendus

    Karte Deutschland Point to Point Studio

    Hellmuth Costard

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  • Film No.1, David Crosswaite - Extrait

    Film n ° 1 est composé de captures-images formant boucle, répartie sur le temps (10 minutes). Les systèmes de répétitions employées inscrivent une logique mathématique rythmant les séquences et semblent dépendre  de la manipulation des matériaux utilisés. -Le film se proposant comme image/structure digérée de la matérialité temps/espace/lumière/couleur/Haut-Bas etc…. qui l'ont nourrit.

    Le Film No.1 de David Crosswaite particulièrement structuré partager les préoccupations de réalisateur outre-Atlantique tel Hollis Frampton.

    Les années 60 et 70 ont été déterminantes pour les films et les vidéos d'artistes. Tandis que se multipliaient des collectifs informels sur la scène internationale, certains cinéastes défiaient les conventions cinématographiques. En Angleterre, la plupart des innovations virent le jour à Londre, à la Film-Makers' Co-operative. Une organisation dirigée par des artistes, qui comprenait une instance de distribution, un espace de projection et un lieu de production. Dans ce laboratoire unique, les cinéastes pouvaient contrôler tous les aspects de la création artistique, et la production physique du film - le tirage et le développement devinrent inhérent à la forme et au contenu. + d'infos la mediatheque

    Clique > https://vk.com/video8185420_163703320

    Annabel Nicolson -  Slides 1970 -  Extrait

    La version originale est distribuée en DVD avec d'autres films expérimentaux de l'Avant-Garde British des années 1973/70 : Guy Sherwin - "At the Academy" 1974 - 5' - Malcolm Le Grice - "Little Dog for Roger" 1967 - 12' - Mike Leggett - "Shepherd's Bush" 1971 - 15' - Peter Gidal - "Hall" 1968-69 - 8' - Stephen Dwoskin - "Dirty" 1965-67 - 12' - Jeff Keen - "Marvo Movie" 1967 - 5' - William Raban - "Broadwalk" 1972 - 12' - Chris Welsby - "Fforest Bay II" 1973 -5' - Annabel Nicolson - "Slides" 1970 - 11' - David Crosswaite - "Film No.1" 1971 - 10' - Lis Rhodes - "Dresden Dynamo" 1971 - 5' - Marilyn Halford - "Footsteps" 1974 - 6' - John Smith - "Leading Light" 1975 - 10'.  sous le titre SHOOT SHOOT SHOOT ce qui vous permet d'entendre le son.

    Broadwalk 1972  de William Raban

    Thanks Dick, Point to Point Studio

    choke 1971de

    Riddles of the Sphinx, 1977 extrait

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