• Pour des raisons thechniques évidentes, les scènes suivantes ne seront plus projetées à cette adresse mais sur

    http://cinedames.oldiblog.com/ 


    Cher Public, merci de votre compréhension

    Projectionnistes Girls


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    Mai 2006:<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />Les consignes sont lancées, notre esprit commence à plancher... les néons grésillent et les fumeroles s'envolent, derrière nous la musique synthétisée des guitares et de piano résonnent, rythmées par le claquement des boules de billard...  Notre esprit s'embrume progressivement et s'enfonce dans les torpeurs de la nuit.Au petit matin, la clarté revient, les images de la veille défilent encore dans notre esprit, c'est dit: ON PROJECTIONNERA UN FILM.Le mois passe, et il faut trouver une place. Le stade ? ...Mmmh...bof. Prenons quelque chose de plus adapté, disons les Arènes de Saintes.
    Début Août.Le coursier est timbré, le courrier est payé, la lettre s'envole jusqu'à l'Hôtel de Ville.
    9 Août: Notre homme coopère, avec quelques conditions... la projection ne peut se dérouler aux Arènes, elle est envisageable soit à l'Abbaye aux Dames soit au parc blanc; Ce sera à l'Abbaye.Le personnage insiste encore, il veut connaître les dispositifs de sécurité.
    21 septembre:Soyons clair, la sécurité c'est notre affaire, la bande des G1 s'en occupera. qui plus est, le débit de boisson devrait aussi bien fonctionner.
    Jeudi 28 septembre.Notre groupe éclate, chacun son business, Christelle et Pauline soudoient le projectionniste du Gallia, JosselinE trafique le blogg, pendant que Mathilde magouille à l'Hôpital.

    Le deal tourne bien, et la corruption est efficace, on devrait pouvoir obtenir le lieu, les chaises et l'écran sans aucuns frais. Et tous ça, sur l'argent public... inépuisable !


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    29 septembre
    Le projectionniste a craché le morceau, il nous avoue le nom de son mentor dans le domaine du cinéma en plein air : CRPC de Poitiers. S'il ment on l'étrangle.
     
    5 octobre
    Deux d'entre nous s'en vont prendre des photos du lieu. Tout gangster prépare habilement son coup par quelques clichés... le chantage n'en sera que meilleur !
    De retour, on tourne le cadran téléphonique pour composer le numéro du CRPC... notre fournisseur s'est absenté. Plus tard, il nous annonce le montant de sa prestation : entre 700 et 1200 euros.

    9 octobre
    Notre taupe à l'Hôtel de ville nous rappelle, Lieu Abbaye : OK STOP dossier transmis STOP.
    Aïe ! blème : notre fournisseur se débine. Il ne propose que des représentations gratuites au public, de plus, l'Abbaye n'est pas un lieu « habilité »... Effectivement, tous les lieux de nos magouilles ne sont pas réglementés par la police ou les brigades armées.
     

    Lundi 23 octobre

    L'éditeur du blogg fait des difficultés, il refuse catégoriquement d'ouvrir sa porte d'une part puis de publier notre nouvelle mise en page.
    Quelques heures plus tard, il est soumis, il s'en est fallu d'une cheveux pour que sa fille y passe...

    Vendredi 27 octobre
    Après quelques flûtes de champagne pour les 21 ans de JosselinE, on envoi un mail pour tenter de corrompre Cinécinéma.
     

    Lundi 30 octobre

    Cinécinéma répond, il sont intéressés par notre proposition, mais pour l'Abbaye, le tarif augmente et passe à 2500 euros... La pression psychologique est plus délicate sur les fournisseurs.
    Il nous faut trouver des fonds.

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    6 novembre<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />Christelle, Josseline et Pauline retournent au repaire pour nettoyer et astiquer une lettre pour la demande de subvention ; il ne faudrait pas qu'elle s'enraye !Les commerçants et les banques seront nos premières cibles. De son côté, Mathilde est sous l'emprise du rhum, elle ne reparaîtra que demain. 

    28 Novembre

    Nous sommes « conviés » chez le Caïd... Cette perspective ne nous réjouis guère.... On lui explique brièvement nos activités. Il semble de bonne humeur. Il feuillete avec attention le résultat prévisionnel de nos magouilles. Son visage se détend et il semblerait qu'un sourire satisfait se dessine au coin de ses joues.Pour un peu, il nous aurait payé l'apéro – à nos frais, bien entendu - . 30 novembreUn coup de téléphone et un petit... « supplément » nous assure la location du site de projection. Vendredi 1er décembreDe retour chez le Caïd. Il aime le cinéma, et il a décidé de nous prendre sous son aile : Sa popularité nous permet d'obtenir des subventions de l'Etat grâce à son réseau A-LESArien. Sa « collaboratrice » ? Une certaine Delphine du service culturel. 5 décembre 2006Les bénéfices de notre entretien avec le Caïd ne se font pas attendre : Appel de Delphine ; il faut lui fournir le dossier de subvention au plus vite. Sans doute pour que l'Etat puisse faire disparaître plus facilement dans ses comptes et budgets prévisionnels la légère entorse faites au bon contribuable Saintais.

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