• Divers tensions, moultes remous, la tempete bat son fort et mon coeur se perd.

    Des doutes ... J'en ai plein la calbasse.

    Mes
    sanglots semblent ne pas vouloir sortir, peut etre de peur de ne pas
    savoir s'arreter, tandis que je m'enfonce dans les abimes de mes
    angoisses.

    Douleurs de femme, je m'etale dans l'attente de leurs sens.

    Demain, 17h50, je n'ai pas envie d'avoir a dechirer mes entrailles,
    mais si la perspective d'un nouveau jour se presentait, je n'aurai pas
    le choix. Je ne sais meme pas si j'aurai la force de lui dire.

    Il me fait mal, m'insulte de son indifference et pense qu'il m'aime encore.

    J'ai
    mal de la force de mes pensees. Je me tords de la rupture a venir, je
    ne veux pas tout arreter, mais il est en train de m'emprisonner dans
    une vie que je ne veux pas.

    Et si je m'eclipsais? Oui, j'y ai
    bien pense, mais la fuite n'efface rien et je ne peux pas tout
    abandonner. Mon egoisme n'est pas assez developpe. 

    Envie de me perdre ...

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  • test

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  • Seins gonflés de désir, lèvres pulpeuses d’envie, j’inonde mon corps de caresses et coule de ce plaisir …

    Bonne nuit …


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  •  

    Quel metteur en scène filmerait le mieux votre vie ?
    Jean-Pierre Jeunet. Les couleurs de ses films sont celles qui se rapprochent le plus de ma vie.

    Quel peintre vous aurait pris pour modèle ?
    Andy Warhol.

    Quel auteur aurait écrit le roman de votre vie ?
    Flaubert sûrement. 

    Quel dessinateur de BD vous croquerait le mieux ?
    Robert Crumb. Sans hésitation aucune.

    Quel chanteur pourrait faire une chanson sur vous ?
    Nick Drake aurait pût, mais Jack Johnson est encore vivant, donc Jack Johnson.

    Quel ustensile de cuisine seriez-vous ?
    Une crêpière. Pour que la chaire des hommes s'étale sur moi.

    Quel ingrédient de plat unique seriez-vous ?
    Le piment. 

    Quelle pièce de la maison seriez-vous ?
    Le boudoir.

    Et quel meuble ?
    Un lit. Hmmm ... Rester allongé ! Avoir pour fonction de s'allonger en permanence, et de sentir les corps qui baisent sur moi ... Hmmm ...

    Quel jeu de société seriez-vous ?
    Les petits chevaux, pour mieux me faire sauter. Hmmm ... Pardon, je m'égare.

    Quel moyen de transport seriez-vous ?
    Un bus électrique.

    Quelle ville seriez-vous ?
    London Baby !

    Quel musée ?
    Victoria & Albert Museum, à Londres.

    Quel pays rêvez-vous de visiter ?
    Le Népal.

    Quel objet emporteriez-vous sur une île déserte ?
    Mes boules de geisha.


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  • Photos 

    L’empreinte invisible de mes lèvres sur ton sexe, celle du désir avoué en silence, celle où plus aucun mot n’est nécessaire...

    Ton gland contre ma langue, je me régale de ton goût, nous mélangeons nos goûts, nous les laissons s’emparer de nous.

    La fragilité exquise de ton vit m’envahit de toute sa raideur, frétillant de ton désir décuplé, salivant de me baiser.

    Tes mains empoignent mon visage, l’attirant à ta bouche qui s’enfuit, attirée par mon cou, laisse s’échapper les traces de ta gourmandise.

    Mon corps frémit.
    Ma peau se tend.
    Ta bouche descend.

    Je sens tes lèvres douces glisser contre le grain de ma peau. Ta langue agile ne cesse de lécher, de goûter, me faisant saliver … Je sais ce qui m’attend. Je te laisse prendre ton temps.

    Tu fais de mes tétons bruns tes cibles. Tu les titilles du bout des lèvres pendant que ta langue les enlace, l’un après l’autre, pas de jaloux, pas de ça entre nous.

    Longuement, lentement, doucement, tu libères la sensualité de mes seins et l’entraîne du bout de ta langue sur mon ventre.

    Je sens alors tes mains effleurer mes hanches, les caresser et finalement s’y agripper pendant que ton regard affamé observe le plaisir provoqué.

    Lèvres brûlantes … Elles me titillent … Envie de tes baisers, de tes lèvres m’effleurant. Partout.

    Je te désire.

    Tes doigts se baladent lentement sur le haut de mes fesses, les effleurent lentement pour mieux en apprécier les formes généreuses, pendant que ton souffle chaud se répand le long de mon ventre à travers tes caresses buccales que je ne me lasse point d’aimer.

    Le flot me traverse, un tourbillon me prend, mes jambes elles même n’en peuvent plus de résister et ma lente chute vers le sol n’est contrôlée que par le désir de te laisser continuer.

    Te laisser continuer ta descente infernale jusqu’à le seule dentelle qui m’habille encore. Je sens enfin ton souffle réchauffer le haut de mon sexe au travers des mailles que je ne supporte désormais plus …

    Allergie soudaine, j’étouffe, je dois m’en débarrasser. Tes mains m’en privent, elles me tiennent fermement les poignets, et je ne puis (et ne veux) point me défendre, j’aime te laisser mener la cadence de notre danse. Tu te joues de mes frustrations, de mes envies incessantes, de mon insatiable soif de toi, de mes jambes qui flagellent en s’écartant pour toi.

    Ta bouche, sensualité suprême réincarnée, observe mon désir s’agiter, alors que tu salives devant la douceur qui t’es présentée. Mes jambes viennent se poser sur tes épaules, tes mains écartent les miennes alors que tu laisses tendrement choir ta bouche sur mon sexe frissonnant sous l’effet de ton baiser fougueux.

    Je laisse échapper un « Ne t’arrête surtout pas mon chéri » du bout des lèvres et laisse le plaisir m’envahir sous ton agile langue tournoyante qui m’emporte, me transporte et me soulève dans le tourbillon du paroxysme brûlant du plaisir.

    Mes jambes t’emprisonnent dans mon antre.

    Je te désire.

    Je frémis des spasmes du plaisir voluptueux, inerte de ta caresse exaltante. Mes muscles succombent en proie au délice. Tes lèvres coulissent et poudrent mon ventre, mon buste, et mon cou avant de se mourir en un baiser de désir.

    Sans sursis, tu te laisses glisser délicatement en mon intimité embuée, te complais dans la tendresse de mon doux velouté. Ton envergure me tord, m’absorbe et me dévore. Elle aiguise l’allure du délice de notre luxure.

    Tu te voues au plaisir de nos sens réunis, frissonnes à chaque larme de mon sexe sur ton vit et agrémentes à notre goût la cadence de ton élan.

    Je n’entends plus … Je ne vois plus … Je ne sais plus que (re)sentir l’audace de notre plaisir.

    Ton envergure s’accroît, ton râle s’accélère, tu resserres l’étreinte et m’entraîne dans ta sphère … J’aime ainsi escalader le sommet de ta turgescence …

    Je m’effondre sous l’allure du coït frénétique.
    Tu déferles en moi.
    Je n’attendais plus que ça.

    Merci.


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